UN DINER PLEIN D'IMPREVUS
Récit érotique écrit par Humoureux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2007 dans la catégorie Plus on est
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UN DINER PLEIN D'IMPREVUS
Nos amis Hélène et François nous avaient promis que, dès qu'ils auraient emménagé dans leur nouvelle résidence en vallée de Chevreuse, ils nous inviteraient à dîner. Aussi répondîmes-nous favorablement par retour quand nous reçûmes le carton d'invitation qui précisait : tenue de soirée.
Ma compagne Chantal se faisait un plaisir d’étrenner cette robe Chanel que je lui avais achetée peu de temps auparavant pour son anniversaire. Elle m'avait convaincu de lui acheter le dernier ensemble La Perla qu'elle avait vu en vitrine: soutien- gorge noir mettant en valeur sa superbe poitrine, porte - jarretelles, petit slip en véritable dentelle, superbes bas noirs en soie.
Quand nous arrivâmes chez nos amis, deux superbes Porsche ainsi qu'une Jaguar et une BMW stationnaient déjà dans le parc. A l’évidence, nous allions être en excellente compagnie !
La maîtresse de maison portait une robe longue, stricte, quoique décolletée dans le dos jusqu'au bas des reins ...
Les autres invitées rivalisaient de beauté, mais j’étais très fier de ma compagne.
A l’apéritif, on nous servit un Dom Pérignon millésimé qui facilita les présentations.
Un dîner somptueux nous fut servi par deux superbes créatures, l'une blanche, l’autre noire, dont je n'arrivais pas à détacher le regard. Et je n’étais pas le seul ...
Elles nous servirent d'abord, avec beaucoup de classe et d’élégance, un foie gras onctueux agrémenté d'une truffe noire et d'un onctueux Sauternes. Puis vint un homard grillé au gingembre arrosé d'un Bourgogne blanc 1995.
Après le plateau de fromages arrosé d'un grand bordeaux, nos deux serveuse vinrent nous servir un dessert aux formes érotiques, seulement vêtues d'un petit chapeau blanc et d'un tablier de soubrette qui ne cachait rien de leurs formes .
La maîtresse de maison se leva alors, remonta délicatement sa longue robe noire , descendit progressivement d'une main sa petite culotte noire , dont elle se débarrassa avec beaucoup de dextérité, puis elle convia les invitées à faire de même, ce qu'elles firent volontiers ,après un petit moment d' hésitation
Les hommes, nous fûmes invités à quitter la table et le maître de maison nous banda les yeux et lia les mains.
A tour de rôle, nous fûmes conduits sous la table, après que ces dames aient eu changé de place , et nous eûmes pour mission, bien agréable au demeurant, d'identifier notre compagne en léchant l'intimité de chacune. Chaque erreur étant sanctionnée par un verre de cognac.
Dommage que le temps nous avait été compté. Nous aurions bien prolongé ce petit jeu découverte des heures durant ....
L'excitation de chacun d'entre nous était à son comble, quand la maîtresse de maison montra l'exemple et continua de se déshabiller, ne gardant que porte - jarretelles, bas et escarpins. Elle invita ces dames à faire de même, ce qu'elles firent dans de grands éclats de rire
A notre tour, les hommes, nous nous déshabillâmes, les yeux toujours bandés
Chacune des femmes invitées, les yeux bandés et les mains attachées dans le dos, eurent la mission, à tour de rôle, d'identifier leur compagnon ou mari grâce à un torride et anonyme blow job.
Aucun de nous ne pus résister à un tel challenge. Et chacune de ces dames, parfois à leur corps défendant, eut droit à un festival de liqueur masculine, anonyme, excellents cocktails après champagne et grands vins ...
Ma compagne Chantal se faisait un plaisir d’étrenner cette robe Chanel que je lui avais achetée peu de temps auparavant pour son anniversaire. Elle m'avait convaincu de lui acheter le dernier ensemble La Perla qu'elle avait vu en vitrine: soutien- gorge noir mettant en valeur sa superbe poitrine, porte - jarretelles, petit slip en véritable dentelle, superbes bas noirs en soie.
Quand nous arrivâmes chez nos amis, deux superbes Porsche ainsi qu'une Jaguar et une BMW stationnaient déjà dans le parc. A l’évidence, nous allions être en excellente compagnie !
La maîtresse de maison portait une robe longue, stricte, quoique décolletée dans le dos jusqu'au bas des reins ...
Les autres invitées rivalisaient de beauté, mais j’étais très fier de ma compagne.
A l’apéritif, on nous servit un Dom Pérignon millésimé qui facilita les présentations.
Un dîner somptueux nous fut servi par deux superbes créatures, l'une blanche, l’autre noire, dont je n'arrivais pas à détacher le regard. Et je n’étais pas le seul ...
Elles nous servirent d'abord, avec beaucoup de classe et d’élégance, un foie gras onctueux agrémenté d'une truffe noire et d'un onctueux Sauternes. Puis vint un homard grillé au gingembre arrosé d'un Bourgogne blanc 1995.
Après le plateau de fromages arrosé d'un grand bordeaux, nos deux serveuse vinrent nous servir un dessert aux formes érotiques, seulement vêtues d'un petit chapeau blanc et d'un tablier de soubrette qui ne cachait rien de leurs formes .
La maîtresse de maison se leva alors, remonta délicatement sa longue robe noire , descendit progressivement d'une main sa petite culotte noire , dont elle se débarrassa avec beaucoup de dextérité, puis elle convia les invitées à faire de même, ce qu'elles firent volontiers ,après un petit moment d' hésitation
Les hommes, nous fûmes invités à quitter la table et le maître de maison nous banda les yeux et lia les mains.
A tour de rôle, nous fûmes conduits sous la table, après que ces dames aient eu changé de place , et nous eûmes pour mission, bien agréable au demeurant, d'identifier notre compagne en léchant l'intimité de chacune. Chaque erreur étant sanctionnée par un verre de cognac.
Dommage que le temps nous avait été compté. Nous aurions bien prolongé ce petit jeu découverte des heures durant ....
L'excitation de chacun d'entre nous était à son comble, quand la maîtresse de maison montra l'exemple et continua de se déshabiller, ne gardant que porte - jarretelles, bas et escarpins. Elle invita ces dames à faire de même, ce qu'elles firent dans de grands éclats de rire
A notre tour, les hommes, nous nous déshabillâmes, les yeux toujours bandés
Chacune des femmes invitées, les yeux bandés et les mains attachées dans le dos, eurent la mission, à tour de rôle, d'identifier leur compagnon ou mari grâce à un torride et anonyme blow job.
Aucun de nous ne pus résister à un tel challenge. Et chacune de ces dames, parfois à leur corps défendant, eut droit à un festival de liqueur masculine, anonyme, excellents cocktails après champagne et grands vins ...
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