Titre de l'histoire érotique : Une croière fabuleuse - ( 3 / 3 ).
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Une croière fabuleuse - ( 3 / 3 ).
La nuit est calme… sans rêve… mais ne suis-je pas comblée de sensations.
La journée du lendemain se passe comme un charme…
Nous faisons escale dans une petite crique et nous en profitons pour nous baigner et faire de la bronzette sur le sundeck…
L’ambiance est sereine et propice au farniente.
Même Papa se joint à nous en disant qu’il sera temps de voir et de répondre à ses mails après le diner…
Prétexte !
La nuit est tombée depuis quelques temps et j’ai retrouvé Armando sur le sundeck où nous nous envoyons en l’air une nouvelle fois.
Avant de nous quitter, il me remet un Plug en silicone presque deux fois plus gros que le premier en disant :
• Puisque tu as semblé apprécier d’être prise par derrière par Serge, sache que tu rencontreras des bites bien plus grosses que la sienne et tu risques d’être sodomisée plus brutalement ! Il faut que tu habitues ton sphincter à des diamètres plus conséquents.
• Oh, je vois où tu veux en venir…
• Non… ce n’est pas obligatoirement de moi dont je veux parler… Ce sera suivant les circonstances !
Le lendemain matin, je m’éveille de bonne et quand je débouche dans la coursive, je vois Myriam sortir de la cabine de mes parents.
Devant ma mimique interrogative, elle éclate de rire en disant :
• Je te raconterai plus tard… Pour le moment j’ai besoin… d’une bonne douche et de D O R M I R !
Elle épelle le dernier mot à mi-voix et entre dans sa cabine.
Elle n’a quand même pas passé la nuit avec mon père ?
Où était ma mère pendant ce temps ?
Bruno avait pris son quart à 6 heures du matin…
Curieux !
Jusqu’à la sieste, je suis rongée par la curiosité… mais je me suis occupée de mon cul, introduisant d’abord à sec la petit Plug et quand mon anneau a été bien distendu, j’ai graissé le second avec du gel, tout en oubliant pas les conseils de Serge : injecter une bonne dose de gel dans le sphincter avant toute pénétration anale artificielle ou naturelle… comme cela, le vit entre plus facilement, il n’y a qu’au moment du passage de l’anneau où une légère douleur est possible !
Je recommence cette opération à plusieurs reprises et la dernière fois avant le repas, je me suis envoyée en l’air toute seule en faisant aller et venir le Plug dans mon boyau serré et me caressant la chatte qui ruisselait de désir…
Lorsque je monte pour le repas de midi, je conserve le Plug enfoncé au plus profond de mon cul !
Je fais attention à ne pas trop tortiller du cul pour qu’on ne devine pas ma situation…
Quelle salope je fais !
Après la réputation de « bonne pipeuse », vais-je aussi devenir « une catin à enculer » ?
On n‘en est pas encore là… Il n’y a qu’une bite qui est entrée dans mon fondement… et j’ai apprécié !
Myriam et moi, nous montons sur le sundeck mais nous restons abritées par la toile d’un auvent…
Le soleil tape vraiment trop fort…
Aussitôt que nous sommes loin des oreilles éventuellement indiscrètes (mais compte-tenu de l’ambiance SEXE… cela ne gênerait pas…) je l’interroge :
• Alors… Raconte…
• Tu te doutes bien que j’ai rejoint ton père dans sa cabine quand il a dit aller voir ses mails… C’était la phrase convenue entre nous…
• Je m’en doute… Ma mère était occupée avec Bruno dans sa cabine… Vous étiez tranquilles !
• Oui, je sais mais cela a été trop bref ou alors, elle a du se douter de quelque chose car elle nous a surpris en pleine action !
• Waouh… Tu as du passer un mauvais quart d’heure !
• Et bien NON… En fait nous avons passé la nuit tous les trois… et je ne te dis pas quelles jouissances nous avons eu ! Quand ta mère est entrée dans la cabine, elle n’a pas semblée surprise… Elle a même dit qu’elle s’en doutait ! J’étais nue à quatre pattes et ton père me baisait en levrette… Ta mère s’est désapée rapidement… En fait elle n’avait que sa robe… et elle s’est glissée sous moi pour voir le sexe de son mari aller et venir dans ma chatte… La situation était excitante au possible…
• Que s’est-il passé ensuite ? J’ai hâte de savoir…
• J’ai senti ta mère tripoter les couilles de ton père d’une main pendant que de l’autre elle massait mon clito… C’était dingue… C’était la première fois qu’une autre femme me touchait de cette manière… et çà m’a fait partir presque tout de suite !
• Donc tu as pris ton pied sans que mon père ne jouisse ?
• Oui… c’est çà ! Quand il est sorti de ma chatte, il bandait ferme mais il a traité ta mère de catin… qu’elle allait dérouiller !
• Comment çà ?
• Laisse-moi continuer… Il nous a fait mettre à genoux devant lui qui se tenait debout, la bite dressée… et il nous a obligé à la sucer ensemble… mais ta mère n’a pas fait que le sucer… elle m’a embrassée en me disant que nous allions passer une nuit d’enfer… Pendant ce temps, elle caressait ma chatte qui ruisselait de plaisir… Je n’aurais jamais cru cela possible… qu’une femme me donne autant de plaisir…
• Bah… Nous avons assez de copines qui se contentent ainsi ! Certaines sont même bisexuelles, couchant aussi bien avec des filles que des garçons !
• Pour moi c’était nouveau… Ne me dis pas que tu es comme çà ?
• Non… bien sur… mais je ne serais pas contre une expérience homosexuelle, juste pour voir commet c’est…
• Donc nous pompions ton père à deux, nous passant sa bite à tour de rôle mais nous avons cessé… Ta mère tout comme moi, nous ne voulions pas qu’il gicle dans le vide ou dans la bouche de l’une ou l’autre. Il nous a fait nous placer côte à côte à genoux sur la moquette dans la même position que j’avais quand ta mère nous a surpris…
• Ça devait faire un beau contraste, une brune et une fausse blondasse !
• Laisse-moi continuer !
• Que s’est-il passé ensuite ?
• Ton père nous a caressé le cul en disant que nous avions de belles miches, que baiser en levrette, c’était bon pour des chiennasses comme nous… Il glissait une main dans notre raie et il a découvert que sa femme avait la chatte pleine de foutre ! Il s’est écrié que si elle n’en avait pas eu assez, elle allait être servie !
• Ne me dis pas que mon père est passé derrière Bruno…
• Si… mais il n’a pas pris le même chemin !
• Explique !
• Après quelques allers retours dans le sexe de sa femme, il est sorti et il a placé son gland contre la rosette… il lui a suffi d’une poussée pour se loger au fond du cul de ta mère… Je n’avais jamais vu cela… et il l’a enculée jusqu’à éjaculer dans son cul et finir par deux ou trois belles giclées sur les reins de ta mère et les miens… Pendant qu’il enculait ta mère (en passant… elle m’a semblé apprécier…), il me tripotait la chatte, introduisant presque sa main entière… si bien que j’ai joui également…
• Rien que de t’entendre, tu me fais mouiller… Comme cela mon père t’a fistée ?
• Attends, la nuit n’était pas finie ! Il a ordonné à ta mère de me lécher pour me montrer comment deux femmes peuvent se contenter en ajoutant que cela allait l’exciter et qu’il nous baiserait encore un peu plus tard !
• Waouh… Je savais qu’ils étaient pervers pour se livrer à l’échangisme, mais de là à ce que ma mère te mange la chatte…
• Tu ne peux pas savoir comme c’est bon… si j’avais su… Elle m’a allongée en travers de la couchette puis m’a écarté les cuisses… J’ai senti son souffle sur mon pubis puis des doigts écarter mes lèvres intimes… Ensuite, c’est avec sa langue que ta mère est allée débusquer mon clito qui n’attendait que cela, à demi sorti de son capuchon… La langue allait et venait dans ma fente et s’introduisait en moi aussi loin que possible…
• Waouh… ce devait être jouissif ! Certainement meilleur qu’avec les doigts !
• C’est peu dire… mais ta mère m’a dit que cette démonstration n’était que des prémices… que nous allions nous mettre en 6 9 et nous satisfaire mutuellement pendant que ton père reprendrait vigueur ! En fait, peu de temps avant que le plaisir nous prenne, ton père, qui nous observait en masturbant sa belle queue, est venu se placer devant moi pour que je le suce et achève de le faire bander ! J’avais sa queue en gros plan… et quelle queue !
• Tu sais, j’en connais une qui n’est pas mal nous plus… D’ailleurs son possesseur ne m’a prise qu’en cavalière, en amazone ou en cuiller arrière car il veut que ce soit moi qui sente sa pénétration !
• Waouh… Il doit être sacrément membré ! Mais revenons à nos moutons… si on peut dire ! Quand ton père a jugé qu’il était à point, il est venu derrière moi et m’a enfoncé sa bite jusqu’au plus profond de ma chatte… Ta mère continuait de me bouffer le clito et je peux te dire que j’ai pris un pied d’enfer !
• Tu m’en diras tant ! Vous avez dormi ensemble ?
• Oui… et ce matin, ton père m’a baisée encore une fois… juste avant que je sorte de la cabine.
• On peut dire que tu as passé une fameuse nuit… mais je n’ai pas été en manque… J’ai expérimenté la double pénétration : Pendant que je chevauchais Armando qui me baisait, Serge s’est occupé de mon cul… et je dois te dire que j’ai moi aussi apprécié !
La journée s’achève… La soirée est calme… Les trois femelles du bord sont rassasiées et n’ont pas soif de luxure !
La croisière se poursuit comme prévu entre farniente, nage et plongée mais aussi de bonnes parties de jambes en l’air…
Jusqu’au dernier soir, nous sommes passés de l’un à l’autre… Myriam se partageait entre mon père et les deux marins…qui l’ont prise en double… l’un dans sa chatte, l’autre se faisant sucer jusqu’à se lâcher dans sa bouche !
Ma mère a baisé avec Armando, Myriam s’est fait défoncer par Bruno et Serge le même soir…
Gilles s’est enfin décidé et il est venu me rejoindre dans ma cabine où il m’a démontée à trois reprises la même nuit…
Serge n’a pas été en reste pour venir voir quels étaient mes progrès en matière de sodomie…
Et le dernier soir, Armando est venu me rejoindre dans ma cabine…
Il m’a dit :
• Je sais que le Second et Gilles t’ont baisée par derrière… Ta mère se partage entre le Capitaine et son mari… Je viens à ton secours !
• Oh oui… Pour cette dernière nuit, je suis entièrement à toi ! Fais de moi ce que tu veux… Je suis ta chienne !
• Tu ne crois pas si bien dire !
• Pourquoi ?
• C’est ton cul qui va déguster ce soir !
• Ah… Enfin… Je pense qu’il est prêt à t’accueillir !
• Alors… à genoux sur la couchette !
J’ai pris la position demandée, les bras en appui sur l’étagère au dessus de la couchette.
J’étais entièrement nue sauf un string minuscule dont la bande centrale cachait le Plug qui était enfoncé dans mon sphincter.
Armando s’est déshabillé en quelques secondes…et a ôté mon string.
Il bandait déjà… bien ferme !
Il est monté sur la couchette et a pénétré ma chatte d’une longue poussée…
Humm… Que c’était bon ! Pendant qu’il me baisait, il agitait le jouet qui occupait la porte arrière, le faisant aller et venir au gré de son envie…
Il ne m’a pas fallu longtemps pour que ce double traitement m’envoie une première fois au 7ème ciel !
Armando bandait encore… quand il m’a demandée :
• Prête ?
• Oouuuiii !
Il a retiré le Plug, il est sorti de ma chatte… et après m’avoir injecté une bonne dose de gel, il a posé son gland à l’entrée de mon boyau arrière.
• Vas-y… Ne me fait pas attendre !
J’ai senti le gland passer… J’appréhendais la suite puis c’est tout le membre qui est entré lentement en moi…
• Vas-y… le gland est entré… ne me fait pas languir !
• ---.---.---.
• Oh oui… Je la sens passer… c’est… booooooon !
• ---.---.---.
• Je suis ta chiennasse ! Saute-moi comme une catin que je suis...
• ---.---.---.
• Oooohhh ! que c’est bon… Tu remplis bien mon cul !
J’avais l’impression de manquer d’air… mais Armando qui ne disait rien, m’a laissé le temps de m’habituer à sa présence avant de commencer les va-et-vient, lentement d’abord puis de plus en plus vite…
Son sexe ressemblait à un piston bien huilé…
Je ne cessais de l’encourager…
Je sentais la jouissance monter dans mon ventre…
Elle a éclaté soudainement dans un grand rugissement que tout le bateau a du entendre et nous nous sommes écroulés, emmêlés sur la couchette pendant qu’Armando se répandait dans mon boyau !
En moi-même, je pensai à ce moment-là qu’il fallait que je reste en contact avec cet amant… que jamais je ne trouverais un si bon baiseur… Je l’avais sucé, il m’avait pris la chatte à la cavalière ou en amazone, il venait de m’ouvrir le cul comme jamais…
Quel pied… Je recommencerai !
Armando est resté quelques temps avec moi et pour le remercier, je l’ai sucé, déployant tout mon art se suceuse : jeux de langue sur le méat, gobage du gland entre les lèvres, introduction de la tige jusqu’au plus profond de ma bouche, retour sur le mat, et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il gicle sur mes seins…
Lors du petit déjeuner du dernier matin, nous étions réunis à quatre, mes parents, Myriam et moi.
Ma mère a pris la parole en s’adressant à moi :
• Je savais que tu étais déjà une belle coquine car certains de tes copains avec qui j’ai baisé se sont vantés de tes performances… Mais il te manquait quelque chose… Ces quinze jours ont conforté tes dispositions pour nous suivre ton père et moi sur les chemins de la luxure… Nous te ferons connaitre à toi et à Myriam les amis et les clubs que nous fréquentons… Je suis certaine que vous apprécierez… Vous vous doutez bien que l’équipage a été composé pour le but que ton père et moi recherchions ! Quant à ton cadeau… Il a été livré dans le garage pendant notre absence !
Quand, quelques heures plus tard, nous avons débarqué.
Myriam et moi, nous n’étions plus ces oies blanches (juste un peu chaudes et coquines)… mais de véritables salopes… si nous pouvions adopter ce qualificatif…
Nous étions déjà de fieffées garces avant cette croisière…
L’une et l’autre, nous avions eu tous les hommes du bord dans notre chatte, notre cul ou dans notre bouche…
Je dois la retrouver bientôt pour qu’elle me fasse partager une expérience lesbienne…
Je me vois mal être initiée par ma mère…
Cela manque au tableau !
D’après ma mère, en quelques séances, elle a fait beaucoup de progrès…
FIN.
La journée du lendemain se passe comme un charme…
Nous faisons escale dans une petite crique et nous en profitons pour nous baigner et faire de la bronzette sur le sundeck…
L’ambiance est sereine et propice au farniente.
Même Papa se joint à nous en disant qu’il sera temps de voir et de répondre à ses mails après le diner…
Prétexte !
La nuit est tombée depuis quelques temps et j’ai retrouvé Armando sur le sundeck où nous nous envoyons en l’air une nouvelle fois.
Avant de nous quitter, il me remet un Plug en silicone presque deux fois plus gros que le premier en disant :
• Puisque tu as semblé apprécier d’être prise par derrière par Serge, sache que tu rencontreras des bites bien plus grosses que la sienne et tu risques d’être sodomisée plus brutalement ! Il faut que tu habitues ton sphincter à des diamètres plus conséquents.
• Oh, je vois où tu veux en venir…
• Non… ce n’est pas obligatoirement de moi dont je veux parler… Ce sera suivant les circonstances !
Le lendemain matin, je m’éveille de bonne et quand je débouche dans la coursive, je vois Myriam sortir de la cabine de mes parents.
Devant ma mimique interrogative, elle éclate de rire en disant :
• Je te raconterai plus tard… Pour le moment j’ai besoin… d’une bonne douche et de D O R M I R !
Elle épelle le dernier mot à mi-voix et entre dans sa cabine.
Elle n’a quand même pas passé la nuit avec mon père ?
Où était ma mère pendant ce temps ?
Bruno avait pris son quart à 6 heures du matin…
Curieux !
Jusqu’à la sieste, je suis rongée par la curiosité… mais je me suis occupée de mon cul, introduisant d’abord à sec la petit Plug et quand mon anneau a été bien distendu, j’ai graissé le second avec du gel, tout en oubliant pas les conseils de Serge : injecter une bonne dose de gel dans le sphincter avant toute pénétration anale artificielle ou naturelle… comme cela, le vit entre plus facilement, il n’y a qu’au moment du passage de l’anneau où une légère douleur est possible !
Je recommence cette opération à plusieurs reprises et la dernière fois avant le repas, je me suis envoyée en l’air toute seule en faisant aller et venir le Plug dans mon boyau serré et me caressant la chatte qui ruisselait de désir…
Lorsque je monte pour le repas de midi, je conserve le Plug enfoncé au plus profond de mon cul !
Je fais attention à ne pas trop tortiller du cul pour qu’on ne devine pas ma situation…
Quelle salope je fais !
Après la réputation de « bonne pipeuse », vais-je aussi devenir « une catin à enculer » ?
On n‘en est pas encore là… Il n’y a qu’une bite qui est entrée dans mon fondement… et j’ai apprécié !
Myriam et moi, nous montons sur le sundeck mais nous restons abritées par la toile d’un auvent…
Le soleil tape vraiment trop fort…
Aussitôt que nous sommes loin des oreilles éventuellement indiscrètes (mais compte-tenu de l’ambiance SEXE… cela ne gênerait pas…) je l’interroge :
• Alors… Raconte…
• Tu te doutes bien que j’ai rejoint ton père dans sa cabine quand il a dit aller voir ses mails… C’était la phrase convenue entre nous…
• Je m’en doute… Ma mère était occupée avec Bruno dans sa cabine… Vous étiez tranquilles !
• Oui, je sais mais cela a été trop bref ou alors, elle a du se douter de quelque chose car elle nous a surpris en pleine action !
• Waouh… Tu as du passer un mauvais quart d’heure !
• Et bien NON… En fait nous avons passé la nuit tous les trois… et je ne te dis pas quelles jouissances nous avons eu ! Quand ta mère est entrée dans la cabine, elle n’a pas semblée surprise… Elle a même dit qu’elle s’en doutait ! J’étais nue à quatre pattes et ton père me baisait en levrette… Ta mère s’est désapée rapidement… En fait elle n’avait que sa robe… et elle s’est glissée sous moi pour voir le sexe de son mari aller et venir dans ma chatte… La situation était excitante au possible…
• Que s’est-il passé ensuite ? J’ai hâte de savoir…
• J’ai senti ta mère tripoter les couilles de ton père d’une main pendant que de l’autre elle massait mon clito… C’était dingue… C’était la première fois qu’une autre femme me touchait de cette manière… et çà m’a fait partir presque tout de suite !
• Donc tu as pris ton pied sans que mon père ne jouisse ?
• Oui… c’est çà ! Quand il est sorti de ma chatte, il bandait ferme mais il a traité ta mère de catin… qu’elle allait dérouiller !
• Comment çà ?
• Laisse-moi continuer… Il nous a fait mettre à genoux devant lui qui se tenait debout, la bite dressée… et il nous a obligé à la sucer ensemble… mais ta mère n’a pas fait que le sucer… elle m’a embrassée en me disant que nous allions passer une nuit d’enfer… Pendant ce temps, elle caressait ma chatte qui ruisselait de plaisir… Je n’aurais jamais cru cela possible… qu’une femme me donne autant de plaisir…
• Bah… Nous avons assez de copines qui se contentent ainsi ! Certaines sont même bisexuelles, couchant aussi bien avec des filles que des garçons !
• Pour moi c’était nouveau… Ne me dis pas que tu es comme çà ?
• Non… bien sur… mais je ne serais pas contre une expérience homosexuelle, juste pour voir commet c’est…
• Donc nous pompions ton père à deux, nous passant sa bite à tour de rôle mais nous avons cessé… Ta mère tout comme moi, nous ne voulions pas qu’il gicle dans le vide ou dans la bouche de l’une ou l’autre. Il nous a fait nous placer côte à côte à genoux sur la moquette dans la même position que j’avais quand ta mère nous a surpris…
• Ça devait faire un beau contraste, une brune et une fausse blondasse !
• Laisse-moi continuer !
• Que s’est-il passé ensuite ?
• Ton père nous a caressé le cul en disant que nous avions de belles miches, que baiser en levrette, c’était bon pour des chiennasses comme nous… Il glissait une main dans notre raie et il a découvert que sa femme avait la chatte pleine de foutre ! Il s’est écrié que si elle n’en avait pas eu assez, elle allait être servie !
• Ne me dis pas que mon père est passé derrière Bruno…
• Si… mais il n’a pas pris le même chemin !
• Explique !
• Après quelques allers retours dans le sexe de sa femme, il est sorti et il a placé son gland contre la rosette… il lui a suffi d’une poussée pour se loger au fond du cul de ta mère… Je n’avais jamais vu cela… et il l’a enculée jusqu’à éjaculer dans son cul et finir par deux ou trois belles giclées sur les reins de ta mère et les miens… Pendant qu’il enculait ta mère (en passant… elle m’a semblé apprécier…), il me tripotait la chatte, introduisant presque sa main entière… si bien que j’ai joui également…
• Rien que de t’entendre, tu me fais mouiller… Comme cela mon père t’a fistée ?
• Attends, la nuit n’était pas finie ! Il a ordonné à ta mère de me lécher pour me montrer comment deux femmes peuvent se contenter en ajoutant que cela allait l’exciter et qu’il nous baiserait encore un peu plus tard !
• Waouh… Je savais qu’ils étaient pervers pour se livrer à l’échangisme, mais de là à ce que ma mère te mange la chatte…
• Tu ne peux pas savoir comme c’est bon… si j’avais su… Elle m’a allongée en travers de la couchette puis m’a écarté les cuisses… J’ai senti son souffle sur mon pubis puis des doigts écarter mes lèvres intimes… Ensuite, c’est avec sa langue que ta mère est allée débusquer mon clito qui n’attendait que cela, à demi sorti de son capuchon… La langue allait et venait dans ma fente et s’introduisait en moi aussi loin que possible…
• Waouh… ce devait être jouissif ! Certainement meilleur qu’avec les doigts !
• C’est peu dire… mais ta mère m’a dit que cette démonstration n’était que des prémices… que nous allions nous mettre en 6 9 et nous satisfaire mutuellement pendant que ton père reprendrait vigueur ! En fait, peu de temps avant que le plaisir nous prenne, ton père, qui nous observait en masturbant sa belle queue, est venu se placer devant moi pour que je le suce et achève de le faire bander ! J’avais sa queue en gros plan… et quelle queue !
• Tu sais, j’en connais une qui n’est pas mal nous plus… D’ailleurs son possesseur ne m’a prise qu’en cavalière, en amazone ou en cuiller arrière car il veut que ce soit moi qui sente sa pénétration !
• Waouh… Il doit être sacrément membré ! Mais revenons à nos moutons… si on peut dire ! Quand ton père a jugé qu’il était à point, il est venu derrière moi et m’a enfoncé sa bite jusqu’au plus profond de ma chatte… Ta mère continuait de me bouffer le clito et je peux te dire que j’ai pris un pied d’enfer !
• Tu m’en diras tant ! Vous avez dormi ensemble ?
• Oui… et ce matin, ton père m’a baisée encore une fois… juste avant que je sorte de la cabine.
• On peut dire que tu as passé une fameuse nuit… mais je n’ai pas été en manque… J’ai expérimenté la double pénétration : Pendant que je chevauchais Armando qui me baisait, Serge s’est occupé de mon cul… et je dois te dire que j’ai moi aussi apprécié !
La journée s’achève… La soirée est calme… Les trois femelles du bord sont rassasiées et n’ont pas soif de luxure !
La croisière se poursuit comme prévu entre farniente, nage et plongée mais aussi de bonnes parties de jambes en l’air…
Jusqu’au dernier soir, nous sommes passés de l’un à l’autre… Myriam se partageait entre mon père et les deux marins…qui l’ont prise en double… l’un dans sa chatte, l’autre se faisant sucer jusqu’à se lâcher dans sa bouche !
Ma mère a baisé avec Armando, Myriam s’est fait défoncer par Bruno et Serge le même soir…
Gilles s’est enfin décidé et il est venu me rejoindre dans ma cabine où il m’a démontée à trois reprises la même nuit…
Serge n’a pas été en reste pour venir voir quels étaient mes progrès en matière de sodomie…
Et le dernier soir, Armando est venu me rejoindre dans ma cabine…
Il m’a dit :
• Je sais que le Second et Gilles t’ont baisée par derrière… Ta mère se partage entre le Capitaine et son mari… Je viens à ton secours !
• Oh oui… Pour cette dernière nuit, je suis entièrement à toi ! Fais de moi ce que tu veux… Je suis ta chienne !
• Tu ne crois pas si bien dire !
• Pourquoi ?
• C’est ton cul qui va déguster ce soir !
• Ah… Enfin… Je pense qu’il est prêt à t’accueillir !
• Alors… à genoux sur la couchette !
J’ai pris la position demandée, les bras en appui sur l’étagère au dessus de la couchette.
J’étais entièrement nue sauf un string minuscule dont la bande centrale cachait le Plug qui était enfoncé dans mon sphincter.
Armando s’est déshabillé en quelques secondes…et a ôté mon string.
Il bandait déjà… bien ferme !
Il est monté sur la couchette et a pénétré ma chatte d’une longue poussée…
Humm… Que c’était bon ! Pendant qu’il me baisait, il agitait le jouet qui occupait la porte arrière, le faisant aller et venir au gré de son envie…
Il ne m’a pas fallu longtemps pour que ce double traitement m’envoie une première fois au 7ème ciel !
Armando bandait encore… quand il m’a demandée :
• Prête ?
• Oouuuiii !
Il a retiré le Plug, il est sorti de ma chatte… et après m’avoir injecté une bonne dose de gel, il a posé son gland à l’entrée de mon boyau arrière.
• Vas-y… Ne me fait pas attendre !
J’ai senti le gland passer… J’appréhendais la suite puis c’est tout le membre qui est entré lentement en moi…
• Vas-y… le gland est entré… ne me fait pas languir !
• ---.---.---.
• Oh oui… Je la sens passer… c’est… booooooon !
• ---.---.---.
• Je suis ta chiennasse ! Saute-moi comme une catin que je suis...
• ---.---.---.
• Oooohhh ! que c’est bon… Tu remplis bien mon cul !
J’avais l’impression de manquer d’air… mais Armando qui ne disait rien, m’a laissé le temps de m’habituer à sa présence avant de commencer les va-et-vient, lentement d’abord puis de plus en plus vite…
Son sexe ressemblait à un piston bien huilé…
Je ne cessais de l’encourager…
Je sentais la jouissance monter dans mon ventre…
Elle a éclaté soudainement dans un grand rugissement que tout le bateau a du entendre et nous nous sommes écroulés, emmêlés sur la couchette pendant qu’Armando se répandait dans mon boyau !
En moi-même, je pensai à ce moment-là qu’il fallait que je reste en contact avec cet amant… que jamais je ne trouverais un si bon baiseur… Je l’avais sucé, il m’avait pris la chatte à la cavalière ou en amazone, il venait de m’ouvrir le cul comme jamais…
Quel pied… Je recommencerai !
Armando est resté quelques temps avec moi et pour le remercier, je l’ai sucé, déployant tout mon art se suceuse : jeux de langue sur le méat, gobage du gland entre les lèvres, introduction de la tige jusqu’au plus profond de ma bouche, retour sur le mat, et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il gicle sur mes seins…
Lors du petit déjeuner du dernier matin, nous étions réunis à quatre, mes parents, Myriam et moi.
Ma mère a pris la parole en s’adressant à moi :
• Je savais que tu étais déjà une belle coquine car certains de tes copains avec qui j’ai baisé se sont vantés de tes performances… Mais il te manquait quelque chose… Ces quinze jours ont conforté tes dispositions pour nous suivre ton père et moi sur les chemins de la luxure… Nous te ferons connaitre à toi et à Myriam les amis et les clubs que nous fréquentons… Je suis certaine que vous apprécierez… Vous vous doutez bien que l’équipage a été composé pour le but que ton père et moi recherchions ! Quant à ton cadeau… Il a été livré dans le garage pendant notre absence !
Quand, quelques heures plus tard, nous avons débarqué.
Myriam et moi, nous n’étions plus ces oies blanches (juste un peu chaudes et coquines)… mais de véritables salopes… si nous pouvions adopter ce qualificatif…
Nous étions déjà de fieffées garces avant cette croisière…
L’une et l’autre, nous avions eu tous les hommes du bord dans notre chatte, notre cul ou dans notre bouche…
Je dois la retrouver bientôt pour qu’elle me fasse partager une expérience lesbienne…
Je me vois mal être initiée par ma mère…
Cela manque au tableau !
D’après ma mère, en quelques séances, elle a fait beaucoup de progrès…
FIN.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
De Maria, la lectrice cochonne
Avec un jour de retard j’ai lu. J‘ai dit que je raconterai, me voilà.
Je savais que je ne serai pas déçue, et comme espéré j’ai partagé le plaisir de la lecture avec une de mes très bonnes amies, celle à qui je tiens le plus, une encore jeune, pourtant aussi salope que moi, qui est arrivée la chatte en fusion car, la connaissant sur le bout des doigts ... et de la langue évidemment, je savais comment l’exciter, et je n’avais pas ménagé les détails quand je l’ai appelée pour l’inviter à me tenir compagnie pour que nous lisions ensemble.
Avant même de commencer la lecture, échangeant nos salives, collées bouche à bouche, une de ses mains montant entre mes cuisses, et une des miennes remontant sa petite jupe pour lui malaxer les fesses, nous avons cons1taté que ni l’une ni l’autre n’avait de culotte.
C’était le signe évident d’une envie réciproque de vite passer à l’action ... il ne fallait pas perdre de temps !
Elle connaît mes goûts et moi les siens.
Elle s’est agenouillée sur le bord du canapé, la croupe bien haute, je me suis mise à genoux derrière elle, impatiente de m’abreuver du jus que je voyais commencer à dégoutter de sa fente poilue (eh oui on trouve toutes les de11ux qu’avec du poil autour, quand on se mange la moule, ça garde beaucoup de parfum, et c’est bien meilleur ! )
Je n’avais pas la bouche assez grande pour bien lécher et tout aspirer tellement je ne voulais pas en perdre et je me régalais, le visage plaqué sur son arrière-train, le nez entre ses fesses, d’où me venait une odeur de lavande ...
Elle y avait pensé, elle s’était faite une toilette totale, et pas seulement extérieure, même (elle me l’a dit après), elle s’est administré un lavement !
Délicate intention, peut-être aussi une manière de me faire comprendre, et de me faire plaisir en même temps ... une manière de me
demander de lui lécher le cul, un de mes péchés mignons, principalement avec les femmes.
Et là, contrairement à l’entrecuisse, pas le plus petit poil, nous nous entretenons d’ailleurs mutuellement, traquant la moindre tentative de repousse.
C’est si bon de saliver dans une raie bien lisse et d’y passer la langue en écartant bien les fesses et d’aller l’introduire dans l’anus palpitant, source de tellement de sensations extraordinaires.
Voilà, c’est comme ça qu’a débuté notre séance de lecture, j’ai fait jouir mon amie Julie, ma merveilleuse salope, en lui enfonçant du mieux que c’était possible, ma langue dans le trou du cul, et ses gémissements ... ses cris même, n’étaient pas feints, ce qu’elle a confirmé comme d’habitude en me disant « c’est tellement bon quand tu m’encules avec ta langue ! »
Après, ce fut à mon tour de profiter de ses talents de vicieuse, un peu différents des miens, mais tout aussi efficaces ... il est vrai que cochonne comme je suis, je démarre au quart de tour ... rien qu’à écrire tout ça, ma chatte en pleure d’envie ... la coquine, elle ne me laisse pas tranquille ... mais je l’aime bien quand-même ... si je pouvais, je me l’embrasserais !!!
Bon.
Tout ça a fait que, entre léchage, doigtage de chatte et de cul, une heure après, nous étions encore complètement à poil, allongées sur le tapis, enlacées à l’envers, chacune la tête entre les cuisses de l’autre, quand d’un voix qui se voulait innocente, Julie me dit ...
- Dis donc ma belle tu me m’as pas dit que tu avais une histoire à me faire lire ?
- Bien sûr ma puce, même plusieurs qui se suivent, mais tellement excitantes qu’on aurait pas tenu deux chapitres avant de se sauter dessus ... j’ai pensé que ça serait mieux de nous calmer un peu avant de commencer ... tu regrettes ?
- Bien non voyons, tu sais à quel point j‘aime jouer à la salope, et avec tu m’apprends tellement de choses
Rien ne pouvait me faire plus plaisir.
Ma petite Julie est sûrement ma plus belle conquête. De jeune presque innocente, un peu naïve, je l’ai amenée progressivement à me l’attacher, à la rendre dépendante de mes désirs, à ne jamais me dire non ... à petit à petit accepter mes perversités ( encore bien légères pour l’instant) qu’elle considère comme des marques de tendresse et dont elle ne pourra plus se passer, même quand je vais devenir plus exigeante.
Peut-être que plus tard, de lectrice je vais devenir auteure de récits érotiques, voire même pornos, et de tenter comme « le Matou Libertin » de faire jouir par mes écrits ceux et celles qui me liront ??!!!
Bises à vous cher Matou, je mouille en fantasmant sur vos histoires.
Maria, une salope qui s’assume ... et qui adore ça ...
Avec un jour de retard j’ai lu. J‘ai dit que je raconterai, me voilà.
Je savais que je ne serai pas déçue, et comme espéré j’ai partagé le plaisir de la lecture avec une de mes très bonnes amies, celle à qui je tiens le plus, une encore jeune, pourtant aussi salope que moi, qui est arrivée la chatte en fusion car, la connaissant sur le bout des doigts ... et de la langue évidemment, je savais comment l’exciter, et je n’avais pas ménagé les détails quand je l’ai appelée pour l’inviter à me tenir compagnie pour que nous lisions ensemble.
Avant même de commencer la lecture, échangeant nos salives, collées bouche à bouche, une de ses mains montant entre mes cuisses, et une des miennes remontant sa petite jupe pour lui malaxer les fesses, nous avons cons1taté que ni l’une ni l’autre n’avait de culotte.
C’était le signe évident d’une envie réciproque de vite passer à l’action ... il ne fallait pas perdre de temps !
Elle connaît mes goûts et moi les siens.
Elle s’est agenouillée sur le bord du canapé, la croupe bien haute, je me suis mise à genoux derrière elle, impatiente de m’abreuver du jus que je voyais commencer à dégoutter de sa fente poilue (eh oui on trouve toutes les de11ux qu’avec du poil autour, quand on se mange la moule, ça garde beaucoup de parfum, et c’est bien meilleur ! )
Je n’avais pas la bouche assez grande pour bien lécher et tout aspirer tellement je ne voulais pas en perdre et je me régalais, le visage plaqué sur son arrière-train, le nez entre ses fesses, d’où me venait une odeur de lavande ...
Elle y avait pensé, elle s’était faite une toilette totale, et pas seulement extérieure, même (elle me l’a dit après), elle s’est administré un lavement !
Délicate intention, peut-être aussi une manière de me faire comprendre, et de me faire plaisir en même temps ... une manière de me
demander de lui lécher le cul, un de mes péchés mignons, principalement avec les femmes.
Et là, contrairement à l’entrecuisse, pas le plus petit poil, nous nous entretenons d’ailleurs mutuellement, traquant la moindre tentative de repousse.
C’est si bon de saliver dans une raie bien lisse et d’y passer la langue en écartant bien les fesses et d’aller l’introduire dans l’anus palpitant, source de tellement de sensations extraordinaires.
Voilà, c’est comme ça qu’a débuté notre séance de lecture, j’ai fait jouir mon amie Julie, ma merveilleuse salope, en lui enfonçant du mieux que c’était possible, ma langue dans le trou du cul, et ses gémissements ... ses cris même, n’étaient pas feints, ce qu’elle a confirmé comme d’habitude en me disant « c’est tellement bon quand tu m’encules avec ta langue ! »
Après, ce fut à mon tour de profiter de ses talents de vicieuse, un peu différents des miens, mais tout aussi efficaces ... il est vrai que cochonne comme je suis, je démarre au quart de tour ... rien qu’à écrire tout ça, ma chatte en pleure d’envie ... la coquine, elle ne me laisse pas tranquille ... mais je l’aime bien quand-même ... si je pouvais, je me l’embrasserais !!!
Bon.
Tout ça a fait que, entre léchage, doigtage de chatte et de cul, une heure après, nous étions encore complètement à poil, allongées sur le tapis, enlacées à l’envers, chacune la tête entre les cuisses de l’autre, quand d’un voix qui se voulait innocente, Julie me dit ...
- Dis donc ma belle tu me m’as pas dit que tu avais une histoire à me faire lire ?
- Bien sûr ma puce, même plusieurs qui se suivent, mais tellement excitantes qu’on aurait pas tenu deux chapitres avant de se sauter dessus ... j’ai pensé que ça serait mieux de nous calmer un peu avant de commencer ... tu regrettes ?
- Bien non voyons, tu sais à quel point j‘aime jouer à la salope, et avec tu m’apprends tellement de choses
Rien ne pouvait me faire plus plaisir.
Ma petite Julie est sûrement ma plus belle conquête. De jeune presque innocente, un peu naïve, je l’ai amenée progressivement à me l’attacher, à la rendre dépendante de mes désirs, à ne jamais me dire non ... à petit à petit accepter mes perversités ( encore bien légères pour l’instant) qu’elle considère comme des marques de tendresse et dont elle ne pourra plus se passer, même quand je vais devenir plus exigeante.
Peut-être que plus tard, de lectrice je vais devenir auteure de récits érotiques, voire même pornos, et de tenter comme « le Matou Libertin » de faire jouir par mes écrits ceux et celles qui me liront ??!!!
Bises à vous cher Matou, je mouille en fantasmant sur vos histoires.
Maria, une salope qui s’assume ... et qui adore ça ...
BANDES DE SALOPE!!!
Merci pour cette histoire... fameuse... Continu comme ça! :)
Merci pour cette histoire... fameuse... Continu comme ça! :)
whoahhhhh ....
je suis fourbu !!!!
j'ai l’impression d'avoir fait cette croisière avec ces trois chaudasses qui sembles si délicieuses ...!!!!!
Merci !
je suis fourbu !!!!
j'ai l’impression d'avoir fait cette croisière avec ces trois chaudasses qui sembles si délicieuses ...!!!!!
Merci !