Titre de l'histoire érotique : Trois complices, Anne et les autres.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-09-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Trois complices, Anne et les autres.
(Voir les deux précédents chapitres).
Quelle séance mémorable lors de la trêve des confiseurs avec Sophie, la copine de ma sœur Amélie !
Au gré des bavardages au cours des soirées et devant nos parents, ce soir là, nous avions découvert que les deux filles étaient totalement bisexuelles… Si actuellement elles entretenaient une liaison saphique, elles avouaient sans honte pouvoir passer des bras de l’une à ceux d’un garçon sans aucune arrière pensée. Il s’agissait de prendre du plaisir et d’en donner !
J’avais eu le plaisir de baiser Sophie dans mon lit pendant qu’Amélie montrait ses progrès de lesbienne à Caro’, la fille de notre belle-mère.
Cela m’avait complètement changé de faire l’amour avec Sophie…
Depuis la fin de l’été, je baisais Caro’ chaque fois que nous pouvions être seuls… Elle avait fait tomber tous mes scrupules en disant :
- qu’entre nous il n’y avait pas de liens du sang…
- que nous pouvions baiser ensemble si cela nous faisait envie…
- qu’elle avait envie d’une queue mais pas envie d’en chercher une nouvelle…
- que nous étions libres de baiser ailleurs si cela nous prenait…
- que je n’avais pas l’exclusivité…
Contrairement à Caro’ qui a des formes quelque peu généreuses de latine, Sophie est plutôt du style « brindille », mesurant un bon mètre soixante dix, elle a une silhouette longiligne avec son petit cul aux fesses de garçon, sa taille étroite et une quasi absence de seins. Son visage, constellé de quelques éphélides et illuminé par des grands yeux gris, est mince encadré de longs cheveux qui tombent sur ses épaules.
Comme la relation saphique entre Amélie et Sophie était devenue officielle aux yeux de nos parents, désormais Sophie revenait à la maison les weekends et s’était « installée » dans la chambre de ma sœur ! Il y avait de la place… Nos chambres étaient immenses, meublées d’un lit de 160cm qui occupait une bonne partie de la superficie, il y avait de la place pour mettre notre « coin travail avec ordinateur » et un ou deux profonds fauteuils club ! Le seul HIC dans cette disposition…. C’est qu’il fallait passer par le couloir pour aller d’une chambre à l’autre.
Cela ne posait aucun problème… Nous étions tous (y compris les parents…) sexuellement libérés.
Un certain rituel s’était établi… Le vendredi soir, les deux filles passaient la nuit ensemble pendant que je baisais Caro’ si elle était présente et le samedi soir, les rôles s’inversaient, Caro’ rejoignait ma sœur et Sophie me retrouvait dans la mienne…
Les vacances de février ont amené quelques modifications à cette situation…
Caro’ s’était laissé convaincre de partir à Djerba avec un groupe de copains et copines de la Fac’… Il y aurait trois couples… qu’elle m’avait dits être libertins… Elle serait en bonne compagnie !
Amélie et Sophie passaient les vacances à la maison, c’était la saison propice pour faire du ski de fond dans la région… Nous en avons profité tous les trois, parfois avec les parents…
Les soirées au coin du feu étaient bien agréables après les fatigues de la sortie au grand air au milieu des grands sapins du Jura… mais elles ne duraient guère. Les plus jeunes regagnaient leurs chambres pendant que les parents devisaient encore un peu…ou même baisaient devant l’âtre !
Quelle n’a pas été ma surprise un de ces soirs de voir arriver Amélie et Sophie dans ma chambre… Elles étaient moitié nues et en rigolant elles m’ont montré un gode ceinture que je connaissais déjà !
• Regarde ce que nous avons piqué dans les affaires de Caro’ !
• Et alors ? Tu le connais déjà !
• Oui… Mais ce soir, on a envie de l’essayer tous les trois…
Sophie a ajouté :
• J’ai envie de l’essayer ! Je vais me harnacher et pendant que tu me sodomiseras, je baiserai Amélie !
• Ok… je ne voyais pas cela de cette manière, je croyais que vous vouliez baiser ensemble !
• Non, j’ai envie de ta bite dans mon cul !
• Et moi, je ne peux pas baiser avec toi… alors Sophie va me prendre avec la bite factice !
• Ok… çà marche !
Les deux filles ont rapidement ôté leurs soutifs et leur culotte et nues toutes les deux, elles m’ont dépouillé de mes vêtements… Le pull et le t-shirt a enlevé par Amélie pendant que Sophie débouclait mon pantalon et le faisait descendre en même temps que mon boxer… et caressait déjà mes bourses et ma bite…
Nous étions tous les trois à égalité !
S’installant sur mon lit, le dos en appui contre la tête de lit, Sophie m’a dit :
- Je vais d’abord te sucer la bite pendant qu’Amélie me bouffera la chatte… Nous serons bien excités pour ce que nous allons faire…
Ce qui fut fait aussitôt… Ma queue coulissait entre les lèvres fines de Sophie qui l’enduisait copieusement de salive pendant que ma sœur, allongée entre ses jambes lapait le sexe de sa copine comme une affamée !
Cessant sa fellation, Sophie s’est harnachée avec le gode ceinture, entrant la partie courte dans son vagin et la protubérance crantée au contact de son clitoris…
Çà me faisait tout drôle de la voir ainsi…
- Allez… Amélie… Mets-toi en levrette que je te prenne t le cul !
Ma sœur s’est placée comme le voulait sa copine qui l’a embrochée aussitôt, d’abord dans la chatte puis dans son sphincter qui s’est ouvert facilement…
- Oh, la coquine… tu as drôlement assoupli ta rondelle !
- Oouuuiiiii ! Entre Sophie qui me prend avec notre double dong et les garçons qui sont passés par là… et qui y passeront encore, il fallait bien que je m’assouplisse…
- T’es vraiment devenue une belle salope !
- Oui… digne fille à son papa ! Je l’ai vu cet été… il était en train de sauter la mère de Caro’ au bord de la piscine…et je peux te dire qu’elle appréciait ! D’ailleurs…tu n’es pas en reste… Baiser la fille de l’épouse de Papa !
- Il fallait bien que cela arrive… Caro’ était en manque de bite et j’étais en manque de nana à baiser !
- Je ne te fais pas de reproches… Nous nous sommes bien trouvés ! Nous faisons un joyeux trio !
- Mais désormais, nous sommes comme les mousquetaires !
- Bienvenue à Sophie !
Une fois de plus, j’avais devant moi le bassin étroit de Sophie dont les fesses s’écartaient comme pour me montrer le chemin… Entre temps, je m’étais couvert et lentement je me suis introduit dans le sphincter de la belle qui n’attendait que cela !
- Oh ! Ooouuiii ! Vas-y… Encule-moi à fond ! J’aime bien ta bite longue et fine !
- Alors tu vas la sentir au fond de ton cul !
- Oui… mets la bien au fond que je la sente bien !
Elle voulait la sentir… J’allais lui donner ce plaisir… Je suis entré jusqu’au plus profond de sa voie étroite puis je suis ressorti pour la reprendre aussitôt avant que son muscle ne referme l’entrée… J’ai recommencé à plusieurs reprises, collant mon pubis contre ses fesses et projetant Sophie en avant dans le cul de ma sœur qui couinait doucement, prononçant des paroles sans suite où il était question de bien jouir, qu’elle avait envie d’une vraie queue, etc.
Je prenais mon temps… Je sentais la chaleur de la gaine étroite de Sophie au travers de la capote… et je sentais que j’allais jouir !
Ces deux garces m’avaient bien chauffé… et j’étais prêt à cracher mon foutre quand Amélie s’est mise à jouir !
• Allez… les filles… à genoux devant moi que je vous arrose les nichons !
Je me suis dégagé du cul de Sophie, j’ai retiré la capote pendant qu’elles prenaient la pose et d’une main vigoureuse, j’ai activé l’éjaculation inondant leur poitrine de longues giclées…
Elles se sont mises en 69 aussitôt pour se lécher mutuellement… pendant que Sophie me disait :
• Tu bandes encore ! Salaud… Tu n’en as jamais assez ! Alors baise-moi la chatte !
Comment résister à une telle invitation d’autant que la posture m’incitait à la baiser en levrette, ce que j’aime particulièrement !
J’ai retiré le gode ceinture qu’elle portait encore et je me suis glissé entre ses fesses pour investir sa chatte… Oh… quelle était chaude et souple… Dès que j’ai été en elle, je l’ai sentie se mouler sur ma queue, les muscles internes masser le gland…
J’avais à faire avec une bonne baiseuse qui aimait autan les hommes que les femmes…
J’introduisais ma bite lentement jusqu’au plus profonde de sa chatte, j’allais et venais dans cette gaine chaude… Je sentais mon plaisir monter lentement pendant que les deux filles se gougnottaient doucement… De temps à autre, je sentais la bouche d’Amélie frôler mes bourses… mais elle ne s’attardait jamais… préférant la coller contre les lèvres vaginales de Sophie ou titiller le clitoris qui s’offrait à elle ! Elle buvait leur jouissance directement à la source !
• Vas-y… ne te retiens pas… Ta bite dans ma chatte et la langue d’Amélie qui me chatouille… c’est boooooooon !
Je n’avais pas l’intention de me retenir… Je me suis plaqué une dernière fois contre ses petites fesses et j’ai déchargé quelques belles giclées au fond de sa chatte au moment où elle s’éclatait !
Cette nuit là, je l’ai passée comme un bienheureux, une fille de chaque côté de moi…
Caro’ est revenue enchantée de son séjour à Djerba… Les trois mecs et les trois nanas s’étaient bien éclatés lors des soirées dansantes au cours desquelles elles changeaient de partenaire. Elle nous expliquait que les filles réglaient leur portable sur une heure prédéterminée… Cela désignait le danseur avec lequel elles passeraient la nuit. Elle n’avait pas eu de chance car il en manquait un à son tableau de chasse mais elle avait eu une sieste coquine avec l’une des filles !
Les semaines ont passé…
Mon anniversaire approchait… 23 ans…
Les parents nous avaient annoncés que ce soir là, ils iraient au « Ladies club »… où ils avaient rendez vous avec un autre couple. Nous pouvions inviter qui nous voulions à la boum d’anniversaire… Le réfrigérateur serait garni de victuailles et de boissons… Seule condition : Pas de drogue ! D’une manière ou d’une autre, ce n’était pas dans nos habitudes… Comme on dit : un corps sain…
Caro’ avait invité Jérémy, le mec que le mauvais sort avait fait qu’il ne l’avait pas sautée à Djerba… çà tombait bien il avait rompu avec sa nana à leur retour : Elle s’était montrée jalouse et exclusive…
Amélie et Sophie avaient trouvé deux autres étudiants qui depuis quelques temps tentaient de les draguer sans succès. Elles avaient dit qu’ils se prénommaient Armand et Serge et que nous ne nous tromperions pas, car les initiales de leurs prénoms correspondaient à celle des filles…
On ne pouvait faire mieux pour ne pas se tromper.
Alors que je pensais être seul (et surtout n’ayant pas envie d’inviter une lointaine copine ou cousine) les trois filles m’ont dit avoir trouvé une compagne et que j’aurais une surprise le jour de mon anniversaire !
J’ai eu beau les tarabuster, espionner les conversations, rien n’y faisait… Je n’arrivais pas à identifier cette jeune femme…
A chaque fois que je tentais d’obtenir une réponse, le leitmotiv revenait :
• Tu verras bien. Sois patient… Ce ne serait plus une surprise.
Nous serions en comité restreint et à égalité ! Quatre contre quatre… et je sais que Caro’ avait posé les conditions… N’était-ce pas selle l’ainée ?
Le samedi vers 16 heures, nous avons entendu arriver Sophie avec son petit bolide au bruit si caractéristique…Elle n’était pas seule… Armand et Serge l’accompagnaient. Tout sourire, elle s’éclaffa :
• C’était mieux ainsi… Ils n’ont pas eu à chercher votre maison !
• Bon d’accord…
• Entrez ne restez pas dehors… Le vent du nord s’est mis à souffler… On a même du pousser le chauffage, y compris sous l’abri de la piscine… Si çà vous dit !
• Génial… Vous avez pensé à tout !
Chacun a pris ses marques, les légers bagages ont été montés dans les chambres respectives… MAIS, nous attendions encore Jérémy le prétendant de Caro’ qui ne semblait pas inquiète :
• Oh… il a encore du se perdre… même avec un navigateur il est tout à fait capable de passer par Dijon !
• T’es pas cool…
• Non c’est vrai… Lors d’une excursion en Tunisie, il nous a paumés dans le désert… Heureusement le guide savait où on était !
• Allez… entrez vite… les filles, vous conduisez les garçons dans vos chambres qu’ils y déposent leurs affaires et on se retrouve autour de la piscine pour l’apéro… Punch, Sangria et Barbecue!
• Parfait !
En attendant l’arrivé de l’invité de Caro’ et mon « invitée surprise », je jouais le maître de maison…
Quand Amélie, Sophie, Armand et Serge sont revenus au bord de la piscine je leur ai dit :
• Si cela vous dit… l’eau est à 25°… Pour les maillots si vous en voulez, il y en a dans le vestiaire.
Les deux filles se aussitôt récriées :
• Des maillots… mais tu es dingue !
• Personne ne peut nous voir… Alors c’est « À POIL » !
Sur ce, Caro’ a renchéri, tout en gardant à portée de main un paréo pour se couvrir en cas de besoin :
• Je vais d’ailleurs en faire autant !
Même si Armand et Serge se sont fait un peu prier, ils se sont vite retrouvés en tenue d’Adam… J’étais désormais le seul à avoir quelque habit sur le dos… Je devais accueillir les deux personnes manquantes et leur faire garer leurs voitures dans la rue…
Ce qui n’a pas tardé pour celle de Jérémy qui s’est immédiatement mis au diapason ! Waouh quel corps d’athlète… Bronzé de partout… Je ne m’étonnais plus du désarroi de Caro‘… Ce mec était vraiment CANON !
Elle allait pouvoir se rattraper !
Il ne manquait plus que « mon invitée surprise » !
Quand elle est arrivée au volant d’une petite voiture de sport anglaise, j’ai eu la surprise de ma jeune vie…
Lorsqu’elle est descendue en souplesse et avec beaucoup d’élégance, j’ai eu le souffle coupé !
J’avais devant moi une métisse asiatique aux longs cheveux noirs descendant en queue de cheval jusqu’au creux de ses reins… Ses vêtements très ajustés lui faisaient comme une seconde peau. Le pantalon fuseau sortait de bottines fourrées à talons et lui faisait des jambes interminables… Le haut était vêtu d’un pull en gosse laine. Serré à la taille par une chaînette dorée, il ne cachait pas une poitrine ronde et généreuse mais il la soulignait…. Les lèvres étroites étaient fardées d’un rouge vermillon, le nez était légèrement épaté et de grands yeux noirs en amande pétillaient de coquinerie…
Une sacrée belle plante… D’où sortait-elle ? Je ne l’avais jamais croisée à la Fac’…
Je l’ai accueillie comme il se doit, avec beaucoup d’empressement…
Waouh… quelle fille ! Je n’osais la questionner… ce n’est que plus tard que j’ai su comment elle arrivait là…
• Kanajana… mais appelez moi Kan ! Je vois que vous tous en bonne tenue… Je me change où ?
• Dans ma chambre si cela ne te dérange pas ? Tu pourras déposer ton « baise en ville » !
• Tu es mon hôte… et je suis toute à toi !
• Viens, je te montre le chemin…
Pour ne pas gêner Kan’ pendant son déshabillage, je me suis retiré dans le couloir. Quand elle est sortie de ma chambre, la surprise a été aussi complète qu’au moment où elle est descendue de voiture : sa poitrine haut perchée et généreuse avait la forme de demi citron avec une aréole très développée, saillante à la limite et un téton très sorti.
Son nombril était orné d’un petit bijou, en fait une perle oblongue maintenue par une chainette… Ses hanches en amphore étaient sublimes et bien dessinée sous une taille étroite. Son pubis était orné d’une épaisse toison taillée en pointe vers le capuchon du clitoris… C’était TRES érotique !
Quand elle est allée faire connaissance avec les autres membres du groupe j’ai admiré sa démarche souple pensant que cette jeune femme avait du faire de la danse dans sa jeunesse.
Caro’ qui à ce moment-là, était près de moi, m’a demandé :
• N’est-elle pas jolie ?
• Oh si… Je crois que ce soir, c’est elle la plus belle ! Ne sois pas jalouse !
• MOI, jalouse alors que c’est moi qui ai trouvé Kan’ !
• Comment çà ?
• Je la connais depuis quelques mois et nous nous rencontrons de temps à autre dans les clubs libertins !
• Toi. Tu vas dans ces lieux de perdition… Tu aurais 20 ans de plus, je comprendrais… Nos parties de jambes en l’air ne te suffisaient pas ?
• Ce n’était pas la même chose… Avec toi c’était… plus intime. D’ailleurs tu sais que je suis assez exhibitionniste… alors dans les clubs, j’ai tout ce qu’il faut :
o Des mecs qui ne demandent qu’à me sauter…
o Des nanas dont j’ai envie de bouffer la chatte pendant qu’elles se font ramoner la bouche ou le cul… et inversement…
o Et pouvoir m’exhiber en dansant à la barre sous le feu des projecteurs et les regards vicieux des voyeurs des deux sexes.
- Tu m’en diras tant ! C’est là où tu allais quand tu n’étais pas avec nous les weekends ?
- Bien sur… C’est là où j’ai fait connaissance de Kan’. Nous avions dansé ensemble autour de la perche et les caresses échangées discrètement nous avaient tellement bien échauffées les sens que, sans même passer à la douche, nous nous sommes retrouvés dans une alcôve où nous avons fait l’amour avec beaucoup de tendresse.
- Viens dans la piscine… allons retrouver « TA FIANCEE » ! Je savais que tu fantasmais sur les asiatiques… Je pense que tu es content !
- Oh… Oui… et quelle belle femme !
Tout le monde était désormais dans la piscine… Caro’ jouant parfaitement son rôle de maitresse de maison m’a d’abord accompagné près de Kan’… elles se sont embrassées tendrement et m’étant approché d’elles, elles ont pris mon sexe en main pour le masturber doucement entre deux eaux.
- Tu vas voir… ce n’est pas parce qu’il est jeune… je pense que c’est un non amant !
- Tu y as goûté ?
- Bien sûr… je n’allais pas m’en priver, une bite vigoureuse dans une chambre voisine ! C’est bien meilleur qu’un gode !
- Tu as raison !
- Bon, je vous laisse en bonne compagnie, il y a d’autres hôtes !
Pendant que Caro’ faisait le tour des autres invités, j’ai fait une connaissance tactile plus approfondie de Kan’
Waouh… Quelle femme ! En masturbant ma bite tout en m’embrassant, elle semblait en prendre la mesure… mais ce n’était pas le moment de continuer d’autant que Caro’ battait le rappel : Le barbecue était à point.
Tout en prenant l’apéro (qui a bien vite délié les langues) nous bavardions comme si nous nous connaissions depuis toujours… Des plaisanteries un peu lestes on commencé à fuser, les filles comparant le dessin de leur fourrure (ou l’absence) intime alors que les garçons se racontaient des histoires de mecs dont d’autres filles étaient le sujet principal.
Jérémy était bien sur le centre d’intérêt…
Âgé de 28 ans, c’était l’ainé de la soirée… Il était prof’ de sports dan un lycée bien connu de la région et ne cachait pas que souvent il recevait des invitations non équivoques de certaines élèves… Trop dangereux disait-il ! Et je le comprends… Il regrettait de n’avoir pas baisé Caro’ pendant le séjour à Djerba mais il comptait bien se rattraper cette nuit.
• Oh… N’en doute pas… Caro’ me semble très en forme ce soir !
Le repas s’est poursuivi, chacun flirtant avec sa chacune…
Je n’avais d’yeux que pour Kan’ qui me chambrait doucement :
• Alors coquin… comme çà, tu rêvais de baiser une asiatique !
• Oh oui, c’était un rêve dont j’avait parlé à Caro’ après l’avoir baisée à l’automne dernier !
• Bon… maintenant tu vas me montrer ce qu’un jeune coq comme toi sait faire pour m’envoyer en l’air… Vu le lieu où j’ai rencontré Caro’, tu dois te doute qu’il ne faut pas m’en promettre !
• Je vais tâcher d’être à la hauteur… Viens… il y a un matelas de plage derrière le bosquet… On y sera bien pour commencer !
Je n’avais guère besoin d’être mis en forme… dès que nous avons été à l’abri des regards indiscrets, Kan’ s’est allongée sur le matelas et m’a tendu les bras en disant :
• Tu peux y aller fort et sans capote ! Ce sera bien meilleur pour nous deux !
• Vois comme tu me fais bander !
• … … … …
• Alors ouvre tes cuisses. Tu dois avoir absorbé des bites plus grosses mais la mienne n’est pas une fainéante !
• PROUVE-LE !
Je me suis introduit entre les cuisses de la belle Kan’ et dès que j’ai été bien au fond de sa chatte, je me suis relevé et je l’ai prise sous les genoux pour la baiser…
• Oh oui… Comme çà… C’est bon… Je te sens bien… Bais moi !
Il ne me fallait pas d’encouragements… Cette fille me rendait dingue… Elle avait un corps d’une souplesse telle qu’il suivait toutes mes fantaisies… Je suis même arrivé à la retourner pour la baiser en levrette sans sortir de sa chatte !
Mon pubis venait frapper contre ses fesses… et c’est à ce moment là que j’ai découvert qu’elle portait un plug dans son anneau plissé…
Waouh… je ne me suis pas privé de la faire aller et venir pendant que mon sexe coulissait de plus en plus rapidement dans le sien… avant que la jouissance nous emporte tous les deux simultanément !
Nous nous sommes désunis et en traversant la pelouse pour gagner ma chambre nous avons pu voir que tout le monde copulait allégrement autour de la piscine…
Bien évidemment, nous avons remis le couvert dans ma chambre jusqu’à ce que je n’en puisse plus… Kan’ m’avait littéralement asséché les burnes… mais j’étais heureux… Pour mon anniversaire, j’avais assouv
Quelle séance mémorable lors de la trêve des confiseurs avec Sophie, la copine de ma sœur Amélie !
Au gré des bavardages au cours des soirées et devant nos parents, ce soir là, nous avions découvert que les deux filles étaient totalement bisexuelles… Si actuellement elles entretenaient une liaison saphique, elles avouaient sans honte pouvoir passer des bras de l’une à ceux d’un garçon sans aucune arrière pensée. Il s’agissait de prendre du plaisir et d’en donner !
J’avais eu le plaisir de baiser Sophie dans mon lit pendant qu’Amélie montrait ses progrès de lesbienne à Caro’, la fille de notre belle-mère.
Cela m’avait complètement changé de faire l’amour avec Sophie…
Depuis la fin de l’été, je baisais Caro’ chaque fois que nous pouvions être seuls… Elle avait fait tomber tous mes scrupules en disant :
- qu’entre nous il n’y avait pas de liens du sang…
- que nous pouvions baiser ensemble si cela nous faisait envie…
- qu’elle avait envie d’une queue mais pas envie d’en chercher une nouvelle…
- que nous étions libres de baiser ailleurs si cela nous prenait…
- que je n’avais pas l’exclusivité…
Contrairement à Caro’ qui a des formes quelque peu généreuses de latine, Sophie est plutôt du style « brindille », mesurant un bon mètre soixante dix, elle a une silhouette longiligne avec son petit cul aux fesses de garçon, sa taille étroite et une quasi absence de seins. Son visage, constellé de quelques éphélides et illuminé par des grands yeux gris, est mince encadré de longs cheveux qui tombent sur ses épaules.
Comme la relation saphique entre Amélie et Sophie était devenue officielle aux yeux de nos parents, désormais Sophie revenait à la maison les weekends et s’était « installée » dans la chambre de ma sœur ! Il y avait de la place… Nos chambres étaient immenses, meublées d’un lit de 160cm qui occupait une bonne partie de la superficie, il y avait de la place pour mettre notre « coin travail avec ordinateur » et un ou deux profonds fauteuils club ! Le seul HIC dans cette disposition…. C’est qu’il fallait passer par le couloir pour aller d’une chambre à l’autre.
Cela ne posait aucun problème… Nous étions tous (y compris les parents…) sexuellement libérés.
Un certain rituel s’était établi… Le vendredi soir, les deux filles passaient la nuit ensemble pendant que je baisais Caro’ si elle était présente et le samedi soir, les rôles s’inversaient, Caro’ rejoignait ma sœur et Sophie me retrouvait dans la mienne…
Les vacances de février ont amené quelques modifications à cette situation…
Caro’ s’était laissé convaincre de partir à Djerba avec un groupe de copains et copines de la Fac’… Il y aurait trois couples… qu’elle m’avait dits être libertins… Elle serait en bonne compagnie !
Amélie et Sophie passaient les vacances à la maison, c’était la saison propice pour faire du ski de fond dans la région… Nous en avons profité tous les trois, parfois avec les parents…
Les soirées au coin du feu étaient bien agréables après les fatigues de la sortie au grand air au milieu des grands sapins du Jura… mais elles ne duraient guère. Les plus jeunes regagnaient leurs chambres pendant que les parents devisaient encore un peu…ou même baisaient devant l’âtre !
Quelle n’a pas été ma surprise un de ces soirs de voir arriver Amélie et Sophie dans ma chambre… Elles étaient moitié nues et en rigolant elles m’ont montré un gode ceinture que je connaissais déjà !
• Regarde ce que nous avons piqué dans les affaires de Caro’ !
• Et alors ? Tu le connais déjà !
• Oui… Mais ce soir, on a envie de l’essayer tous les trois…
Sophie a ajouté :
• J’ai envie de l’essayer ! Je vais me harnacher et pendant que tu me sodomiseras, je baiserai Amélie !
• Ok… je ne voyais pas cela de cette manière, je croyais que vous vouliez baiser ensemble !
• Non, j’ai envie de ta bite dans mon cul !
• Et moi, je ne peux pas baiser avec toi… alors Sophie va me prendre avec la bite factice !
• Ok… çà marche !
Les deux filles ont rapidement ôté leurs soutifs et leur culotte et nues toutes les deux, elles m’ont dépouillé de mes vêtements… Le pull et le t-shirt a enlevé par Amélie pendant que Sophie débouclait mon pantalon et le faisait descendre en même temps que mon boxer… et caressait déjà mes bourses et ma bite…
Nous étions tous les trois à égalité !
S’installant sur mon lit, le dos en appui contre la tête de lit, Sophie m’a dit :
- Je vais d’abord te sucer la bite pendant qu’Amélie me bouffera la chatte… Nous serons bien excités pour ce que nous allons faire…
Ce qui fut fait aussitôt… Ma queue coulissait entre les lèvres fines de Sophie qui l’enduisait copieusement de salive pendant que ma sœur, allongée entre ses jambes lapait le sexe de sa copine comme une affamée !
Cessant sa fellation, Sophie s’est harnachée avec le gode ceinture, entrant la partie courte dans son vagin et la protubérance crantée au contact de son clitoris…
Çà me faisait tout drôle de la voir ainsi…
- Allez… Amélie… Mets-toi en levrette que je te prenne t le cul !
Ma sœur s’est placée comme le voulait sa copine qui l’a embrochée aussitôt, d’abord dans la chatte puis dans son sphincter qui s’est ouvert facilement…
- Oh, la coquine… tu as drôlement assoupli ta rondelle !
- Oouuuiiiii ! Entre Sophie qui me prend avec notre double dong et les garçons qui sont passés par là… et qui y passeront encore, il fallait bien que je m’assouplisse…
- T’es vraiment devenue une belle salope !
- Oui… digne fille à son papa ! Je l’ai vu cet été… il était en train de sauter la mère de Caro’ au bord de la piscine…et je peux te dire qu’elle appréciait ! D’ailleurs…tu n’es pas en reste… Baiser la fille de l’épouse de Papa !
- Il fallait bien que cela arrive… Caro’ était en manque de bite et j’étais en manque de nana à baiser !
- Je ne te fais pas de reproches… Nous nous sommes bien trouvés ! Nous faisons un joyeux trio !
- Mais désormais, nous sommes comme les mousquetaires !
- Bienvenue à Sophie !
Une fois de plus, j’avais devant moi le bassin étroit de Sophie dont les fesses s’écartaient comme pour me montrer le chemin… Entre temps, je m’étais couvert et lentement je me suis introduit dans le sphincter de la belle qui n’attendait que cela !
- Oh ! Ooouuiii ! Vas-y… Encule-moi à fond ! J’aime bien ta bite longue et fine !
- Alors tu vas la sentir au fond de ton cul !
- Oui… mets la bien au fond que je la sente bien !
Elle voulait la sentir… J’allais lui donner ce plaisir… Je suis entré jusqu’au plus profond de sa voie étroite puis je suis ressorti pour la reprendre aussitôt avant que son muscle ne referme l’entrée… J’ai recommencé à plusieurs reprises, collant mon pubis contre ses fesses et projetant Sophie en avant dans le cul de ma sœur qui couinait doucement, prononçant des paroles sans suite où il était question de bien jouir, qu’elle avait envie d’une vraie queue, etc.
Je prenais mon temps… Je sentais la chaleur de la gaine étroite de Sophie au travers de la capote… et je sentais que j’allais jouir !
Ces deux garces m’avaient bien chauffé… et j’étais prêt à cracher mon foutre quand Amélie s’est mise à jouir !
• Allez… les filles… à genoux devant moi que je vous arrose les nichons !
Je me suis dégagé du cul de Sophie, j’ai retiré la capote pendant qu’elles prenaient la pose et d’une main vigoureuse, j’ai activé l’éjaculation inondant leur poitrine de longues giclées…
Elles se sont mises en 69 aussitôt pour se lécher mutuellement… pendant que Sophie me disait :
• Tu bandes encore ! Salaud… Tu n’en as jamais assez ! Alors baise-moi la chatte !
Comment résister à une telle invitation d’autant que la posture m’incitait à la baiser en levrette, ce que j’aime particulièrement !
J’ai retiré le gode ceinture qu’elle portait encore et je me suis glissé entre ses fesses pour investir sa chatte… Oh… quelle était chaude et souple… Dès que j’ai été en elle, je l’ai sentie se mouler sur ma queue, les muscles internes masser le gland…
J’avais à faire avec une bonne baiseuse qui aimait autan les hommes que les femmes…
J’introduisais ma bite lentement jusqu’au plus profonde de sa chatte, j’allais et venais dans cette gaine chaude… Je sentais mon plaisir monter lentement pendant que les deux filles se gougnottaient doucement… De temps à autre, je sentais la bouche d’Amélie frôler mes bourses… mais elle ne s’attardait jamais… préférant la coller contre les lèvres vaginales de Sophie ou titiller le clitoris qui s’offrait à elle ! Elle buvait leur jouissance directement à la source !
• Vas-y… ne te retiens pas… Ta bite dans ma chatte et la langue d’Amélie qui me chatouille… c’est boooooooon !
Je n’avais pas l’intention de me retenir… Je me suis plaqué une dernière fois contre ses petites fesses et j’ai déchargé quelques belles giclées au fond de sa chatte au moment où elle s’éclatait !
Cette nuit là, je l’ai passée comme un bienheureux, une fille de chaque côté de moi…
Caro’ est revenue enchantée de son séjour à Djerba… Les trois mecs et les trois nanas s’étaient bien éclatés lors des soirées dansantes au cours desquelles elles changeaient de partenaire. Elle nous expliquait que les filles réglaient leur portable sur une heure prédéterminée… Cela désignait le danseur avec lequel elles passeraient la nuit. Elle n’avait pas eu de chance car il en manquait un à son tableau de chasse mais elle avait eu une sieste coquine avec l’une des filles !
Les semaines ont passé…
Mon anniversaire approchait… 23 ans…
Les parents nous avaient annoncés que ce soir là, ils iraient au « Ladies club »… où ils avaient rendez vous avec un autre couple. Nous pouvions inviter qui nous voulions à la boum d’anniversaire… Le réfrigérateur serait garni de victuailles et de boissons… Seule condition : Pas de drogue ! D’une manière ou d’une autre, ce n’était pas dans nos habitudes… Comme on dit : un corps sain…
Caro’ avait invité Jérémy, le mec que le mauvais sort avait fait qu’il ne l’avait pas sautée à Djerba… çà tombait bien il avait rompu avec sa nana à leur retour : Elle s’était montrée jalouse et exclusive…
Amélie et Sophie avaient trouvé deux autres étudiants qui depuis quelques temps tentaient de les draguer sans succès. Elles avaient dit qu’ils se prénommaient Armand et Serge et que nous ne nous tromperions pas, car les initiales de leurs prénoms correspondaient à celle des filles…
On ne pouvait faire mieux pour ne pas se tromper.
Alors que je pensais être seul (et surtout n’ayant pas envie d’inviter une lointaine copine ou cousine) les trois filles m’ont dit avoir trouvé une compagne et que j’aurais une surprise le jour de mon anniversaire !
J’ai eu beau les tarabuster, espionner les conversations, rien n’y faisait… Je n’arrivais pas à identifier cette jeune femme…
A chaque fois que je tentais d’obtenir une réponse, le leitmotiv revenait :
• Tu verras bien. Sois patient… Ce ne serait plus une surprise.
Nous serions en comité restreint et à égalité ! Quatre contre quatre… et je sais que Caro’ avait posé les conditions… N’était-ce pas selle l’ainée ?
Le samedi vers 16 heures, nous avons entendu arriver Sophie avec son petit bolide au bruit si caractéristique…Elle n’était pas seule… Armand et Serge l’accompagnaient. Tout sourire, elle s’éclaffa :
• C’était mieux ainsi… Ils n’ont pas eu à chercher votre maison !
• Bon d’accord…
• Entrez ne restez pas dehors… Le vent du nord s’est mis à souffler… On a même du pousser le chauffage, y compris sous l’abri de la piscine… Si çà vous dit !
• Génial… Vous avez pensé à tout !
Chacun a pris ses marques, les légers bagages ont été montés dans les chambres respectives… MAIS, nous attendions encore Jérémy le prétendant de Caro’ qui ne semblait pas inquiète :
• Oh… il a encore du se perdre… même avec un navigateur il est tout à fait capable de passer par Dijon !
• T’es pas cool…
• Non c’est vrai… Lors d’une excursion en Tunisie, il nous a paumés dans le désert… Heureusement le guide savait où on était !
• Allez… entrez vite… les filles, vous conduisez les garçons dans vos chambres qu’ils y déposent leurs affaires et on se retrouve autour de la piscine pour l’apéro… Punch, Sangria et Barbecue!
• Parfait !
En attendant l’arrivé de l’invité de Caro’ et mon « invitée surprise », je jouais le maître de maison…
Quand Amélie, Sophie, Armand et Serge sont revenus au bord de la piscine je leur ai dit :
• Si cela vous dit… l’eau est à 25°… Pour les maillots si vous en voulez, il y en a dans le vestiaire.
Les deux filles se aussitôt récriées :
• Des maillots… mais tu es dingue !
• Personne ne peut nous voir… Alors c’est « À POIL » !
Sur ce, Caro’ a renchéri, tout en gardant à portée de main un paréo pour se couvrir en cas de besoin :
• Je vais d’ailleurs en faire autant !
Même si Armand et Serge se sont fait un peu prier, ils se sont vite retrouvés en tenue d’Adam… J’étais désormais le seul à avoir quelque habit sur le dos… Je devais accueillir les deux personnes manquantes et leur faire garer leurs voitures dans la rue…
Ce qui n’a pas tardé pour celle de Jérémy qui s’est immédiatement mis au diapason ! Waouh quel corps d’athlète… Bronzé de partout… Je ne m’étonnais plus du désarroi de Caro‘… Ce mec était vraiment CANON !
Elle allait pouvoir se rattraper !
Il ne manquait plus que « mon invitée surprise » !
Quand elle est arrivée au volant d’une petite voiture de sport anglaise, j’ai eu la surprise de ma jeune vie…
Lorsqu’elle est descendue en souplesse et avec beaucoup d’élégance, j’ai eu le souffle coupé !
J’avais devant moi une métisse asiatique aux longs cheveux noirs descendant en queue de cheval jusqu’au creux de ses reins… Ses vêtements très ajustés lui faisaient comme une seconde peau. Le pantalon fuseau sortait de bottines fourrées à talons et lui faisait des jambes interminables… Le haut était vêtu d’un pull en gosse laine. Serré à la taille par une chaînette dorée, il ne cachait pas une poitrine ronde et généreuse mais il la soulignait…. Les lèvres étroites étaient fardées d’un rouge vermillon, le nez était légèrement épaté et de grands yeux noirs en amande pétillaient de coquinerie…
Une sacrée belle plante… D’où sortait-elle ? Je ne l’avais jamais croisée à la Fac’…
Je l’ai accueillie comme il se doit, avec beaucoup d’empressement…
Waouh… quelle fille ! Je n’osais la questionner… ce n’est que plus tard que j’ai su comment elle arrivait là…
• Kanajana… mais appelez moi Kan ! Je vois que vous tous en bonne tenue… Je me change où ?
• Dans ma chambre si cela ne te dérange pas ? Tu pourras déposer ton « baise en ville » !
• Tu es mon hôte… et je suis toute à toi !
• Viens, je te montre le chemin…
Pour ne pas gêner Kan’ pendant son déshabillage, je me suis retiré dans le couloir. Quand elle est sortie de ma chambre, la surprise a été aussi complète qu’au moment où elle est descendue de voiture : sa poitrine haut perchée et généreuse avait la forme de demi citron avec une aréole très développée, saillante à la limite et un téton très sorti.
Son nombril était orné d’un petit bijou, en fait une perle oblongue maintenue par une chainette… Ses hanches en amphore étaient sublimes et bien dessinée sous une taille étroite. Son pubis était orné d’une épaisse toison taillée en pointe vers le capuchon du clitoris… C’était TRES érotique !
Quand elle est allée faire connaissance avec les autres membres du groupe j’ai admiré sa démarche souple pensant que cette jeune femme avait du faire de la danse dans sa jeunesse.
Caro’ qui à ce moment-là, était près de moi, m’a demandé :
• N’est-elle pas jolie ?
• Oh si… Je crois que ce soir, c’est elle la plus belle ! Ne sois pas jalouse !
• MOI, jalouse alors que c’est moi qui ai trouvé Kan’ !
• Comment çà ?
• Je la connais depuis quelques mois et nous nous rencontrons de temps à autre dans les clubs libertins !
• Toi. Tu vas dans ces lieux de perdition… Tu aurais 20 ans de plus, je comprendrais… Nos parties de jambes en l’air ne te suffisaient pas ?
• Ce n’était pas la même chose… Avec toi c’était… plus intime. D’ailleurs tu sais que je suis assez exhibitionniste… alors dans les clubs, j’ai tout ce qu’il faut :
o Des mecs qui ne demandent qu’à me sauter…
o Des nanas dont j’ai envie de bouffer la chatte pendant qu’elles se font ramoner la bouche ou le cul… et inversement…
o Et pouvoir m’exhiber en dansant à la barre sous le feu des projecteurs et les regards vicieux des voyeurs des deux sexes.
- Tu m’en diras tant ! C’est là où tu allais quand tu n’étais pas avec nous les weekends ?
- Bien sur… C’est là où j’ai fait connaissance de Kan’. Nous avions dansé ensemble autour de la perche et les caresses échangées discrètement nous avaient tellement bien échauffées les sens que, sans même passer à la douche, nous nous sommes retrouvés dans une alcôve où nous avons fait l’amour avec beaucoup de tendresse.
- Viens dans la piscine… allons retrouver « TA FIANCEE » ! Je savais que tu fantasmais sur les asiatiques… Je pense que tu es content !
- Oh… Oui… et quelle belle femme !
Tout le monde était désormais dans la piscine… Caro’ jouant parfaitement son rôle de maitresse de maison m’a d’abord accompagné près de Kan’… elles se sont embrassées tendrement et m’étant approché d’elles, elles ont pris mon sexe en main pour le masturber doucement entre deux eaux.
- Tu vas voir… ce n’est pas parce qu’il est jeune… je pense que c’est un non amant !
- Tu y as goûté ?
- Bien sûr… je n’allais pas m’en priver, une bite vigoureuse dans une chambre voisine ! C’est bien meilleur qu’un gode !
- Tu as raison !
- Bon, je vous laisse en bonne compagnie, il y a d’autres hôtes !
Pendant que Caro’ faisait le tour des autres invités, j’ai fait une connaissance tactile plus approfondie de Kan’
Waouh… Quelle femme ! En masturbant ma bite tout en m’embrassant, elle semblait en prendre la mesure… mais ce n’était pas le moment de continuer d’autant que Caro’ battait le rappel : Le barbecue était à point.
Tout en prenant l’apéro (qui a bien vite délié les langues) nous bavardions comme si nous nous connaissions depuis toujours… Des plaisanteries un peu lestes on commencé à fuser, les filles comparant le dessin de leur fourrure (ou l’absence) intime alors que les garçons se racontaient des histoires de mecs dont d’autres filles étaient le sujet principal.
Jérémy était bien sur le centre d’intérêt…
Âgé de 28 ans, c’était l’ainé de la soirée… Il était prof’ de sports dan un lycée bien connu de la région et ne cachait pas que souvent il recevait des invitations non équivoques de certaines élèves… Trop dangereux disait-il ! Et je le comprends… Il regrettait de n’avoir pas baisé Caro’ pendant le séjour à Djerba mais il comptait bien se rattraper cette nuit.
• Oh… N’en doute pas… Caro’ me semble très en forme ce soir !
Le repas s’est poursuivi, chacun flirtant avec sa chacune…
Je n’avais d’yeux que pour Kan’ qui me chambrait doucement :
• Alors coquin… comme çà, tu rêvais de baiser une asiatique !
• Oh oui, c’était un rêve dont j’avait parlé à Caro’ après l’avoir baisée à l’automne dernier !
• Bon… maintenant tu vas me montrer ce qu’un jeune coq comme toi sait faire pour m’envoyer en l’air… Vu le lieu où j’ai rencontré Caro’, tu dois te doute qu’il ne faut pas m’en promettre !
• Je vais tâcher d’être à la hauteur… Viens… il y a un matelas de plage derrière le bosquet… On y sera bien pour commencer !
Je n’avais guère besoin d’être mis en forme… dès que nous avons été à l’abri des regards indiscrets, Kan’ s’est allongée sur le matelas et m’a tendu les bras en disant :
• Tu peux y aller fort et sans capote ! Ce sera bien meilleur pour nous deux !
• Vois comme tu me fais bander !
• … … … …
• Alors ouvre tes cuisses. Tu dois avoir absorbé des bites plus grosses mais la mienne n’est pas une fainéante !
• PROUVE-LE !
Je me suis introduit entre les cuisses de la belle Kan’ et dès que j’ai été bien au fond de sa chatte, je me suis relevé et je l’ai prise sous les genoux pour la baiser…
• Oh oui… Comme çà… C’est bon… Je te sens bien… Bais moi !
Il ne me fallait pas d’encouragements… Cette fille me rendait dingue… Elle avait un corps d’une souplesse telle qu’il suivait toutes mes fantaisies… Je suis même arrivé à la retourner pour la baiser en levrette sans sortir de sa chatte !
Mon pubis venait frapper contre ses fesses… et c’est à ce moment là que j’ai découvert qu’elle portait un plug dans son anneau plissé…
Waouh… je ne me suis pas privé de la faire aller et venir pendant que mon sexe coulissait de plus en plus rapidement dans le sien… avant que la jouissance nous emporte tous les deux simultanément !
Nous nous sommes désunis et en traversant la pelouse pour gagner ma chambre nous avons pu voir que tout le monde copulait allégrement autour de la piscine…
Bien évidemment, nous avons remis le couvert dans ma chambre jusqu’à ce que je n’en puisse plus… Kan’ m’avait littéralement asséché les burnes… mais j’étais heureux… Pour mon anniversaire, j’avais assouv
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