Titre de l'histoire érotique : Trois complices - la suite.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Trois complices - la suite.
Pendant les vacances estivales, Amélie a découvert ce qu’elle attendait : un garçon un peu plus âgé qu’elle qui a achevé son éducation sexuelle… (Mais dans ce domaine, en sait-on toujours assez ???).
Elle nous a avoué qu’elle avait appris à faire une fellation, qu’ensuite, elle avait fait plusieurs 6 9… Bref, elle avait baisé tous les jours à l‘abri des regards dans la pinède… et l’avant-veille de notre retour à la maison, elle avait carrément découché !
Mais elle avait aussi rencontré une fille un peu plus délurée qu’elle avec laquelle elle avait eu quelques échanges saphiques au creux des rochers…
De mon côté, ces vacances ont été un enchantement…
Si l’an passé aux vacances de printemps, une jeune sœur de ma mère avait fait mon éducation sexuelle, j’avais rencontré une femme d’environ 40 ans (je l’ai su un peu plus tard…) dont le mari avait du la laisser seule car un incident dans son usine demandait sa présence.
Seule sur la plage Sandra semblait s’ennuyer… si bien que nos parents l’ont invitée un soir à prendre l’apéritif et à diner avec nous autour d’un barbecue.
Les bavardages allaient bon train autour de la table… et lorsque vers minuit, nous nous sommes rendu compte de l’heure, Sandra s’est levée en demandant si je pouvais la raccompagner car elle se sentait un peu saoule, qu’elle avait peur de traverser la pinède la nuit car les chemins étaient pleins de racines…
J’étais d’accord… je n’en n’aurais pas pour plus d’une dizaine de minutes…
En fait, ce n’est qu’au petit jour que très discrètement, j’ai regagné mon lit…
Sandra devait être en manque car nous avions baisé à trois reprises… Heureusement… j’étais jeune et plein de ressources… mais quel appétit !
Jusqu’à la fin des vacances, j’ai passé toutes les nuits en sa compagnie… Il ne fallait pas lui en promettre… Je m’esquivais discrètement et au petit jour je regagnais ma chambre… tout aussi discrètement !
Elle disait que son mari ne lui avait jamais suffi, qu’heureusement elle avait une belle collection de godes pour se satisfaire mais qu’avoir un amant infatigable comme moi, ce serait l’idéal quand elle serait rentrée chez elle…
Quelques mois ont passé.
Les études à l’université de la ville voisine ont repris…
Désormais nous sommes trois à fréquenter la Fac’ puisque ma sœur nous a rejoints à la rentrée. Elle s’est installée avec nous dans le grand appartement loué par nos parents à proximité immédiate de la Fac’
Nous disposons chacun d’une chambre et nous partageons les espaces communs…et nous retrouvons nos pénates habituels au cours du weekend.
Caroline traine toujours derrière une petite bande de garçons et de filles… qu’elle appelle « SA COUR ». Je sais que parmi les garçons, il y a son petit ami du moment mais celui-ci ne me plait guère… C’est le genre bellâtre pour qui les filles ne sont que des nouveaux prénoms à ajouter à son tableau de chasse… mais cela ne semble pas déranger Caro’ pour l’instant.
Après un mois d’août sexuellement bien rempli, je suis quelque peu en manque… la masturbation, c’est bien beau, mais la sensation de faire vibrer une femme entre mes bras me manque…
J’ai bien eu quelques échanges de messages très très chauds avec Sandra, mais il ne m’est pas possible de la rejoindre… Son homme est là tous les weekends et moi, ce sont les seuls jours où je pourrais la rejoindre dans le Nord de la France ! Et çà fait des kilomètres…
Un soir alors que nous sommes seuls à la maison, Caro’ entre en coup de vent dans ma chambre, les yeux pleins de larmes au moment où le boxer à mi cuisse, je commence une séance de solitaire après avoir t’chatté avec Sandra. Je m’interromps aussitôt.
• Que se passe-t’il ? Je ne t’ai jamais vue dans cet état !
• C’est mon copain… Je l’ai surpris dans sa chambre à la Cité U avec une autre fille… et il m’a jetée en disant qu’il s’était bien amusé avec moi… qu’il était temps de passer à autre chose !
• Je m’en doutais… Je n’ai jamais pu sentir ce mec !
• Mais dis donc… Tu es en manque ?
• Oui… un peu… Sandra m’a bien chauffé et je n’ai que cela pour faire baisser la pression !
• Je pense qu’on peut s’arranger !
• Je veux bien… mais comment ?
• Viens… achevons de nous déshabiller et mettons-nous sur le lit…Tu vas voir…
Mon boxer a été vite enlevé pendant que Caro’ ôtait également ses vêtements… Jean, basket, Tee-shirt et soutif se sont éparpillés sur le sol.
• Dis donc… c’est la brousse chez toi !
• Comment çà ?
• Un homme doit avoir peu ou pas de poils au pubis… c’est plus sympa pour la femme qui te mange le sexe !
• Tu crois ?
• J’en suis sure… Tu dois bien te douter que j’en ai sucé plus d’un et il n’y a rien de plus désagréable que de sentir les poils chatouiller ton nez ! Regarde…moi je n’ai plus qu’une mince ligne de poils… et j’aime autant te dire que les filles ou les garçons trouvent cela très bien !
• Effectivement… c’est très… érotique !
• Passons dans le cabinet de toilette, je vais m’occuper de ta « brousse » !
C’est ainsi que Caro’ m’a rasé presque complètement le pubis, ne laissant qu’une petite touffe courte à la racine de mon sexe…
Cette séance de rasage effectuée en douceur ne m’avait pas laissé de marbre… J’avais le sexe dressé contre mon ventre et les couilles douloureuses tant elles étaient pleines.
Avec Caro’ nous sommes repassés dans ma chambre et nous nous sommes mis sur le lit en 69…
Il m’était arrivé au début de vacances de sodomiser Caro’ pendant une chaude séance au cours de laquelle Amélie, ma petite sœur, avait étrenné le gode ceinture que Caro’ venait de s’acheter, jamais encore nous nous étions livrés ainsi à des caresses très sensuelles. Elle avait juste montré à Amélie comment on faisait une fellation !
Le sexe de Caro’ avait une senteur musquée… La douche du matin était déjà loin… mais ce n’était pas désagréable… J’ai immédiatement dardé ma langue entre ses lèvres pour aller débusquer son bourgeon sensible qui n’a pas tardé à se dresser… Pendant ce temps, Caro’ avait avalé ma bite jusqu’au plus profond de sa gorge et avait commencé à me sucer… Waouh… que c’était bon… Bien meilleur que la branlette que je l’apprêtais à faire !
Sa bouche allait et venait le long de ma tige, je sentais sa langue titiller le méat lorsque me bite était sortie et une main me caressait les bourses…
En moi-même, je pensais qui si Caro’ avait un tel talent de suceuse, ce n’était guère étonnant qu’elle ait autant de succès auprès des mecs…
Je me laissais aller jusqu’à ce qu’elle me rappelle que je devais aussi m’occuper d’elle et de sa chatte !
Ma langue a de nouveau fouillé entre ses lèvres puis je l’ai introduite au plus profond de son vagin, la bouche complètement appuyée sur son entre jambes… Caro’ agitait son bassin de plus en plus pendant que sa bouche allait et venait sur ma queue… J’étais au bord de l’explosion…
• Attention Caro’ je vais venir !
• Retiens-toi encore un peu et continue comme çà, je sens que çà viens aussi !
Après cela elle a replongé mon sexe dans sa bouche et a attendu que sa jouissance arrive pour faire quelques allers-retours pour que je décharge mon foutre dans sa gorge !
C’était du délire !
Quelques temps après, Caro’ m’a dit qu’elle n’avait pas envie de passer la nuit seule dans son lit… que si je voulais bien lui faire une petite place…
J’acceptai aussitôt… Nus tous les deux nous nous sommes glissés sous les draps et Caro’ s’est lovée contre moi, ses fesses appuyées contre mon pubis…
Lorsque je me suis éveillé, comme presque tous les matins, je bandais ferme et de lui-même mon sexe s’était logé entre les fesses de Caro’ qui semblait encore endormie.
Mais NON ! Cette coquine ne dormait plus non plus… Elle a fait quelque mouvements du bassin et ma bite est allée plus loin dans son entre jambe…
• Prends-moi ! Baise ma chatte !
Comment résister à une telle invitation… Après tout je n’avais pas de lien de parenté avec Caro’ et faisant fi de tous mes scrupules, je me suis enfoncé dans sa chatte puis, d’elle-même elle a entrepris les mouvements pour me faire aller et venir dans son sexe.
Pour mieux l’étreindre, j’ai saisi dans ma main un de ses seins opulents et j’ai pincé le téton entre mes doigts…
Humm… Déjà bien dardé… Excitée de se faire baiser dès le réveil la belle Caro’ ?
• Oh… Oui… Baise-moi bien… Lâche-toi dans ma chatte… Pour une fois, je peux me faire baiser sans capote !
• Oui… T’as raison… c’est bien meilleur !
Nous faisons monter notre plaisir lentement…
Nous prenons notre temps… Nous sommes seuls dans la grande maison, personne pour nous déranger…
Les parents sont en virée sexuelle et Amélie est restée en ville avec une copine avec laquelle elle a une liaison…
Caro’ fait rouler ses fesses contre mon pubis… elle ouvre sa raie d’une main pour que j’aille au plus profond possible…Que c’est bon…
Soudain Caro’ se met à jouir et aussitôt, je la rejoints en crachant quelques belles giclées au fond de son vagin…
Nous nous sommes rendormis, ivres de plaisir… et suivant les habitudes de la famille, nous avons passé le weekend à poil dans la maison… heureusement bien chauffée !
Nous ne voulions pas partager notre secret aussi, nous n’avons pas raconté notre weekend à Amélie lorsque nous l’avons retrouvée le dimanche soir !
Les mois ont passé…
Chaque fois que nous sommes seuls à la maison, je fais l’amour à Caro’ qui n’a pas cherché de nouveau petit ami…
C’est vraiment une gourmande de sexe… Chaque fois, nous nous envoyons en l’air au moins à trois reprises… et les weekends sont éreintants… mais si bons…
Ce que j’aime le plus, en dehors le levrette, c’est quand Caro’ me chevauche…
Face à moi, je peux caresser ses seins, faire saillir les tétons, passer les mains sur ses hanche et descendre jusqu’à son pubis pour tenter d’atteindre son clitoris…
Quand elle me tourne le dos, les mains en appui sur mes genoux, je vois ses fesses qui s’écrasent sur mon pubis, sa raie s’ouvre et je vois son sphincter qui palpite comme s’il me disait : Viens, je t’attends ! Ce qui est arrivé plus d’une fois…
Pendant la trêve des confiseurs, Sophie, la copine d’Amélie est venue passer plusieurs jours à la maison.
Les deux filles qui n’arrêtaient pas de s’embrasser, même devant les parents, se sont fait doucement mettre en boîte…
Avec un bel ensemble, elles ont répondu que tant qu’un mec ne leur donnerait pas autant de plaisir, leur relation durerait mais elles n’étaient pas contre « un coup vite fait avec un homme »… Elles disaient être totalement bisexuelles…
Se tournant vers Sophie, Caro’ a ajouté :
• Çà ne te manque pas de te faire emmancher par un beau gourdin ?
• Si… de temps à autre, j’ai des godes pour me satisfaire…
• Quelle tristesse… Une bonne bite qui te ramone, c’est bien mieux…
• Les mecs m’évitent ! Ma réputation de lesbienne me colle à la peau !
• Bon alors, on va remédier à cela !
Je ne savais pas ce que Caro’ avait en tête…
Lorsqu’en fin de soirée, au lieu de gagner nos chambres respectives, Caro’ qui bénéficie pratiquement d’un studio, nous a invités.
• Venez… Il est trop tôt pour se coucher ! On va s’amuser un peu… Les parents viennent de sortir… Nous sommes tranquilles jusqu’à demain midi !
• Ok… je me mets à mon aise !
• Dis-donc frangin, tu ne manques pas d’air… Tu vas te mettre nu devant Sophie ?
• Oh… ne me dis pas qu’elle n’a jamais vu le loup !
• T’inquiète pas… je me suis fait ramoner copieusement les deux trous…
Donc Sophie n’était pas contre une soirée nue…
D’ailleurs, c’est elle la première qui a fait voler ses vêtements… Jolie fille, de petits seins, des hanches étroites, un pubis presque glabre…, un joli visage ovale aux yeux verts et de longs cheveux blond cendré tombant entre les épaules… le style « brindille » !
Caro’ a chambré Amélie…
• Qu’est-ce que tu attends… Ne joue pas les prudes ! On sait tous comment tu es faite ! Sophie, son frère est à ta disposition… je te le prête pour cette nuit… Tu verras, c’est un bon amant !
• Quoi… vous baisez ensemble ?
• Bien sur… nous n’avons pas de lien de sang… J’ai un MALE à disposition, j’en profite ! Quant à moi, ce soir, c’est d’Amélie dont j’ai envie… C’est elle qui va venir dans mes bras !
• Oh oui… çà me rappellera quand tu m’as montré comment faire un cunni ! Je te montrerai que je pense avoir fait des progrès…
Caro’ avait distribué les rôles et çà promettait d’être chaud !
J’étais assis dans un fauteuil dans un angle de la chambre et de voir les trois filles nues, çà m’avait chauffé les sens… Mon sexe était dressé et attendait, à moitié turgide entre mes cuisses… que Sophie vienne s’occuper de lui…
Elle s’est penchée et après avoir joué avec ses lèvres sur le gland, elle a avalé ma bite puis entrepris des allers-retours pour l’enduire de salive… L’effet a été quasi immédiat ! Je me suis mis à bander comme un cerf en rut pendant que d’une main elle tripotait mes bourses.
Il y a rien à dire… Elle savait y faire ! Sa bouche montait et descendait, j’admirais son savoir faire… mais je n’avais pas envie d’aller au bout de cette délicieuse fellation…
Je l’ai relevée et je lui ai dis de prendre ma place dans le fauteuil… que j’allais la baiser en levrette !
• Oh oui… çà fait longtemps qu’un homme ne m’a pas baisée et j’adore la levrette !
• On est d’accord !
• Chapeau ou pas ?
• Sans chapeau… je me doute que tu es sain !
• T’inquiète pas… Depuis l’été je n’ai baisé que Caro’…
Elle s’est installée sur le fauteuil qui se trouvait judicieusement placé. J’avais devant moi son petit cul aux fesses de garçon, sa taille étroite et ces cheveux longs répandus de chaque côté de ses épaules… Au delà, je découvrais son visage dans un grand miroir… et moi, derrière elle, prêt à l’embrocher !
Caro’ et Amélie s’en payaient une bonne tranche sur le lit… ce n’étaient que soupirs et petit cris de surprise ou de plaisir de l’une ou de l’autre…
Je n’allais pas faire plus attendre ma partenaire… quelques mouvements entre ses lèvres vaginales et lentement je me suis introduis dans sa chatte, chaude et humide… Elle était étroite mais cela convenait parfaitement à ma bite, plutôt fine et assez longue…
• Waouh… tu es sacrément étroite !
• Oui… c’est un peu pour cela que je me suis mise à préférer les femmes… Les garçons qui m’ont baisée l’ont fait en force et j’ai souffert de leurs pénétrations viriles…
• Je te comprends… à te voir, je me suis douté que tu étais serrée…
• Oui, tu as été doux… je m’habitue à ta présence… Vas doucement et tu verras qu’on aura beaucoup de plaisir !
• J’espère qu’il sera partagé !
J’ai pris la taille de Sophie entre mes mains et lentement j’ai commencé les va et viens dans sa chatte qui peu à peu se détendait mais j’étais toujours serré…
Que c’était bon de sentir ma bite emprisonnée ainsi, allant et venant dans ce conduit humide et chaud… J’avais l’impression de sodomiser une fille alors que je lui prenais la chatte…
Sophie s’agitait de plus en plus, elle venait au devant de ma bite, remuait les fesses quand j’étais complètement en elle… et m’encourageait à la baiser plus fort !
Ce que j’ai fait… alternant les pénétrations viriles qui faisaient claquer mon pubis contre ses fesses avec des entrées en douceur accompagnées de caresses sur ses reins…
Sophie a joui soudainement entrainant immédiatement ma jouissance…
Nous sommes restés aboutés l’un dans l’autre puis nous nous sommes désunis… et Sophie m’a dit :
• Viens… allons dans ta chambre… j’ai encore envie de ta queue en moi…
Nous avons laissé Caro’ et Amélie à leurs amours…
Tous les quatre, nous n’étions pas très frais quand nous nous sommes retrouvés autour de la table du p’tit déj’….
Elle nous a avoué qu’elle avait appris à faire une fellation, qu’ensuite, elle avait fait plusieurs 6 9… Bref, elle avait baisé tous les jours à l‘abri des regards dans la pinède… et l’avant-veille de notre retour à la maison, elle avait carrément découché !
Mais elle avait aussi rencontré une fille un peu plus délurée qu’elle avec laquelle elle avait eu quelques échanges saphiques au creux des rochers…
De mon côté, ces vacances ont été un enchantement…
Si l’an passé aux vacances de printemps, une jeune sœur de ma mère avait fait mon éducation sexuelle, j’avais rencontré une femme d’environ 40 ans (je l’ai su un peu plus tard…) dont le mari avait du la laisser seule car un incident dans son usine demandait sa présence.
Seule sur la plage Sandra semblait s’ennuyer… si bien que nos parents l’ont invitée un soir à prendre l’apéritif et à diner avec nous autour d’un barbecue.
Les bavardages allaient bon train autour de la table… et lorsque vers minuit, nous nous sommes rendu compte de l’heure, Sandra s’est levée en demandant si je pouvais la raccompagner car elle se sentait un peu saoule, qu’elle avait peur de traverser la pinède la nuit car les chemins étaient pleins de racines…
J’étais d’accord… je n’en n’aurais pas pour plus d’une dizaine de minutes…
En fait, ce n’est qu’au petit jour que très discrètement, j’ai regagné mon lit…
Sandra devait être en manque car nous avions baisé à trois reprises… Heureusement… j’étais jeune et plein de ressources… mais quel appétit !
Jusqu’à la fin des vacances, j’ai passé toutes les nuits en sa compagnie… Il ne fallait pas lui en promettre… Je m’esquivais discrètement et au petit jour je regagnais ma chambre… tout aussi discrètement !
Elle disait que son mari ne lui avait jamais suffi, qu’heureusement elle avait une belle collection de godes pour se satisfaire mais qu’avoir un amant infatigable comme moi, ce serait l’idéal quand elle serait rentrée chez elle…
Quelques mois ont passé.
Les études à l’université de la ville voisine ont repris…
Désormais nous sommes trois à fréquenter la Fac’ puisque ma sœur nous a rejoints à la rentrée. Elle s’est installée avec nous dans le grand appartement loué par nos parents à proximité immédiate de la Fac’
Nous disposons chacun d’une chambre et nous partageons les espaces communs…et nous retrouvons nos pénates habituels au cours du weekend.
Caroline traine toujours derrière une petite bande de garçons et de filles… qu’elle appelle « SA COUR ». Je sais que parmi les garçons, il y a son petit ami du moment mais celui-ci ne me plait guère… C’est le genre bellâtre pour qui les filles ne sont que des nouveaux prénoms à ajouter à son tableau de chasse… mais cela ne semble pas déranger Caro’ pour l’instant.
Après un mois d’août sexuellement bien rempli, je suis quelque peu en manque… la masturbation, c’est bien beau, mais la sensation de faire vibrer une femme entre mes bras me manque…
J’ai bien eu quelques échanges de messages très très chauds avec Sandra, mais il ne m’est pas possible de la rejoindre… Son homme est là tous les weekends et moi, ce sont les seuls jours où je pourrais la rejoindre dans le Nord de la France ! Et çà fait des kilomètres…
Un soir alors que nous sommes seuls à la maison, Caro’ entre en coup de vent dans ma chambre, les yeux pleins de larmes au moment où le boxer à mi cuisse, je commence une séance de solitaire après avoir t’chatté avec Sandra. Je m’interromps aussitôt.
• Que se passe-t’il ? Je ne t’ai jamais vue dans cet état !
• C’est mon copain… Je l’ai surpris dans sa chambre à la Cité U avec une autre fille… et il m’a jetée en disant qu’il s’était bien amusé avec moi… qu’il était temps de passer à autre chose !
• Je m’en doutais… Je n’ai jamais pu sentir ce mec !
• Mais dis donc… Tu es en manque ?
• Oui… un peu… Sandra m’a bien chauffé et je n’ai que cela pour faire baisser la pression !
• Je pense qu’on peut s’arranger !
• Je veux bien… mais comment ?
• Viens… achevons de nous déshabiller et mettons-nous sur le lit…Tu vas voir…
Mon boxer a été vite enlevé pendant que Caro’ ôtait également ses vêtements… Jean, basket, Tee-shirt et soutif se sont éparpillés sur le sol.
• Dis donc… c’est la brousse chez toi !
• Comment çà ?
• Un homme doit avoir peu ou pas de poils au pubis… c’est plus sympa pour la femme qui te mange le sexe !
• Tu crois ?
• J’en suis sure… Tu dois bien te douter que j’en ai sucé plus d’un et il n’y a rien de plus désagréable que de sentir les poils chatouiller ton nez ! Regarde…moi je n’ai plus qu’une mince ligne de poils… et j’aime autant te dire que les filles ou les garçons trouvent cela très bien !
• Effectivement… c’est très… érotique !
• Passons dans le cabinet de toilette, je vais m’occuper de ta « brousse » !
C’est ainsi que Caro’ m’a rasé presque complètement le pubis, ne laissant qu’une petite touffe courte à la racine de mon sexe…
Cette séance de rasage effectuée en douceur ne m’avait pas laissé de marbre… J’avais le sexe dressé contre mon ventre et les couilles douloureuses tant elles étaient pleines.
Avec Caro’ nous sommes repassés dans ma chambre et nous nous sommes mis sur le lit en 69…
Il m’était arrivé au début de vacances de sodomiser Caro’ pendant une chaude séance au cours de laquelle Amélie, ma petite sœur, avait étrenné le gode ceinture que Caro’ venait de s’acheter, jamais encore nous nous étions livrés ainsi à des caresses très sensuelles. Elle avait juste montré à Amélie comment on faisait une fellation !
Le sexe de Caro’ avait une senteur musquée… La douche du matin était déjà loin… mais ce n’était pas désagréable… J’ai immédiatement dardé ma langue entre ses lèvres pour aller débusquer son bourgeon sensible qui n’a pas tardé à se dresser… Pendant ce temps, Caro’ avait avalé ma bite jusqu’au plus profond de sa gorge et avait commencé à me sucer… Waouh… que c’était bon… Bien meilleur que la branlette que je l’apprêtais à faire !
Sa bouche allait et venait le long de ma tige, je sentais sa langue titiller le méat lorsque me bite était sortie et une main me caressait les bourses…
En moi-même, je pensais qui si Caro’ avait un tel talent de suceuse, ce n’était guère étonnant qu’elle ait autant de succès auprès des mecs…
Je me laissais aller jusqu’à ce qu’elle me rappelle que je devais aussi m’occuper d’elle et de sa chatte !
Ma langue a de nouveau fouillé entre ses lèvres puis je l’ai introduite au plus profond de son vagin, la bouche complètement appuyée sur son entre jambes… Caro’ agitait son bassin de plus en plus pendant que sa bouche allait et venait sur ma queue… J’étais au bord de l’explosion…
• Attention Caro’ je vais venir !
• Retiens-toi encore un peu et continue comme çà, je sens que çà viens aussi !
Après cela elle a replongé mon sexe dans sa bouche et a attendu que sa jouissance arrive pour faire quelques allers-retours pour que je décharge mon foutre dans sa gorge !
C’était du délire !
Quelques temps après, Caro’ m’a dit qu’elle n’avait pas envie de passer la nuit seule dans son lit… que si je voulais bien lui faire une petite place…
J’acceptai aussitôt… Nus tous les deux nous nous sommes glissés sous les draps et Caro’ s’est lovée contre moi, ses fesses appuyées contre mon pubis…
Lorsque je me suis éveillé, comme presque tous les matins, je bandais ferme et de lui-même mon sexe s’était logé entre les fesses de Caro’ qui semblait encore endormie.
Mais NON ! Cette coquine ne dormait plus non plus… Elle a fait quelque mouvements du bassin et ma bite est allée plus loin dans son entre jambe…
• Prends-moi ! Baise ma chatte !
Comment résister à une telle invitation… Après tout je n’avais pas de lien de parenté avec Caro’ et faisant fi de tous mes scrupules, je me suis enfoncé dans sa chatte puis, d’elle-même elle a entrepris les mouvements pour me faire aller et venir dans son sexe.
Pour mieux l’étreindre, j’ai saisi dans ma main un de ses seins opulents et j’ai pincé le téton entre mes doigts…
Humm… Déjà bien dardé… Excitée de se faire baiser dès le réveil la belle Caro’ ?
• Oh… Oui… Baise-moi bien… Lâche-toi dans ma chatte… Pour une fois, je peux me faire baiser sans capote !
• Oui… T’as raison… c’est bien meilleur !
Nous faisons monter notre plaisir lentement…
Nous prenons notre temps… Nous sommes seuls dans la grande maison, personne pour nous déranger…
Les parents sont en virée sexuelle et Amélie est restée en ville avec une copine avec laquelle elle a une liaison…
Caro’ fait rouler ses fesses contre mon pubis… elle ouvre sa raie d’une main pour que j’aille au plus profond possible…Que c’est bon…
Soudain Caro’ se met à jouir et aussitôt, je la rejoints en crachant quelques belles giclées au fond de son vagin…
Nous nous sommes rendormis, ivres de plaisir… et suivant les habitudes de la famille, nous avons passé le weekend à poil dans la maison… heureusement bien chauffée !
Nous ne voulions pas partager notre secret aussi, nous n’avons pas raconté notre weekend à Amélie lorsque nous l’avons retrouvée le dimanche soir !
Les mois ont passé…
Chaque fois que nous sommes seuls à la maison, je fais l’amour à Caro’ qui n’a pas cherché de nouveau petit ami…
C’est vraiment une gourmande de sexe… Chaque fois, nous nous envoyons en l’air au moins à trois reprises… et les weekends sont éreintants… mais si bons…
Ce que j’aime le plus, en dehors le levrette, c’est quand Caro’ me chevauche…
Face à moi, je peux caresser ses seins, faire saillir les tétons, passer les mains sur ses hanche et descendre jusqu’à son pubis pour tenter d’atteindre son clitoris…
Quand elle me tourne le dos, les mains en appui sur mes genoux, je vois ses fesses qui s’écrasent sur mon pubis, sa raie s’ouvre et je vois son sphincter qui palpite comme s’il me disait : Viens, je t’attends ! Ce qui est arrivé plus d’une fois…
Pendant la trêve des confiseurs, Sophie, la copine d’Amélie est venue passer plusieurs jours à la maison.
Les deux filles qui n’arrêtaient pas de s’embrasser, même devant les parents, se sont fait doucement mettre en boîte…
Avec un bel ensemble, elles ont répondu que tant qu’un mec ne leur donnerait pas autant de plaisir, leur relation durerait mais elles n’étaient pas contre « un coup vite fait avec un homme »… Elles disaient être totalement bisexuelles…
Se tournant vers Sophie, Caro’ a ajouté :
• Çà ne te manque pas de te faire emmancher par un beau gourdin ?
• Si… de temps à autre, j’ai des godes pour me satisfaire…
• Quelle tristesse… Une bonne bite qui te ramone, c’est bien mieux…
• Les mecs m’évitent ! Ma réputation de lesbienne me colle à la peau !
• Bon alors, on va remédier à cela !
Je ne savais pas ce que Caro’ avait en tête…
Lorsqu’en fin de soirée, au lieu de gagner nos chambres respectives, Caro’ qui bénéficie pratiquement d’un studio, nous a invités.
• Venez… Il est trop tôt pour se coucher ! On va s’amuser un peu… Les parents viennent de sortir… Nous sommes tranquilles jusqu’à demain midi !
• Ok… je me mets à mon aise !
• Dis-donc frangin, tu ne manques pas d’air… Tu vas te mettre nu devant Sophie ?
• Oh… ne me dis pas qu’elle n’a jamais vu le loup !
• T’inquiète pas… je me suis fait ramoner copieusement les deux trous…
Donc Sophie n’était pas contre une soirée nue…
D’ailleurs, c’est elle la première qui a fait voler ses vêtements… Jolie fille, de petits seins, des hanches étroites, un pubis presque glabre…, un joli visage ovale aux yeux verts et de longs cheveux blond cendré tombant entre les épaules… le style « brindille » !
Caro’ a chambré Amélie…
• Qu’est-ce que tu attends… Ne joue pas les prudes ! On sait tous comment tu es faite ! Sophie, son frère est à ta disposition… je te le prête pour cette nuit… Tu verras, c’est un bon amant !
• Quoi… vous baisez ensemble ?
• Bien sur… nous n’avons pas de lien de sang… J’ai un MALE à disposition, j’en profite ! Quant à moi, ce soir, c’est d’Amélie dont j’ai envie… C’est elle qui va venir dans mes bras !
• Oh oui… çà me rappellera quand tu m’as montré comment faire un cunni ! Je te montrerai que je pense avoir fait des progrès…
Caro’ avait distribué les rôles et çà promettait d’être chaud !
J’étais assis dans un fauteuil dans un angle de la chambre et de voir les trois filles nues, çà m’avait chauffé les sens… Mon sexe était dressé et attendait, à moitié turgide entre mes cuisses… que Sophie vienne s’occuper de lui…
Elle s’est penchée et après avoir joué avec ses lèvres sur le gland, elle a avalé ma bite puis entrepris des allers-retours pour l’enduire de salive… L’effet a été quasi immédiat ! Je me suis mis à bander comme un cerf en rut pendant que d’une main elle tripotait mes bourses.
Il y a rien à dire… Elle savait y faire ! Sa bouche montait et descendait, j’admirais son savoir faire… mais je n’avais pas envie d’aller au bout de cette délicieuse fellation…
Je l’ai relevée et je lui ai dis de prendre ma place dans le fauteuil… que j’allais la baiser en levrette !
• Oh oui… çà fait longtemps qu’un homme ne m’a pas baisée et j’adore la levrette !
• On est d’accord !
• Chapeau ou pas ?
• Sans chapeau… je me doute que tu es sain !
• T’inquiète pas… Depuis l’été je n’ai baisé que Caro’…
Elle s’est installée sur le fauteuil qui se trouvait judicieusement placé. J’avais devant moi son petit cul aux fesses de garçon, sa taille étroite et ces cheveux longs répandus de chaque côté de ses épaules… Au delà, je découvrais son visage dans un grand miroir… et moi, derrière elle, prêt à l’embrocher !
Caro’ et Amélie s’en payaient une bonne tranche sur le lit… ce n’étaient que soupirs et petit cris de surprise ou de plaisir de l’une ou de l’autre…
Je n’allais pas faire plus attendre ma partenaire… quelques mouvements entre ses lèvres vaginales et lentement je me suis introduis dans sa chatte, chaude et humide… Elle était étroite mais cela convenait parfaitement à ma bite, plutôt fine et assez longue…
• Waouh… tu es sacrément étroite !
• Oui… c’est un peu pour cela que je me suis mise à préférer les femmes… Les garçons qui m’ont baisée l’ont fait en force et j’ai souffert de leurs pénétrations viriles…
• Je te comprends… à te voir, je me suis douté que tu étais serrée…
• Oui, tu as été doux… je m’habitue à ta présence… Vas doucement et tu verras qu’on aura beaucoup de plaisir !
• J’espère qu’il sera partagé !
J’ai pris la taille de Sophie entre mes mains et lentement j’ai commencé les va et viens dans sa chatte qui peu à peu se détendait mais j’étais toujours serré…
Que c’était bon de sentir ma bite emprisonnée ainsi, allant et venant dans ce conduit humide et chaud… J’avais l’impression de sodomiser une fille alors que je lui prenais la chatte…
Sophie s’agitait de plus en plus, elle venait au devant de ma bite, remuait les fesses quand j’étais complètement en elle… et m’encourageait à la baiser plus fort !
Ce que j’ai fait… alternant les pénétrations viriles qui faisaient claquer mon pubis contre ses fesses avec des entrées en douceur accompagnées de caresses sur ses reins…
Sophie a joui soudainement entrainant immédiatement ma jouissance…
Nous sommes restés aboutés l’un dans l’autre puis nous nous sommes désunis… et Sophie m’a dit :
• Viens… allons dans ta chambre… j’ai encore envie de ta queue en moi…
Nous avons laissé Caro’ et Amélie à leurs amours…
Tous les quatre, nous n’étions pas très frais quand nous nous sommes retrouvés autour de la table du p’tit déj’….
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un bien beau récit d'une belle aventure ...
je t'envie ...!
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