Titre de l'histoire érotique : Un couple de kinés peu ordinaire - histoire érotique

J’ai rencontré Sonia lors d’un séminaire de formation de kinés qui se déroulait à la montagne il y a une dizaine d’années…
Nous avons sympathisé tout de suite… entre collègues, hommes et femmes, les barrières tombent assez vite et le soir, tous ceux qui en avaient envie sont allés danser mais je ne m’en sentais pas l’envie, les couples s’étant formés autour de la table du diner, je me retrouvais seul !
Je pensais à ce cabinet dont la clientèle commençait à peine à se former, aux soucis financiers, à l’avenir… N’avais-je pas choisi une région sur le déclin ? Bref beaucoup de choses me passaient par la tête et je n’avais pas envie de faire la fête car je me sentais plutôt d’humeur morose.


J’étais encore célibataire et je venais de m’installer dans un cabinet flambant neuf avec des locaux vastes et très fonctionnels qui en plus m’offraient l’avantage d’avoir un petit logement à l’étage.
Je m’entendais bien avec mon camarade qui m’a lâché quelques années plus tard quand il s’est marié et a voulu rejoindre la région sa femme.
Je me retrouvais donc seul à assumer les frais et autres inconvénients…
Ce n’est que quelques mois plus tard que j’ai repensé à Sonia…
Etait-elle encore mariée (elle avait fait état de difficultés conjugales…) ?
Serait-elle partante pour une installation commune en Bretagne ?
J’ai recherché ses coordonnées dans un annuaire professionnel et lorsque je lui ai fait l’offre, elle s’est écriée :
• Oh oui… Ton appel tombe à pic… MERCI ! J’en ai marre du milieu hospitalier… Depuis que j’ai largué mon second mari, tous les mecs d’ici veulent me sauter ! Je vais donner mon préavis et dans deux mois, je serai libre de rejoindre la Bretagne.

Cela ne m’étonnait pas…
Sonia est vraiment ce qu’on peut appeler « une belle plante ». Elle est très agréable à regarder avec un visage ovale et des grands yeux bleus et une bouche pulpeuse. Elle a la taille mince, des hanches larges et une poitrine plus que rebondie puisqu’elle porte au moins des soutiens gorge en 100 D ! Son visage est encadré par des cheveux blonds coupé à l’époque en carré un peu long.


Quand sa décision a été prise, je lui ai cherché un studio non loin du cabinet.
Lorsqu’elle a rejoint la Bretagne quelque mois plus tard, elle s’est installée dans les locaux attenants aux miens et nous nous sommes partagés la clientèle en lui réservant d’emblée les femmes et les nouveaux inscrits.
Tout était carré et lui convenait parfaitement !
Pour ma part, j’occupais un des appartements situés au dessus des locaux professionnels.
Ceux-ci comprenaient les salles de massage proprement dites, une grande pièce avec un certain nombre de machines et agrès divers, un local d’accueil avec une salle d’attente commune et pour chacun, un petit bureau.


Les deux premières années de la collaboration avec Sonia se sont très bien déroulées… Le partage des charges facilitait les choses… Malgré quelques approches, des tenues ou attitudes provocantes, rien ne s’était passé entre Sonia et moi…
Certes, je la trouvais toujours aussi agréable à regarder mais même à 37 ans passés, je tenais trop à mon indépendance. Entretenir une relation avec son associée… cela ne pouvait que déboucher sur des problèmes…
Mais vous savez certainement ce qui se passe dans une petite ville… Les langues se délient et les allusions au sujet de Sonia ont commencé à circuler :
- Elle n’était pas farouche…
- Elle savait se servir des ses seins pour certains massages…
- Elle ne crachait pas sur les hommes jeunes…
- On l’avait vu sortir d’un club échangiste de la région…où disait-on, elle se livrait à une débauche la plus totale…
- qu’elle avait un appétit d’ogresse…
- qu’elle recherchait les sexes les plus gros et les partenaires multiples !

Après tout, c’était sa vie et son travail au cabinet méritait les éloges de ses patients… C’est tout ce qui m’importait !
Mais ce qui m’a intrigué c’est de voir arriver pour des massages un des rugbymen néo-zélandais venant du club de la ville voisine… Il devait pourtant avoir ce qu’il lui fallait dans le staff médical du club… Mais je ne dis rien… Après tout, cela ne me regardait pas et un peu de pub’ ne nous ferait pas de mal !

Ce qui était le plus curieux c’est que le nommé Duncan avait systématiquement le dernier rendez-vous de la journée du lundi, dès que la secrétaire était partie...
Mais cela lui convenait certainement.


Ce dernier lundi, mon patient étant parti, je remis en route le système de vidéo surveillance qui permettait de voir ce qui se passait dans les salles de massages et surtout assurait la sécurité des lieux quand les cabinets étaient fermés.
Quelle ne fut pas ma surprise de voir sur l’écran de contrôle que Sonia s’était mise à l’aise pour effectuer les massages sur Duncan…
Elle avait ouvert sa blouse et on voyait clairement sa poitrine généreuse qui dansait sous les yeux de Duncan qui n’en perdait pas une miette. Cependant les massages des épaules et du cou restaient très professionnels… Après tout, si tous les deux y trouvaient leur compte, pourquoi pas…
Cependant ma curiosité était piquée…
Selon moi, la séance approchait de la fin… mais quelle n’a pas été ma surprise quand j’ai vu Sonia se débarrasser de sa blouse pour apparaitre en soutien gorge très pigeonnant et en string assorti…
Elle a placé ses seins de chaque côté du visage de son patient qui a semblé apprécier la situation.
Dommage, il n’y avait pas le son…
Ensuite Sonia est venue entre les jambes de Duncan et elle a fait glisser le boxer qui couvrait le bas ventre et une érection phénoménale qu’elle s’est empressée d’emboucher…
Waouh… çà devenait chaud et intéressant…
- Qu’allait-il se passer ensuite ?
- Allait-elle aller jusqu’au bout de sa fellation ?
- Y aurait-il autre chose à voir ?
Je restais scotché à l’écran piqué par la curiosité !

Après quelques instants, Sonia a fait lever son patient pour le faire assoir sur la chaise, les cuisses largement ouvertes et le sexe dressé. Elle a embrassé le vit qui semblait la narguer puis tournant le dos à Duncan, je l’ai vue s’empaler sur cette bite aux dimensions généreuses, cadrant bien avec la carrure de rugbyman de l’homme.
Oh… elle y est allée doucement… se laissant descendre progressivement sur ce pal de chair. Lorsqu’il a été bien en place au fond de son sexe, elle a commencé à monter et descendre en prenant appui sur les genoux de son partenaire… Elle avait ôté son soutif et je voyais sa généreuse poitrine se balancer au gré de ses mouvements. Les mains de Duncan se sont emparées des globes de Sonia et j’imagine qu’il pinçait les tétons entre ses doigts…

C’était la première fois que je voyais Sonia faire l’amour… et il n’était pas étonnant qu’elle ait eu de nombreux prétendant si elle mettait autan d’enthousiasme à se faire baiser.
Je savais ce qui allait se passer aussi, j’ai arrêté le système de vidéosurveillance. Il serait temps de le remettre en route (cette fois avec l’enregistrement…) quand l’un ou l’autre nous fermerions les locaux.

Vingt minutes se sont passées. Sonia et Duncan sont passés par le secrétariat pour convenir du nouveau rendez-vous… bien évidemment un lundi… et Duncan l’a invitée à fêter avec l’équipe leur dernière victoire.
• Si tu es OK, je passerai te chercher à ton home demain vers 08 heures PM… Tu sais dans ces soirées, il y a peu de femmes et çà me fera plaisir de te présenter.
• D’accord… à demain 20 heures…


Je pense que la troisième mi-temps au restaurant s’est prolongée pour certains par une quatrième mi-temps plus intime à laquelle Sonia a participé : le mercredi matin, elle a annulé ses rendez-vous… Elle a dit à la secrétaire qu’elle avait du manger quelques qui n’était pas passé…

PRETEXTE ! Je devinais ce qu’elle avait mangé… DUNCAN et peut-être d’autres membres du club….

Sonia n’a jamais su que je savais ! Après tout… elle restait professionnelle jusqu'au bout des doigts et c’est ce qui m’importait.
Quelle s’envoie en l’air avec certains de ses patients, cela m’importait peu pourvu qu’ils restent discrets !