Titre de l'histoire érotique : Une soirée hard !
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Une soirée hard !
(suite de « Défonce moi »).
Comme la météo n’était pas trop favorable, ce dernier samedi après midi, je suis allé au cinéma avec mon pote antillais. Mélissa était absente pour tout le weekend…
Après avoir tourné quelques temps dans les sex-shops du quartier des Halles, nous avons pris la direction des Champs pour arriver au Multiplexe Gaumont où nous avions repéré un film que nous voulions voir. Dans la queue il y avait pas mal de monde et nous avons flashé tout de suite sur deux minettes dont nous nous sommes rapprochés discrètement. Comme elles semblaient vouloir regarder le même film que nous, c’était parfait. Nous les avons suivies dans la salle et en nous installant côte-à-côte dans la même rangée de fauteuils. Nous avons fait connaissance en partageant les friandises achetées au moment d’entrer. Oh, elles ne semblaient pas farouches. Le reste de la soirée le confirmera d’ailleurs.
Entre la fin des pubs et la projection du film, Catherine a souhaité changer de place pour venir à ma gauche, laissant Agnès seule à droite de mon pote. D’elles-mêmes elles avaient fait le choix ! Catherine est plutôt grande, sans talons, elle est sensiblement de la même taille que moi, environ 1 m 75 ! Blonde aux cheveux raides et longs coiffés en queue de cheval, elle a un visage ovale avec des grands yeux gris. Un petit nez pointu surplombe sa bouche aux lèvres minces. Lorsqu’elle a quitté son blouson, j’ai pu distinguer rapidement qu’une poitrine plutôt menue gonflait le devant de son sweatshirt.
Bien que sur le moment, je ne l’ai pas autant détaillée, Agnès est plus boulote, brune aux cheveux courts et gaufrés, elle a un teint très mat et un nez un peu épaté et des lèvres plutôt ourlées : Une métisse peut-être ? Elle ira bien avec Kevin.
En cours de film, lors d’une séquence un peu extrême dans l’épouvante (une histoire de loups garous), Catherine a saisi ma main gauche et l’a plaquée sur sa bouche pour étouffer un cri. J’ai senti aussitôt le souffle chaud de sa respiration oppressée au creux de ma paume. Lorsque j’ai redescendu ma main qu’elle continuait à serrer, je l’ai reposée sur ma cuisse et là, c’est la surprise : Catherine a glissé sa main entre mes cuisses en remontant jusqu’à la jointure. L’effet a été instantané : ma bite s’est dressée dans mon slip… Ce qui n’a pas semblé pas choquer cette coquine qui s’est penchée pour me rouler un patin d’enfer, ouvrant mes lèvres pour glisser sa langue au fond de ma bouche.
Le reste du film, je n’en ai pas vu grand-chose puisque nous nous sommes embrassés et pelotés presque tout au long de l’heure qui restait. A un moment Catherine m’a dit à l’oreille :
• Regarde cette salope d’Agnès ! Elle suce la queue de ton copain !
Effectivement, elle était à genoux entre les rangées de sièges, le corsage ouvert et la bite de Kevin allait et venait doucement dans sa bouche. De mon côté, j’avais glissé ma main droite entre les jambes de Catherine et lorsque je suis arrivé à la fourche de ses cuisses, j’ai pu constater qu’elle aussi était bien excitée : au travers du tissus, je sentais palpiter son sexe tout humide.
Lorsque le film s’est terminé, nous avons remis de l’ordre dans nos vêtements avant de nous diriger vers la sortie. La soirée n’était pas encore très avancée si bien que nous sommes allés tous les quatre au Mac Do pour diner ! Là pas question de batifoler mais nous avons pu faire plus amplement connaissance. Les deux filles, étudiantes en école de commerce partageaient une colocation dans le 13ème arrondissement faute d’avoir pu obtenir une chambre en cité U. Quant Kévin et moi, nous étions dans le 9-3 et nous enchainions les petits boulots tout en habitant encore chez nos parents respectifs dans une cité HLM.
Comme nous nous sentions bien tous les quatre, nous avons flâné quelques temps sur les Champs puis les deux filles nous ont invités à venir prendre un dernier verre chez elles ! Quelques stations de métro plus tard, nous sommes entrés dans l’appartement un peu vieillot des filles… Compte tenu de ce qui s’était passé dans le cinéma, en fait de dernier verre, ce sont les deux filles que nous avons consommé ! Catherine, qui semblait désormais la plus entreprenante s’est écriée en rigolant :
• Mettez vous sur le divan ! On va continuer à s’occuper de vous ! Agnès a un coup d’avance puisque qu’elle a déjà pris une giclée de foutre dans la gorge !
J’avais été tellement pris par les caresses échangées avec Catherine que je ne m’en étais pas aperçu ! Mon copain avait été discret ! J’étais à peine installé sur le divan que Catherine a enfourché mes cuisses venant face à moi, elle a frotté son pubis contre le mien si bien que je me suis mis à bander de nouveau, bien raide dans mon slip. Puis elle s’est retirée et mise à genoux entre mes cuisses pour faire descendre mon futal et mon slip dans un même mouvement avant de plonger bouche ouverte sur ma queue pour bien l’humecter et de la couvrir d’une capote.
En se relevant, elle m’a tourné le dos, relevé sa courte jupe et là ! Surprise ! Elle ne portait plus de culotte mais en se baissant j’ai pu apercevoir un Plug doré enfoncé dans son cul ! Une vraie salope ! J’ignore quand elle avait ôté sa culotte. Puis elle s’est empalée sur ma queue qui, d’un seul trait, est allée se loger au fond de sa chatte. Si nous avions conservé quelques vêtements, Agnès et Kévin étaient entièrement nus ! J’ai jeté un coup d’œil rapide sur Agnès : c’est vrai qu’elle avait été gâtée par la nature. Elle avait des seins gros comme des pomelos et un cul cambré, je ne vous dis pas ! Ils continuaient à se rouler des pelles et Kévin frottait sa bite érigée contre le ventre de sa belle qui lui as dit soudain sans aucune pudeur :
• J’ai les anglais en ce moment ! Tu vas me prendre le cul !
Je n’ai pas été étonné de la réponse de mon pote :
• OK ! Un trou est un trou ! Çà ne me dérange pas !
Agnès, sans aucune pudeur ni retenue s’est écriée :
• Tu pourras y aller franchement, je me suis fait casser le cul plus d’une fois et ta grosse queue ne me fait pas peur !
En disant cela, Agnès a tendu une capote à mon copain avant de se mettre en levrette à côté de nous. Pendant ce temps, Catherine se baisait littéralement sur ma queue, montant et descendant en rythme. Quand ma bite arrivait au fond de sa chatte, je sentais ses muscles intimes me triturer le gland ! Quelle baiseuse ! Je sentais que je n’allais pas tarder à partir et lorsque je me suis lâché au fond de la capote, Catherine s’est mise à jouir à son tour, gigotant dans tous les sens sur ma queue mais en veillant à ne pas m’éjecter.
Elle est restée empalée de longues minutes pour reprendre son souffle et moi, si j’avais copieusement éjaculé, ma bite bandait toujours ! A côté de nous, Kévin et Agnès se donnaient à fond, mon copain la maintenait avec ses mains placées autour de la taille et faisait claquer son ventre contre ses fesses à chaque fois qu’il allait au fond de son boyau étroit ! C’était chaud d’autant que nous pouvions voir les seins opulents d’Agnès balloter à chaque fois qu’elle était projetée en avant par les coups de bite de Kévin.
Pour l’avoir déjà vu baiser plus d’une fois, je savais que ce coquin se retenait, attendant que la fille jouisse pour se lâcher ! Là, çà n’a pas manqué, il a laissé Agnès jouir à fond avant de faire encore quelques aller-retour puis ôtant le préservatif, il s’est branlé vite fait pour cracher sur son dos ! Dans un bel ensemble, les deux filles sont allées cueillir quelques goutes de sperme qu’elles ont goûté ! De vraies salopes ! Finalement Catherine s’est relevée et s’est mise entièrement nue avant de venir goûter elle aussi au sperme qui maculait ma queue :
• Humm ! Sucré salé ! C’est bon !
Je pouvais enfin détailler Catherine et sa silhouette longiligne : des seins menus avec des aréoles rose foncé au téton saillant, des hanches étroites sous une taille à peine marquée. Elle avait tout d’une adolescente montée en graine, mais une graine de coquine libertine. Sans que je bouge, sa bouche allait et venait sur ma queue pendant que d’une main elle malaxait mes couilles. Avec un tel traitement, j’ai rapidement retrouvé toute ma vigueur et j’étais prêt à la sauter une nouvelle fois !
De leur côté Agnès et mon copain étaient repartis aussi pour une nouvelle séquence coquine. Couchée sur le dos à même la moquette, la fille avait glissé le membre de nouveau érigé de mon copain entre ses seins et elle les maintenait à deux mains pour les resserrer dans une branlette espagnole du plus bel effet. Ils avaient trouvé la solution puisqu’Agnès ne pouvait pas se faire sauter normalement. Elle allait faire juter Kévin sur sa poitrine… après l’avoir dégusté dans le cinéma.
Quant à Catherine, elle s’était mise en levrette sur le canapé en me disant :
• Couvre-toi et retire le Plug de mon cul ! Tu vas me prendre par derrière ! J’adore çà et c’est pour m’habituer que je porte des plugs de plus en plus gros !
Quand j’ai voulu la prendre, j’ai remarqué, située à côté de nous, une coupelle contenant divers préservatifs et un tube de gel adoucissant. J’en ai injecté une dose dans l’anneau serré et lentement, je me suis glissé dans le cul de Catherine.
Houlà ! Même si je suis entré relativement facilement, elle était serrée et dès que je me suis trouvé entièrement en elle, sa gaine étroite s’est moulée sur ma queue ! Après quelques temps, j’ai entamé le va-et-vient, veillant à ne pas sortir du sphincter. Il n’a pas fallu bien longtemps pour que je sente à nouveau le plaisir m’emporter, crachant à nouveau au fond du préservatif pendant que Catherine jouissait également après s’être caressé la chatte pendant tout le temps de son enculade.
Le dernier métro étant passé depuis bien longtemps, nous avons fini la nuit dans le lit respectif de nos conquêtes d’un soir ! Mais au fait, qui avait conquis les autres ?
Comme la météo n’était pas trop favorable, ce dernier samedi après midi, je suis allé au cinéma avec mon pote antillais. Mélissa était absente pour tout le weekend…
Après avoir tourné quelques temps dans les sex-shops du quartier des Halles, nous avons pris la direction des Champs pour arriver au Multiplexe Gaumont où nous avions repéré un film que nous voulions voir. Dans la queue il y avait pas mal de monde et nous avons flashé tout de suite sur deux minettes dont nous nous sommes rapprochés discrètement. Comme elles semblaient vouloir regarder le même film que nous, c’était parfait. Nous les avons suivies dans la salle et en nous installant côte-à-côte dans la même rangée de fauteuils. Nous avons fait connaissance en partageant les friandises achetées au moment d’entrer. Oh, elles ne semblaient pas farouches. Le reste de la soirée le confirmera d’ailleurs.
Entre la fin des pubs et la projection du film, Catherine a souhaité changer de place pour venir à ma gauche, laissant Agnès seule à droite de mon pote. D’elles-mêmes elles avaient fait le choix ! Catherine est plutôt grande, sans talons, elle est sensiblement de la même taille que moi, environ 1 m 75 ! Blonde aux cheveux raides et longs coiffés en queue de cheval, elle a un visage ovale avec des grands yeux gris. Un petit nez pointu surplombe sa bouche aux lèvres minces. Lorsqu’elle a quitté son blouson, j’ai pu distinguer rapidement qu’une poitrine plutôt menue gonflait le devant de son sweatshirt.
Bien que sur le moment, je ne l’ai pas autant détaillée, Agnès est plus boulote, brune aux cheveux courts et gaufrés, elle a un teint très mat et un nez un peu épaté et des lèvres plutôt ourlées : Une métisse peut-être ? Elle ira bien avec Kevin.
En cours de film, lors d’une séquence un peu extrême dans l’épouvante (une histoire de loups garous), Catherine a saisi ma main gauche et l’a plaquée sur sa bouche pour étouffer un cri. J’ai senti aussitôt le souffle chaud de sa respiration oppressée au creux de ma paume. Lorsque j’ai redescendu ma main qu’elle continuait à serrer, je l’ai reposée sur ma cuisse et là, c’est la surprise : Catherine a glissé sa main entre mes cuisses en remontant jusqu’à la jointure. L’effet a été instantané : ma bite s’est dressée dans mon slip… Ce qui n’a pas semblé pas choquer cette coquine qui s’est penchée pour me rouler un patin d’enfer, ouvrant mes lèvres pour glisser sa langue au fond de ma bouche.
Le reste du film, je n’en ai pas vu grand-chose puisque nous nous sommes embrassés et pelotés presque tout au long de l’heure qui restait. A un moment Catherine m’a dit à l’oreille :
• Regarde cette salope d’Agnès ! Elle suce la queue de ton copain !
Effectivement, elle était à genoux entre les rangées de sièges, le corsage ouvert et la bite de Kevin allait et venait doucement dans sa bouche. De mon côté, j’avais glissé ma main droite entre les jambes de Catherine et lorsque je suis arrivé à la fourche de ses cuisses, j’ai pu constater qu’elle aussi était bien excitée : au travers du tissus, je sentais palpiter son sexe tout humide.
Lorsque le film s’est terminé, nous avons remis de l’ordre dans nos vêtements avant de nous diriger vers la sortie. La soirée n’était pas encore très avancée si bien que nous sommes allés tous les quatre au Mac Do pour diner ! Là pas question de batifoler mais nous avons pu faire plus amplement connaissance. Les deux filles, étudiantes en école de commerce partageaient une colocation dans le 13ème arrondissement faute d’avoir pu obtenir une chambre en cité U. Quant Kévin et moi, nous étions dans le 9-3 et nous enchainions les petits boulots tout en habitant encore chez nos parents respectifs dans une cité HLM.
Comme nous nous sentions bien tous les quatre, nous avons flâné quelques temps sur les Champs puis les deux filles nous ont invités à venir prendre un dernier verre chez elles ! Quelques stations de métro plus tard, nous sommes entrés dans l’appartement un peu vieillot des filles… Compte tenu de ce qui s’était passé dans le cinéma, en fait de dernier verre, ce sont les deux filles que nous avons consommé ! Catherine, qui semblait désormais la plus entreprenante s’est écriée en rigolant :
• Mettez vous sur le divan ! On va continuer à s’occuper de vous ! Agnès a un coup d’avance puisque qu’elle a déjà pris une giclée de foutre dans la gorge !
J’avais été tellement pris par les caresses échangées avec Catherine que je ne m’en étais pas aperçu ! Mon copain avait été discret ! J’étais à peine installé sur le divan que Catherine a enfourché mes cuisses venant face à moi, elle a frotté son pubis contre le mien si bien que je me suis mis à bander de nouveau, bien raide dans mon slip. Puis elle s’est retirée et mise à genoux entre mes cuisses pour faire descendre mon futal et mon slip dans un même mouvement avant de plonger bouche ouverte sur ma queue pour bien l’humecter et de la couvrir d’une capote.
En se relevant, elle m’a tourné le dos, relevé sa courte jupe et là ! Surprise ! Elle ne portait plus de culotte mais en se baissant j’ai pu apercevoir un Plug doré enfoncé dans son cul ! Une vraie salope ! J’ignore quand elle avait ôté sa culotte. Puis elle s’est empalée sur ma queue qui, d’un seul trait, est allée se loger au fond de sa chatte. Si nous avions conservé quelques vêtements, Agnès et Kévin étaient entièrement nus ! J’ai jeté un coup d’œil rapide sur Agnès : c’est vrai qu’elle avait été gâtée par la nature. Elle avait des seins gros comme des pomelos et un cul cambré, je ne vous dis pas ! Ils continuaient à se rouler des pelles et Kévin frottait sa bite érigée contre le ventre de sa belle qui lui as dit soudain sans aucune pudeur :
• J’ai les anglais en ce moment ! Tu vas me prendre le cul !
Je n’ai pas été étonné de la réponse de mon pote :
• OK ! Un trou est un trou ! Çà ne me dérange pas !
Agnès, sans aucune pudeur ni retenue s’est écriée :
• Tu pourras y aller franchement, je me suis fait casser le cul plus d’une fois et ta grosse queue ne me fait pas peur !
En disant cela, Agnès a tendu une capote à mon copain avant de se mettre en levrette à côté de nous. Pendant ce temps, Catherine se baisait littéralement sur ma queue, montant et descendant en rythme. Quand ma bite arrivait au fond de sa chatte, je sentais ses muscles intimes me triturer le gland ! Quelle baiseuse ! Je sentais que je n’allais pas tarder à partir et lorsque je me suis lâché au fond de la capote, Catherine s’est mise à jouir à son tour, gigotant dans tous les sens sur ma queue mais en veillant à ne pas m’éjecter.
Elle est restée empalée de longues minutes pour reprendre son souffle et moi, si j’avais copieusement éjaculé, ma bite bandait toujours ! A côté de nous, Kévin et Agnès se donnaient à fond, mon copain la maintenait avec ses mains placées autour de la taille et faisait claquer son ventre contre ses fesses à chaque fois qu’il allait au fond de son boyau étroit ! C’était chaud d’autant que nous pouvions voir les seins opulents d’Agnès balloter à chaque fois qu’elle était projetée en avant par les coups de bite de Kévin.
Pour l’avoir déjà vu baiser plus d’une fois, je savais que ce coquin se retenait, attendant que la fille jouisse pour se lâcher ! Là, çà n’a pas manqué, il a laissé Agnès jouir à fond avant de faire encore quelques aller-retour puis ôtant le préservatif, il s’est branlé vite fait pour cracher sur son dos ! Dans un bel ensemble, les deux filles sont allées cueillir quelques goutes de sperme qu’elles ont goûté ! De vraies salopes ! Finalement Catherine s’est relevée et s’est mise entièrement nue avant de venir goûter elle aussi au sperme qui maculait ma queue :
• Humm ! Sucré salé ! C’est bon !
Je pouvais enfin détailler Catherine et sa silhouette longiligne : des seins menus avec des aréoles rose foncé au téton saillant, des hanches étroites sous une taille à peine marquée. Elle avait tout d’une adolescente montée en graine, mais une graine de coquine libertine. Sans que je bouge, sa bouche allait et venait sur ma queue pendant que d’une main elle malaxait mes couilles. Avec un tel traitement, j’ai rapidement retrouvé toute ma vigueur et j’étais prêt à la sauter une nouvelle fois !
De leur côté Agnès et mon copain étaient repartis aussi pour une nouvelle séquence coquine. Couchée sur le dos à même la moquette, la fille avait glissé le membre de nouveau érigé de mon copain entre ses seins et elle les maintenait à deux mains pour les resserrer dans une branlette espagnole du plus bel effet. Ils avaient trouvé la solution puisqu’Agnès ne pouvait pas se faire sauter normalement. Elle allait faire juter Kévin sur sa poitrine… après l’avoir dégusté dans le cinéma.
Quant à Catherine, elle s’était mise en levrette sur le canapé en me disant :
• Couvre-toi et retire le Plug de mon cul ! Tu vas me prendre par derrière ! J’adore çà et c’est pour m’habituer que je porte des plugs de plus en plus gros !
Quand j’ai voulu la prendre, j’ai remarqué, située à côté de nous, une coupelle contenant divers préservatifs et un tube de gel adoucissant. J’en ai injecté une dose dans l’anneau serré et lentement, je me suis glissé dans le cul de Catherine.
Houlà ! Même si je suis entré relativement facilement, elle était serrée et dès que je me suis trouvé entièrement en elle, sa gaine étroite s’est moulée sur ma queue ! Après quelques temps, j’ai entamé le va-et-vient, veillant à ne pas sortir du sphincter. Il n’a pas fallu bien longtemps pour que je sente à nouveau le plaisir m’emporter, crachant à nouveau au fond du préservatif pendant que Catherine jouissait également après s’être caressé la chatte pendant tout le temps de son enculade.
Le dernier métro étant passé depuis bien longtemps, nous avons fini la nuit dans le lit respectif de nos conquêtes d’un soir ! Mais au fait, qui avait conquis les autres ?
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