Un bon docteur de famille - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

- Bonjour docteur …
- Bonjour mademoiselle, je ne vous connais pas, vous êtes une nouvelle patiente ?
- Vous ne me reconnaissez pas ? Lucie, Lucie M. la fille d’Amanda
- Amanda ! bien sûr, que devient-elle ?
- Divorcée, comme beaucoup de couple a notre époque
- Que c’est-il passé dans son ménage ?
- Je pensais que vous le saviez … peu importe
- Maintenant je me souviens de cette petite ado blonde qui accompagnait souvent sa maman
- La petite fille blonde maigrichonne qui attendait se ce coté du paravent que vous ayez ‘ausculté’ maman avec l’ordre formel de ne pas bouger de sa chaise
- Hum oui, oui bien, je vais donc ouvrir un ficher a ton nom, tu es mariée ?
- A dix huit ans j’ai le temps de me mettre la corde au cou !
- Tu as raison profite du célibat !
- J’en ai bien l’intention
- A part ça que puis-je faire pour toi ?
- Eh bien m’ausculter des pieds a la tête, je me déshabille ?
- Pas nécessairement …
- Pourtant maman était toujours nue pour les visites
- C’était sans doute nécessaire pour elle mais pour toi je n’en vois pas l’utilité, je n’ai pas l’habitude de mettre mes patientes a poil sans raison …ôte tes chaussures et assied toi sur la table derrière le paravent où s’asseyait ta mère, tu es devenue une belle femme, je ne t’aurais pas reconnue !
- Merci Guillaume, je peux vous appeler Guillaume ? c’est ainsi que vous nommait maman
- Je pourrais être ton père mais j’accepte avec plaisir

Des ahanements étouffés me parvenais de ce même paravent, Ce cher docteur guillaume en ressortait rouge et essoufflé …maman ne réapparaissait qu’un bon moment après, sans doute pour faire une toilette intime …. Ceci dit ce vieux pervers est toujours aussi séduisant avec sa voix rauque et ses gestes rassurants, j’en ai imaginés des choses ? que pouvaient-ils faire a deux pas de moi ? je veux en avoir le cœur net …il me scrute de la tête aux pieds comme un dessert qu’il va dévorer, c’est tout juste si la bave ne lui coule pas de la bouche,
Mon cœur cogne dans ma poitrine, des frissons fulgurent traversent mon corps lorsqu’il pose ses mains sur mon cou pour déceler d’éventuels ganglions, mes poils s’hérissent sur mes bras, et ailleurs …ça n’échappe pas au médecin qui pousse un grognement

- Mumm, très sensible cette jeune fille ! mes mains sont froides ?
- Non, au contraire elles sont chaudes et douces
- C’est vrai … pas de boules suspectes, je vais écouter ton cœur, tout compte fait tu devrais dégager le haut de ta robe
- Bien …voilà …
- Hou, en voilà un soutient gorge bien remplit !
- Quatre vint dix C
- C’est exactement ce que j’avais évalué, j’ai l’habitude
- Je m’en doute …
- Le stéthoscope n’est pas trop glacé ?
- Il va se réchauffer très vite sur ma peau brulante !
- C’est vrais que tu es chaude, tu n’as pas de fièvre au moins ?
- Pas une fièvre d’origine infectieuse !
- Tu as de la répartie toi, j’aime ça
- Respire fort … tousse … encore … très bien, tes poumons sont nickels même vus de l’extérieur ... en parlant de ça je vais les palper ainsi que tes dessous de bras, ah… ça t’ennuie que je dégrafe ton soutient gorge ?
- Je suis là pour être examinée et vous êtes docteur, faites votre travail…

Mes seins libérés se redressent fièrement, guillaume les contemplent longuement avant d’avancer une main tremblante vers ma poitrine, sa voix a changé lorsqu’il me demande de lever le bras

- Tourne moi le dos ce sera plus facile pour la palpation …
- Ainsi ?
- Oui … ce n’est pas facile de les presser tellement ils sont fermes, excuse moi si j’insiste c’est pour ton bien …
- Ça ne me fait pas mal …

J’ai honte de constater que mes tétons s’érigent sous les doigts de l’ex amant de ma mère, pourvu qu’il ne demande pas à voir ma petite culotte car elle s’humidifie irrémédiablement, après la palpation déguisée en un pelotage en règle il me demande de me redresser, instinctivement mon regard s’est porté sur sa braguette pour constater qu’il bande

- Allonge toi je vais tâter ton ventre, ha, finalement il te faut retirer entièrement ta robe, ne te contracte pas, tu n’a pas de soucis de constipation ou autre ?
- Ça va …
- Bon, je vais te poser quelques questions disons… intimes, ça te dérange ?
- Lesquelles ?
- As-tu régulièrement des rapports sexuels ?
- Oui, trois fois par semaines, c’est normal
- C’est même très bien ! avec le même partenaire ?
- Ça dépend…j’aime le changement, j’ai même testé avec deux garçons
- Hében ! rapports protégés j’espère ?
- J’ai une sainte horreur des capotes, j’aime sentir le sperme couler en moi
- Je te comprends mais c’est risqué
- J’aime les risques sinon je ne serais pas ici
- C’est tout pour les questions
- Je voulais aussi vous demander si mes pulsions sont normales
- Quelles pulsions ?
- Souvent impossibles a maitriser , par exemple il y a deux jours j’étais a la terrasse d’un café quand un couple est venus s’installer a une table voisine , j’ai de suite remarqué que l’homme plutôt viril me dévisageais en cachette de sa femme , elle ne pouvait pas voir mes jambes se croiser et se décroiser mais lui a tout vu, je me suis levée et me suis dirigée vers les toilettes , j’étais certaine qu’il me suivrait, arrivée devant les WC des dames le gars m’a poussée dans celui des hommes , je n’ai pas chercher a me rebeller, au contraire j’ai pris appuis sur la cuvette , il a relevé ma jupe sur mes reins et baissé ma petite culotte pour me prendre comme une bête sans se soucier de mon plaisir, j’ai adoré ça, hélas ça n’a duré que deux minutes, il m’a laissée en plan après avoir déchargé dans ma minette, je me suis sauvée avec la culotte collée a l’entrejambes, impossible de m’assoir sans risquer de tacher ma jupe alors j’ai marché tant que ça dégoulinais entre mes cuisses
- Tu fais ça souvent ?
- Une ou deux fois par mois, je prends trop de risques ?

Le toubib tousse, il respire fortement par la bouche, la sueur perle a son front


- J’en ai bien peur, fort risque de MST mais dans mon cabinet tu ne risque absolument rien de dangereux, par contre je serais pleinement rassuré après avoir contrôlé ton vagin
- J’enlève tout finalement ? !
- Eh oui...
- Comme maman …
- Arrête avec ta mère à la fin !
- Comment me trouvez-vous entièrement nue ?
- A croquer, ils en ont de la chance tes cons de petits copains …j’ai remarqué que ta petite culotte est souillée tu ne souffre pas d’incontinences ?
- C’est seulement de la mouille, ça le fait a certaines occasions
- Hummmm …ferme tes poings et pose-les sous tes fesses après avoir ramenés tes talons a toi
- C’est plutôt indécent comme position
- Pour examiner le rectum c’est nécessaire, je vais étaler du gel sur ton anus

Un doigt au cul ? J’en espérais pas tant ! Pour un peu la cyprine qui coule de ma chatte servirait amplement de lubrifiant ! c’est sans mettre de gants qu’il pointe un doigt vers ma cible, l’excitation monte d’un cran lorsqu’il tourne et retourne son index dans mon boyau, je jurerais qu’a cet instant sa queue est tendue a l’extrême

- Il est souple, tu t’es déjà fait prendre par là ?
- A chaque fois que je suis avec deux copains histoire de ne pas faire de jaloux
- Tu en ressens un plaisir particulier ?
- Ce n’est pas la même jouissance que par devant mais c’est agréable si c’est bien fait
- Je suis d’accord, tout est dans la manière et la patience, à présent et pour terminer j’aimerais examiner la flore de ta vulve
- Je ne sais pas si ma chatte est en état d’être regardée ?
- Pourquoi ? parce que tu mouille ? ! c’est mon comportement décontracté qui a fait ça ? je n’ai fait que te visiter, après ce n’est pas de ma faute si tu es aussi chaude que ta mère
- Ne parlez pas de maman ainsi, visitez ma moule qu’ont en finisse
- Pose tes mollets dans la gouttière je vais te passer le spéculum
- Ça fait mal ça ?
- Ce n’est évidement pas aussi agréable qu’une bonne verge … merde, tes poils sont tous collés sur ta fente
- Faite moi la raie au milieu !
- Je suis obligé de t’essuyer avant de procéder
- M’essuyer ? avec quoi ?
- Du papier pardi
- Le papier est trop rêche pour ma vulve très sensible, une langue ne serait-elle pas plus appropriée
- Tu plaisante ?
- Léchez moi je ne tiens plus, ne me dites pas que votre queue est a l’aise ainsi coincée ?
- Aussi salope que ta mère ! j’ai trop chaud, excuse moi je reviens

Effectivement il revient rapidement mais seulement en blouse, en appuis sur mes coudes, les jambes repliées exagérément ouvertes je vois un tapis de poils poivre et sel sur sa poitrine et des jambes velues, la blouse pointe vachement devant, il est donc nu là-dessous ? il tire un tabouret au ras du bout de la table d’examen et s’assied avec pour seule vue celle de ma moule éclatée

- Avance tes fesses au bord de la table et repose tes pieds dans les étriers

Je sens son souffle brulant entre mes cuisses, ça y est, cette fois je vais ‘subir’ le même sort que maman ! un coup de langue de bas en haut avant d’en fourrer le maximum dans ma vulve, je me cabre sous la caresse tant espérée, il grogne de plaisir en marmonnant que c’est bon, que je suis aussi salope que ma mère, que je vais avoir ce que je mérite, je geint en minaudant qu’il fait ça bien, mon bassin ondule sur son visage qui doit être complètement englué de ma mouille, des doigts viennent a la rescousse tantôt dans mon vagin tantôt dans mon anus, je jouis comme jamais mes copains n’ont sut m’amener a un tel orgasme, des paquets de foutre fusent de ma grotte

- Putain ! tu veux me noyer ? ne bouge pas je vais t’enfoncer mon spéculum de chair

Je relève la tête pour voir comment est monté l’amant que ma mère c’est farcie des mois et des mois avant que papa ne découvre l’adultère et ne quitte la maison, … une bite très large d’une longueur appréciable, je ne m’en suis encore pas tapée d’aussi imposante, il repousse le tabouret d’un coup de pied et avance entre mes cuisses le braquemart a la main, je vais enfin y passer !

- Je vais te faire jouir comme aucuns de tes petits copains ne l’ont fait petite vicieuse
- Baisez-moi docteur, baisez-moi comme vous le faisiez a maman
- Ta mère je la baisais et l’enculais aussi
- Enculez-moi !!!
- Je vais d’abord remplir ton con serré

Les deux mains accrochées à la table pour résister aux assauts je me fais bourrer la choune a grand coups de bite, mon vagin recommence a couler, l’orgasme monte, mon cou se gonfle avant de laisser échapper un hurlement inhumain, sa queue s’enfonce en moi écrasant ses testicules sur mon œillet, de puissants jets fouettent mon utérus réactivant mes cris de plaisir

- Prends ça pouffiasse, ne bouge pas, juste le temps de viser ton p’tit cul et hop !
- Ouuuuuiiiiiiilllle ! Ooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiii !
- Et je reviens dans ta moule aussi sec !
- Vous allez me rendre folle
- Ta mère disait ça aussi ! elle ne pouvait plus se passer de ma queue
- Faites moi jouir et après je vous avoue quelque chose
- Petite cachotière, tu va t’en souvenir du bon docteur de famille, tient tes jambes en l’air que je n’ai pas à chercher ton p’tit cul

Le salaud me secoue comme un prunier, sa bite passe d’un trou a l’autre sans effort tellement ils sont ouverts, après un quart d’heure d’orgasmes a répétitions il daigne enfin se lâcher en essayant d’arroser a part égale mes deux orifices enflammés, sa queue ramollie pend lamentablement entre ses cuisses, il s’éponge le front d’un revers de manche et me tend un bouchon de papier

- Tient, essuie-toi et fiche le camp, j’ai d’autres consultations, reviens quand tu veux
- En fait je venais pour ma blennorragie, mais comme vous m’avez bien ramoné le vagin il ne me démange plus ! je reviens dans un mois après mon test de grossesse car je suis en pleine ovulation
- Petite gourgandine ! si tu m’as refilé ton microbe tu va m’entendre ! et pas question que je reconnaisse ton bâtard si je t'ai mise en cloque
- Ça vous apprendra à baiser maman, salut !