Titre de l'histoire érotique : Une croisière fabuleuse - ( 1 / 3 ).
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Une croisière fabuleuse - ( 1 / 3 ).
Le bac en poche avec mention clôturait mon année en « Terminale S » et m’ouvrait les portes d’une prestigieuse école de commerce dans la région… Plus tard, je pourrais seconder mon père dans son affaire.
Comme il se doit, ce soir là j’avais fait la fête avec mon amie Myriam et nos deux copains attitrés… Nous avions pas mal bu et nous étions allés baiser tous les quatre sur la plage d’une petite crique que nous connaissions bien dans les calanques…
C’était aussi le soir de mon 18ème anniversaire…
L’une comme l’autre, il y a belle lurette que nous n’étions plus des oies blanches…
J’avais perdu mon pucelage à 15 ans lors d’une ballade entre copains de classe dans les calanques…
L’un d’entre eux m’avait fait du gringue pendant la semaine précédente et après le piquenique nous nous étions éloignés pour faire notre affaire…
J’y étais prête au point que j’avais dissimulé quelques préservatifs dans mon sac de plage…
Cette étreinte m’avait laissée sur ma faim aussi, j’avais multiplié les « coups d’un soir » pour voir…
Depuis notre entrée au lycée, Myriam et moi, nous avions noué une belle camaraderie, quelque peu coquine puisque régulièrement, nous échangions nos petits amis… lesquels ne trouvaient rien à redire : Ils avaient deux filles à disposition pour baiser… et ils ne se privaient pas de nous culbuter dans leur chambre au CROUS ou ailleurs... comme ce soir-là !
Depuis quelques temps, je tannais mes parents pour savoir quel serait mon cadeau pour ces deux occasions.
Certes, le lendemain des résultats, nous avions ouvert plusieurs bouteilles de champagne rosé (celui que je préfère…) en petit comité : ma marraine et demi-sœur de mon père et son amant du moment, un couple d’amis que nous connaissions depuis longtemps et leurs jeunes enfants à peine entrés dans l’adolescence.
La mi-juillet étais passée…
Mes parents entretenaient le suspens… se limitant à un bref « Tu verras bien…la surprise n’en sera que meilleure » pour répondre à mes questions…
Je voulais savoir quel serait mon cadeau pour la réussite au bac… et mon anniversaire puisqu’il était convenu que le cadeau serait unique !
Hélas…
Lorsqu’il a été question de passer deux semaines sur un voilier, je n’étais guère partante !
J’aurais espéré une petite voiture… car j’avais réussi également mon permis de conduire au cours de la première semaine de juillet. J’étais sûre de moi… car j’avais fait de nombreux kilomètres en conduite accompagnée !
Mon père pour achever de me convaincre a dit alors :
• Invite ton amie Myriam… comme cela tu ne seras pas seule !
Mais avant de vous parler de cette fameuse croisière, laissez-moi nous présenter…
Myriam et moi, nous sommes deux filles du soleil… Brunes de cheveux, mates de peau avec ce qu’il est convenu d’appeler de jolis fruits aux bons endroits… c'est-à-dire des seins bien ronds en forme de demi citron, accrochés bien haut et de jolie fesses rondes et fermes. Nous mesurons environ un mètre soixante dix et nos cheveux descendent jusqu’au milieu du dos…
J’avoue volontiers que j’aime sentir les regards des hommes, jeunes ou moins jeunes, se poser sur moi et là comble de perversion… je tortille des hanches comme pour leur dire : « Voyez… mais ce n’est pas pour vous ! » car je préfère les garçons de mon âge… contrairement à Myriam qui ne crache pas sur les hommes murs…
Donc, le premier samedi du mois d’août, nous arrivons tous les quatre sur le port de Cassis où nous retrouvons le capitaine du voilier. Après un bref trajet en bateau à moteur qui sert d’annexe au voilier nous arrivons à la coupée et nous montons à bord : Un beau deux mats aux voiles encore carguées.
Mon père a bien fait les choses…Il est vrai qu’il connait pas mal de monde dans le milieu maritime puisqu’il possède un magasin d’accastillage sur le port voisin de La Ciotat !
L’équipage se compose de quatre personnes : le capitaine et son second et deux matelots qui seront chargés des tâches journalières.
Le Capitaine a environ 40 ans, grand brun, il a le torse pris dans un maillot et ont voit ses muscles jouer lorsqu’il bouge… il a le crâne rasé et porte souvent une casquette.
Le Second est un peu plus jeune… et plus râblé aussi… De grands yeux bleus rieurs illuminent son visage.
Les deux marins sont âgés d’environ 20 ans, et autant l’un et brun d et mat de peau, autant l’autre est blond roux… Tous les deux portes des cheveux mi-longs et un collier de barbe naissante.
Quant à nous, nous disposons de deux cabines contiguës situées à la proue et mes parents occupent la grande cabine située à l’avant du poste de pilotage.
Nous serons séparés de l’équipage qui se partage une vaste cabine située à la poupe sous le poste de pilotage.
Notre installation est vite faite… il est vrai que nos bagages sont légers… Quelques robes style « bain de soleil », quelques dessous et les maillots de bain… que nous enfilons aussitôt pour aller sur le sundeck pour observer la sortie du port ! Le Cap Canaille sur la gauche… La côte s’éloigne… Direction la Corse !
Au moment où je sors de ma cabine, je vois mon père et Myriam en grande conversation et des quelques bribes que je saisis, elle le remercie de son invitation.
Cette coquine fait la chatte devant mon père qui n’en perd pas une miette… Quand elle l’embrasse, elle se frotte contre lui et sa main descend au niveau de leur pubis…
Waouh… Je sais que de temps à autre elle a un faible pour les hommes murs… mais elle ne va quand même pas baiser avec mon père alors que ma mère est toute proche !
Mais NON !
Ils se séparent et mon dabe rentre dans sa cabine…où je l’entends converser avec ma mère, détaillant le début de ce voyage.
Mon père a 50 ans, brun comme peuvent être les latins, une carrure de rugbyman avec des muscles bien dessinés… Il est vrai qu’il passe pas mal de temps à entretenir sa forme en faisant du footing et en nageant presque tous les jours dans la piscine de notre villa. Il a le visage buriné par le vent et les embruns car avant de s’installer à La Ciotat, il a pas mal bourlingué sur toutes les mers du globe.
Ma mère a 10 ans de moins, nous avons la même silhouette longiligne mais elle se la joue « BIMBO » avec ses cheveux décolorés et des robes arrivant à mi cuisse qui m’iraient bien mieux qu’à une femme de son âge… Une poitrine menue et des fesses petites et rondes… Grande et longiligne elle doit peser à peine 60 kilos… Toujours outrageusement fardée, elle déambule sur des chaussures à plate forme avec des talons d’au moins dix centimètres.
Souvent elle dit à mon père :
- Comme çà, je suis aussi grande que toi et je n’ai pas à me mettre sur la pointe des pieds pour que tu m’embrasses !
Invariablement ce dernier lui rétorque :
- Tu es assez légère pour que je t’enlève jusqu’à ma bouche !
Dès la sortie du port, les voiles sont hissées par les deux marins pour profiter au maximum du Mistral qui souffle modérément. Ils disparaissent aussitôt dans la cambuse… Le capitaine et son second restent quelques temps ensemble à la barre puis ils se séparent… le capitaine disparaissant sous la poupe.
Vers 20 heures 30, c’est l’heure du repas… le seul que nous partagerons avec le capitaine qui en profite pour nous détailler le déroulement de la croisière convenu à l’avance avec mon père qu’il semble bien connaitre…
Nous arriverons au large de la Corse le lendemain en milieu d’après midi si le vent continue de souffler… sinon, nous serons obligés d’arriver tardivement au port de Bastia ou de mouiller au large…
Ensuite nous descendront le long de la côte orientale jusqu’à Porto Vecchio où nous relâcherons plusieurs jours pour visiter la ville et les environs… La croisière se poursuivra vers la Sardaigne où nous resterons deux nuits dans le port de Stintino…
Le repas terminé, mon père (qui n’est jamais réellement ou complètement en vacances) regagne seul sa cabine pour consulter ses mails et nous restons à bavarder entre filles… et évoquer l’orientation que nous voulons donner à nos études et à notre avenir…
La nuit est tombée depuis longtemps déjà quand avec Myriam nous regagnons nos cabines respectives… Ma mère est restée à bavarder avec le capitaine qui était justement à la barre.
Je ne tarde pas à m’endormir, fatiguée par l’air marin et le bain de soleil prolongé de cet après-midi… mais je suis rapidement réveillée par un rêve dans lequel je vois Myriam faire l’amour avec mon père…
Je ne cesse de me retourner dans ma couchette en repensant à ce qui j’ai aperçu et les images de ce rêve si bien que je me lève, et, tout juste vêtue d’un long T-shirt, je monte discrètement sur le pont pour profiter de la fraicheur toute relative de la nuit éclairée par les étoiles et la pleine lune…
Bruno, le capitaine est toujours à la barre… mais en fait c’est ma mère qui tient la roue, guidée par la main gauche de Bruno… Il est collé contre son dos et les mouvements du bassin de ma mère ne laissent aucun doute sur ce qu’elle fait… Elle frotte son cul contre le pubis du capitaine qui emprisonne un sein de sa main droite !
Waouh… Si cela continue, je vais voir ma mère baiser avec Bruno… C’est de plus en plus chaud… Désormais ma mère n’a plus que son soutif sur elle, la robe bain de soleil est roulée autour de sa taille…
Je reste cachée dans l’escalier de la coursive pour voir la suite…
Çà ne tarde pas !
Poussée par la curiosité et un peu voyeuse sur les bords, j’attends la suite…
Je pense que Bruno a remonté la robe de ma mère et a ouvert sa baguette car je vois cette catin ouvrir en grand la bouche au moment où il la pénètre…
Elle est plaquée contre la roue, les mains crispées sur l’extrémité des balustres supérieures… pendant que Bruno la copule lentement…
Ils ne disent rien mais leurs mouvements trahissent bien ce qu’ils font !
J’en ai assez vu… et je regagne ma cabine où je m’endors rapidement après m’être caressée jusqu’à la jouissance…
Voir ma mère baisée ainsi, çà m’a excitée… et me masturber, çà a calmé ma libido pour un temps !
Le lendemain, je me réveille tardivement et je me laisse bercer par le mouvement du bateau… Au cours de la nuit la mer a forci et désormais les vagues sont frangées d’écume… Ce n’est pas cool !
Lorsque je monte sur le pont, le second me salue et me dit que la mauvaise mer ne va pas durer :
• Dés que nous serons à l’abri du cap Corse, la mer sera bien meilleure. Il faut juste patienter quelques heures… Nous avons fait pas mal de chemin cette nuit avec ce vent soutenu !
Tout le monde est là…ou presque… Myriam bavarde avec ma mère et un des matelots, mon père est dans la cabine et le capitaine dort… Les sweatshirts ont fait leur apparition si bien que je retourne dans ma cabine pour enfiler une petite laine… Le Mistral comme d’habitude, a bien rafraichi le fond de l’air…
Bientôt la côte apparait à tribord… et comme prévu, il ne reste plus qu’une longue houle et un vent qui permet de larguer le spi qui se gonfle aussitôt… Le spectacle de la mer d’un bleu profond, du ciel d’azur sur lequel les voiles blanc cassé se dessinent est magnifique…
Bruno apparait rapidement pour nous souhaiter « bon appétit » et remplace le second à la barre… J’observe le manège avec ma mère…
Ils trompent bien leur monde (et mon père par la même occasion..) on dirait qu’il ne s’est rien passé entre eux hier soir… Pourtant je n’ai pas rêvé !
Après le repas mes parents regagnent leur cabine et Myriam me rejoint dans la mienne où nous écoutons de la musique et bavardons… Je lui raconte en quelques phrases ce que j’ai surpris hier soir et cette coquine m’avoue sans honte que mon père l’a coincée dans la coursive ce matin pour l’embrasser et la peloter brièvement…
Je savais mes parents assez libres mais je ne pensais pas qu’ils l’étaient autant… Cela m’a ouvert les yeux… Que faisaient-ils lorsqu’ils s’absentaient le samedi soir pour ne rentrer qu’en milieu de matinée le dimanche ? J’en aurais le cœur net !
Notre bateau est amarré à quelques encablures du port si bien que pour aller diner à terre, nous devons prendre l’annexe qui fait l’aller retour avec Gilles un des marins. Lorsque nous aurons fini la soirée, il viendra nous rechercher…
Nous restons devant le port la soirée du dimanche et la matinée du lundi… où Gilles et son compagnon vont à terre pour faire les provisions de fruits au marché local.
Puis nous reprenons notre voyage vers le sud…
Alors que ma mère, Myriam et moi prenons le soleil les seins nus, Bruno nous interpelle et nous signale un groupe de dauphins qui semble nous escorter… Je savais que cet endroit était propice à une telle rencontre et c’était effectivement un beau spectacle.
• Nous allons jeter l’ancre… si vous voulez vous mettre à l’eau, c’est le moment ! Peut-être pourrez-vous les approcher !
• Oh oui… Ce serait génial…
Sans nous concerter, Myriam et moi, nous avons répondu en chœur ! Et nous n’avons même pas pensé à remettre nos hauts de maillot !
Nous plongeons et nous nageons vers le groupe qui ne semble pas effarouché par notre approche…
Certains dauphins certainement moins peureux s’approchent et nous frôlent… C’est génial… Puis nous regagnons le bord…
La fin de l’après-midi et la soirée se passent dans le calme… Le bateau reprend une petite vitesse de croisière… Nous allons naviguer jusqu’au milieu de la matinée…
Lorsque je regagne ma cabine quelques temps après les parents, je les entends bavarder… ou du moins, ce sont des mots sans suite entrecoupés de soupirs de ma mère :
• Oh oui… Baise-moi bien…
• Tu vas voir je vais te faire grimper...
• Oh oui… J’ai envie de sentir ta grosse queue en moi… Salaud… J’ai bien vu comment tu reluquais Myriam… Je suis sure que tu as envie de la baiser…
• Oh oui, je me la ferais bien…
• Oh, je sais que tu aimes les fruits verts !
• Pourquoi pas… Je ne les force jamais et tu ne te plains pas de la liberté que je te donne !
• Tu n’avais pas besoin de m’entrainer avec Bruno dans un club libertin après ce repas au restaurant il y a quelques années !
Les bruits continuent… et j’en ai entendu assez… Je sais désormais que mes parents sont des libertins…
Ils s’envoient en l’air et moi, je suis frustrée : Pas de garçon disponible… à moins que…
Je me change rapidement en enfilant un long T-shirt à même la peau et je remonte sur le pont où je fais semblant de regarder les étoiles appuyée le dos au mat d’artimon.
Le vent plaque le tissu sur mes seins et le bas du T-shirt entre dans la fourche de mes cuisses… Je repense à ce que mes parents font dans la cabine en dessous de moi et cela m’excite… Je mouille…
Le second qui tient la barre m’interpelle :
• Alors Sylvie… On ne trouve pas le sommeil ?
• Non… Il fait trop chaud dans ma cabine !
• Viens près de moi…
Je ne suis pas choquée par le tutoiement et je ne me fais pas prier pour le rejoindre…
J’avais bien remarqué les coups d’œil discret d’Armando… Un bel homme jeune… 25 ans au maximum, le torse avantageux pris dans un maillot et une tête de forban avec sa barbe noire coupée court…
• Tu es bien jolie… Quand la croisière sera terminée ta peau sera bronzée comme du pain d’épices qu’on aura envie de croquer !
• Tu n’as pas envie de la croquer au naturel ?
• Si… bien sur !
• Alors je suis prête ! J’ai envie que tu me baises…
• Ok… Laisse-moi mettre le pilote automatique… Le vent est constant, çà va le faire !
Pendant les quelques minutes nécessaires, je gagne le sundeck et, éclairée par la lune, entièrement nue, allongée sur les matelas de plage, je m’offre à Armando, impudique et prête à son assaut ! Et quel assaut…
Lorsqu’il veut me faire un cunni, je l’arrête aussitôt :
• Vas-y défonce moi… Pour les fioritures, on verra après… ou une autre fois ! Je mouille comme une fontaine !
• Si c’est ce que tu veux… tu vas être servie !
Et là, Il remonte mes jambes pour les passer sur ses épaules et j’ai à peine le temps d’apercevoir son sexe que d’une seule poussée, il l’engage dans ma chatte…
Waouh… elle doit être d’un diamètre conséquent et longue car je sens le gland buter contre ma matrice…
Aussitôt je sens le plaisir remonter dans mes reins au fur et à mesure de la copulation de plus en plus rapide !
J’encourage Armando… Des mots sans suite sortent de ma bouche… Je n’ai pensé à rien… Nous baisons sans précautions mais comme je prends la pilule…
La jouissance m’emporte une première fois et Armando, sans avoir joui, bascule sur le dos, la bite dressée vers le ciel :
• Viens maintenant c’est à toi de te baiser…
• Oh oui… Tu vas voir… Je vais te faire gicler…
• OK… Les burnes sont pleines ! On a tous de la réserve !
J’enjambe Armando et en lui tournant le dos, je me laisse glisser sur ce Priape qui est là pour m’envoyer en l’air ! Les bras en appui sur les genoux de mon amant, je monte et descend faisant coulisser nos sexes l’un dans l’autre…Je me baise à mon rythme… laissant monter mon plaisir et le laissant refluer pour le faire monter à nouveau…
Armando caresse mes fesses et descend une main dans la raie pour chatouiller mon sphincter…
• Dis donc Sylvie… Tu n’es guère ouverte de la porte arrière !
• Pourquoi ? Tu as envie de passer par là ? Et c’est non ! je n’ai jamais pratiqué la sodomie, tout juste me suis-je enfilé un petit gode…
• Tu ne sais pas ce que tu manques !
• Ce ne sera certainement pas avec toi… Tu es bien trop gros… Tu me déchirerais ! Pour le moment achevons ce que nous faisons !
• Qui vivra verra !
Armando continue de titiller mon sphincter mais il ne cherche pas à s’y introduire et je dois avouer que de sentir la caresse de ses doigts me fait mouiller encore plus et je sens ma jouissance monter dans mon ventre et éclater une première fois !
• Salaud… Tu te retiens… Tu ne perds rien pour attendre !
Je me retire, je me retourne et d’un seul coup j’avale le sexe d’Armando au plus profond de ma gorge…
Si je n’ai jamais pratiqué la sodomie, les garçons avec qui j’ai baisé, m’ont fait une réputation de « sacrée pipeuse »… Et j’en suis fière !
En position de 6 9 au dessus de mon amant, je lui fais une fellation appliquée… avalant son sexe au plus profond de ma bouche, le ressortant en serrant les lèvres pour ensuite titiller le méat puis je l’avale à nouveau plus on moins profond…
Pendant ce temps Armando fourrage dans ma chatte avec ses doigts et soudain, je sens qu’il en introduit un dans mon cul !
Quel salaud !
• Je t’ai dit que je ne voulais pas de toi dans mon cul !
Mais je n’ai pas le temps de lui en dire d’avantage : Ce sont de véritables salves de sperme qui envahissent ma bouche au point que je me dégage et les dernières s’étalent sur son buste… Je lui dis :
• Waouh… que c’est bon !
• Dis donc, t’as vraiment le feu au cul !
• Tu ne crois pas si bien dire ! J’étais en manque de queue !
• Tout à ta disposition… mais il faudra être discrets à cause de tes vieux !
• Oh… mes vieux… Je sais que ma mère baise avec Bruno… et mon père le sait…
• Bon… je vais reprendre la barre… reste près de moi si tu veux…
• Non, je vais me coucher… je veux être en super forme demain pour la séance de plongée !
• Ok… c’est toi qui vois !
Je passe rapidement dans le cabinet de toilette où je dois éponger nos sécrétions qui sortent de ma chatte… et elles sont abondantes !
Quelques minutes plus tard, je m’écroule sur mon lit, lessivée, laminée par les orgasmes, je m’endors immédiatement !
à suivre….
Comme il se doit, ce soir là j’avais fait la fête avec mon amie Myriam et nos deux copains attitrés… Nous avions pas mal bu et nous étions allés baiser tous les quatre sur la plage d’une petite crique que nous connaissions bien dans les calanques…
C’était aussi le soir de mon 18ème anniversaire…
L’une comme l’autre, il y a belle lurette que nous n’étions plus des oies blanches…
J’avais perdu mon pucelage à 15 ans lors d’une ballade entre copains de classe dans les calanques…
L’un d’entre eux m’avait fait du gringue pendant la semaine précédente et après le piquenique nous nous étions éloignés pour faire notre affaire…
J’y étais prête au point que j’avais dissimulé quelques préservatifs dans mon sac de plage…
Cette étreinte m’avait laissée sur ma faim aussi, j’avais multiplié les « coups d’un soir » pour voir…
Depuis notre entrée au lycée, Myriam et moi, nous avions noué une belle camaraderie, quelque peu coquine puisque régulièrement, nous échangions nos petits amis… lesquels ne trouvaient rien à redire : Ils avaient deux filles à disposition pour baiser… et ils ne se privaient pas de nous culbuter dans leur chambre au CROUS ou ailleurs... comme ce soir-là !
Depuis quelques temps, je tannais mes parents pour savoir quel serait mon cadeau pour ces deux occasions.
Certes, le lendemain des résultats, nous avions ouvert plusieurs bouteilles de champagne rosé (celui que je préfère…) en petit comité : ma marraine et demi-sœur de mon père et son amant du moment, un couple d’amis que nous connaissions depuis longtemps et leurs jeunes enfants à peine entrés dans l’adolescence.
La mi-juillet étais passée…
Mes parents entretenaient le suspens… se limitant à un bref « Tu verras bien…la surprise n’en sera que meilleure » pour répondre à mes questions…
Je voulais savoir quel serait mon cadeau pour la réussite au bac… et mon anniversaire puisqu’il était convenu que le cadeau serait unique !
Hélas…
Lorsqu’il a été question de passer deux semaines sur un voilier, je n’étais guère partante !
J’aurais espéré une petite voiture… car j’avais réussi également mon permis de conduire au cours de la première semaine de juillet. J’étais sûre de moi… car j’avais fait de nombreux kilomètres en conduite accompagnée !
Mon père pour achever de me convaincre a dit alors :
• Invite ton amie Myriam… comme cela tu ne seras pas seule !
Mais avant de vous parler de cette fameuse croisière, laissez-moi nous présenter…
Myriam et moi, nous sommes deux filles du soleil… Brunes de cheveux, mates de peau avec ce qu’il est convenu d’appeler de jolis fruits aux bons endroits… c'est-à-dire des seins bien ronds en forme de demi citron, accrochés bien haut et de jolie fesses rondes et fermes. Nous mesurons environ un mètre soixante dix et nos cheveux descendent jusqu’au milieu du dos…
J’avoue volontiers que j’aime sentir les regards des hommes, jeunes ou moins jeunes, se poser sur moi et là comble de perversion… je tortille des hanches comme pour leur dire : « Voyez… mais ce n’est pas pour vous ! » car je préfère les garçons de mon âge… contrairement à Myriam qui ne crache pas sur les hommes murs…
Donc, le premier samedi du mois d’août, nous arrivons tous les quatre sur le port de Cassis où nous retrouvons le capitaine du voilier. Après un bref trajet en bateau à moteur qui sert d’annexe au voilier nous arrivons à la coupée et nous montons à bord : Un beau deux mats aux voiles encore carguées.
Mon père a bien fait les choses…Il est vrai qu’il connait pas mal de monde dans le milieu maritime puisqu’il possède un magasin d’accastillage sur le port voisin de La Ciotat !
L’équipage se compose de quatre personnes : le capitaine et son second et deux matelots qui seront chargés des tâches journalières.
Le Capitaine a environ 40 ans, grand brun, il a le torse pris dans un maillot et ont voit ses muscles jouer lorsqu’il bouge… il a le crâne rasé et porte souvent une casquette.
Le Second est un peu plus jeune… et plus râblé aussi… De grands yeux bleus rieurs illuminent son visage.
Les deux marins sont âgés d’environ 20 ans, et autant l’un et brun d et mat de peau, autant l’autre est blond roux… Tous les deux portes des cheveux mi-longs et un collier de barbe naissante.
Quant à nous, nous disposons de deux cabines contiguës situées à la proue et mes parents occupent la grande cabine située à l’avant du poste de pilotage.
Nous serons séparés de l’équipage qui se partage une vaste cabine située à la poupe sous le poste de pilotage.
Notre installation est vite faite… il est vrai que nos bagages sont légers… Quelques robes style « bain de soleil », quelques dessous et les maillots de bain… que nous enfilons aussitôt pour aller sur le sundeck pour observer la sortie du port ! Le Cap Canaille sur la gauche… La côte s’éloigne… Direction la Corse !
Au moment où je sors de ma cabine, je vois mon père et Myriam en grande conversation et des quelques bribes que je saisis, elle le remercie de son invitation.
Cette coquine fait la chatte devant mon père qui n’en perd pas une miette… Quand elle l’embrasse, elle se frotte contre lui et sa main descend au niveau de leur pubis…
Waouh… Je sais que de temps à autre elle a un faible pour les hommes murs… mais elle ne va quand même pas baiser avec mon père alors que ma mère est toute proche !
Mais NON !
Ils se séparent et mon dabe rentre dans sa cabine…où je l’entends converser avec ma mère, détaillant le début de ce voyage.
Mon père a 50 ans, brun comme peuvent être les latins, une carrure de rugbyman avec des muscles bien dessinés… Il est vrai qu’il passe pas mal de temps à entretenir sa forme en faisant du footing et en nageant presque tous les jours dans la piscine de notre villa. Il a le visage buriné par le vent et les embruns car avant de s’installer à La Ciotat, il a pas mal bourlingué sur toutes les mers du globe.
Ma mère a 10 ans de moins, nous avons la même silhouette longiligne mais elle se la joue « BIMBO » avec ses cheveux décolorés et des robes arrivant à mi cuisse qui m’iraient bien mieux qu’à une femme de son âge… Une poitrine menue et des fesses petites et rondes… Grande et longiligne elle doit peser à peine 60 kilos… Toujours outrageusement fardée, elle déambule sur des chaussures à plate forme avec des talons d’au moins dix centimètres.
Souvent elle dit à mon père :
- Comme çà, je suis aussi grande que toi et je n’ai pas à me mettre sur la pointe des pieds pour que tu m’embrasses !
Invariablement ce dernier lui rétorque :
- Tu es assez légère pour que je t’enlève jusqu’à ma bouche !
Dès la sortie du port, les voiles sont hissées par les deux marins pour profiter au maximum du Mistral qui souffle modérément. Ils disparaissent aussitôt dans la cambuse… Le capitaine et son second restent quelques temps ensemble à la barre puis ils se séparent… le capitaine disparaissant sous la poupe.
Vers 20 heures 30, c’est l’heure du repas… le seul que nous partagerons avec le capitaine qui en profite pour nous détailler le déroulement de la croisière convenu à l’avance avec mon père qu’il semble bien connaitre…
Nous arriverons au large de la Corse le lendemain en milieu d’après midi si le vent continue de souffler… sinon, nous serons obligés d’arriver tardivement au port de Bastia ou de mouiller au large…
Ensuite nous descendront le long de la côte orientale jusqu’à Porto Vecchio où nous relâcherons plusieurs jours pour visiter la ville et les environs… La croisière se poursuivra vers la Sardaigne où nous resterons deux nuits dans le port de Stintino…
Le repas terminé, mon père (qui n’est jamais réellement ou complètement en vacances) regagne seul sa cabine pour consulter ses mails et nous restons à bavarder entre filles… et évoquer l’orientation que nous voulons donner à nos études et à notre avenir…
La nuit est tombée depuis longtemps déjà quand avec Myriam nous regagnons nos cabines respectives… Ma mère est restée à bavarder avec le capitaine qui était justement à la barre.
Je ne tarde pas à m’endormir, fatiguée par l’air marin et le bain de soleil prolongé de cet après-midi… mais je suis rapidement réveillée par un rêve dans lequel je vois Myriam faire l’amour avec mon père…
Je ne cesse de me retourner dans ma couchette en repensant à ce qui j’ai aperçu et les images de ce rêve si bien que je me lève, et, tout juste vêtue d’un long T-shirt, je monte discrètement sur le pont pour profiter de la fraicheur toute relative de la nuit éclairée par les étoiles et la pleine lune…
Bruno, le capitaine est toujours à la barre… mais en fait c’est ma mère qui tient la roue, guidée par la main gauche de Bruno… Il est collé contre son dos et les mouvements du bassin de ma mère ne laissent aucun doute sur ce qu’elle fait… Elle frotte son cul contre le pubis du capitaine qui emprisonne un sein de sa main droite !
Waouh… Si cela continue, je vais voir ma mère baiser avec Bruno… C’est de plus en plus chaud… Désormais ma mère n’a plus que son soutif sur elle, la robe bain de soleil est roulée autour de sa taille…
Je reste cachée dans l’escalier de la coursive pour voir la suite…
Çà ne tarde pas !
Poussée par la curiosité et un peu voyeuse sur les bords, j’attends la suite…
Je pense que Bruno a remonté la robe de ma mère et a ouvert sa baguette car je vois cette catin ouvrir en grand la bouche au moment où il la pénètre…
Elle est plaquée contre la roue, les mains crispées sur l’extrémité des balustres supérieures… pendant que Bruno la copule lentement…
Ils ne disent rien mais leurs mouvements trahissent bien ce qu’ils font !
J’en ai assez vu… et je regagne ma cabine où je m’endors rapidement après m’être caressée jusqu’à la jouissance…
Voir ma mère baisée ainsi, çà m’a excitée… et me masturber, çà a calmé ma libido pour un temps !
Le lendemain, je me réveille tardivement et je me laisse bercer par le mouvement du bateau… Au cours de la nuit la mer a forci et désormais les vagues sont frangées d’écume… Ce n’est pas cool !
Lorsque je monte sur le pont, le second me salue et me dit que la mauvaise mer ne va pas durer :
• Dés que nous serons à l’abri du cap Corse, la mer sera bien meilleure. Il faut juste patienter quelques heures… Nous avons fait pas mal de chemin cette nuit avec ce vent soutenu !
Tout le monde est là…ou presque… Myriam bavarde avec ma mère et un des matelots, mon père est dans la cabine et le capitaine dort… Les sweatshirts ont fait leur apparition si bien que je retourne dans ma cabine pour enfiler une petite laine… Le Mistral comme d’habitude, a bien rafraichi le fond de l’air…
Bientôt la côte apparait à tribord… et comme prévu, il ne reste plus qu’une longue houle et un vent qui permet de larguer le spi qui se gonfle aussitôt… Le spectacle de la mer d’un bleu profond, du ciel d’azur sur lequel les voiles blanc cassé se dessinent est magnifique…
Bruno apparait rapidement pour nous souhaiter « bon appétit » et remplace le second à la barre… J’observe le manège avec ma mère…
Ils trompent bien leur monde (et mon père par la même occasion..) on dirait qu’il ne s’est rien passé entre eux hier soir… Pourtant je n’ai pas rêvé !
Après le repas mes parents regagnent leur cabine et Myriam me rejoint dans la mienne où nous écoutons de la musique et bavardons… Je lui raconte en quelques phrases ce que j’ai surpris hier soir et cette coquine m’avoue sans honte que mon père l’a coincée dans la coursive ce matin pour l’embrasser et la peloter brièvement…
Je savais mes parents assez libres mais je ne pensais pas qu’ils l’étaient autant… Cela m’a ouvert les yeux… Que faisaient-ils lorsqu’ils s’absentaient le samedi soir pour ne rentrer qu’en milieu de matinée le dimanche ? J’en aurais le cœur net !
Notre bateau est amarré à quelques encablures du port si bien que pour aller diner à terre, nous devons prendre l’annexe qui fait l’aller retour avec Gilles un des marins. Lorsque nous aurons fini la soirée, il viendra nous rechercher…
Nous restons devant le port la soirée du dimanche et la matinée du lundi… où Gilles et son compagnon vont à terre pour faire les provisions de fruits au marché local.
Puis nous reprenons notre voyage vers le sud…
Alors que ma mère, Myriam et moi prenons le soleil les seins nus, Bruno nous interpelle et nous signale un groupe de dauphins qui semble nous escorter… Je savais que cet endroit était propice à une telle rencontre et c’était effectivement un beau spectacle.
• Nous allons jeter l’ancre… si vous voulez vous mettre à l’eau, c’est le moment ! Peut-être pourrez-vous les approcher !
• Oh oui… Ce serait génial…
Sans nous concerter, Myriam et moi, nous avons répondu en chœur ! Et nous n’avons même pas pensé à remettre nos hauts de maillot !
Nous plongeons et nous nageons vers le groupe qui ne semble pas effarouché par notre approche…
Certains dauphins certainement moins peureux s’approchent et nous frôlent… C’est génial… Puis nous regagnons le bord…
La fin de l’après-midi et la soirée se passent dans le calme… Le bateau reprend une petite vitesse de croisière… Nous allons naviguer jusqu’au milieu de la matinée…
Lorsque je regagne ma cabine quelques temps après les parents, je les entends bavarder… ou du moins, ce sont des mots sans suite entrecoupés de soupirs de ma mère :
• Oh oui… Baise-moi bien…
• Tu vas voir je vais te faire grimper...
• Oh oui… J’ai envie de sentir ta grosse queue en moi… Salaud… J’ai bien vu comment tu reluquais Myriam… Je suis sure que tu as envie de la baiser…
• Oh oui, je me la ferais bien…
• Oh, je sais que tu aimes les fruits verts !
• Pourquoi pas… Je ne les force jamais et tu ne te plains pas de la liberté que je te donne !
• Tu n’avais pas besoin de m’entrainer avec Bruno dans un club libertin après ce repas au restaurant il y a quelques années !
Les bruits continuent… et j’en ai entendu assez… Je sais désormais que mes parents sont des libertins…
Ils s’envoient en l’air et moi, je suis frustrée : Pas de garçon disponible… à moins que…
Je me change rapidement en enfilant un long T-shirt à même la peau et je remonte sur le pont où je fais semblant de regarder les étoiles appuyée le dos au mat d’artimon.
Le vent plaque le tissu sur mes seins et le bas du T-shirt entre dans la fourche de mes cuisses… Je repense à ce que mes parents font dans la cabine en dessous de moi et cela m’excite… Je mouille…
Le second qui tient la barre m’interpelle :
• Alors Sylvie… On ne trouve pas le sommeil ?
• Non… Il fait trop chaud dans ma cabine !
• Viens près de moi…
Je ne suis pas choquée par le tutoiement et je ne me fais pas prier pour le rejoindre…
J’avais bien remarqué les coups d’œil discret d’Armando… Un bel homme jeune… 25 ans au maximum, le torse avantageux pris dans un maillot et une tête de forban avec sa barbe noire coupée court…
• Tu es bien jolie… Quand la croisière sera terminée ta peau sera bronzée comme du pain d’épices qu’on aura envie de croquer !
• Tu n’as pas envie de la croquer au naturel ?
• Si… bien sur !
• Alors je suis prête ! J’ai envie que tu me baises…
• Ok… Laisse-moi mettre le pilote automatique… Le vent est constant, çà va le faire !
Pendant les quelques minutes nécessaires, je gagne le sundeck et, éclairée par la lune, entièrement nue, allongée sur les matelas de plage, je m’offre à Armando, impudique et prête à son assaut ! Et quel assaut…
Lorsqu’il veut me faire un cunni, je l’arrête aussitôt :
• Vas-y défonce moi… Pour les fioritures, on verra après… ou une autre fois ! Je mouille comme une fontaine !
• Si c’est ce que tu veux… tu vas être servie !
Et là, Il remonte mes jambes pour les passer sur ses épaules et j’ai à peine le temps d’apercevoir son sexe que d’une seule poussée, il l’engage dans ma chatte…
Waouh… elle doit être d’un diamètre conséquent et longue car je sens le gland buter contre ma matrice…
Aussitôt je sens le plaisir remonter dans mes reins au fur et à mesure de la copulation de plus en plus rapide !
J’encourage Armando… Des mots sans suite sortent de ma bouche… Je n’ai pensé à rien… Nous baisons sans précautions mais comme je prends la pilule…
La jouissance m’emporte une première fois et Armando, sans avoir joui, bascule sur le dos, la bite dressée vers le ciel :
• Viens maintenant c’est à toi de te baiser…
• Oh oui… Tu vas voir… Je vais te faire gicler…
• OK… Les burnes sont pleines ! On a tous de la réserve !
J’enjambe Armando et en lui tournant le dos, je me laisse glisser sur ce Priape qui est là pour m’envoyer en l’air ! Les bras en appui sur les genoux de mon amant, je monte et descend faisant coulisser nos sexes l’un dans l’autre…Je me baise à mon rythme… laissant monter mon plaisir et le laissant refluer pour le faire monter à nouveau…
Armando caresse mes fesses et descend une main dans la raie pour chatouiller mon sphincter…
• Dis donc Sylvie… Tu n’es guère ouverte de la porte arrière !
• Pourquoi ? Tu as envie de passer par là ? Et c’est non ! je n’ai jamais pratiqué la sodomie, tout juste me suis-je enfilé un petit gode…
• Tu ne sais pas ce que tu manques !
• Ce ne sera certainement pas avec toi… Tu es bien trop gros… Tu me déchirerais ! Pour le moment achevons ce que nous faisons !
• Qui vivra verra !
Armando continue de titiller mon sphincter mais il ne cherche pas à s’y introduire et je dois avouer que de sentir la caresse de ses doigts me fait mouiller encore plus et je sens ma jouissance monter dans mon ventre et éclater une première fois !
• Salaud… Tu te retiens… Tu ne perds rien pour attendre !
Je me retire, je me retourne et d’un seul coup j’avale le sexe d’Armando au plus profond de ma gorge…
Si je n’ai jamais pratiqué la sodomie, les garçons avec qui j’ai baisé, m’ont fait une réputation de « sacrée pipeuse »… Et j’en suis fière !
En position de 6 9 au dessus de mon amant, je lui fais une fellation appliquée… avalant son sexe au plus profond de ma bouche, le ressortant en serrant les lèvres pour ensuite titiller le méat puis je l’avale à nouveau plus on moins profond…
Pendant ce temps Armando fourrage dans ma chatte avec ses doigts et soudain, je sens qu’il en introduit un dans mon cul !
Quel salaud !
• Je t’ai dit que je ne voulais pas de toi dans mon cul !
Mais je n’ai pas le temps de lui en dire d’avantage : Ce sont de véritables salves de sperme qui envahissent ma bouche au point que je me dégage et les dernières s’étalent sur son buste… Je lui dis :
• Waouh… que c’est bon !
• Dis donc, t’as vraiment le feu au cul !
• Tu ne crois pas si bien dire ! J’étais en manque de queue !
• Tout à ta disposition… mais il faudra être discrets à cause de tes vieux !
• Oh… mes vieux… Je sais que ma mère baise avec Bruno… et mon père le sait…
• Bon… je vais reprendre la barre… reste près de moi si tu veux…
• Non, je vais me coucher… je veux être en super forme demain pour la séance de plongée !
• Ok… c’est toi qui vois !
Je passe rapidement dans le cabinet de toilette où je dois éponger nos sécrétions qui sortent de ma chatte… et elles sont abondantes !
Quelques minutes plus tard, je m’écroule sur mon lit, lessivée, laminée par les orgasmes, je m’endors immédiatement !
à suivre….
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
excellent !!!!
j'ai adoré ... vivement la suite !!!!!
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