Titre de l'histoire érotique : Un soir au ciné ... - histoire érotique

- Il t’a plu ce film chéri ?
- Passionnant et captivant du début à la fin
- J’ai vu ça, pas un seul regard sur moi, d’habitude j’ai droit a quelques caresses
- Excuse-moi, et toi ? que penses-tu de ce film ?
- Comment te dire … impossible de te citer un passage
- Ah bon ? tu n’as pas accroché ?
- Si mais pour autre chose
- Et quoi donc ?
- Tu n’as même pas remarqué l’homme qui est venu s’assoir à mon côté ?
- Ma foi non…
- Hé bien sache que dès que la lumière s’est éteinte le dos de sa main est venu se coller à ma cuisse que j’avais dénudée a ton attention, ça m’a comme électrisée
- Tu rigole ? !!
- Et comme je ne l’ai pas repoussé il a pris ça pour un consentement
- Je ne te crois pas …
- Il a posé sa main sur mon genou et l’a attiré vers lui pour me les séparer
- Tu plaisante !
- Tu n’as même pas remarqué quand ma respiration s’est emballée ?
- Je n’ai pas remarqué …
- C’est lorsque sa main est remontée entre mes cuisses jusqu'à toucher mon string
- Non mais ??? …..
- Ses ongles l’ont gratté un long moment juste sur ma fente afin de réveiller mon clitoris, de faire ça sans que tu ne remarques rien ça m’a vachement excitée, je me suis avancée sur mon siège, alors il a osé le tirer sur un côté pour m’introduire deux doigt, j’étais carrément liquéfiée et morte de trouille que tu ne t’aperçoives de mon audace, surtout que j’ai poussé un petit cri parce qu’il m’a arraché un poil , en tous cas il sait vachement bien se servir de ses doigts car il m’a faite jouir en silence hélas …
- Tu déconne ou bien tu m’avoue un fantasme ???
- Tu ne me crois pas ? alors regarde ce mec là-bas qui nous observe sur le trottoir d’en face
- C’est lui ? mais je vais lui casser la gueule à ce connard !
- Tu n’en feras rien, au contraire tu vas l’inviter à la maison et nous regarder baiser
- Oublie ! et toi ? tu n’as rien fait avec lui ?
- Je l’ai masturbé aussi, si tu ne me crois toujours pas sent mes doigts, de plus il possède une très belle verge…
- Tu es un sacrée salope !
- Alors ? que décides-tu ? y’a deux cas de figures ou tu l’invite ce soir à la maison ou tu es cocu une de ce jours à l’hôtel, j’ai son numéro sur ce bout de papier
- Tu ferais ça ?
- Jure-moi qu’il ne s’est rien passé avec ta collègue de travail ?
- C’est de l’histoire ancienne
- Une femme n’oublie jamais...
- Donne-moi ce foutu papier je vais l’appeler… hé puis non, reste ici je vais lui parler
- Reste calme chéri, pas la peine de le frapper ...


- Salut Benoit, apparemment ça s’est bien passé ?
- Impec, excuse-moi mais j’ai bien avancé ‘le travail’ !
- Je me suis douté que tu la doigtais à fond lorsque sa main s’est crispée sur ma cuisse, tu veux conclure ce soir ?
- Elle va se laisser baiser en ta présence ?
- C’est bien parti, n’oublie pas que nous ne nous connaissons pas
- Je vais faire gaffe
- Alors suis-moi


- Chérie je te présent Benoit, l’homme audacieux qui ta plotée durant tout le film et qui aimerait te satisfaire pleinement en pleine lumière
- Je ne veux pas d’histoire entre vous messieurs dame
- Ne regrettez rien cher monsieur, vos caresses douces et précises m’ont bien diverties ! mon mari me délaisse un peu ces temps ci
- Nous y allons ? c’est à deux pas
Je jubile intérieurement en les voyant se donner la main pour faire les derniers mètres qui nous reste à faire, elle doit mourir d’envie d’embrasser mon pote, sa petite culotte doit être à tordre, j’ouvre la porte et les invite à entrer
- Fait installer monsieur au salon, j’arrive
- J’aimerais bien faire un brin de toilette …
- N’y pense pas chérie Benoit veux sans doute récolter le fruit de son labeur
- Restez ainsi madame ça ne me dérange absolument pas
- Dans ce cas … je m’appelle Sandra et mon mari Gustave, asseyez-vous, vous désirez boire quelque chose ?
- Plus tard merci, venez près de moi, il aurait été dommage que vous vous laviez, j’ai encore le doux parfum de votre jouissance sur mes doigts
- Je suis encore très mouillée …
- Alors c’est ma langue qui va se faire un plaisir de sécher tout ça, ouvrez vous …
- Gustave va arriver …
- Et alors ? il m’a demandé de venir pour vous satisfaire entièrement devant lui, je vais faire descendre votre joli string pendant que vous déboutonnez votre corsage
- Je suis folle de vous avoir laissé faire au cinéma
- Ouvre les cuisses …. MMMUUUUUUUUMMMMM tu es complètement dilatée… vvvvoooooooooooooooohh
- Ooooooooooohhhhhhhhhoooooooouuuuuuuuiiiiii !
La tête de Benoit disparait sous la jupe évasée de ma femme qui, écartelée, bouche et vagin ouverts lui maintient les lèvres au bon endroit en fermant les yeux, j’ai enfin réussi à l’amener au libertinage ! je ne peux m’empêcher de me branler devant ce spectacle que je croyais impensable hier
Elle a lâché une main pour se triturer un téton, l’orgasme monte, sa gorge se gonfle, elle rougit jusqu’aux oreilles ….
- NNNOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNN !!! OOOOOOOOuuuuuuuiiiiiiiii c’est bbboooooooonnnnn !... excuse-moi chérie de me laisser aller ainsi devant toi
- Regarde ma queue elle te tranquillisera sur mon opinion, ça va Benoit ?
- J’ai failli étouffer mais ça va
- Essuyez-vous le visage avec ce linge
- Merci, j’ai chaud je peux me déshabiller ?
- Pour la suite c’est même conseillé, baisez là sur la moquette elle est maculée de sa mouille, je vais tirer la table basse
- Tu tien vraiment a nous regarder chéri ?
- Tu penses que la levrette que tu adore va me choquer ?
- Je peux ? merci Gustave !
- Expose-nous tes trésors les plus secrets… regardez ça Benoit comment résister à une telle chatte qui suinte encore malgré ton cuni, baisez cette chienne comme elle le mérite
- Après qu’elle m’aura sucé
- Alors je vais aussi profiter de la fête, je vais t’enfiler un moment chérie, suce la belle bite de ton amant
Sa gaine vaginale est gonflée par le désir, je repousse les picots de chair sachant que Benoit mieux monté que moi va la faire défaillir de bonheur, mon œil est attiré par son anus recouvert de mouille qui frémi comme une petite chatte, mon pouce n’a aucune difficulté à faire son passage, sous la surprise ses muscles se resserrent violemment avant de se relâcher totalement... elle est d’accord pour la sodomie …
- Je vais décharger Sandra …
- Ne te retire pas, avale tout son foutre chérie, je vais te laisser la place
- Tu as jouis dans sa chatte ?
- Non, je me réserve pour après... pour une double...
- Aaaaaahhhhhh … je comprends ! ne bouge pas Sandra je vais t’enfiler le con
Malgré mon assentiment mon estomac se noue au moment où Benoit se positionne au cul de ma femme, sa verge impressionnante bat au rythme de son cœur, il approche lentement comme pour me faire profiter de la scène, les mains posées à plat sur les hanches, fixant des yeux son membre raide qui disparait par légers à-coups dans le ventre offert qui se courbe au fur et à mesure de l’intromission
- Vas-y … OOOOOOOOHHHHH ! t’es grroooooooooos !
- Secoue lui le fion, tape aussi fort que tu peux ! je veux entendre tes coups de queue, tu peux lui mettre des doigts au cul j’ai fait le passage
- Je lui étire d’abord le conduit, ensuite je vais la bourrer à ma façon
La queue est désormais entièrement enfouie dans la chatte, il reste collé un moment à elle avant de se retirer quasi entièrement et de se propulser sans prévenir dans un claquement des chairs, Sandra non prévenue s’affale sur la moquette, son amant ne l’a pas lâchée d’un centimètre, vautré sur ma femme il la baise tel un animal en rut, s’aidant de ses ongles, Sandra cherche à ramper sur la moquette pour échapper aux coups de reins virils qu’il lui impose, peine perdue, soudé a son cul benoit lui inflige un sévère châtiment sexuel , les hurlements de mon épouse se transforment peu à peu en chant voluptueux, elle jouit sans interruption avant d’entendre le râle libérateur de son amant, le sperme jaillissant en elle ranime une dernière fois son plaisir intense… elle ne bouge plus … benoit retire lentement sa pine toujours aussi raide, sa respiration redevient régulière, son vagin émet des ‘rots’ disgracieux
- Alors ? satisfait de ma prestation Gustave ?
- Tu me l’as tuée !
- Tu étais prévenu, je suis un dur de la queue ! tu me paie maintenant ?
- Ta gueule ! parle plus bas !
- De quoi parlez-vous ? de payer ?
- C’est rien chérie, ça va ? bien remise ?
- Comme si j’étais passée dans une tornade …bordel, c’est quoi ‘PAYER’ ??????
- Heeeeuuuuu …
- Ton mari m’a proposé du fric pour te sauter
- J’le crois pas ?
- C’est des conneries, nous allons te prendre à deux
- Ah bon ? qui va me sodomiser ?
- Moi, si tu veux chérie...
- Pas question c’est Benoit qui va s’y ‘coller’, si je puis dire
- Et moi ?
- Tu vas te masturber où tu veux mais laisse-moi avec mon amant cette nuit, crois-moi il en aura pour son argent
- Salope ….