Titre de l'histoire érotique : un jeu de sociétée entre copains copines dégénère

- Par l'auteur HDS Azerty -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : un jeu de sociétée entre copains copines dégénère Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2007 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : un jeu de sociétée entre copains copines dégénère
La voisine d'un collègue de travail m'a allumé pendant un repas chez lui et nous a invité à une partie de jeu chez elle (celui où l'on achète des rues et des immeubles).
Une copine à elle est venue pour améliorer le jeu comme 4ème.
Son truc en plus c'était la prison avec gardien ou gardienne.
Quand tu tombais dans cette case, tu devais faire plaisir au maton ou à la matonne
pour pouvoir sortir.
Les 1ers tours passèrent sans encombre pour moi et les boissons détendaient l’ambiance.
La voisine, Martine, alla en prison la première et mon collègue, Eric, fut désigné gardien par tirage aux dés.
Il lui demanda de se déshabiller entièrement si elle voulait sortir de cette case, ce qu’elle accepta.
Nous avions le droit d'assister au spectacle à condition de verser une somme d’argent au maton qu’il partageait avec l’emprisonné.
Au bout de deux heures tout le monde était à poil dans la plus grande euphorie et les exigences des gardiens devinrent plus érotiques.
Ainsi, la copine, Eva, se retrouva à ma botte et je lui donnais l’ordre de me sucer le sexe et lécher les couilles pendant 5 minutes, c’était suffisant car la partie devait continuer.
Eric dû lécher la fente et l’anus de Martine et moi lui faire une toilette intime après qu’elle soit revenue des toilettes.
Eva trépignais car elle ne tombait pas en prison et n’était jamais matonne, elle nous promis de bon sévices quand son tour viendrait.
Martine, prisonnière d’Eric, due offrir sa chatte et se fit sauvagement ramoner.
Cela devait arriver, j’allais en prison et mon collègue fut désigné maton.
Il m’obligea à me masturber devant l’assemblée et m’ordonna de me mettre un doigt dans l’anus ce qui mit les filles dans un état d’excitation extrême, les commentaires étaient du style :
Allez, branle toi le cul, enfonce le plus profond, astique toi le gland salope.
Enfin, Eva se retrouva matonne avec Eric comme esclave et le pauvre se plia à ses ordres.
Elle lui dit que comme il m’avait fait mettre mon doigt c’est qu’il aimait ca aussi et le fit mettre à quatre pattes sur la table, elle lui écarta les fessses, cracha sur son petit trou et lui enfonça son index d’un seul coup, sans préliminaires, jusqu’a la garde.
Eric eu un cri rauque et se cabra, ce qu’elle rectifia par une forte claque sur le cul, elle ajouta, très autoritaire, donne ton trou salope, c’est comme ça en taule.
Martine me masturbait en regardant la scène avec avidité, je lui caressais la vulve et la raie, lubrifiant de sa mouille son œillet que mon pouce pénétra facilement.
Eva m’interpella sèchement : viens ici petite pute, tu vas faire plaisir à ton camarade de cellule, branle le, il aime te regarder faire ça.
Malgré que je sois hétéros, j’obtempérai en saisissant la verge d’Eric entre mes doigts et commençai des vas et viens : décalotte le me dit Eva d’un ton sec, je tirai sur le prépuce et le gland apparu, gonflé et humide de ses sécrétions, en jetant un regard derrière, je vis que Martine s’astiquai la moule, jambes écartées sur le canapé.
Soudain, Eva se mit à vociférer : Mais c’est une petite crade, une sale du cul, regardez mon doigt ,il est couvert de crotte, ah mon salop, tu vas me le payer, Martine, vas chercher le matos, on va lui nettoyer la boite à chocolat et me regardant, elle rajouta : Et toi, la pute, t’es dans le même état, fait voir ton fion que j’te fouille le sphincter : Je me baisse et elle m’enfile son autre index d’une seule traite et le vrille à l’intérieure, Pousse morue, j’vais rentrer profond et la je pousse mais je lâche un pet sans faire exprès : PAF, une beigne sur le cul et Eva de crier,
A l’enculé, il me pette au nez, il a le cul ouvert, il a déjà gouté à la sodo pour être accueillant du p’tit trou, je lui mets un doigt en plus, tiens prend ca la fiotte.
La douleur est vive et 2 doigts me déchire le cul, je proteste que son tour de gardienne est passé, que nous nous sommes pliés à ses exigences, que la partie doit continuer mais rien n'y fait, elle joue son rôle à fond, je reste matonne jusqu’à la fin dit elle, Martine sera mon assistante, je vais vous en faire baver les pédales. Martine arrive avec des poires à lavements, des godes ceintures, on y va, chacun la sienne et joignant le geste à la parole, les harpies nous enfile les canules et nous injectent le liquide dans les intestins, deux poires chacun et vous le gardez ordonnent elles. L’effet est immédiat, je ressens les premières contractions de rejet, Eric se tiens le ventre et les filles jouissent du spectacle en se gouinant comme des furies, gode ceinture à la taille, elles s’enfilent tour à tour, un coup dans la fente, un coup dans le trou de balle, elles se déchirent les orifices, se doigtent, se triturent les seins et nous traitent de culs percés mais le summum n’est pas encore atteint. Elles apportent une cuvette pour que nous nous vidions devant elles, je me précipite, le cul au bord des lèvres, mais Eric aussi et ne pouvant plus nous retenir les lavements s’échappent par giclées spasmodiques et nous nous arrosons l’un et l’autre du contenu de nos intestins, l’odeur est pestilentielle, les garces sont mortes de rire et viennent , jambes écartées, uriner sur nous, Eva nous fait même cadeau d’un pet suivit de l’expulsion d’un étron que nous devons lécher. Affalés dans les excréments, je crois notre supplice terminé quand elles se mettent à nous sucer, caressantes, douces, s’appliquant à nous faire bander mais elles avaient un projet et Eva annonça la couleur : Les mecs, en prison, forment des couples et s’enculent alors vous allez faire pareil, celui qui perdra aux dès fera la femme. Eric fait 2, je fais 4, Martine le fait mettre à 4 pattes et lui vaseline le trou, sodomise le m’ordonne t’elle, après vous nous ferai ce que vous voulez. J’hésite un peu, je sais qu’Eric est vierge de l’anus et qu’il est hétéros convaincu, il me l'a dit un jour qu’il avait la grippe et que le docteur lui avait prescrit des suppositoires et que ne sachant pas les mettre, il m’avait demandé de le faire, j’en avais profité pour lui enfoncer mon doigt entièrement, lubrifié par le suppo, et quand il avait remonté sa culotte, j’avais aperçu un début d’érection et avait avancé ma main pour le masturber, il s’était alors rebiffé et m’avait traité d’homo et que jamais il ne ferait ça. Maintenant, il était la, soumis, le cul offert, le conduit lubrifié, les fesses écartées, en attente de son dépucelage, branlé par Martine et regardant mon dard en érection que j’allais lui rentrer dans le fion, il devait se rappeler l’histoire du suppo, il allait devenir ma femme le temps d’un coït. J’approchais mon gland de sa rosette et appuyais dessus, il se contracta en grognant mais je continuais à forcer, Eva lui dit de pousser comme aux chiottes quand il fait et la rondelle s’ouvrit, aspirant ma bite sur une bonne longueur ce qui lui fit pousser un crie de douleur, la petite porte était passée, je restais immobile, attendant qu’il aille mieux et continuer ma pénétration. C’est lui-même qui me demanda de bouger ce que faisais en commençant de petits allez retour dans son boyau puis de plus en plus vite, je limais son cul, les poils de son anus frottaient ma queue raide du plaisir que je prenais à fourrer un puceau, d’entendre ses gémissements, de plus, Martine me doigtait l’oignon et Eva lui avait donnée sa chatte à bouffer l’extase totale. Par moment, je sortais ma bite entièrement et branlais le sphincter avec mon gland puis le renaitrais jusqu’aux poils du pubis. Martine vint derrière moi et m’encula avec son gode ceinture, de toute la longueur et au bout de quelques coups dans la boite à chocolat me fit décharger dans le ventre d’Eric qui lui se vidât dans la main d’Eva. Plus tard, ce fut le tour des filles, mais c’est une autre histoire.

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