Titre de l'histoire érotique : Un coup vite fait.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Un coup vite fait.
Cela remonte à une quinzaine d’années. Après des rendez-vous dans Paris, j’avais deux heures à tuer avant de reprendre mon train à la gare de Lyon.
Comme je savais qu’il y avait un sexshop à proximité, je m’y suis rendu pensant trouver quelque gadget coquin pour ma maîtresse du moment.
Je passe sur la description des lieux mais je reconnais que tout est bien soigné avec des rayons très diversifiés et clairs.
Après avoir déambulé un peu et trouvé ce que je cherchais, j’ai remarqué une jeune femme qui se regardait dans les glaces situées près des cabines d’essayage après avoir enfilé une combinaison de dentelles qui la couvrait de pieds au ras du coup mais qui dénudait une grande partie de son dos… Chaussée de bottillons à hauts (très hauts) talons, elle avait une allure folle…
D’ailleurs, je lui en ai fait le compliment qu’elle a accepté avec un grand sourire en me disant avec un léger accent étranger :
• Merci… T’es sympa… J’ai encore quelque chose à essayer, veux tu m’aider ?
• Bien sur, mais d’abord je paie ce que j’ai acheté et je reviens !
La caissière qui avait vu le manège grâce aux caméras de surveillance m’a dit alors :
• Si tu veux te la faire, tu as tes chances… les jeunes ne l’intéressent pas ! Ajoute 20€ à ton compte et je te donne la clé d’une des love-rooms.
• Ok… çà marche, je verrai bien !
De retour près des cabines, la vendeuse qui assistait cette jeune femme m’a dit qu’elle m’attendait à l’intérieur de l’une d’elles dont elle a entrouvert le rideau.
• Je croyais t’avoir fait fuir !
• Non, j’ai du temps… je vais t’aider à faire ton choix.
• Il est déjà fait : regarde ce bustier, il ne va pas mal ?
En fait, il ne s’agissait pas vraiment d’un bustier mais plutôt un corset souple qui emprisonnait ses formes juste un peu généreuses. La couleur bleu pastel allait très bien avec sa carnation de rousse avec des cheveux mi longs. Les demi bonnets présentaient les seins en lassait apparaître plus de la moitié de l’aréole et la taille déjà serrée faisait ressortir le galbe des hanches.
• Tu es bien jolie dans cette tenue, j’aime beaucoup !
• Montre-moi comment tu aimes !
Joignant le geste à la parole, elle a avancé sa main droite à la bonne hauteur pour se saisir de mon sexe au travers du tissu de mon pantalon.
• Mais c’est moi qui te mets dans cet état ?
• On le serait à moins ! Tu dois être une vraie catin pour porter de tels vêtements !
• Tu ne crois pas si bien dire… Ce magasin est mon terrain de chasse quand j’ai envie d’une baise vite fait et je n’ai jamais été déçue !
• OK… Si tu veux je suis partant… j’ai la clé du paradis !
Deux minutes plus tard nous parvenions, après un court trajet en ascenseur, dans une de ces petites chambres du second étage. Je connaissais déjà quelques unes de ces chambres dans d’autres lieux, mais celle-ci était aménagée comme un boudoir de jeune fille, avec plein de coussins sur un large lit, plein de miroirs le longs de murs et un petit cabinet de toilette…
• Wow… C’est sympa ici ! Je ne savais pas pour les chambres…
• Oui, la caissière me connait… alors elle a choisi la bonne chambre… et on y sera tranquilles !
• Pourquoi ? J’ai effectivement compris qu’elle te connait bien…
• Dans cette chambre, il n’y a pas de glace sans tain, donc on ne pourra pas nous voir ! Et pour répondre à ton autre question : Oui, je viens m’encanailler ici chaque fois que je passe par ici…
Ces cours instants m’ont permis de me déshabiller, ne gardant que mon boxer tendu par mon sexe plus qu’à moitié bandé. J’avais dit à Kirsten (puisqu’elle se prénommait ainsi) de garder son bustier, que j’allais la baiser dedans !
• Oh… Oui… Je vais l’étrenner avec toi.
Dans le même temps, elle s’est mise à genoux devant moi, a fait glisser mon boxer et emboucher mon vit qui n’en pouvait plus… mais je l’ai dissuadée de continuer si elle voulait que je la saute. Vu mon âge, les coups à répétition, çà n’arrive plus très souvent !
Pour calmer un peu mon envie, j’ai allongée Kirsten en travers du lit et je l’ai envoyée en l’air par un cunnilingus dans lequel j’ai mis toute mon application !
Ensuite, je lui ai fait prendre la position de la levrette pour la prendre de cette manière.
• Salaud, vous les français vous ne pensez qu’à cette position… Mais j’adore !
• Sois tranquille… Moi aussi… Tu vas voir ce que tu vas prendre.
J’ai pris un préservatif sur une petite étagère près du lit et je me suis préparé… J’ai déroulé la capote sur mon sexe relativement court mais quelque peu trapu (qui m’interdit les sodomies à l’arrache).
Je voyais le regard de Kirsten dans le miroir au dessus du lit… Elle m’attendait !
Je me suis introduit dans sa chatte qui était humide et chaude…
Chaque fois que j’étais au fond de son vagin, je sentais ses muscles intimes masser mon gland… C’était bon…
Je prenais mon temps et j’ai envoyé Kirsten en l’air une nouvelle fois sans jouir moi-même puis après un temps, j’ai recommencé les vas-et-viens et nous avons joui presque ensemble.
Quand je me suis retiré, la capote était bien pleine !
• Merci Kirsten, je me souviendrai de ton passage dans ce magasin !
• Et moi, je me souviendrai d’un beau quinqua (j’en avais 10 de plus…) qui m’a baisée comme une reine !
Nous nous sommes rhabillés et je me suis précipité vers la gare où je n’ai eu que le temps de monter dans le dernier wagon du train !
Comme je savais qu’il y avait un sexshop à proximité, je m’y suis rendu pensant trouver quelque gadget coquin pour ma maîtresse du moment.
Je passe sur la description des lieux mais je reconnais que tout est bien soigné avec des rayons très diversifiés et clairs.
Après avoir déambulé un peu et trouvé ce que je cherchais, j’ai remarqué une jeune femme qui se regardait dans les glaces situées près des cabines d’essayage après avoir enfilé une combinaison de dentelles qui la couvrait de pieds au ras du coup mais qui dénudait une grande partie de son dos… Chaussée de bottillons à hauts (très hauts) talons, elle avait une allure folle…
D’ailleurs, je lui en ai fait le compliment qu’elle a accepté avec un grand sourire en me disant avec un léger accent étranger :
• Merci… T’es sympa… J’ai encore quelque chose à essayer, veux tu m’aider ?
• Bien sur, mais d’abord je paie ce que j’ai acheté et je reviens !
La caissière qui avait vu le manège grâce aux caméras de surveillance m’a dit alors :
• Si tu veux te la faire, tu as tes chances… les jeunes ne l’intéressent pas ! Ajoute 20€ à ton compte et je te donne la clé d’une des love-rooms.
• Ok… çà marche, je verrai bien !
De retour près des cabines, la vendeuse qui assistait cette jeune femme m’a dit qu’elle m’attendait à l’intérieur de l’une d’elles dont elle a entrouvert le rideau.
• Je croyais t’avoir fait fuir !
• Non, j’ai du temps… je vais t’aider à faire ton choix.
• Il est déjà fait : regarde ce bustier, il ne va pas mal ?
En fait, il ne s’agissait pas vraiment d’un bustier mais plutôt un corset souple qui emprisonnait ses formes juste un peu généreuses. La couleur bleu pastel allait très bien avec sa carnation de rousse avec des cheveux mi longs. Les demi bonnets présentaient les seins en lassait apparaître plus de la moitié de l’aréole et la taille déjà serrée faisait ressortir le galbe des hanches.
• Tu es bien jolie dans cette tenue, j’aime beaucoup !
• Montre-moi comment tu aimes !
Joignant le geste à la parole, elle a avancé sa main droite à la bonne hauteur pour se saisir de mon sexe au travers du tissu de mon pantalon.
• Mais c’est moi qui te mets dans cet état ?
• On le serait à moins ! Tu dois être une vraie catin pour porter de tels vêtements !
• Tu ne crois pas si bien dire… Ce magasin est mon terrain de chasse quand j’ai envie d’une baise vite fait et je n’ai jamais été déçue !
• OK… Si tu veux je suis partant… j’ai la clé du paradis !
Deux minutes plus tard nous parvenions, après un court trajet en ascenseur, dans une de ces petites chambres du second étage. Je connaissais déjà quelques unes de ces chambres dans d’autres lieux, mais celle-ci était aménagée comme un boudoir de jeune fille, avec plein de coussins sur un large lit, plein de miroirs le longs de murs et un petit cabinet de toilette…
• Wow… C’est sympa ici ! Je ne savais pas pour les chambres…
• Oui, la caissière me connait… alors elle a choisi la bonne chambre… et on y sera tranquilles !
• Pourquoi ? J’ai effectivement compris qu’elle te connait bien…
• Dans cette chambre, il n’y a pas de glace sans tain, donc on ne pourra pas nous voir ! Et pour répondre à ton autre question : Oui, je viens m’encanailler ici chaque fois que je passe par ici…
Ces cours instants m’ont permis de me déshabiller, ne gardant que mon boxer tendu par mon sexe plus qu’à moitié bandé. J’avais dit à Kirsten (puisqu’elle se prénommait ainsi) de garder son bustier, que j’allais la baiser dedans !
• Oh… Oui… Je vais l’étrenner avec toi.
Dans le même temps, elle s’est mise à genoux devant moi, a fait glisser mon boxer et emboucher mon vit qui n’en pouvait plus… mais je l’ai dissuadée de continuer si elle voulait que je la saute. Vu mon âge, les coups à répétition, çà n’arrive plus très souvent !
Pour calmer un peu mon envie, j’ai allongée Kirsten en travers du lit et je l’ai envoyée en l’air par un cunnilingus dans lequel j’ai mis toute mon application !
Ensuite, je lui ai fait prendre la position de la levrette pour la prendre de cette manière.
• Salaud, vous les français vous ne pensez qu’à cette position… Mais j’adore !
• Sois tranquille… Moi aussi… Tu vas voir ce que tu vas prendre.
J’ai pris un préservatif sur une petite étagère près du lit et je me suis préparé… J’ai déroulé la capote sur mon sexe relativement court mais quelque peu trapu (qui m’interdit les sodomies à l’arrache).
Je voyais le regard de Kirsten dans le miroir au dessus du lit… Elle m’attendait !
Je me suis introduit dans sa chatte qui était humide et chaude…
Chaque fois que j’étais au fond de son vagin, je sentais ses muscles intimes masser mon gland… C’était bon…
Je prenais mon temps et j’ai envoyé Kirsten en l’air une nouvelle fois sans jouir moi-même puis après un temps, j’ai recommencé les vas-et-viens et nous avons joui presque ensemble.
Quand je me suis retiré, la capote était bien pleine !
• Merci Kirsten, je me souviendrai de ton passage dans ce magasin !
• Et moi, je me souviendrai d’un beau quinqua (j’en avais 10 de plus…) qui m’a baisée comme une reine !
Nous nous sommes rhabillés et je me suis précipité vers la gare où je n’ai eu que le temps de monter dans le dernier wagon du train !
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