Un samedi soir normal
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un samedi soir normal
Un samedi soir normal nous décidons Annie et moi Georges de sortir en boite, un petit
club ou nous étions devenus des habitués, il a trop longtemps que nous n’y sommes pas
allés
Après avoir passé deux heures dans la salle de bain elle sort enfin, j’ai un choc ! Si
ce n’était pas ma femme je la draguerais séance tenante ! Jupe ample a la limite de
ses dim- hup résille, je sais que c’est des bas autos fixant car elle relève lentement
sa jupe pour me monter son mini string ficelle noir, le soutien- gorge sans armatures
assorti, ça je le vois aussi a travers le corsage légèrement transparent, ça promet !
Je bande rien qu’a la pensée que des hommes vont loucher sur elle, mais c’est bien
moi qui vais en profiter !
Il y a affluence, comme je n’ai pas réservé de table nous nous installons sur des
tabourets au bar, Annie commande sa boisson préférée qui fait tomber ses inhibitions,
un whisky Schweppes, j’aime quand elle se lâche et montre ses cuisses fuselées comme
elle le fait maintenant, nous discutons avec le barman qui demande ce que nous
devenons quand un homme d’une cinquantaine d’années très chic aux tempes grises se
pose a coté d’Annie, pris par la conversation je n’y prête pas attention , pas plus
que quand elle me dit a l’oreille
- Chéri je vais danser …
- Oui va y chérie …
Ce n’est qu’au bout de quelques minutes que je m’aperçois de son absence, j’observe la
piste, ma femme dans un slow langoureux, carrément accrochée au cou de son cavalier
tandis que les siennes sont posées juste au dessus des fesses rebondies, mon cœur fait
un bond, elle n’a pas l’habitude de se laisser aller ainsi, l’homme lui parle au creux
de l’oreille, il la colle sur lui, bande t il ? J’allume une cigarette pour me donner
une contenance et calmer ma nervosité, la série dure et dure encore
Je n’ai pas rêvé ? Il vient de l’embrasser dans le cou ! Ses mains bougent sur les
fesses d’Annie qui laisse faire, ne rencontrant pas de résistance l’homme glisse une
main en direction du décolleté, sa tête se pose sur l’épaule masculine, l’homme baisse
son visage vers les lèvres entrouvertes de ma femme … je suis sauvé, le disc-jockey
lance une série de rock, le couple se sépare, ouff !
Elle vient vers moi avec un sourire gêné et m’embrasse a pleine bouche, nous reprenons
notre place au bar
- Chéri …
- Oui ?
- Il s’appelle Antoine, il à un charme fou j’avoue qu’il m’a troublée
- Ha ? pourquoi ?
- Hé bien… il s’est collé a moi il a placé son sexe en érection juste sur le
mien en me disant qu’il avait envie de moi, les mouvements de la danse le faisait
bouger sur ma vulve…je suis toute mouillée …. ha, il m’a aussi caressé un sein …. Tu
ne m’en veux pas ?
- T’en vouloir ? j’ai tout vu touche discrètement ma braguette …
- OOOOHHHHH !
- Vient danser avec moi ça va calmer mes ardeurs !
Après une heure de danse endiablée une nouvelle série de slows démarre, je piste
l’homme qui n’osant s’approcher regarde intensément ma femme, je suis sûr qu’elle
espère être à nouveau invitée et soudain …
- Excusez moi de vous importuner monsieur puis-je vous offrir un verre à vous et
votre charmante dame ?
- C’est très gentil mais ce n’est pas indispensable pour inviter Annie à danser
!
- Merci Georges !
Tient ! Il connait déjà mon prénom ? ! Annie dépose un gros bécot sur mes lèvres et
s’empresse de suivre cet Antoine sur la piste ! Enfin je trouve un fauteuil de libre,
je m’y installe confortablement et suis le couple des yeux, sitôt sur la piste ils
s’enlacent comme de vieux amants, cette fois il y va franchement les lèvres
s’unissent, j’immagine le jeu de langue et surement une nouvelle érection qui butte
sur la chatte de ma femme qui se frotte sans complexe sur lui, discrètement je masse
ma queue bandée, Annie qui est si réservée d’habitude ….
Ils n’essaient même pas de se dissimuler dans un recoin sombre, c’est ainsi que je
peux voir une main dans le corsage et l’autre entre eux deux … en bas …..Mon émotion
est trop forte je vais chercher un autre verre au bar, une surprise m’attend au retour
ils ne sont plus sur la piste, mon cœur se serre ou sont ils ?.....
Je dois les retrouver très vite car s’il s’agit d’un prédateur mon Annie est en
danger, aucune trace d’eux dans la salle, je vais sur le parking et commence à
chercher dans les voitures, tout au fond une voiture a le plafonnier allumé, de la
buée commence a envahir les vitres, j’approche en douceur … ils sont là !
Annie torse nu la tête renversée les yeux fermés se fait téter un sein, une main
d’Antoine a disparu sous la jupe, vus l’angle écarté des cuisses et a en juger par son
bassin qui ondule il doit lui caresser la chatte , soudain le sixième sens de l’homme
lui fait lever la tête, il m’aperçois , une seconde de surprise passée voyant que je
reste immobile tout en me fixant il relève la jupe, les doigts fouillent pour se
frayer un passage dans le string et reprennent leur place dans l’antre humide, les
doigts font onduler le tissu ,c’est hyper érotique
Antoine s’écarte un peu pour le laisser fourrager dans son pantalon il en sort une
queue raide et longue, il prend le poignet d’Annie pour lui poser la main sur son
membre, un moment d’hésitation et les doigts se referment sur la hampe, la peau se
retrousse sur le gland tuméfié elle entreprend une masturbation qui va de plus en plus
vite, Antoine pèse sur sa tête pour la diriger vers son bas ventre, mon sexe me fait
mal , je le sort pour me caresser , c’est la première verge étrangère qui pénètre sa
bouche , elle s’applique, tète , lèche le membre sur toute sa longueur malaxe les
bourses, va-t-elle aller jusqu’au bout ?
Antoine gémit et la repousse, il lui parle … Annie lève la tête vers moi dans surprise
apparente, découvrant que je me masturbe, avec un aplomb extraordinaire elle ouvre la
portière et me fait signe d’approcher, allongée sur le dos la tête renversée, moi a
demi courbé le buste dans l’habitacle elle prend ma queue en bouche, Antoine lui
retire son string taché et pose sa bouche sur la chatte écartée et explosée par ses
mains, ma femme geint et se cambre pour offrir au male sa moule ruisselante de désir
car de temps en temps il lape plus qu’il ne lèche, elle sort ma queue de sa bouche
quand le plaisir est trop violent parce que fouillé dans les moindres recoins, je
malaxe nerveusement les seins durcis , soudain son corps s’arque, seuls ses pieds et
sa tête touchent le cuir, elle ouvre la bouche et pousse un long cri étouffé avant de
retomber en gémissant
- Mon amour je viens de jouir c’est affreux !
- Je m’en suis aperçu c’est plutôt merveilleux !
Satisfait Antoine se relève fouille dans une poche et sort un préservatif qu’il me
montre, je lui fais non de la tête pour la protection et oui pour qu’il la prenne
ainsi, il avance a genoux entre les cuisses repliées en tenant a pleine main sa queue
tendue prête à exploser
Je n’existe plus elle tend les mains vers son amant pour l’attirer a elle, a nouveau
je deviens simple spectateur
- Ouuuuuuuuuiiiii enfonce toi ……….AAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH
L’homme se démène sur elle, elle lui rend ses coups de reins, les chairs claquent, ils
soufflent, des sons incompréhensibles sortent de leurs bouches, Antoine est un solide
gaillard il la besogne a un rythme soutenu pendant d’interminables minutes, enfin un
murmure qui s’amplifie sort de sa bouche, il attire Annie sur lui en se vidant dans
son ventre, elle lui répond par un cri de biche blessée ses jambes le ceinturent comme
pour l’empêcher de retirer
- Encore !encore ! encore !!!!!
- Tu m’as complètement vidé !! c’était merveilleux merci Annie !
Antoine se redresse à regret, son membre qui perd du volume goutte encore entre ses
cuisses, puis il sort de la voiture pour rectifier ses vêtements, Annie semble perdue
dans des pensées dont je ne saurais jamais la teneur
- Vient chérie je vais t’aider à te rhabiller
- Georges, fait moi l’amour …
- A la maison chérie, à la maison je vais bouffer ta chatte et te prendre comme
une bête !
- Ho oui ! partons vite ! au revoir Antoine !!!
- Au revoir Annie merci Georges ……
Annie a remis son corsage sans le boutonner et sa jupe, avant de mettre les sous-
vêtements dans ma poche je respire plusieurs fois a fond le string imprégné de son jus
intime, assise sur son siège la robe relevée a la taille pour entretenir mon
excitation, sa chatte fait des bruits mouillés quand elle se penche pour me prendre en
bouche ……je l’ai baisée comme pour la première fois toute la nuit …
club ou nous étions devenus des habitués, il a trop longtemps que nous n’y sommes pas
allés
Après avoir passé deux heures dans la salle de bain elle sort enfin, j’ai un choc ! Si
ce n’était pas ma femme je la draguerais séance tenante ! Jupe ample a la limite de
ses dim- hup résille, je sais que c’est des bas autos fixant car elle relève lentement
sa jupe pour me monter son mini string ficelle noir, le soutien- gorge sans armatures
assorti, ça je le vois aussi a travers le corsage légèrement transparent, ça promet !
Je bande rien qu’a la pensée que des hommes vont loucher sur elle, mais c’est bien
moi qui vais en profiter !
Il y a affluence, comme je n’ai pas réservé de table nous nous installons sur des
tabourets au bar, Annie commande sa boisson préférée qui fait tomber ses inhibitions,
un whisky Schweppes, j’aime quand elle se lâche et montre ses cuisses fuselées comme
elle le fait maintenant, nous discutons avec le barman qui demande ce que nous
devenons quand un homme d’une cinquantaine d’années très chic aux tempes grises se
pose a coté d’Annie, pris par la conversation je n’y prête pas attention , pas plus
que quand elle me dit a l’oreille
- Chéri je vais danser …
- Oui va y chérie …
Ce n’est qu’au bout de quelques minutes que je m’aperçois de son absence, j’observe la
piste, ma femme dans un slow langoureux, carrément accrochée au cou de son cavalier
tandis que les siennes sont posées juste au dessus des fesses rebondies, mon cœur fait
un bond, elle n’a pas l’habitude de se laisser aller ainsi, l’homme lui parle au creux
de l’oreille, il la colle sur lui, bande t il ? J’allume une cigarette pour me donner
une contenance et calmer ma nervosité, la série dure et dure encore
Je n’ai pas rêvé ? Il vient de l’embrasser dans le cou ! Ses mains bougent sur les
fesses d’Annie qui laisse faire, ne rencontrant pas de résistance l’homme glisse une
main en direction du décolleté, sa tête se pose sur l’épaule masculine, l’homme baisse
son visage vers les lèvres entrouvertes de ma femme … je suis sauvé, le disc-jockey
lance une série de rock, le couple se sépare, ouff !
Elle vient vers moi avec un sourire gêné et m’embrasse a pleine bouche, nous reprenons
notre place au bar
- Chéri …
- Oui ?
- Il s’appelle Antoine, il à un charme fou j’avoue qu’il m’a troublée
- Ha ? pourquoi ?
- Hé bien… il s’est collé a moi il a placé son sexe en érection juste sur le
mien en me disant qu’il avait envie de moi, les mouvements de la danse le faisait
bouger sur ma vulve…je suis toute mouillée …. ha, il m’a aussi caressé un sein …. Tu
ne m’en veux pas ?
- T’en vouloir ? j’ai tout vu touche discrètement ma braguette …
- OOOOHHHHH !
- Vient danser avec moi ça va calmer mes ardeurs !
Après une heure de danse endiablée une nouvelle série de slows démarre, je piste
l’homme qui n’osant s’approcher regarde intensément ma femme, je suis sûr qu’elle
espère être à nouveau invitée et soudain …
- Excusez moi de vous importuner monsieur puis-je vous offrir un verre à vous et
votre charmante dame ?
- C’est très gentil mais ce n’est pas indispensable pour inviter Annie à danser
!
- Merci Georges !
Tient ! Il connait déjà mon prénom ? ! Annie dépose un gros bécot sur mes lèvres et
s’empresse de suivre cet Antoine sur la piste ! Enfin je trouve un fauteuil de libre,
je m’y installe confortablement et suis le couple des yeux, sitôt sur la piste ils
s’enlacent comme de vieux amants, cette fois il y va franchement les lèvres
s’unissent, j’immagine le jeu de langue et surement une nouvelle érection qui butte
sur la chatte de ma femme qui se frotte sans complexe sur lui, discrètement je masse
ma queue bandée, Annie qui est si réservée d’habitude ….
Ils n’essaient même pas de se dissimuler dans un recoin sombre, c’est ainsi que je
peux voir une main dans le corsage et l’autre entre eux deux … en bas …..Mon émotion
est trop forte je vais chercher un autre verre au bar, une surprise m’attend au retour
ils ne sont plus sur la piste, mon cœur se serre ou sont ils ?.....
Je dois les retrouver très vite car s’il s’agit d’un prédateur mon Annie est en
danger, aucune trace d’eux dans la salle, je vais sur le parking et commence à
chercher dans les voitures, tout au fond une voiture a le plafonnier allumé, de la
buée commence a envahir les vitres, j’approche en douceur … ils sont là !
Annie torse nu la tête renversée les yeux fermés se fait téter un sein, une main
d’Antoine a disparu sous la jupe, vus l’angle écarté des cuisses et a en juger par son
bassin qui ondule il doit lui caresser la chatte , soudain le sixième sens de l’homme
lui fait lever la tête, il m’aperçois , une seconde de surprise passée voyant que je
reste immobile tout en me fixant il relève la jupe, les doigts fouillent pour se
frayer un passage dans le string et reprennent leur place dans l’antre humide, les
doigts font onduler le tissu ,c’est hyper érotique
Antoine s’écarte un peu pour le laisser fourrager dans son pantalon il en sort une
queue raide et longue, il prend le poignet d’Annie pour lui poser la main sur son
membre, un moment d’hésitation et les doigts se referment sur la hampe, la peau se
retrousse sur le gland tuméfié elle entreprend une masturbation qui va de plus en plus
vite, Antoine pèse sur sa tête pour la diriger vers son bas ventre, mon sexe me fait
mal , je le sort pour me caresser , c’est la première verge étrangère qui pénètre sa
bouche , elle s’applique, tète , lèche le membre sur toute sa longueur malaxe les
bourses, va-t-elle aller jusqu’au bout ?
Antoine gémit et la repousse, il lui parle … Annie lève la tête vers moi dans surprise
apparente, découvrant que je me masturbe, avec un aplomb extraordinaire elle ouvre la
portière et me fait signe d’approcher, allongée sur le dos la tête renversée, moi a
demi courbé le buste dans l’habitacle elle prend ma queue en bouche, Antoine lui
retire son string taché et pose sa bouche sur la chatte écartée et explosée par ses
mains, ma femme geint et se cambre pour offrir au male sa moule ruisselante de désir
car de temps en temps il lape plus qu’il ne lèche, elle sort ma queue de sa bouche
quand le plaisir est trop violent parce que fouillé dans les moindres recoins, je
malaxe nerveusement les seins durcis , soudain son corps s’arque, seuls ses pieds et
sa tête touchent le cuir, elle ouvre la bouche et pousse un long cri étouffé avant de
retomber en gémissant
- Mon amour je viens de jouir c’est affreux !
- Je m’en suis aperçu c’est plutôt merveilleux !
Satisfait Antoine se relève fouille dans une poche et sort un préservatif qu’il me
montre, je lui fais non de la tête pour la protection et oui pour qu’il la prenne
ainsi, il avance a genoux entre les cuisses repliées en tenant a pleine main sa queue
tendue prête à exploser
Je n’existe plus elle tend les mains vers son amant pour l’attirer a elle, a nouveau
je deviens simple spectateur
- Ouuuuuuuuuiiiii enfonce toi ……….AAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH
L’homme se démène sur elle, elle lui rend ses coups de reins, les chairs claquent, ils
soufflent, des sons incompréhensibles sortent de leurs bouches, Antoine est un solide
gaillard il la besogne a un rythme soutenu pendant d’interminables minutes, enfin un
murmure qui s’amplifie sort de sa bouche, il attire Annie sur lui en se vidant dans
son ventre, elle lui répond par un cri de biche blessée ses jambes le ceinturent comme
pour l’empêcher de retirer
- Encore !encore ! encore !!!!!
- Tu m’as complètement vidé !! c’était merveilleux merci Annie !
Antoine se redresse à regret, son membre qui perd du volume goutte encore entre ses
cuisses, puis il sort de la voiture pour rectifier ses vêtements, Annie semble perdue
dans des pensées dont je ne saurais jamais la teneur
- Vient chérie je vais t’aider à te rhabiller
- Georges, fait moi l’amour …
- A la maison chérie, à la maison je vais bouffer ta chatte et te prendre comme
une bête !
- Ho oui ! partons vite ! au revoir Antoine !!!
- Au revoir Annie merci Georges ……
Annie a remis son corsage sans le boutonner et sa jupe, avant de mettre les sous-
vêtements dans ma poche je respire plusieurs fois a fond le string imprégné de son jus
intime, assise sur son siège la robe relevée a la taille pour entretenir mon
excitation, sa chatte fait des bruits mouillés quand elle se penche pour me prendre en
bouche ……je l’ai baisée comme pour la première fois toute la nuit …
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