Titre de l'histoire érotique : Une collègue de travail - histoire érotique

Il y a quelques années, je travaillais dans un établissement dont le but, était de remettre "sur de bons rails" des jeunes gens "à la dérive". L'équipe encadrante était assez étoffée, se composant surtout d'hommes, anciens militaires pour la plupart, alors que l'équipe enseignante, elle était majoritairement composée de femmes. Certaines d'entre-elles étaient mariées, mères de famille, très "sages", d'autres en revanche, étaient célibataires, par choix, ou à cause des circonstances...

Les horaires et le boulot étaient tels que je ne croisait que très peu les "prof", mais nous avions un directeur de centre, fan de sports qui avait instauré des séances de sport uniquement pour les "cadres", le vendredi Après midi, quand les jeunes étaient repartis chez eux pour le week-end. C'est lors d'une de ces séance que je l'ai remarquée ...
Blonde, cheveux coupés courts, elle faisait 1,55 m, un peu ronde, une poitrine plus que volumineuse, des jambes musclées de sportive.
Pour la partie de volleyball; elle portait un t-shirt ample et un short moulant... Elle avait des fesses assez plates, mais très fermes ...
Après avoir bien transpirés, tous les joueurs et joueuses sont allés se doucher avant de ré-enfiler l'uniforme, chacun dans son bâtiment. Et c'est ainsi que je l'ai vu rentrer dans les sanitaires réservés aux personnel de la direction du centre au moment où je refermais la porte de ma douche.
En me déshabillant, je me suis surpris à l'imaginer nue, se savonnant sous la douche ....
Et tandis que je tentais de raisonner une érection naissante, j'ai vu un pied nu venir presque de mon côté de la cloison, avant qu'une petite culotte en dentelle blanche ne passe furtivement dans mon champ de vision...
Puis, le bruit de l'eau qui coule ....
Une fois ma douche terminée, je me rhabille, pensant aux tâches qui m'attendent puis sort de ma douche ...
J'allais quitter les sanitaires lorsque des coups répétés dans une porte de douche ont attirés mon attention.
Je me suis approché de la source de ce bruit, la porte de la cabine juste à côté celle que je venais d'abandonner...
"Tout va bien" ai-je demandé.
"Je n'arrive pas à ouvrir la porte" répondit la femme qui occupait la cabine.
"Comment ça" interrogeai-je...
"le verrou ne veut pas se débloquer"....
Effectivement, le signal rouge d'occupation était toujours affiché...
"Essayez de le tourner en secouant la porte"...
Rien ...aucun effet ....
"Ne vous en faites pas, j'appelle le service d'entretien"
"J'ai déjà essayé, mais il n'y a personne : la secrétaire m'a dit que l'un est malade et l'autre est en stage"...
"Ne vous en faites pas, le temps d'aller jusqu'à ma voiture et de revenir avec quelques outils, et je vais essayer de vous décoincer"....
Moins de 3 minutes après, j'étais de nouveau devant la porte rebelle.
Après avoir démonté la partie extérieure du verrou......., aucun changement...
"je vais passer par dessus la cloison" annonçai-je, "je vais essayer de démonter le verrou récalcitrant" ....
Et me voici escaladant tant bien que mal la fine paroi ...
La chaleur moite des douche collait ma chemise et mon pantalon à ma peau, et ce qui devait arriver arriva....,
en atterrissant à l’intérieur après mon escalade ..."craaaaack" ....La couture de mon pantalon cède, et le voici qui s'ouvre de la ceinture à la braguette ....
Après un moment de stupeur (partagé) nous avons éclaté de rire .., il faut reconnaitre que ce genre de mésaventure n'arrive pas tous les jours ...
Bref, elle détourne pudiquement le regard en rougissant pendant que je m'active sur le verrou récalcitrant..
Après quelques minutes d'un combat acharné, il finit par rendre les armes et cède enfin.
Me rappelant l'état de mon pantalon, je lui ai alors demandé : "voudriez-vous aller jusqu'à ma voiture pour le rapporter mes affaires de sport, je ne peux pas rester dans cette tenue pour le reste de la journée" ...
"Si vous préférez, j'ai un nécessaire à couture dans mon bureau, je pourrais réparer votre pantalon".
"Je ne voudrais pas abuser"
"C'est la moindre des choses, c'est tout de même à cause de moi si vous êtes dans cet état"...

Ses yeux bleus me fixaient si repentant que j'ai fini par capituler....
"Je vais aller dans mon bureau, et je vous le donnerai" ....
Je suis alors sorti de la cabine, et me suis dirigé vers mon bureau, qui se trouvait, fort heureusement distant des sanitaire d'à peine quelques mètres.
Une fois la porte de mon bureau refermée, j'ai quitté mon pantalon l'ai mis dans un sac (pour un peu de discrétion) et j'ai entrouvert la porte pour le tendre à la collègue que je venais de libérer de sa douche...
C'est ainsi que je me suis retrouvé assis en boxer à mon bureau, porte exceptionnellement fermée (comme si j'étais absent), à attendre que ma collègue effectue la réparation de mon pantalon.

Environ une demi-heure plus tard, quelques coups sont frappés à ma porte ....
Je me garde bien de répondre, celui qui frappait penserai que je ne suis pas là ....
La porte s'ouvre et ma collègue entre et referme la porte avant de me dire, presque en s'excusant, vous ne m'aviez rien dit, alors comme je savais que vous étiez là, je suis entrée ...
Elle restait devant la porte sans bouger, à attendre je ne sais quoi ...
Je lui ai alors machinalement dit de s'assoir pendant que je me rhabille...(la faire sortir aurait fini par, peut être, attirer l'attention...)
"Je vous remercie", lui ais-je alors dit en me levant de mon bureau pour me rhabiller...
Et c'est comme ça qu'elle a pu me découvrir en boxer, manifestement mi-gênée, mi-amusée...
"J'espère que votre femme ne saura pas que je vous ai vu en boxer"... me dit elle alors....
Elle croisant et décroisait ses jambes dans un délicieux crissement de nylon ...
"Je me garderai bien de lui dire.... jalouse comme elle est, elle me ferait une scène" répondis-je en riant....
"Elle n'aurait aucune raison d'être jalouse de moi" précisa-t-elle en me regardant fermer le zip de ma braguette ...
"Je peux vous offrir un café ou un rafraichissement à la fin de la journée pour vous remercier de vos travaux de couture" proposai-je alors ...
"Non, je vous remercie, ce soir, je suis pressée, j'ai un entrainement exceptionnel avec les filles du handball ce soir, sinon, elles vont prendre une déculottée demain ..."
et c'est comme ça que s'est terminée cette journée pleine de surprise...
Le lundi Matin, Elle est venue me voir à mon bureau.
"Votre équipe à gagné samedi" lançai-je ...
"Non, elle ont pris une branlée, enfin je veux dire ...."
"Ne vous en faite pas" la coupai-je, je sais ce que veut dire une branlée et le terme ne me choque pas"....
"Je ... vous voudriez venir prendre l'apéritif chez moi ce soir" me demanda-t-elle en rougissant avant d'ajouter "pour me faire pardonner de vous avoir fait abimer votre pantalon"....
Si vous n'êtes pas pressé de rentrer retrouver votre femme" s'empressa-t-elle d'ajouter ...." enfin...., je veux dire si vous avez un peu de temps" ....
Elle était devenue rouge pivoine ...
"Avec plaisir" répondis-je en riant de sa gène, "ne vous inquiétez pas, mon épouse est partie hier soir aux états unis pour 3 semaines son boulot"....

Et c'est ainsi qu'à la fin de la journée, je l'ai suivie jusqu'à son petit appartement.
Elle vivait dans un deux pièces d'une cinquantaine de mètres carrés, meublé avec gout.
Elle me fit assoir au salon dans un canapé avant de me proposer divers apéritifs.
J'optais pour une vodka orange, puis laissais mes yeux observer la décoration en attendant qu'elle revienne.
Lorsqu’elle est revenue avec le plateau sur lequel étaient posés les bouteilles et les amuses gueules, elle a accroché le bas de sa jupe d'uniforme à un angle de sa table de salon...
Résultat : la jupe qui sagement s'arrêtait sous le genou, était "ouverte" jusqu'à mi-cuisse, ce qui, je dois le reconnaitre, offrait une vision des plus sympathiques.... mais deuxième effet, le plateau supportant les verres et les bouteilles, a atterri sur mes genoux, inondant mon pantalon ainsi que le canapé de diverses boissons ......
.....Moment de stupeur....
"Je suis désolée"!!!!! s'exclama-t-elle,
"Moi pas" rétorquai-je en regardant sa cuisse largement découverte ...
"Donnez moi votre pantalon, je vais vous le nettoyer" me dit-elle...
"Décidément, à chaque fois qu'on est ensemble, vous voulez toujours que je finisse en boxer" dis-je en riant ....
"Je.. je vais vous donner un peignoir" bredouilla-t-elle ...
"Vous m'avez déjà vu dans cette tenue, et vous n'en avez pas perdu la vue" dis-je en me levant pour quitter mon pantalon...
"en revanche" dis-je en le lui tendant, "ce qu'il m'est donné de voir est, de mon point de vue, en très net progrès" ajoutai-je en désignant sa jupe don la couture avait cédée...
Puis, Avisant les taches de jus de fruit sur sa jupe, j'ajoutai : "Si vous devez faire tourner une machine pour laver mon pantalon, je ne saurais que vous conseiller d'y mettre votre jupe également"....
Elle ne s'était visiblement pas rendue compte de l'état de sa jupe ...
Je me demandais bien comment elle allait réagir ....
J'eu alors une excellente surprise ....
"Puisque vous vous retrouvez toujours en boxer quand vous êtes en ma présence, il n'est que justice que nous soyons à égalité" !
Et joignant le geste à la parole, la voilà qui déboutonne sa jupe, descend la fermeture éclair et la fait glisser le long de ses cuisses avant de se retourner pour aller vers la cuisine...
Elle était en collant qui laissait voir sa culotte (très sage) en dentelle.
J'ai ainsi pu admirer ses cuisses musclées, ainsi que ses fesses qui semblaient d'une fermeté incroyable ....
Quand elle est revenue, elle s'est rendue compte que le canapé était trempé, mais également, que sa tenue et son physique ne me laissaient pas indifférent...
Mais, sagement, nous avons pris l'apéritif, comme si de rien était, parlant de choses et d'autres, comme si nous étions dans des tenues très convenables ...
J'ai ainsi appris qu'elle se prénommait Marie (je ne vous dévoilerais pas son vrai prénom), qu'elle travaillait dans ce centre en tant que professeur détachée de l'éducation nationale, (prof de gym.... ce qui expliquait en grande partie la fermeté de son corps ...), Qu'elle avait été violée par Les amis de son fiancé, et que depuis, elle se méfiait des hommes (Aie ... c'était mal engagé....), mais que mon age (celui de son père .... re-aie !!!! ....), et ma bonne éducation la rassurait...
Elle m'a raconté dans le détail son viol, en présence de son fiancé (qui riait beaucoup de la voir violée par 5 de ses amis), qui, alors qu'elle était en larme et pleine de bleus, lui avait demandé si elle avait aimé ....
(l'homme est aujourd'hui en prison pour viol en réunion ....).

Puis, alors que je lui demandais comment elle avait "géré" les jours, les semaines qui ont suivi, m'a répondu que ça lui était arrivé quand elle avait 19 ans, et que 10 ans étaient passé et qu'heureusement pour elle, elle avait eu affaire à des hommes qui s'étaient montrés bien plus délicats, elle qu'elle avait repris du plaisir à faire l'amour ....(ouf ....), surtout avec des hommes plus âgés qu'elle ...(tient tient ... très intéressant ....!), mais que depuis ce viol, elle ne supportait pas l'idée de la sodomie.....

Il faut vous préciser que la tournure que prenait cette conversation réveillait ma libido, et que j'avais beaucoup de mal à cacher la bosse qui commençait à déformer mon boxer....

Alors que je me lançais dans une théorie sur l'état d'esprit de certains hommes, etc..., surtout pour penser à autre chose qu'a ses cuisses à portées de main et à son décolleté que je venais tout juste de remarquer (je vous laisse imaginer ce que son 100"E" pouvait avoir comme effet dans mon boxer....., elle m'interrompit soudainement, pour me demander...

"Comment me trouvez vous" ?

La question me pris de court ....

"euh.... très jolie" .....

"Mais encore...."?

je tentai alors de m'en "sortir" par une boutade : "Bien plus jolie qu'en temps normal, mais encore très habillée" ....

Qu'est-ce qui m'était passé par la tête de lui répondre ça ....

Elle se mit à rire....

"C'est vrai que par rapport à vous, je suis plus couverte, ce n'est pas équilibré"...

Et tandis que je me demandais ce qu'elle pouvait bien entendre par "ce n'est pas équilibré", elle se leva et quitta son collant .....

La situation dérapait.....pour mon plus grand plaisir, car son corps ferme commençait à m'exciter terriblement.....

Je décidais alors de "jouer mon va tout" ...

"Si vous allez par là, vous portez encore un vêtement de plus que moi... je n'ai que mon boxer et ma chemise, alors que vous ....."

"Exact" dit-elle.... "accordez moi un instant ....

Et elle s'éclipsa dans sa chambre, pour revenir quelques minutes plus tard, toujours en culotte en dentelle et en chemisier ...., mais visiblement, elle ne portait plus rien sous son chemisier ...

Mon érection devint alors totalement incontrôlable ...

"jeu de la vérité" ! annonçai-je alors ...

"Où cela va nous emmener" ?

"Je ne sais pas" dit elle ... puis elle déboutonna un bouton de son chemisier, agrandissant ainsi son décolleté avant de préciser "chaque mensonge occasionne une pénalité, c'est pour ça que j'ai fait sauter un bouton" ...

puis elle me demanda : "vous aviez remarqué que je vous regardais depuis le match de volley" ???

"euh ... non" .....

"Vous avez envie de coucher avec moi " demandai-je alors ...

"pas du tout" ! un nouveau bouton sautait ...

Son décolleté devenait très très attirant, puisque seuls trois boutons retenaient encore le chemisier; et mes yeux pouvaient admirer la courbe affriolant de ses seins qui se touchaient, serrés qu'ils étaient encore dans le chemisier .......

"Et vous, vous avez envie de moi" ?

"Non, pas du tout" ! dis-je en faisant sauter à mon tour un bouton ...

"deux boutons, vous avez menti deux fois ..... "

"Comment ça : deux fois"???

"bah oui, vous avez dit non, et puis pas du tout ..... ça fait deux mensonges" ...

J’acquiesçais de la tête en défaisant un deuxième bouton...

"Je ne vous pensais pas si joueuse" ....!

"Ça n'est pas une question ça ..."

"ok ...alors : vous êtes joueuse" ????

"Non, non, pas du tout" me répondit-elle avec un grand sourire avant de se lever, et de défaire un a un les trois boutons restant ....

Son chemisier s'écartait maintenant sous la "pression de sa somptueuse poitrine, mais sans la dévoiler, c'était d'un érotisme torride ....Mon sexe me faisait mal, malgré le tissus élastique du boxer ...

Alors, Elle vint vers moi, me pris par la main et m'entraina vers sa chambre ....

Je ne pu résister plus longtemps, et je la pris dans mes bras, écrasant mes lèvres sur les siennes, glissant une main dans son dos sous le chemisier...

Elle avait une peau d'une douceur infinie ...

Je laissais mes mains s'égarer dans son dos et sur ses hanches quand elle me fit basculer sur le lit ...

Elle vint ensuite sur moi, continuant à m'embrasser fougueusement tandis que mes mains découvraient les courbes de ses hanches, puis de ses fesses .....

Elle se redressa ensuite pour finir de déboutonner ma chemise, j'en profitai pour écarter son chemisier afin de découvrir ses seins...

Je fis glisser son chemisier de ses épaules tandis qu'elle se démenait à me débarrasser de la mienne ...

Mes mains se plaquèrent sur ses seins que je me mis à caresser avec délice, ils étaient aussi lourds que fermes, elle se pencha alors pour frotter sa culotte sur mon boxer ..., ou plutôt sur l'énorme bosse qui le déformait ...

mes mains descendirent sur ses hanches tandis que ma bouche explorait à son tour les courbes affolantes de sa poitrine, embrassant ses seins, aspirant ses tétons, ma langue les faisant rouler ...

Je devenais fou .....

Elle descendit petit à petit embrassant mon torse, mon ventre, descendant inexorablement pour mon plus grand plaisir....

Ses mains accrochèrent l'élastique de mon boxer, et le descendirent, libérant mon sexe qui jaillt de sa prison comme un diable sortant de sa boite !!!

Je tentai alors de lui enlever sa dernière barrière , mais en vain..., pressants es seins l'un contre l'autre, elle enserra ma queue dans une cravate de notaire délicieuse, donnant de petits coups de langue à chaque fois que mon gland arrivait à portée de sa bouche...

Ses seins se "huilaient" des sécrétions qui suintaient de mon gland, je me contentais de caresser ses cheveux, en savourant son savoir faire ....J'étais au bord de l'explosion ... aussi arrêta-t-elle quelques instant en me regardant dans les yeux, Cherchant dans mon regard, la réponse à sa question muette : "aimez-vous ce que je viens de vous faire" .....?

Satisfaite de ce qu'elle lu, elle s'allongea à côté de moi, et entama une fellation lente et profonde, sa langue jouant avec mon gland ....

Je réussis à glisser une main entre ses cuisses pour la caresser.....par dessus la dentelle trempée, puis, écartant le fin tissus, mes doigts découvrirent son sexe aussi dégoulinant que lisse !!!!!

Quand deux de mes doigts se sont introduits dans sa grotte, elle a laissé un gémissement fabuleusement excitant de ses lèvres, puis, après quelques instants, elle s'est relevée, abandonnant sa fellation, pour se débarrasser de sa petite culotte...

Alors que je lui caressais la cuisse, elle vint se "couler" au dessus de moi, caressant mon sexe de sa langue, puis de ses seins, de son ventre, avant de l'embrasser de ses lèvres intimes ...

Puis, m'embrassant à pleine bouche, elle guida mon gland entre ses lèvres, puis s'empala en poussant un soupir d'extase.....

Elle se redressa alors, s'appuya de ses mains sur mon torse, et commença à onduler du bassin, lentement, gémissant à chaque fois que mon sexe s'enfonçait entre ses cuisses...

après un moment de ce "traitement" d'une lenteur diabolique, elle accéléra la cadence....

S'en suivit une chevauchée fantastique, de plus en plus "sauvage", ou son bassin montait et descendait, l’embrochant de plus en plus lourdement sur mon pieu, ses seins dansaient au rythme de ce rodéo, ballotant en tous sens... je les attrapais dans mes mains pour les malaxer pendant que je me "faisais baiser"... et déclenchant un nouveau gémissement...

Mes bourses claquaient contre ses fesses, mes mains malaxaient sa poitrine si fabuleuse, je sentais venir mon orgasme.....

Impossible de lui faire ralentir sa chevauchée ....

Alors, je décidai de me laisser aller, triturant ses tétons de plus belle, donnant de furieux coups de reins....

Puis, elle a poussé un feulement déchirant en sentant mon jus envahir son ventre, son sexe se contractant spasmodiquement autour du mien comme pour en extraire jusqu'à la dernière goutte ....

Puis, elle s'est écroulée sur moi, toujours embrochée, tremblante de tous ses membres .... reprenant sa respiration en lovant sa tête dans mon cou ....

Elle m'avait épuisé !!!!!

Aussi ne fus-je pas fâché quand elle m'a dit : " je n'ai pas envie que vous restiez ce soir" ....

"Peut être pourrions nous nous tutoyer maintenant ...."?

"Tu as raison....! tu veux prendre une douche avant de partir" ....?

Ce que je fis ...

En la laissant pour rentrer chez moi, je lui dit simplement : "A demain" ...

Elle me répondit simplement : "Si tu as envie, tu peux venir me réveiller de temps en temps .... même quand ta femme sera rentrée ...."

et je suis rentré chez moi, ravi de cette soirée due à une simple serrure récalcitrante ....(ou pas ...)



Je tiens à préciser que la visite médicale d'embauche dans cet établissement était tellement "poussée" que les personnels embauchés étaient exempts de toute maladie sexuellement transmissible
ce qui explique l'absence d'usage de préservatif ...
(Sortez couverts)