Trahi par le meilleur pote de mon mari. - histoire érotique

Parfois nous faisons des erreurs parce que nous sommes impulsifs, mais cela peut nous amener à découvrir le plus grand plaisir que nous ayons jamais connu.
Je m'appelle Manon, très belle femme de vingt neuf ans, et suis mariée à Marc.
Notre relation n'était pas mauvaise, mais elle n'était pas parfaite non plus.
Si je devais l'exprimer en termes plus clair, c'était comme si nous vivions dans une routine constante d'argumentation sans fondement tandis que l'étincelle qui existait autrefois semblait s'éteindre avec le temps. Je ne peux pas mentir, Marc est un homme bon, un mari responsable et docile au foyer.
Il travaille comme assistant de banque et s'efforce de nous donner le meilleur tandis que je réalise mon rêve d'être enseignante en maternel dans une école pour enfants, mais c'est précisément ce qui a causé le plus de problèmes dans notre relation.
Être entouré de centaines d'hommes riches, mariés ou célibataires a été une sorte de
tourment pour mon mariage, car les commentaires et l'attention constante des parents de mes élèves ont transformé mon mari en un être jaloux et dominateur.
Tout ce serait terminé par une séparation sans l'intervention de Renault, son meilleur pote. Les deux sont amis depuis l'enfance et sont aussi inséparables que s'il partageait le même sang. Renault est un homme séduisant, âgé de trente deux ans, célibataire et aventureux, qui a toujours été gentil avec moi.
« Pourquoi penses-tu que ta femme te serait infidèle ? » Lui ai-je entendu demander un jour à mon mari, alors qu'ils avaient décidé de boire quelques bières chez nous.
« Ils tournent autour d'elle, a déclaré Marc, il la remplisse de cadeaux et d'invitations à sortir comme si son alliance n'existait pas. »
« Bien sûr qu'ils vont la draguer, répondit Renaud, mais Manon t'a-t-elle déjà fait douter de l'amour qu'elle ressent pour toi ? »
J'étais reconnaissante à Renault d'avoir fait entendre raison à son ami, car je ne voulais pas me séparer de mon mari, même si notre vie n'était pas ce que j'avais imaginé au début de notre relation.
Mais un jour les choses ont commencé à changer soudain. Marc a commencé à rentrer tard et à annuler nos projets de dernières minute, et les discussions déjà fréquentes
commençaient à devenir plus animées au point de reprocher mutuellement la raison pour laquelle nous nous étions mariés à l'époque
Je ne savais pas exactement pourquoi mais mon instinct féminin me criait que mon mari cachait quelque chose que je devais découvrir. Depuis plusieurs jours j'ai décidé d'être plus docile, d'essayer d'arranger les choses, tout cela pour sauver nôtre relation, mais la vie allait me donner une épreuve très difficile, juste le soir où je prévoyais une soirée pour être à nouveau intime avec lui.
Marc arriva tard à la maison comme d'habitude, cependant cette nuit-là ses vêtements sentaient un parfum inconnu, et il ne m'a pas regardé dans les yeux lorsque je lui ai demandé où il était. A ce moment-là, une vague de jalousie m'envahit tandis que mon esprit me criait d'être en alerte.
Il me trompait, pensais-je, c'était plus que sûr puisque le sixième sens féminin ne faisait jamais défaut dans ces cas là. Je ne voulais pas le confronté, et au lieu de cela je me tenais dans le salon avec une tristesse incomparable alors que je pleurais de déception de penser que mon mari m'avait trompé. J’avais envie de crier, de me défouler sur ces derniers mois, qui avait été comme un tourment pour moi. J'ai pleuré pendant des heures sans savoir quoi faire, alors que je sentais la rage me consumer les entrailles, jusqu'à ce que ça sonne. Mon téléphone a semblé prendre vie à ce moment-là, ce qui m'a vraiment irrité, parce que je ne voulais rien savoir du monde extérieur, à moins que ce soit une personne qui voulait m'écouter.
Cependant le nom de Renault sur l'écran m'a fait me demander si je devais répondre ou non. J'ai réfléchi pendant quelques secondes , jusqu'à ce que l'appel se décline de lui-même, mais Renaud semblait avoir une urgence à me contacter, alors qu'il continuait à composer. Je l'ai pris comme un signe du destin, car en fin de compte, qui pourrait en savoir plus sur Marc, si ce n'était son meilleur ami.
- Bonjour, dis-je.
Ma voix était triste, abattue, mais je ne pouvais pas m'empêcher d'être ainsi, je ne voulais pas faire l'effort de prétendre que tout allait bien.
- Manon, Marc est-il à tes côté ? C’est juste qu'il ne répond pas au téléphone, dit-il.
Il semblait agité, il devait donc se trouver dans l'un des endroits où lui et mon mari jouaient souvent certains soirs.
- Non, répondis-je brièvement tout en me levant..
Je me suis dirigé vers nôtre chambre, réalisant que mon mari dormait paisiblement.
- Il dort, répondis-je immédiatement, c'est pour ça qu'il ne répond pas.
J'entends l'agitation autour de Renaud, mais sa voix n'est déjà plus qu'un lointain murmure. C'était un silence plutôt gênant qui m'a même fait envisager de mettre fin à l'appel, mais il reprit la parole.
- Est-ce que ça va Manon ? Demanda-t-il soudain.
Il m'a fallu toutes mes forces pour ne pas m'effondrer à ce moment-là, je me mordis la lèvre en essayant de ne pas pousser un sanglot pitoyable, mais il m'était impossible de mentir à Renaud. Il pourrait être la seule personne qui comprendrait tout ce que nous avons vécu, surtout compte tenu de la façon dont il m'avait défendu auparavant.
- Non, dis-je sincèrement d'une voix brisée qui dénotait ma souffrance.
Pour être honnête je ne sais pas ce qui m'est arrivé à ce moment-là, c'était fou d'être seule avec le meilleur ami de mon mari tard le soir, mais quand Renault m'a dit qu'il serait à ma porte dans dix minutes. J'ai accepté comme si c'était automatique.
Lorsqu'il est arrivé chez moi, je me suis dépêché de le rencontrer. Je n'avais pas eu le temps de me préparer, alors j'ai juste enfilé un jean’ confortable avec un chemisier gris ample. Mes pieds étaient chaussés de basket que j'avais toujours à porté de main en cas d'urgence. Je ne me souciais pas de me maquiller ou de me coiffer, je voulais juste sortir de la maison et sentir l'air frais sur mon visage.
Lui en revanche avait l'air de sortir tout juste de la douche avec ses cheveux encore mouillés, et une serviette autour du cou. Il portait un sweat-shirt à capuche noire qui mettait en valeur ses muscles et un pantalon de survêtement gris qui moulait son corps. Au pied il portait des baskets blanches encore taché de saleté dus à l'exercice. Son visage était rouge à cause de la chaleur et de la brise nocturne. Ses yeux brillaient avec une intensité qui me coupait le souffle, je ne l'avais jamais détaillé de cette façon, mais je devais être honnête, il était très séduisant, trop attirant et tentant.
Il m’a alors proposé d’aller faire un tour.
Renaud a roulé en silence sur l'autoroute principale de la ville, jusqu'à ce qu'il se gare au belvédère, l'une des attractions touristique les plus célèbres, mais déserte à cette heure-ci. Cela nous a donné une vue magnifique sur toutes les maisons qui brillaient dans la nuit noire, tandis que le chauffage de la voiture nous serrait tous les deux dans ses bras.
- Ici tu peux tout me dire calmement, me dit-il de sa voix douce.
L'atmosphère était si intime que je ne pouvais m'empêcher de pleurer. Ses mains habiles essuyèrent les larmes qui coulaient sur mon visage. Alors qu'il m’essuyait, je ne pu m'empêcher de fondre devant ce geste délicat. C'était comme s'il me traitait comme une poupée de porcelaine qui pouvait être brisée, me faisant me sentir si protégé et en confiance sous son contact.
Renaud m'a écouté patiemment sans me juger. Il m'a dit qu'il comprenait ma douleur et que si j'avais besoin de lui, il serait là pour moi. Ses paroles étaient un baume pour mon esprit confus, même si je n'arrivait pas à trouver le courage de lui demander s'il savait qui était la maîtresse de mon mari, mais dans ce moment très privé, le regard profond de Renaud m'a soudainement envahi dans mon esprit.
L'idée que mon mari me trompait se reproduisait plus clairement à chaque seconde qui passait, et même si je l'avais exprimé, cela n'avait pas calmé la rage que je ressentais en moi. Je devais faire quelque chose, après tout j'avais décidé de séduire un homme ce soir-là. Alors, si Marc ne me respectait pas, ou ne respectait pas notre accord sacré, moi non plus. J'ai pris une profonde inspiration et j'ai regardé Renaud, un homme qui n'avait eu que des mots doux pour moi.
Je lui ai demandé pardon dans mon esprit avant de prendre sa nuque en coupe, et d'attirer ses lèvres vers les miennes, l'embrassant fermement et passionnément pour savourer ce qui semblait être une victoire personnelle.
- Manon, murmura-t-il au milieu de notre baiser.
- Laisse-moi faire, l'ai-je supplié.
Je savais que ce que je faisais ne me ressemblait pas et sentais que Renaud lui-même comprenait les raisons qui me motivaient. Après tout, qu'est-ce qui ne ferait pas plus de mal qu'une trahison avec nôtre propre meilleure amie ? Alors quand j'ai remarqué qu'il se détendait sous mon contact, j'ai décidé de l'embrasser d'une manière plus frappante. La timidité, et le doute que je ressentais au début ont disparu au bout de quelques secondes, quand j'ai remarqué que Renaud était excité. je l'ai imité.
Ses affaires ainsi que les miennes se sont envolées au même moment où nous nous sommes dirigé vers l'arrière de sa voiture. Renaud était admiratif devant mon sublime corps, tout comme je l’étais devant sa virilité. Là, j'ai décidé de tout mettre en œuvre dans une position qui permettrait à Renault d'avoir la meilleure vue sur moi.
J'ai posé mes mains et mes genoux sur le siège, et j'ai abaissé ma poitrine vers celui-ci pour exposer complètement mon corps, même s'il ne pouvait pas le voir entièrement.
Il savait que cela en valait la peine et il poussa un grand soupir avant de continuer. Je me cambrais, m’offrant totalement à lui.
Ses imposant atouts m’ont fait gémir, surtout quand il pénétra un endroit serré de mon corps, depuis longtemps délaissé, tout comme il a gémi quand j’ai pris son membre en bouche. Mon palais et ma langue étaient imprégnés du goût de sa semence.
Quand je rentrais chez moi, mon mari me prenais dans ses bras, me donnais un baiser passionné sur la bouche, bouche dans laquelle, quelques instant plus tôt, Renaud y avait déposé son œuvre.
Sentir Renaud m'a rappelé entre autres que mon mari et moi n'avions pas fait une telle chose depuis longtemps. Je me sentais assez serré par rapport aux autres fois, et je voyais que Renaud avait aimé ça, quand il grognait de plaisir, quand il me remplissait.
Même si mon esprit avait comploté pour se venger de rompre la relation entre deux amis qui étaient ensemble depuis l'enfance, mon corps ne pouvait s'empêcher d'en profiter. Il m'a rendu folle d'une manière que même mon propre mari ne l'avait pas fait. Je pouvais donc dire qu'il avait du talent.
Je l'avais fait, j'avais rendu à mon mari une cuillerée de ses propres médicaments.
Le problème est venu plus tard, quand j'ai réalisé qu'être avec Renaud une seule fois ne suffisait pas. Nous avons continué à fréquenter les lieux pendant plusieurs mois.
Mon mari était toujours aussi distant qu'avant, mais il avait commencé à baisser sa garde ces dernière semaines. Cependant les choses se termineraient différemment de ce que je pensais.
- Manon j'ai besoin de te parler, me l'a-t-il dit un jour.
J'étais prête et déterminé à parler de notre séparation, quand il m'a pris la main et m'a placé un bandeau sur les yeux qui les couvrait complètement.
- J'ai prévu quelque chose de spécial pour toi, me murmura-t-il à l'oreille.
Honnêtement je ne savais pas à quoi m'attendre, mais mon cœur était déjà déterminé à laisser Marc partir et à reconstruire ma vie loin de lui. Je maintiendrais le contact avec Renaud, pour continuer à explorer cette dynamique que nous avions créé tous les deux, mais je doutais que nous voudrions tous les deux nous engager dans une relation plus stable, comme celle que j'avais avec mon mari actuel.
Tout en moi s'est effondré, quand après avoir retirer le bandeau je me suis retrouvée devant une belle maison entièrement meublée et décorée c'était notre nouvelle maison.
Un cadeau que Marc avait planifié en collaboration avec l'un des plus grands désigner d'intérieur de la ville. J'ai regardé du côté de mon mari où se trouvait Renaud. Il me souriait, tout en trinquant son verre de vin. En même temps, son sourire me disait qu'il m'avait attrapé comme un chasseur attrape sa proie.
- Est-ce une surprise pour moi murmurais-je confuse.
Marc hocha la tête et me serra dans ses bras.
- Bien sûr ma chérie, dit-il, seul Renaud, madame et moi le savions.
La dame en question s'est présentée en me disant qu'elle était ravie à l'idée que c'était mon mari qui s'était chargé de la décoration de la maison. A ce moment là, l’arôme du parfum de l'architecte d'intérieur s'est infiltré dans mon nez grâce à une douce brise, et c'est à ce moment-là que j'ai réalisé mon erreur.
Marc ne m'avait jamais trompé, il s’était juste occuper à me préparer une surprise.
Seul Renaud était l’investigateur de cette tromperie, et avait profité de ma naïveté. Il m’avait aiguillée sur le fait que mon mari me trompait, pour mieux le trahir, et abusé de ma faiblesse. Bien sûr, après cela j'ai ressenti des remords et un peu de honte.
Après avoir confronté Renaud à propos des décisions qu'il avait prise ce soir-là, nous nous sommes retrouvés empêtrés dans le même jeu que nous avions joué ensemble les mois précédents.
Mes sentiments envers Renaud se sont effondrés, mais je garde encore en moi, la passion de nôtre relation.
Mon mari a radicalement changé, et je suis devenue la personne désireuse d'améliorer ma relation avec lui. Cependant, quand on passait une partie de la nuit à faire l’amour, mon corps n'arrêtait pas d'appeler la même personne...Renaud.
Ce secret, je le garde encore aujourd’hui. Parfois, je suis confuse entre mes décisions, mais quand j’étais avec lui, rien n’avait d’importance. J’avais été impulsive, j’étais très claire à ce sujet, mais je ne regrettais rien.