Troublante visite à l'être aimé

- Par l'auteur HDS GM34280 -
Récit érotique écrit par GM34280 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
  • • 10 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de GM34280 ont reçu un total de 52 317 visites.
Récit libertin : Troublante visite à l'être aimé Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 3 176 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Troublante visite à l'être aimé
Il est cinq heures du matin quand je quitte cet hôtel de quartier. Je viens de passer la nuit à me faire baiser par deux pervers, qui profite de ma détresse et de mon désarroi. Cela fait deux mois que ça dure, deux mois que je paie de mon corps, le droit de rentre visite à mon copain, enfermé à la prison de Tour-Ville.
En effet, deux fois par semaine, je m’offre aux caprices de geôlier peu scrupuleux, qui prennent plaisir à me baiser, me sodomiser, se faire sucer.
Quand un fait une pause, il regarde son collègue jouer avec moi, et vice versa, pour finir, ils me font subir une double pénétration. Le pire, c’est que malgré mon trouble, j’y prends du plaisir. Ils arrivent à me soutirer plusieurs orgasmes.
Aujourd’hui est une journée spécial, pour un rendez-vous spécial.
En effet, le bus m’emmène au pénitencier, pour rendre visite à mon copain. Il m’a fallu à plusieurs reprise payer de ma bouche, pour soudoyer le gardien du pénitencier, pour m’accorder un instant intime, dans une salle isolée des autres cellules. Et ce jour tant attendu est venu.
Je me rends au secrétariat, ou m’attend ton geôlier. Ses potes n’ont d’yeux que pour mon insolente beauté, et certains attendent leur tour, pour me prendre tout une nuit dans ce vieil hôtel.
Comme promis, il me fait traverser un long couloir, qui conduit à cette salle mise à disposition. Jusqu’à un certain point, nous serons libre de nos mouvements.
Tu te retourne quand tu entends grincer l’huis de la porte.
Ta respiration se saccade, devient plus profonde, quand tu entends les clés de tes menottes qui entourent tes poignets, tomber au sol.
Je suis debout derrière toi, à moitié nue, admirant le temps d’un instants, ce beau spectacle qui s’ouvre à mes yeux.
Mon corps s’emplit de désir, en regardant ton corps ainsi offert.
Nous nous déshabillons, admirons nos corps nus, trop longtemps séparés.
Je m’agenouille derrière toi, et tu peux sentir ma bouche sur l’une de tes chevilles, remontant doucement le galbe de ton mollet. Mes mains les parcourent, suivi de ma bouche qui te remonte lentement. Du bout des ongles, j’effleure l’intérieur de tes cuisses entrouvertes. Mes mains caressent, embrassent tes fesses, alors que mes mains n’ont de cesse à parcourir ton corps.
Je m’installe derrière toi, l’une de mes mains passe sur ton torse, ma tête plonge dans le creux de ton cou. Je te murmure à l’oreille à quel point je te désire, et comme j’ai envie de toi. Ma bouche englobe le lobe de ton oreille, le suce, le mord délicatement.
Adroitement, tu jettes une main en arrière, au contact de ma chatte, parfaitement épilée pour toi. Tu caresse ma fente, la pénètre, excite le clitoris. Tu sais ce que j’aime, sais que tu vas m’emmener à un terrible orgasme.
La cyprine de ma jouissance ruisselle sur tes doigts, tandis que peu à peu, mon corps évacue mes spasmes de plaisir. Je te retourne face à moi.
Je veux admirer ton regard, voir tes yeux qui pétillent.
Je te jette un regard coquin, je veux tellement t’apporter de plaisir.
Ma bouche prend possession de la tienne, et lentement, ma langue glisse sur tes lèvres, et s’apprête à visiter tout les recoins de ton corps. J’absorbe le parfum de ta peau, je me nourris de toi, en cet instant d’immense complicité.
Mes lèvres emprisonnent déjà l’un de tes bourgeons, ma langue tournent tout autour, et les titillant chacun leurs tours pendant un instant.
Mes paumes sont déjà sur ton ventre sculpté tel un dieu. Je t’admire, comme tu es beau. Ma bouche poursuit son chemin jusqu’à tes cuisses, remonte du bout de ma langue sur l’intérieur de l’une d’elles. Tu sens mon souffle chaud, et rempli d’envie le pli de ton aine, puis sur tes couilles. Je te sens frémir quand j’y passe ma langue.
Les yeux levés vers toi, elle remonte le long de ta queue fièrement dressée devant moi. Ma bouche se pose sur ton gland décalotté, que j’embrasse tendrement.
Ma langue le suce doucement, puis mon piercing se met à tourner sur lui.
Mes lèvres l’emprisonnent, l’aspire, le suce goulûment.
Tu laisses échapper un long soupir de plaisir. Te fixant à nouveau, mes lèvres s’entrouvrent, et te laissent glisser entre elles. J’entame de lents va et vient à l’aide de ma bouche, pendant qu’une main palpe tes bourses.
Pendant un long moment, je garde en bouche l’objet de tout mes désirs, en le pressant entre mes lèvres et ma langue.
Sentant ton corps pris de léger spasmes, je suis encouragée de poursuivre mon œuvre. Mon regard ne cesse de te fixer. Tu me dis que tu es prêt à venir.
Fière de moi intérieurement, je continue cette prodigieuse et somptueuse fellation. Je te sens gémir, et cela m’excite encore plus.
Je continue à te faire visiter ma bouche, de plus en plus vite, et dans un long gémissement, je sens ta semence venir caresser ma langue et l’intérieur de ma bouche. Je me nourris de toi, et ma langue continue à parcourir ta queue.
Je remonte à ta hauteur, et avec un immense sourire, je me penche sur toi, et te donne un tendre baiser, que tu acceptes volontiers.
Le seul regret de cette visite, est l’interdiction de me faire pénétrer. J’aurai tant voulu sentir ta queue s’enfoncer dans ma chatte.
Nous nous rhabillons en silence, nous embrassons une dernière fois.
L’huis de la porte grince, c’est ton geôlier qui entre te passer les menottes.
Je te murmure à l’oreille combien je t’aime.
Tu es surpris en voyant le gardien me prendre par la taille, glisser une main sous ma robe, atteindre mon intimité, tu sais que je n’ai plus de culotte. Tu décèles dans mon regard une attitude étrange, mêlé de tristesse, qui t’interroge.
Je ne peux te laisser dans l’ignorance, et t’avoue le trouble qui me rend coupable.
Ce soir. je suis invité dans la somptueuse villa du gouverneur du pénitencier, avec d’autres femmes mariées, qui sont dans la même situation que moi. Cette nuit là, nous servons de filles de joies et nous offrons à de vieux pervers.
C’est le prix à payer pour avoir le droit de te rendre visite.

Les avis des lecteurs

J'aime beaucoup le thème du chantage sexuel afin qu'elle puisse voir son homme, je ne peux que souhaiter une suite dans ce thème.



Texte coquin : Troublante visite à l'être aimé
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par GM34280

Trahi par le meilleur pote de mon mari. - Récit érotique publié le 22-04-2024
Ma jolie Sarah - Récit érotique publié le 02-03-2024
Troublante visite à l'être aimé - Récit érotique publié le 31-12-2023
Un certain soir d'été - Récit érotique publié le 01-12-2023
Vol 238...les turbulences d'une lune de miel - Récit érotique publié le 11-11-2023
Une nuit...un train - Récit érotique publié le 31-10-2023
Partouzées lors d'une virée nocturne - Récit érotique publié le 30-09-2023
Casey...un enterrement de jeune fille - Récit érotique publié le 10-09-2023
Mes vacances en Italie - Récit érotique publié le 18-08-2023
Le cadeau de la discorde - Récit érotique publié le 31-07-2023