Trio à Sanary - histoire érotique

Christiane et Jacques nous invitent à passer leur seconde soirée chez eux, à Sanary. Cela fait trois semaines que nous avons participé à nos premiers ébats chez eux. Jocelyne me prévient que cela se déroulera le vendredi soir et non le samedi comme initialement prévu. Vendredi en fin de matinée, appel de Jocelyne me prévenant qu'elle doit garder sa petite fille qui a la varicelle et que la soirée est annulée, contre temps de dernière minute, elle se charge de prévenir nos amis. Le téléphone sonne une dizaine de minute plus tard, elle me dit qu'étant très déçu que nous ne pouvions pas venir Christiane a demandé si çà lui posait un problème si je pouvais venir seul, que Jacques m'emmenerait à la fermeture de la brasserie (il est propriétaire d'une brasserie à Toulon). Jocelyne me dit que çà ne fait rien, que j'allais bien m'amuser. Je suis étonné et lui dis que ce n'est pas grave que l'on peut reporter. Après tout, je ne les ai vu que deux fois, même si ce fut intense à chaque fois. Elle insiste, que je pourrai passer la nuit chez eux et qu'ils me ramèneront à Toulon le lendemain. J'accepte donc. Le soir venu, j'arrive à la brasserie, je reconnais tout de suite Jacques qui discute avec des clients. Un serveur me demande si je viens pour boire un verre ou diner. Je lui réponds que je vais boire un verre au bar dans un premier temps. Jacques arrive aussitôt et me serre la main avec grand plaisir en me demandant comment je vais. Nous discutons, il me sert directement et me dis que c'est bien dommage que Jocelyne ne puissent être des notre ce soir. Je passe commande et mange un panini salade. Nous discutons vraiment bien avec Jacques, il est très cultivé et a toujours une pointe d'humour. A aucun moment, il ne fait allusion à notre soirée qui approche.
Il est presque 20h30 et il me dit qu'on ne va pas tarder à rentrer. Il discute avec un de ses employés et lui dit qu'il passera demain midi. Nous quittons la brasserie et papotons tranquillement jusqu'à son véhicule. En route, nous changeons de discussion, à deux plus de risque d'être entendu par qui que ce soit. Il me reparle de notre précédente soirée, de ce bon moment de baise à quatre comme il dit. Il est à peine 21 heures et nous voilà arrivés chez eux. Une villa on ne peut plus sympa comme on peut les imaginer dans le Var, un beau portail, deux platanes, un olivier et une façade couleur ocre que je devine car la nuit est déjà tombé en ce dernier week end d'octobre. Nous passons par le sous sol de la maison, montons l'escalier et arrivons dans le hall d'entrée. Christiane arrive et me prend dans les bras en m'embrassant. Elle est déjà en tenue de soirée, peignoir en satin mauve et noir, son imposante poitrine me présente déjà une vue plongeant sur mes futurs compagnons de jeu. Elle porte des bas noirs et talons aiguille, bien maquillée comme lors de nos précédentes rencontres. Elle me dit qu'elle est ravie que je sois venu et que le contretemps de Jocelyne n' ait pas empêché ma présence. Elle me demande si j'ai faim mais Jacques dit que nous avons grignoté à la brasserie mais qu'en revanche, un petit verre serait de bon ton. Elle nous demande ce que nous voulons, Jacques prend un whisky, elle prend un malibu et je lui dis que je vais prendre comme elle. Jacques lui dit qu'il va prendre une douche rapidement et qu'il nous rejoint. Elle propose de retirer ma veste et l'accroche au porte manteau du hall d'entrée.
Nous pénétrons ensuite dans la salle à manger qui nous mène vers le salon, la maison est très raffinée, les propriétaires ont du goût ! Un grand canapé d'angle domine la pièce et une table basse en verre et marbre se situe au centre de la pièce. De beaux meubles d'Asie et d'Océanie ornent la pièce. Elle ouvre le bar dans un meuble d'origine indienne et sort un plateau sur lequel elle pose les verres et bouteilles dont nous aurons besoin. Elle referme le bar et me demande de la suivre. Nous repassons par le couloir d'entrée, tournons à droite et arrivons à la chambre à partouze comme elle l'a nomme, c'est ici qu'ils recoivent pour leurs parties fines.
Elle pose le plateau sur une table d'angle à côté de la télé et du magn2toscope. La pièce est peu meublée, hormis le lit de 200 par 160 au milieu, une table de chevet, il n'y a que trois chaises et une penderie coulissante qui couvre presque la longueur du lit de profil avec des glaces qui promettent un beau spectacle comme lors de notre première fois chez eux. Elle remplit nos verre et me dit que l'on va passer une bonne soirée. Elle me fait un bisous tendre sur le bout des lèvres. Je lui dis qu'elle est très sexy avec le peignoir mais que je languis de voir ce qu'il se trouve dessous. Elle me répond que çà ne va pas tarder et elle me propose de me mettre à l'aise. J'ôte mon pull et à ce moment Jacques arrivent, une serviette à la taille. Il referme la porte et s'exclame avec sa bonne humeur habituelle "en avant la musique".
Christiane nous tend nos verres et nous trinquons à notre soirée. Elle demande si il ne fait pas trop froid ni trop chaud dan la pièce mais Jacques lui répond que de toute façon, nous allons nous réchauffer vite fait. Christiane me demande de me désabiller, je m'execute de suite, arrivé au caleçon, elle me dit d'attendre. Elle ouvre aussitot son peignoir mauve et noir pour laisser dévoiler sa grosse paire de nichons. Elle porte un soutien gorge noir magnifique, orné de dentelles, qui laisse deviner ses mamelons. En bas, juste un string noir avec quelques dentelles également. Je lui dis que c'est très élégant et des plus sensuel. Elle me remercie et me dit que les compliments sont très agréables à entendre. Jacques me dit que je suis au petit soin et respectueux. Il dit à Christiane "ma chérie, il faut le remercier comme il faut ce charmant jeune homme car Jocelyne n'est pas là et il est venu quand même". Christiane me prend par la main et me fait assoir sur le bord du lit, elle se met devant moi et me demande de lui caresser les seins mais ne pas retirer son soutien gorge. Nous nous embrassons langoureusement, je l'embrasse sur le corps, mordille le soutien gorge. De la main gauche elle tire la serviette de Jacques qui laisse découvrir son gros boudin avec le prépuce pendouillant au bout et sa paire de bourses qui descend bien, toujours aussi impressionnant. Elle commence à le branler, Jacques l'embrasse. Je sens la main de Christiane passer dans mon caleçon, je bande déjà. Elle me dit qu'ils vont bien s'occuper de moi. Elle descend son string et je lui demande de retirer son soutien gorge par la même occasion. Nous sommes à genoux sur le lit et Jacques nous rejoint, il bande et fait coulisser à fond son prépuce qu'il découvre à fond dans un sens et recouvre le gland dans l'autre. Je joue avec les mamelles lourdes de Christiane, ses têtons sont durs, je frotte mon gland sur ces derniers. Elle me dit de m'allonger et me tend un oreiller bleu ciel et blanc, elle m'embrasse et me caresse, elle est douce, j'apprécie. Je sens la main de madame me caresser le torse et descendre jusqu'à ma verge, elle me branle et m'embrasse puis elle lâche "allez". Jacques et à genoux et se branle en nous regardant, Christiane le suce au passage ; elle arrive à moi et commence à lécher ma queue de bas en haut, puis se repositionne pour se mettre en chien de fusil et continuer son oeuvre. Jacques s'approche et demande à Christiane si elle veut bien partager. J'avais à peine deviné leur jeu mais je ne pensais pas si tôt. Il commence donc à me sucer et sa langue titille déjà le point sensible à la base du gland que les hommes connaissent. Ils se passe et repasse ma queue qui est trempée de lèche et de bave, je caresse leurs têtes et leur dis qu'il sont des coquins. Jacqueline se redresse et vient m'embrasser à pleine bouche et me propose un 69. Elle me dit qu'elle se souvient que le 69 est ma position favorite. Je m'exécute et reçois son gros minou sur les lèvres, je commence à lècher, à aspirer la mouille de madame. Elle couine, j'écarte ses lèvres et glisse un doigt, elle est trempée Christiane. Je l'entends pomper Jacques qui s'est remis à genou, la queue mi dure qui doit se remotiver mais qui râle et qui dit "suce moi bien ma belle". Nous sommes de plus en plus excités de par nos gémissements. Christiane dit à Jacques de venir frotter sa bite sur la mienne, il s'exécute de suite et je sens frotter sa grosse quenelle sur ma verge fine. Christiane nous suce les bouts de gland, elle lèche à tout va nos queues. Je lève ses grosses fesses et tourne la tête sur la gauche afin de regarder le spectacle avec les vitres de la penderie tout en continuant de malaxer les fesses de ma partenaire. Jacques frotte son boudin sur ma queue et Christiane nous lèche le bout, parfois suce en accueillant les deux glands dans la bouche. Ses bonnes joues ne forcent pas pour entrer nos mandrins. Pendant quelques minutes je regarde ce spectacle, elle me demande si je fais la grève car j'ai arrêté de lui lécher le con. Jacques gémis de plus en plus et lance à Christiane "Fais nous jouir je ne vais plus tenir longtemps". Elle me demande si c'est bon pour moi, je vais dire qu'à vingt deux ans on peut jouir sur commande alors ayant quand même bien envie de me soulager je réponds positivement. Elle enserre nos queues et branle de plus en plus fort, le boudin de Jacques coulissent sur ma queue, elle nous suce à nouveau, lèche et j'entends Jacques lacher un "j'vais jouir, t'arrête pas", je sens sa queue s'agiter et je me frotte aussi et me met à lacher ma semence en criant, Jacques éjacule dans la foulée, Christiane suce nos glands et laisse ressortir le foutre depuis ses lèvres, je donne quelques coups de langue sur sa chatte en râlant. Elle se relève pour se mettre entre nous à genoux. Elle continue de nous branler et sucer, disant des petits mots comme "salops", "fumiers", et s'exclame "çà coule le foutre". Effectivement çà coule, nos bites ruissellent, mon foutre est bien épais. Jocelyne et moi n'avions pas fait l'amour pour nous garder depuis le début de semaine. Jacques enserre également nos queues et branle, il râle, relache, la reprend et me dis "ta bite est belle". Nous sommes assis face à face, les jambes croisées l'une au dessus de l'autre. Nos sexes sont l'un contre l'autre, trempés de sueur et de foutre qui coule encore un peu de la mienne. Christiane vient me sucer quelques secondes et nous refrotte, Jacques a déjà débandé et je suis encore un peu dur. Je lui attrape le mandrin et le branle un peu sur la mienne, nous sommes collant, j'aime décalotter à fond et retirer son prépuce pour cacher le gland. Je m'amuse un peu avec le bout de sa bite que je fais coulisser encore quelques secondes. Il me dit qu'il est aux anges et que je peux continuer à jouer, sa bite pendouillle maintenant et la mienne baisse pavillon également. Christiane nous tend le rouleau essuie tout qui est sur la table de cheve
Nous sommes sur le bord du lit et sirotons nos breuvage tranquillement. Christiane me dit que ce n'était que les hors d'oeuvre et que monsieur Jacques a eu ce qu'il voulait et que maintenant nous allions devoir s'occuper d'elle très sérieusement. Jacques me propose qu'après de nouveaux préliminaires, que je prenne Christiane en l'ayant dos à moi, ce qui me permettrait de peloter ses gros nichons,qu'il nous lécherait la queue et le minou de madame pendant que je la pilonne. Je lui réponds que c'est parfait pour moi. Ils me disent que je me mette à l'aise et qu'ils ne seront pas surpris si j'ai des mots cru pendant l'acte. J'opine du chef et leur dit que je ne peux pas être parfait de leur point de vue mais que je vais essayer et qu'en attendant ma queue est à leur entière disposition. Il me répondent que je suis un amour et que Jacques apprécie de pouvoir jouer avec ma bite comme il la fait jusqu'à présent. Je lui demande alors s'il attend plus de moi. Je vois que je lui cloue le bec. Christiane lui dit, tu vois comme il va vite en besogne. Elle me dit "rassure toi, il ne te demandera pas de l'empapaouter et vis et versa." Je rigole et Jacques aussi, il me dit que dans le feu de l'action avec Christiane, il prend son pied et parce que je ne suis pas un jeune mec bien fait. Ils me disent que ils en font de même avec un autre couple (Nadège et André avec qui j'ai passé quelques soirées sympa mais je vous le conterai une prochaine fois...) avec qui ils pratiquent l'échangisme bisex mais qu'effectivement c'est assez rare que les hommes acceptent. Je me lève et demande ou se trouve le petit coin car l'envie est pressente, Christiane m'accompagne. Le temps de revenir et d'ouvrir la porte, j'ai un focus sur le gros cul de Christiane et ses lèvres de chatte béante qui est entrain de pomper la grosse queue de Jacques qui râle et me presse de les rejoindre. Il me dis que si je veux faire de même que madame, je n'hésite pas, il me dit aussitôt "je plaisante occupe toi plutôt de brouter le cul de cette salope", je me mets à quatre genoux, lui enserre son cul et la lèche par derrière en remontant sur sa raie, elle a vraiment un gros cul Christiane ! Je regarde maintenant sur la droite et la vitre de la penderie reflète notre trio qui se broute. Christiane ruisselle, elle avale le braquemard de Jacques goulument et monsieur y trouve son compte. Elle le dégage de la bouche et lance "Paul tu vas prendre une capote dans la table de chevet et tu vas me baiser". Je me lève la queue en l'air, mes amis me regardent tout en continuant leur activité. Je prends plusieurs capote, je ne sais pas pourquoi. Je les jette sur un coin du lit, en ouvre une et après avoir frotter mon gland sur la chatte ruisselante de Christiane, je la déroule. Je commence à la prendre en levrette et c'est parti çà coulisse dans sa foufe, je regarde la vitre et leur demande de regarder la scène, il me disent qu'ils aiment nous voir baiser, que Jacques aime me voir bourrer le cul de sa femme, je lui dis "Cà te plait Jacques, oui ta grosse bite bande bien c'est que çà te plait", il me répond "oui parle nous comme çà". Quelques minutes plus tard, Jacques me dit qu'on va changer de position et que je vais prendre madame en m'allongeant. Je me dégage de Christiane et prend la place de Jacques, le drap de bain sur le couvre lit ou se trouvait Jacques est humide, monsieur a chaud. Je caresse un téton au passage et Christiane et dos à moi, son fessier m'écrase un peu. Elle me prend le chibre et l'enfourne dans sa chatte, cette fois, je tourne la tête sur la gauche et la vue n'est pas mal non plus, ses grosses mamelles tombantes bougent, j'attrape le sein gauche que je malaxe tant que je peux et je la pilonne de plus belle. Jacques a la queue à la main et se branle. Je vois son visage s'abaisser entre les cuissots de Christiane et je commence à sentir une langue me lècher les couilles et un peu la bite, sensation moindre avec la capote mais sensation quand même ! Je bourre madame avec toute mon ardeur, elle s'arrête se met à genou pour se détendre les bras, je vois maintenant ma queue la défoncer, j'écarte les fesses pour contempler le spectacle. Jacques est debout sur le lit et se fait pomper, il me regarde lubriquement et gémit, j'accélère avec Christiane, elle couine, je lui dis que je vais la remplir, la bourrer cette salope. Le lit bouge de plus en plus. Elle me répond "plus fort, encore mon p'tit chat, plus fort". Elle revient dans la position évoqué auparavant et c'est reparti, je reprends le sein gauche à pleine paume. J'accélère, elle gémit de plus en plus, elle me dit "vas y plus vite, plus vite", son corps se tend, elle me serre l'avant bras droit qui est sur sa fesse droite et crie qu'elle jouit, des "aaaaaaaah" qui ne s'arrêtent pas, c'est ce qui me fait jouir, je donne des coups de reins qui me lève le bas du dos. J'entends à son tour Jacques jouir et éjaculer sur les seins de sa femme. Nous râlons de plaisir à l'unissons et restons dans la même position plusieurs minutes, Jacques faisant s'écouler tout le sperme qui peut sortir de sa queue. Christiane affale son corps sur moi, en sueur, haletante, ma queue se dégage de sa chatte. Je sens une main ôter ma capote et une bouche me pomper, ce qui me provoque de nouveaux relents de jouissance que je ne cache pas. Jacques me pompe comme un chef pendant au moins cinq minutes jusqu'à temps que ma queue flétrisse. Il se relève et aide Christiane à faire de même. Nous nous affalons et sommes en travers du lit, soufflant et respirant fort. Christiane me dit qu'elle a pris son pied et qu'il faut la baiser comme çà. Je lui dis que j'ai adoré la bourrer dans cette position et j'en profite pour dire à Jacques qu'il m'a achevé en me suçant jusqu'à la moelle. Il me remercie et me dit qu'il recommencera autant que je le souhaite. Nous sommes partis prendre une douche pour nous raffraichir et avons recommencé une dernière fois avant d'aller nous coucher.J'ai dormi seul dans la chambre à partouze Le lendemain matin, nous levant tard et Jacques devant être à la brasserie en fin de matinée, nous n'avons pas fait l'amour. Jacques m'a ramené à Toulon le lendemain midi. Encore un souvenir impérissable de cette première fois à trois chez eux qui n'allait pas être la dernière ...