Un plan à trois avec Katherine et Laure (pov partagé ; repost) - histoire érotique

Bonjour, j'ai déjà posté ce récit voilà quelques mois, mais la mise en page était mauvaise. A la demande de certains lecteurs, je re-poste ce récit avec une bonne mise en page, afin qu'il soit lisible.

Je rappelle que dans ce récit, le point de vue est partagé par les trois protagonistes, tantôt vous aurez le point de vue du narrateur, tantôt le point de vue de Katherine, tantôt le point de vue de Laure.

Bonne lecture !

(Pov narrateur)
Je me souviens que lors de ma première année de fac, je n'eus pas du tout froid une fois l'hiver arrivé. En effet, tout au long des vacances Noël, je baisai régulièrement avec Katherine, mon plan cul régulier, et que longtemps après ces vacances, la belle brune et moi nous revoyons presque tous les soirs. Ainsi, aussi froides que furent mes journées à cette époque, mes nuit elles étaient d'une chaleur tropicale... Un matin de Février, après une de nos nuits agitées, Katherine me dit :
"Tu sais que Laure revient de vacance aujourd'hui ?"
Laure, ma meilleure amie et celle de Katherine était partie en vacance dans les caraïbes, séchant sans aucun scrupule les cours. Son retour était une bonne nouvelle pour Katherine et moi même : elle comme moi avions déjà couché avec Laure à de nombreuses reprises (surtout Katherine qui se vantait souvent de connaître le corps de Laure par coeur), et comme c'était une fille sexy et douée au lit, son retour ouvrait des perspectives alléchantes pour Katherine comme pour moi... Légèrement taquin, je dis à Katherine :
"Oui je sais, du coup tu dois être triste non ?"
"Non pas du tout, pourquoi je serais triste ?"
"Parce que maintenant que Laure est rentrée, tu pourras plus m'avoir pour toi toute seule ! Et sans moi qui va venir réchauffer ton lit toutes les nuits ?"
"Ne t'en fais pas pour ça, j'ai suffisament d'amants pour m'occuper... Et surtout que ne vois pas pourquoi je devrais rester à l'écart de tes ébats avec Laure..."
J'observai Katherine un moment, n'osant croire à ce qu'elle suggérait. Je lui demandai :
"Tu veux dire quoi ?"
"Je veux dire que toi et Laure êtes sans doute mes meilleurs amants, toi mon meilleur coup masculin, elle mon meilleur coup féminin, et je trouve dommage, et même presque scandaleux de ne pas vous avoir déjà baisé tous les deux en même temps !"
Rien qu'à imaginer faire un plan à 3 avec Katherine et Laure, je me mis à bander : il faut dire qu'elles étaient toutes les deux très sexy, brunes de taille moyenne des poitrines généreuses et des fesses sublimes. Ajoutez à cela qu'elles étaient toutes les deux ultra douées au lit, et vous comprendrez que je sois si enthousiaste à l'idée de coucher avec ces deux créatures en même temps.

"Tu crois que Laure sera d'accord ?"
"Bien sur, tu crois quoi ? Elle nous adore tous les deux, elle sera folle quand je lui annoncerai la nouvelle, me répondit Katherine avec un sourire confiant."
(Pov Laure)
Je remontai la fermeture éclair de mon manteau, et maudissai le temps froid et neigeux : après deux semaines passées au soleil des Caraïbes, retrouver le froid et la neige d'hiver me déprimait. Heureusement pour moi, je ne devais pas avoir froid très longtemps...

Alors que j'étais entrain de faire la queue pour la cantine, Katherine me rejoignit.

"Salut belle gosse me dit elle ! C'était bien tes vacances ?"
"C'était génial ma chérie, me répondit elle, mais tu m'as manqué je dois dire."
"Toi aussi tu m'as manqué ma belle... A tel point que j'ai un cadeau pour toi, pour fêter ton retour !"
"Ah oui ? Demandai je, et c'est quoi comme surprise ?"
"Tu verras, mais je t'assure que tu vas adorer... Tu viens chez moi ce soir pour que je te l'offre ?"
Je sentis l'excitation monter en moi : je sentais qu'effectivement j'allais adorer le cadeau de Katherine.Une fois arrivée chez elle, nous allâmes dans sa chambre, je devenais frémissante : je savais trop bien quel genre de "surprise" m'attendait dans cette pièce. En réalité c'était encore mieux que ce que j'imaginais.

Katherine me fit entrer dans sa chambre, je lui souris et lui dis :
"C'est bon, j'ai compris ce que c'est ta surprise."
"Ah oui ? Me répondit Katherine avec un sourire coquin."
"Oui, ma surprise c'est toi !"
"Presque... mais tu oublies la moitié du cadeau."
Haussant le ton elle ajouta :
"Tu peux entrer !"
Je me retournai pour voir à qui elle parlait, et je vis mon meilleur ami entrer, craquant dans son T-shirt court qui moulait bien son corps sexy et musclé. Il était en survêtement, et je pouvais voir une bosse se former dans son pantalon, au niveau où sa belle et grosse verge était située. Il me regardait de ses beaux yeux bleus, et je me sentais bouillante d'excitation : un plan à trois avec mon meilleur ami et Katherine ! C'était sans doute le plus beau cadeau qu'on m'ait fait !

Katherine vint dans mon dos, et se colla à moi, entourant ses bras autour de ma taille, avant de m'embrasser la nuque. Je frémis de plaisir de la tête aux pieds, savourant l'étreinte et les baisers de Katherine, tandis que mon meilleur ami profitait du spectacle. Katherine me murmura à l'oreille :
"Tu es tellement bonne ! A nous deux on va te faire l'amour avec tellement d'intensité que tu en oublieras ton nom !"
Ses paroles me firent bouillir, et j'avais hâte que tous les deux passent à l'acte... Heureusement, tous deux semblaient aussi impatients que moi : Katherine entreprit de me débarasser de mon pull, et mon ami d'enfance l'aida aussitôt, et je fus bientôt en T-shirt court qui moulait ma poitrine généreuse. Mon meilleur ami me massa immédiatement les seins à travers mon T-shirt, admirant leur rondeur et leur fermeté, me faisant trembler de plaisir avec ses grandes mains, tandis que Katherine me caressait les côtes tout en m'embrassant la nuque et me léchant l'oreille.

Les mains de la brune quittèrent mes hanches pour venir sur mon jean qu'elle déboutonna, avant de le baisser d'un coup sec. Mon meilleur ami me retira ensuite mon T-shirt, me laissant en soutif. Katherine se mit à genoux derrière moi, et m'embrassa le dos et me massa les fesses, tandis que mon ami m'embrassait le décolleté, baisait mes seins à travers le soutif, et me baisait même mon ventre. J'étais folle de désir, j'avais le souffle court, et je me sentais très chaude, comme si l'on était en plein été !

Katherine se releva, et m'entraîna sur le lit, mon ami sur nos talons. La belle me poussa sur le matelas et vint sur moi, m'embrassant avec passion. Je me redressai, me mettant assise et mon meilleur ami en profita pour venir se câler derrière moi. Katherine après avoir retiré son pull, révélant un débardeur noir, me poussa afin que je sois collée contre mon meilleur ami la tête posée sur son torse musclé. Je dois dire que cette place me convint parfaitement, et mon plaisir fut encore plus grand quand Katherine entreprit de me dévorer le corps, m'embrassant le cou, le décolleté, le bassin, me faisant me trémousser de plaisir. Le meilleur fut lorsque Katherine me retira mon soutif, et qu'elle m'embrassa les seins, tandis que mon meilleur ami eut la bonne idée de glisser ses grandes mains dans ma culotte et de s'y déchaîner, activant ses doigts de fée contre mon intimité, tandis que Katherine me dévorait les seins : je me mis à gémir de plaisir sans aucune retenue. Ils me firent subir ce délicieux traitement durant de longues minutes, et je n'aurais su dire lequel me faisait le plus bien : Katherine qui m'embrassait et me léchait les seins, ou mon ami qui me doigtait avec une dextérité folle. Toujours est il que lorsqu'ils s'arrêtèrent, j'étais sonnée tant le plaisir avait été intense, j'en avais presque oublié mon prénom !

(Pov Katherine)
Après que mon plan cul régulier et moi nous nous soyons occupés de Laure, je n'avais qu'une seule envie : me jeter sur lui. En effet il m'avait toujours rendue folle : il était merveilleusement beau avec ses cheveux bruns, ses beaux yeux bleus, son corps de rêve, et tellement craquant avec son air innocent et maladroit qui pourtant ne l'empêchait pas d'être un dieu au lit. Ainsi, pendant que Laure se remettait de ses émotions, je me jetai sur mon beau brun, et le plaquai contre le matelas. Je le vis tirer un sourire ravi : je le rendais fou autant qu'il me rendait folle. Nous nous embrassâmes avec passion, tandis qu'il me caressait le dos et les fesses. Je me redressai et retirai mon débardeur, et lui retira son T-shirt. Je lui léchai son torse musclé, goûtant à ses pectoraux, puis je m'attaquai ensuite à ses abdos, parfaitement bien dessinnés. Ensuite je me redressai, et il vint m'embrasser le décolleté, puis me lécher mon ventre plat. Après quoi, je le plaquai à nouveau contre le matelas, et lui retirai son pantalon, puis son caleçon, libérant enfin sa belle verge qui pointait fièrement vers le caleçon. Je la pris en main, et entrepris de le sucer, le prenant en bouche et allant et venant. Puis je m'interrompis et fis signe à Laure de venir se joindre à moi : il n'y avait pas de raison que je sois la seule à profiter de cette belle queue ! Nous nous mîmes à le sucer à tour de rôle, rivalisant toutes les deux d'ardeur, faisant étalage de notre talent en la matière, ne nous arrêtant que pour lécher ensemble sa queue nos langues passant chacune d'un côté de la verge, pour se rejoindre au sommet, sur le gland, faisant frémir mon beau brun. Nous continuâmes ainsi jusqu'à ce qu'il jouisse, et éjacule sur nos deux visages. Alors, nous partageâmes un délicieux mais sale baiser, avec nous bouches barbouillées de sa semence.

Ensuite, mon beau brun toujours fougueux, la queue toujours raide, saisit Laure, et la fit se mettre à 4 pattes. Puis, il la saisit par les hanches, et entrepris de la baiser en levrette. Il lui assénait de puissants vas et viens, allant d'avant en arrière, arrachant des gémissements à Laure, lui claquant les fesses de temps en temps. Je profitai un moment du spectacle : voir mon beau brun à l'oeuvre, entrain de baiser sauvagement ma meilleure amie avait de quoi me réjouir. Mais rester spectatrice n'était pas mon truc, aussi je me déshabillai, et rejoignit la danse. Je commençai par venir derrière mon mec, et l'enlacer, et lui embrasser la nuque, lui lécher l'oreille et lui mordiller l'épaule, tout en lui murmurant à l'oreille de baiser Laure plus sauvagement encore. Comme hypnotisé par mes caresses, baisers et morsures, il s'exécuta, et augmenta encore ses vas et viens, arrachant de véritables cris à Laure. Au bout d'un moment, je vins vers Laure, et lui fis signe de se redresser, et de se mette à genoux. Tandis que mon beau brun continuait de la prendre par derrière, je vins par devant elle, et lui dévorait tout l'avant du corps, enfouissant ma tête dans ses seins, lui embrassant la nuque, lui mordant le menton, lui arrachant des soupirs de plaisir, qui suivaient les cris que lui arrachait mon plan cul régulier. Prise ainsi entre nous deux, la pauvre Laure ne put tenir très longtemps, et eut son deuxième orgasme de la journée.

(Pov narrateur)
J'étais très fier de la façon dont j'avais baisé Laure et comment je l'avais conduite à l'orgasme, mais à présent, je n'avais qu'une envie : que Katherine s'occupe de moi, tout mon corps la réclamait. Je vins vers elle et l'embrassai fougueusement, elle me rendit mon baiser avec passion, avant de m'allonger sur le matelas, et de venir s'empaler sur moi. Elle entamma de délicieux vas et viens, allant d'avant en arrière à un rythme infernal, me faisant vibrer de plaisir à chaque aller retour. Le visage rougi par l'effort, ses seins lourds se balançant au rythme de ses assauts, Katherine commença à gémir doucement, puis de plus en plus fort à mesure que la baise devenait intense. Je ne tardai pas à la rejoindre, et mes cris se joignirent aux siens. De temps en temps, elle changeait ses attaques et ondulait du bassin de gauche à droite pour me procure d'autres sensations, j'étais ainsi constamment surpris, et ne savait jamais à quoi m'attendre. J'avais beau avoir baisé avec elle tous les jours depuis des mois, Katherine me rendait toujours aussi fou, et me faisait toujours autant de bien que lors de notre première fois. Cette fois cependant, nous n'étions pas seuls, et Laure ne tarda pas à se joindre à nous. Une fois remise de son orgasme, elle vint et s'assit sur mon visage, m'ordonnant de la lécher. Je m'appliquai à cette tâche avec délectation, ma langue tourbillonnant sur son intimité, tant et si bien que les cris de plaisir de Laure ne tardèrent pas à remplacer les miens (ma bouche était trop occupée pour que je gémisse). Pendant que je m'occupais de Laure, Katherine elle continuait de se démener sur mon sexe, me faisant un bien fou. Tout en s'activant, elle embrassait Laure, et lui dévorait le corps, lui embrassant le cou et les seins, tandis que Laure lui rendait la politesse en lui titillant de ses doigts le clitoris. Ce trio infernal dura ainsi dix bonnes minutes, jusqu'à ce que le plaisir ait finalement raison de nous trois : nous eûmes tous un monstrueux orgasme, qui nous fit nous effondrer sur le matelas, haletants et essouflés.

En attendant que je me remette, Katherine vint sur Laure et lui embrassa tout le corps, de haut en bas, partant de la bouche, allant sur le menton, le cou, les seins, le bassin, avant d'en arriver enfin à l'entre-jambe de Laure, qu'elle lécha comme une furie. Laure ne tarda pas à gémir de nouveau, et pour ma part, ce spectacle me rendit rapidement ma vigueur : en quelque minutes, je bandai à nouveau comme un taureau. Décidé à me joindre à elles, je vins derrière Katherine, et la saisissant par les hanches, je la pris d'un coup sec en levrette, arrachant un gémissement à la belle brune. Très excité par la vue du magnifique fessier de Katherine, et par le fait de la prendre en levrette ce qui était rare, j'entammai de puissants vas et viens, frissonnant de plaisir à chaque aller retour, me délectant de la vision du superbe corps de Katherine vibrer sous mes assauts, me régalant de voir Katherine dévorer l'intimité de Laure, tout en subissant mes coups de boutoir, faisant gémir Laure tout en se retenant elle même de gémir. A nouveau nous étions lancés dans un trio infernal, chacun de nous donnant et prenant un maximum de plaisir. Ravi de pouvoir enfin baiser Katherine à ma convenance, je me déchaînai, la baisant à un rythme effréné, si bien que parfois elle devait interrompre son cuni, et relever la tête, comme si elle était paralysée par le plaisir que je lui infligeais, elle gémissait alors à pleine voix, elle me dit même : "putain mon grand j'adore ça, c'est trop booon ce que tu me fais !". Fier de moi, je lui claquai aussi ses magnifiques fesses, ou encore me penchai en avant pour prendre à pleine mains ses seins si ronds et si fermes. Katherine pendant ce temps, léchait Laure comme une furie, ne s'interrompant que lorsque le plaisir qu'elle prenaitr en levrette était trop grand pour elle. Ces deux bombes ne purent tenir très longtemps : au bout d'une dizaine de minutes, elles poussèrent toutes deux un immense cri de plaisir, avant de s'effondrer haletantes, vidées par cet énième orgasme.

(Pov Laure)
Je n'en pouvais plus ! C'était déjà mon quatrième orgasme, j'étais sonnée par tant d'intenses plaisirs. Et pourtant, mon meilleur ami, le sexe toujours raide et gonflé vint derrière moi, et, m'allongeant sur le côté, il me prit en cuillère. Se collant dans mon dos, il entamma des vas et viens, pas très rapides, mais profonds et intenses, qui me faisaient vibrer de la tête aux pieds. J'adorais me sentir prisonnière de son étreinte, entendre les mots sallaces qu'il me murmurait à l'oreille, tandis que sa grosse queue me limait, me faisant un bien fou. Comme si ce n'était pas assez, Katherine vint devant moi et m'incendia tout le corps de sa bouche, me dévorant le cou, m'embrassant et léchant les seins, tandis que l'infernale queue de mon meilleur ami continuait de me transpecer, me faisant un bien fou. Progressivement, tous deux devinrent plus sauvages, Katherine m'embrassa avec plus de passion et d'énergie, tandis que mon ami me baisait avec d'avantage de rythme et de vigueur, si bien que je ne tardai pas à n'en plus pouvoir, à ressentir un plaisir si énorme que j'étais comme paralysée, je poussais des gémissements de plaisir de plus en plus fort, et alors que le plaisir devint si intense qu'il commençait à me brouiller la vue, je me mis à crier :
"Arrêtez tous les deux, vous allez me tuer !"
Naturellement, ils ne m'écoutèrent pas, et au contraire, ils accélérèrent encore le rythme de leurs attaques. Je décidai soudainement, de reprendre le dessus. Je repoussai Katherine, et sans me retourner, je vins au dessus de mon meilleur ami, et entepris de le baiser en le chevauchant et en lui tournant le dos. J'entammai de délicieux vas et viens, allant de gauche à droite, frissonnant de plaisir, et arrachant des cris à mon meilleur ami. J'étais ravie de ce moment de gloire : enfin c'est moi qui prenais un peu les rênes de notre trio ! Je baisais mon ami avec délectation, faisant de lui ce que je voulais, ça changeait un peu ! Toutefois ça ne dura pas, Katherine me rejoignit, et s'installant sur le ventre de "son" mec, elle se colla dans mon dos, et me massa les seins, m'embrassa la nuque, et me titilla le clito, me faisant un bien fou.

"Tu aimes ce que je te fais belle gosse ? Me dit elle."
Je ne pus répondre avec des mots, mais lâcha un gémissement qui voulait tout dire. Ravie, Katherine me renversa, m'étalant sur le matelas, et vint sur moi, m'embrassant avec passion. Mon meilleur ami vint vers nous, et ravi d'avoir deux belles brunes offertes à lui, il nous prit l'une et l'autre, chacun notre tour, tantôt il baisait Katherine en levrette, tantôt il me baisait en missionaire, Katherine toujours sur moi.

(Pov Katherine)
Laure et moi étions à la disposition de mon beau brun, il nous prenait l'une après l'autre comme bon lui semblait, même si le plus souvent, il me baisait moi en levrette : me prendre dans cette position était un plaisir trop rare, il en profitait donc au maximum ! Pendant que j'embrassais avec passion Laure, ne m'interrompant que pour dévorer son corps, je devais subir ses puissants coups de reins, qui me faisaeint vibrer de plaisir... Il allait et venait en moi à un rythme fou, sa grande queue cognant le fond de mon intimité à chaque coup, m'arrachant de grands cris d'extase... Mais tout ce plaisir laissait place à la frustration quand il se retirait de moi pour aller baiser Laure, qui d'un coup lâchait d'aigus gémissements. Au moins quand il baisait Laure, j'avais la consolation de le sentir m'embrasser le dos ou la nuque, et de me masser les seins ou les fesses. Mon beau brun savait qu'il était dangereux de me frustrer ainsi, mais pourtant il prit le risque de continuer... Cela ne devait pas durer, alors qu'il me baisait une nouvelle fois avec intensité, me procurant un plaisir énorme, il se retira d'un coup : s'en fut trop cette fois, et au lieu de le laisser baiser Laure, je me retournai et l'allongeai de force sur le matelas, reprennant le dessus.

Puis, je m'empalai sur sa belle queue, et entammai des vas et viens, me régalant de voir son visage, jusque là si sur de lui se décomposer sous le plaisir que je lui infligeai, il serrait les dens et grimaçait comme pour contenir la jouissance que je faisais naître en lui, et moi pendant ce temps je le regardai droit dans les yeux, lui souriant avec l'air provocateur qu'il aimait tant. Il ne tarda pas à crier de plaisir, et je joignis bien vite mes gémissements aux siens : à chacun de mes vas et viens, sa queue me faisait un bien fou, et vu le rythme auquel j'allais, je ne tardai pas à avoir la vue brouillée par le plaisir ! Pour autant, je ne ralentissais pas le rythme, bien au contraire, j'accélérai encore, baisant mon beau brun avec fureur, comme une tigresse, lui griffant le torse, lui donnant de terribles coups de reins, le gifflant de temps en temps, c'était si bon ! Laure ne tarda pas à se joindre à nous, embrassant mon beau brun avec passion, revenant vers moi pour me dévorer les seins, la nuque, retournant à mon beau brun pour lui déguster le corps, les muscles et le reste, avant de venir derrière moi pour me titiller le clito, m'embrasser la nuque, les épaules, tandis que je baisais mon mec avec toujours autant de vigueur. Je sentis bien vite des vagues de plaisir irrépressibles me parcourirent le corps, me faisant frissoner, et j'en sentis une plus grande encore monter... je sentais bien que je ne pourrais la contenir, aussi j'accélérais encore le rythme de mes vas et viens, tandis Laure augmenta encore la vitesse de ses doigts. Je finis par avoir un monstrueux orgasme en même temps que mon beau brun, qui nous fit hurler à l'unisson de plaisir. Une énième fois, nous nous effondrâmes vidés et comblés sur le matelas.

(Pov de tous les trois)
PUTAIN QU'EST CE QUE C'ETAIT BON !!!