UN DESSERT ALLECHANT A LECHER - histoire érotique

Ma soeur et mon beau-frère étant invités à un long week-end entre ophtalmos à Marrakech nous demandèrent si nous pouvions recueillir notre nièce pendant ce temps. Le plaisir de revoir Christine, 18 ans, pensionnaire dans un institut religieux, nous fit répondre oui sans hésitation. Nous avions simplement oublié que ce week-end là nous étions invités chez des amis en banlieue, pour une soirée à thème, toujours chic et réussie.
Nous n'avions donc d'autre solution que d'y emmener notre nièce.
Le thème était cette fois "les seins nus" pour ces dames, les hommes étant toujours strictement habillés en smoking avec noeud pap…
Ma femme alla chercher notre nièce le vendredi soir au pensionnat et lui expliqua sur le chemin de notre maison le thème de la soirée, en précisant "les seins nus .... Comme à la plage " afin de ne point l'effaroucher !
L'examen du sac de Christine, avec ses affaires pour le week-end, obligea ma femme, Hélène, à amener Christine faire quelques achats dès le samedi matin.
Une petite robe noire stricte chez Agnès B, fit l'affaire. En complément, Hélène précisa à Christine qu'un soutien-gorge ne s'imposait pas, vu le thème, mais qu'une petite culotte sympa, ainsi qu'un porte-jarretelles noirs seraient de bonne guère. Une boutique de frivolités près de chez nous fit l'affaire.
Le soir, nous partîmes tous les trois chez nos amis en forêt de Marly.
Hélène portait un chemisier de soie blanche qui ne cachait rien de son opulente poitrine. Un 95 D qui me faisait toujours fantasmer. Une jupe blanche longue, fendue sur le côté, permettait de poursuivre les regards ... indiscrets.
Quand nous arrivâmes chez nos amis, la plupart des invités étaient déjà arrivés, et ces dames rivalisaient sur le thème des seins nus. L’hôtesse des lieux avait revêtu une guêpière seins nus sous une jupe noire longue fendue sur le côté. Sandrine avait revêtu une robe en vinyle noire dont sortaient ses énormes seins (un bon 105 E) sur lesquels avait été peint, de façon très artistique, de la dentelle. Myriam, qui se désespérait de la taille de ses seins (un petit 90B) avait choisi d'attirer notre attention avec deux magnifiques bijoux percés sur ses tétons toujours très sollicités par son mari. Chantal portait un petit boléro qu'elle laissait négligemment ouvert, laissant voir une poitrine bien ferme avec deux superbes aréoles ovales et deux tétons qui pendaient volontiers sous les charges de son copain.
Tous les couples présents se réjouirent de la présence imprévue de notre nièce et nous félicitèrent pour sa beauté.
Lors des présentations, un excellent whisky de 20 ans d'âge nous fut servi par deux soubrettes accortes et nous veillâmes à ce que Christine boive avec modération.
Un repas de haute qualité préparé par Lenôtre nous fut servi dans la grande salle à manger, arrosé de Bourgogne et Bordeaux se mariant harmonieusement avec les mets servis.
Une fois le fromage servi, Chantal, notre hôtesse, se leva et nous annonça que nous allions commencer un petit jeu nous permettant de patienter avant le dessert. Il s'agissait pour ces dames, les yeux et les mains bandées de retrouver leur époux, leur compagnon. Chaque erreur étant sanctionnée par le retrait d'un vêtement. Notre nièce, Christine étant seule, Chantal l'invita à être l'arbitre impartial de ce petit jeu a priori innocent. Mais Christine protesta et insista pour que ce soit la maîtresse de maison, en bonne hôtesse, qui joue le rôle d'arbitre. Elle ajouta même : je n'aurai aucune difficulté à reconnaître mon tonton. Ceci dit sur un ton tellement candide que personne n'osa protester.
Le jeu commença donc, les hommes alignés.
Chaque femme, à tour de rôle embrassa d'abord les visages masculins au hasard.
Ma femme Hélène fut la première à être pénalisée et elle enleva avec beaucoup d’élégance son chemisier transparent.
Christine avait présumé de ses compétences, puisqu'elle fut pénalisée à son tour et se débarrassa de sa robe. Je découvris alors les superbes petits seins de jeune fille de ma nièce, en forme de pomme bien ronde, surmontés de deux aréoles et deux tout petits tétons.
Une deuxième, puis une troisième erreur de Christine l'obligèrent à se débarrasser de ses chaussures à haut talon.
En deuxième partie du jeu, les hommes se débarrassèrent de leur veste et chemise, laissant leurs tétons à la sagacité de ces dames.
Pauvre Christine, deux erreurs l'obligèrent à se débarrasser de ses bas de soie qui lui galbaient admirablement les jambes.
Elle n’était désormais plus vêtue que de sa petite culotte de soie noire, cependant que ma femme avait abandonné sa longue robe noire et que je pouvais à loisir fantasmer sur son cul adorable.
La troisième partie du jeu m'angoissait quand même, car les hommes furent invités à ne garder que le caleçon ou le boxer, à charge pour leur épouse ou compagne de deviner le sexe de leur homme sous le boxer short.
Exercice hautement périlleux dont ma nièce sortit la perdante, avec la petite culotte à enlever sous les applaudissements nourris de ces messieurs puis de ces dames qui, entre-temps avaient été débarrassées de leur bandeau.
Nous n'eûmes quand même guère le temps d'admirer le corps de jeune fille de ma nièce complètement dénudé, car la maîtresse de maison amena prestement Christine dans une pièce voisine et chacun fut invité à se rhabiller.
Cependant que du champagne nous était servi, un bon quart d'heure s’était écoulé quand la maîtresse de maison annonça : le dessert est servi au salon.
Quand nous y entrâmes, notre nièce était allongée sur une table, les yeux bandés, toujours nue, le corps recouvert élégamment de crème chantilly.
Sur ses seins avaient été disposées des rondelles d'ananas. Autour des seins, des quartiers de pomme, de poire, de melon,, des litchis, des morceaux de banane, se prolongeant jusqu'au nombril décoré de cerises confites, puis une superbe gerbe de gingembre confit recouvrant le pubis et une banane en éventail trônant sur son intimité.
Chacune et chacun, les mains liées dans le dos, fut invité à se régaler ... au grand plaisir de ma nièce , si, si !