Titre de l'histoire érotique : Une famille recomposée moderne 1/2
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 850 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.1
- • L'ensemble des récits érotiques de Georges ont reçu un total de 13 729 088 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 18 356 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : Une famille recomposée moderne 1/2
Après un divorce tumultueux je me suis mise en ménage avec un homme de mon âge, Bertrand, quarante deux ans, j’ai une fille Nina de bientôt dix huit ans, il a un fils du même âge, au début je me suis dite que ces jeunes avait la possibilité de se plaire et que ça risquait de poser des problèmes au foyer, mais ils sont devenus proches sans plus, le tutoiement est de rigueur pour tout le monde
J’étais loin de m’imaginer la tournure que prendraient les événements, j’avais bien remarqué que son fils jetait souvent des regards appuyés sur certaines parties de mon anatomie ou de ma lingerie, au début j’étais gênée mais comme il se comportait respectueusement envers moi, je m’y étais habituée et puis une femme n’est pas insensible au remarques flatteuses d’un homme et il avait bien la corpulence d’un homme
Un soir Bertrand m’a avoué que ma fille était plutôt libre avec lui, je lui ai répondu que ça ne tirait pas a conséquences, elle le trouvait beau parce qu’elle a les mêmes goûts que moi et son agissait de même avec moi
Un matin alors que j’étais encore en robe de chambre et Jesse en bermuda, les yeux encore pleins de sommeil, les cheveux en broussaille, torse nu déjà bien formé, m’a posée une question plutôt surprenante et dérangeante
- Mylène, comment pourrais-je déclarer ma flamme a une femme que j’aime en secret ?
- Tu convoite une jeune fille et tu n’ose pas l’aborder ?
- Pas une jeune fille, une femme ! une vraie femme !
- Tu veux dire une femme … mariée ?
- Exact
- Pourquoi ce choix ?
- Parce qu’a une fille de mon âge je n’oserais pas lui avouer que je ne sais pas faire, je suis encore…
- Puceau ?
- Oui, une femme mariée sera plus à même de m’apprendre la sexualité, de plus je ne sais pas grand-chose de l’anatomie féminine, que se cache-t-il sous cette touffe de poils frisés ? bien sûr sur des photos j’ai vu des femmes rasées, je ne vois qu’une fente, une sorte de cicatrice, c’est comment dedans ?
- Jesse, je suis ta belle mère !
- Justement nous avons une certaine complicité
- Jure-moi de ne pas en parler à ton père si je te donne certaines précisions
- Craché juré, c’est quoi les menstruations ?
- Les règles ? c’est une courte période où la femme perd du sang par le vagin suite à l’ovulation, l’ovulation ? c’est la période où la femme est fécondable, donc l’homme doit éviter de jouir dans le vagin si elle ne prend pas de contraceptifs
- Tu les as encore tes règles ?
- Évidement
- Tu prends la pilule ?
- Heureusement !
- Mon père décharge dedans alors ?
- Je ne réponds pas à ce genre de détail
- Ça fait mal au garçon lorsqu’il perd son pucelage ?
- Tu décalotte normalement ?
- Oui, mais justement j’ai une question, lorsque je me décalotte je bande dans la seconde qui suit et impossible de recouvrir mon gland, alors je suis obligé de me masturber pour jouir et débander
- Ou bien tu a un prépuce étroit ou bien un gros gland
- Je commence à bander, tu veux voir ?
- Inutile !
Les propos de ce garçon ne me laissent pas indifférente, une bosse significative fait gonfler son bermuda, je commence à perdre mes moyens, le rouge me monte aux joues, des gouttes commencent à envahir mes poils blonds, je serre les cuisses qui a pour effet de masser mon clitoris, ce qui aggrave la situation, je suis obligée de m’assoir pour ne pas tituber devant lui
Sans doute a-t-il mal compris mes paroles que j’ai prononcées dans un souffle car il baisse son short, une verge entourée d’une abondante broussaille noire, largement aussi grosse que celle de son père, fouette l’air avant de se plaquer sur son ventre jusqu’à atteindre le nombril, sa main gauche empoigne ce manche en tirant le prépuce en arrière le bloquant derrière un champignon large et cramoisi
- Tu vois ? impossible de le repasser dessus
- Va vite dans ta chambre te masturber ou va prendre une douche froide et revient présentable
- Tu ne veux pas m’aider ? si tu me montre ta chatte ça iras très vite
- Jesse !!
- Tu sais qui c’est la femme que je convoite ?
- Non ?
- C’est toi !
- MOI ? es-tu devenu fou ?
- Tu sais tout de l’amour, j’entends papa te faire des compliments le soir, il dit que tu es bonne, que tu suce merveilleusement bien et même que tu es très serrée mais là je ne comprends pas ce que ça veut dire …avance ta main caresse moi Mylène…
Jesse avance en imbriquant ses genoux entre les miens ce qui a pour effet de faire ouvrir ma robe de chambre qui se dénoue, la bouche ouverte, ses yeux exorbités fixent mon entrejambe, il finit par articuler
- Que c’est beau … t’es une vraie blonde …tes seins aussi sont beaux, je ne t’avais vue qu’en soutient gorge, soit sympas, avance ta main vers ma bite…
Dans un état second j’empoigne cette verge raide comme de l’acier qui tressaute da ma main, consciente que je ne peux poser ma paume sèche sur le gland délicat j’approche ma bouche afin d’y déposer de la salive…ses genoux se plient lorsqu’il avance son bassin quand j’enfourne la queue qui sent le pipi de la nuit
- Merciiiiiiiiiiii Mylène ! wwooouuuuaaaaah ça décoiffe …merde ! je vais décharger attention !
Quatre jets fusent a la vitesse du son percutant mes amygdales, juste après un bon café ça fait drôle, je me lève d’un bond et fuis vers la salle de bain faire le point : je viens de faire une pipe a mon beau fils ! lave toi les dents il va très vite oublier ça, la vie va reprendre son cours normal, de toute façon je vais en parler a son père
Lorsque je reviens a la cuisine il a disparut mais des éclats de voix me renseignent sur ce qu’il fait dans sa chambre il se branle encore en scandant mon prénom : MYLÈNE ! t’es bonne j’aimerais bien te baiser !
Le soir dans le lit je me tourne et me retourne jusqu'à ce que Bertrand excédé allume la veilleuse
- Qu’as-tu à la fin ? tu use les draps !
- J’ai un aveu à te faire c’est très grave …
- Tu m’as trompé ?
- Oui … non … il s’agit de Jesse
- Qu’a-t-il encore fait celui-là ? il fume ? il boit ? il se drogue ?
- Pire que ça … je l’ai sucé
- Répète ?
- Ce matin il m’a déconcertée en m’avouant qu’il était amoureux de moi, d’une parole sur l’autre il m’a montré sa verge raide, je ne sais plus comment elle s’est retrouvée dans ma bouche
- Il est encore puceau ? c’est normal qu’une femme comme toi le fascine
- Alors tu trouve ça normal ? si je n’avais pas repris mes esprits il m’aurait probablement prise consentante sur la table ou sur le bord de l’évier
- Ça reste en famille, moi aussi j’ai quelque chose à t’avouer... ta fille Nina
- Tu l’as baisée ?
- Non ! mais tout comme mon fils elle voulait voir a quoi ressemblait une bite… elle m’a surpris dans la salle de bain alors que je m’essuyais, de fil en aiguille elle m’a sucé aussi … elle ne se débrouille pas mal d’ailleurs ! MAIS ! elle n’a pas avalé, soit rassurée
- Mon dieu mais quels enfants avons-nous engendrés ?
- Les chiens ne font pas des chats ! ils sont a notre image, guidons les dans le bon chemin
- de la vie
- Que veux-tu dire ? …
- Déniaisons-les de façon à ce qu’ils gardent un très bon souvenir de leurs dépucelages
- Je dépucelle ton fils et tu … ma petite fille ?
- Ta petite fille est plus précoce que tu ne le pense mais elle ne veut pas entendre parler d’un minot de son âge, sinon ça aurait été plus simple qu’elle se fasse sauter par mon fils !
- Je ne sais pas comment m’y prendre
- Soit tranquille, il ne tardera pas à te relancer
Deux jours plus tard alors que j’étais seule Jesse rentre du lycée l’air soucieux, nous ne nous étions pas retrouvés en tête à tête depuis ce fameux jour
- Mylène ?
- Oui Jesse ?
- Je ne sais pas comment m’excuser pour …
- Stop ! n’en parlons plus !
- Alors tu ne m’en veux pas ?
- Je suis aussi coupable que toi, tu as changé d’avis pour ton attirance envers les femmes mariées ?
- Il ne s’agit pas de n’importe quelles femmes mariées ! il s’agit de toi !
- Bien … que dirait ton père s’il apprenait que j’ai couché avec toi ?
- J’m’en fous ! si tu veux tout savoir je pense que ta fille a de drôles d’attitudes envers lui
- Ah bon ?
- Elle ne se prive pas de le frôler de très près dés qu’elle le peut
- Boff c’est des gamineries, ça lui passera, et puis je ne suis pas jalouse
- Papa non plus ! Mylène j’aimerais te voir nue …l’autre jour cela a été trop furtif
- Ça suffit je vais dans ma chambre !
J’ai balancé ça en espérant qu’il persiste dans son entêtement et qu’il me suive, je n’ai pas complètement refermée la porte et je me suis allongée en travers du lit dans une semi-pénombre, des pas confirment que mon stratagème fonctionne, Jesse passe lentement sans s’arrêter, intrigué, il revient sur ses pas, cette fois la porte grince légèrement et se referme complètement, le jeune homme se poste au pied du lit, je ne bouge pas, mes jambes sont sensiblement entrouvertes, un mince faisceau lumineux se projette sous ma robe, ce petit vicieux a tout prévus, cette mini lampe de poche lui sert la nuit pour aller aux WC
Il respire bruyamment, ma robe glisse vers le haut, une main pèse sur mon genou afin de le séparer davantage, je ne résiste pas sachant qu’à présent la partie étroite de ma petite culotte est bien visible, sans doute l’auréole humide qui se développe aussi
Je n’ai pu retenir un léger cri lorsqu’en écartant le fond il a arraché un poil pubien, rassuré sur ma docilité il vire carrément le slip dans une aine, des doigts tremblants s’immiscent dans ma toison afin de la séparer par le milieu, un petit clap sonore lorsque mes lèvres sapées se décollent
Il ne peu réprimer un long ‘Ooooooooooohhhhh’ d’étonnement, la deuxième main entre en action, l’une sert à maintenir ma chatte ouverte l’autre à partir en exploration interne par l’intermédiaire d’un doigt très vite rejoint par un second, je suis fouillée sans ménagement en largeur et profondeur provoquant des bruits de plus en plus mouillés
Soudain c’est sa respiration saccadée qui frôle ma chatte, le môme hésite à me lécher, rester passive m’exaspère de plus en plus, alors d’autorité je lui colle la tête sur mon minou, il résiste avant de se laisser posez le nez sur mon clitoris, il hume longuement le fumet exhalé par mon vagin
- Lèche ou fout le camp !
- Je ne sais pas faire …
- Je vais te guider, sort ta langue et passe-là sur le petit bouton en haut de ma fente…. Voillllàààà, doucement, appuis davantage là … ouuuuuuiiiiiiii ! recommence !
Je frotte ma figue sur sa bouche afin de me procurer du plaisir, j’ai envie de lui faire croire que c’est lui qui va me faire jouir, mon bassin fait des bonds avant de lâcher une fusée de cyprine, Jesse se sauve a la salle de bain en hurlant que je suis une salope qui vient de lui pisser au visage
Un pas de plus vers le dépucelage est franchis qu’en est-il entre Bertrand et Nina ? ……
A SUIVRE
J’étais loin de m’imaginer la tournure que prendraient les événements, j’avais bien remarqué que son fils jetait souvent des regards appuyés sur certaines parties de mon anatomie ou de ma lingerie, au début j’étais gênée mais comme il se comportait respectueusement envers moi, je m’y étais habituée et puis une femme n’est pas insensible au remarques flatteuses d’un homme et il avait bien la corpulence d’un homme
Un soir Bertrand m’a avoué que ma fille était plutôt libre avec lui, je lui ai répondu que ça ne tirait pas a conséquences, elle le trouvait beau parce qu’elle a les mêmes goûts que moi et son agissait de même avec moi
Un matin alors que j’étais encore en robe de chambre et Jesse en bermuda, les yeux encore pleins de sommeil, les cheveux en broussaille, torse nu déjà bien formé, m’a posée une question plutôt surprenante et dérangeante
- Mylène, comment pourrais-je déclarer ma flamme a une femme que j’aime en secret ?
- Tu convoite une jeune fille et tu n’ose pas l’aborder ?
- Pas une jeune fille, une femme ! une vraie femme !
- Tu veux dire une femme … mariée ?
- Exact
- Pourquoi ce choix ?
- Parce qu’a une fille de mon âge je n’oserais pas lui avouer que je ne sais pas faire, je suis encore…
- Puceau ?
- Oui, une femme mariée sera plus à même de m’apprendre la sexualité, de plus je ne sais pas grand-chose de l’anatomie féminine, que se cache-t-il sous cette touffe de poils frisés ? bien sûr sur des photos j’ai vu des femmes rasées, je ne vois qu’une fente, une sorte de cicatrice, c’est comment dedans ?
- Jesse, je suis ta belle mère !
- Justement nous avons une certaine complicité
- Jure-moi de ne pas en parler à ton père si je te donne certaines précisions
- Craché juré, c’est quoi les menstruations ?
- Les règles ? c’est une courte période où la femme perd du sang par le vagin suite à l’ovulation, l’ovulation ? c’est la période où la femme est fécondable, donc l’homme doit éviter de jouir dans le vagin si elle ne prend pas de contraceptifs
- Tu les as encore tes règles ?
- Évidement
- Tu prends la pilule ?
- Heureusement !
- Mon père décharge dedans alors ?
- Je ne réponds pas à ce genre de détail
- Ça fait mal au garçon lorsqu’il perd son pucelage ?
- Tu décalotte normalement ?
- Oui, mais justement j’ai une question, lorsque je me décalotte je bande dans la seconde qui suit et impossible de recouvrir mon gland, alors je suis obligé de me masturber pour jouir et débander
- Ou bien tu a un prépuce étroit ou bien un gros gland
- Je commence à bander, tu veux voir ?
- Inutile !
Les propos de ce garçon ne me laissent pas indifférente, une bosse significative fait gonfler son bermuda, je commence à perdre mes moyens, le rouge me monte aux joues, des gouttes commencent à envahir mes poils blonds, je serre les cuisses qui a pour effet de masser mon clitoris, ce qui aggrave la situation, je suis obligée de m’assoir pour ne pas tituber devant lui
Sans doute a-t-il mal compris mes paroles que j’ai prononcées dans un souffle car il baisse son short, une verge entourée d’une abondante broussaille noire, largement aussi grosse que celle de son père, fouette l’air avant de se plaquer sur son ventre jusqu’à atteindre le nombril, sa main gauche empoigne ce manche en tirant le prépuce en arrière le bloquant derrière un champignon large et cramoisi
- Tu vois ? impossible de le repasser dessus
- Va vite dans ta chambre te masturber ou va prendre une douche froide et revient présentable
- Tu ne veux pas m’aider ? si tu me montre ta chatte ça iras très vite
- Jesse !!
- Tu sais qui c’est la femme que je convoite ?
- Non ?
- C’est toi !
- MOI ? es-tu devenu fou ?
- Tu sais tout de l’amour, j’entends papa te faire des compliments le soir, il dit que tu es bonne, que tu suce merveilleusement bien et même que tu es très serrée mais là je ne comprends pas ce que ça veut dire …avance ta main caresse moi Mylène…
Jesse avance en imbriquant ses genoux entre les miens ce qui a pour effet de faire ouvrir ma robe de chambre qui se dénoue, la bouche ouverte, ses yeux exorbités fixent mon entrejambe, il finit par articuler
- Que c’est beau … t’es une vraie blonde …tes seins aussi sont beaux, je ne t’avais vue qu’en soutient gorge, soit sympas, avance ta main vers ma bite…
Dans un état second j’empoigne cette verge raide comme de l’acier qui tressaute da ma main, consciente que je ne peux poser ma paume sèche sur le gland délicat j’approche ma bouche afin d’y déposer de la salive…ses genoux se plient lorsqu’il avance son bassin quand j’enfourne la queue qui sent le pipi de la nuit
- Merciiiiiiiiiiii Mylène ! wwooouuuuaaaaah ça décoiffe …merde ! je vais décharger attention !
Quatre jets fusent a la vitesse du son percutant mes amygdales, juste après un bon café ça fait drôle, je me lève d’un bond et fuis vers la salle de bain faire le point : je viens de faire une pipe a mon beau fils ! lave toi les dents il va très vite oublier ça, la vie va reprendre son cours normal, de toute façon je vais en parler a son père
Lorsque je reviens a la cuisine il a disparut mais des éclats de voix me renseignent sur ce qu’il fait dans sa chambre il se branle encore en scandant mon prénom : MYLÈNE ! t’es bonne j’aimerais bien te baiser !
Le soir dans le lit je me tourne et me retourne jusqu'à ce que Bertrand excédé allume la veilleuse
- Qu’as-tu à la fin ? tu use les draps !
- J’ai un aveu à te faire c’est très grave …
- Tu m’as trompé ?
- Oui … non … il s’agit de Jesse
- Qu’a-t-il encore fait celui-là ? il fume ? il boit ? il se drogue ?
- Pire que ça … je l’ai sucé
- Répète ?
- Ce matin il m’a déconcertée en m’avouant qu’il était amoureux de moi, d’une parole sur l’autre il m’a montré sa verge raide, je ne sais plus comment elle s’est retrouvée dans ma bouche
- Il est encore puceau ? c’est normal qu’une femme comme toi le fascine
- Alors tu trouve ça normal ? si je n’avais pas repris mes esprits il m’aurait probablement prise consentante sur la table ou sur le bord de l’évier
- Ça reste en famille, moi aussi j’ai quelque chose à t’avouer... ta fille Nina
- Tu l’as baisée ?
- Non ! mais tout comme mon fils elle voulait voir a quoi ressemblait une bite… elle m’a surpris dans la salle de bain alors que je m’essuyais, de fil en aiguille elle m’a sucé aussi … elle ne se débrouille pas mal d’ailleurs ! MAIS ! elle n’a pas avalé, soit rassurée
- Mon dieu mais quels enfants avons-nous engendrés ?
- Les chiens ne font pas des chats ! ils sont a notre image, guidons les dans le bon chemin
- de la vie
- Que veux-tu dire ? …
- Déniaisons-les de façon à ce qu’ils gardent un très bon souvenir de leurs dépucelages
- Je dépucelle ton fils et tu … ma petite fille ?
- Ta petite fille est plus précoce que tu ne le pense mais elle ne veut pas entendre parler d’un minot de son âge, sinon ça aurait été plus simple qu’elle se fasse sauter par mon fils !
- Je ne sais pas comment m’y prendre
- Soit tranquille, il ne tardera pas à te relancer
Deux jours plus tard alors que j’étais seule Jesse rentre du lycée l’air soucieux, nous ne nous étions pas retrouvés en tête à tête depuis ce fameux jour
- Mylène ?
- Oui Jesse ?
- Je ne sais pas comment m’excuser pour …
- Stop ! n’en parlons plus !
- Alors tu ne m’en veux pas ?
- Je suis aussi coupable que toi, tu as changé d’avis pour ton attirance envers les femmes mariées ?
- Il ne s’agit pas de n’importe quelles femmes mariées ! il s’agit de toi !
- Bien … que dirait ton père s’il apprenait que j’ai couché avec toi ?
- J’m’en fous ! si tu veux tout savoir je pense que ta fille a de drôles d’attitudes envers lui
- Ah bon ?
- Elle ne se prive pas de le frôler de très près dés qu’elle le peut
- Boff c’est des gamineries, ça lui passera, et puis je ne suis pas jalouse
- Papa non plus ! Mylène j’aimerais te voir nue …l’autre jour cela a été trop furtif
- Ça suffit je vais dans ma chambre !
J’ai balancé ça en espérant qu’il persiste dans son entêtement et qu’il me suive, je n’ai pas complètement refermée la porte et je me suis allongée en travers du lit dans une semi-pénombre, des pas confirment que mon stratagème fonctionne, Jesse passe lentement sans s’arrêter, intrigué, il revient sur ses pas, cette fois la porte grince légèrement et se referme complètement, le jeune homme se poste au pied du lit, je ne bouge pas, mes jambes sont sensiblement entrouvertes, un mince faisceau lumineux se projette sous ma robe, ce petit vicieux a tout prévus, cette mini lampe de poche lui sert la nuit pour aller aux WC
Il respire bruyamment, ma robe glisse vers le haut, une main pèse sur mon genou afin de le séparer davantage, je ne résiste pas sachant qu’à présent la partie étroite de ma petite culotte est bien visible, sans doute l’auréole humide qui se développe aussi
Je n’ai pu retenir un léger cri lorsqu’en écartant le fond il a arraché un poil pubien, rassuré sur ma docilité il vire carrément le slip dans une aine, des doigts tremblants s’immiscent dans ma toison afin de la séparer par le milieu, un petit clap sonore lorsque mes lèvres sapées se décollent
Il ne peu réprimer un long ‘Ooooooooooohhhhh’ d’étonnement, la deuxième main entre en action, l’une sert à maintenir ma chatte ouverte l’autre à partir en exploration interne par l’intermédiaire d’un doigt très vite rejoint par un second, je suis fouillée sans ménagement en largeur et profondeur provoquant des bruits de plus en plus mouillés
Soudain c’est sa respiration saccadée qui frôle ma chatte, le môme hésite à me lécher, rester passive m’exaspère de plus en plus, alors d’autorité je lui colle la tête sur mon minou, il résiste avant de se laisser posez le nez sur mon clitoris, il hume longuement le fumet exhalé par mon vagin
- Lèche ou fout le camp !
- Je ne sais pas faire …
- Je vais te guider, sort ta langue et passe-là sur le petit bouton en haut de ma fente…. Voillllàààà, doucement, appuis davantage là … ouuuuuuiiiiiiii ! recommence !
Je frotte ma figue sur sa bouche afin de me procurer du plaisir, j’ai envie de lui faire croire que c’est lui qui va me faire jouir, mon bassin fait des bonds avant de lâcher une fusée de cyprine, Jesse se sauve a la salle de bain en hurlant que je suis une salope qui vient de lui pisser au visage
Un pas de plus vers le dépucelage est franchis qu’en est-il entre Bertrand et Nina ? ……
A SUIVRE
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Georges
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bon début. Allez faites vous plaisir et baiser vos beaux-enfants respectifs, puis tous ensemble!!!
Humm bien bien, et même super ces familles recomposées !
Rudy
Rudy