Un stage plein - histoire érotique

Un stage plein

Nous sommes en couple depuis trois ans, mais non mariés, Line a donc toujours son nom de jeune fille, ce qui nous a valu, lors d’un stage de plongée, à Port Vendres, de réaliser un stage plein. Line a 22 ans ,fine, avec un corps musclé (sportive), de jolis seins ronds et fermes, agrémentés de petits tétons avec autour une jolie auréole et un fessier attirant facilement la main d’un honnête homme ; pour ma part, j’ai 31 ans, tout aussi sportif, 1.80m pour 75 kg ; au dire de nos amis, nous formons un joli couple, moderne, aimant les imprévus de la vie surtout quand ils sont source de plaisir ; et ce fut le cas ; ce stage de 2eme degrés n’était pas un séjour club Med et si le niveau était élevé, ce n’était pas le cas de l’hébergement, à savoir, un dortoir avec huit lits plus ou moins cote à cote, des douches communes et pas de pièce pour s’isoler ; bonjour l’intimité ; ce n’étais pas la première fois et dans ce cas, nous devenons de simples stagiaires, limitant nos relations aux rares moments de solitude.
A la première réunion, surprise : nous sommes 7 stagiaires et Line est la seule femme et rapidement nous comprenons que cela va poser quelques problèmes ; une fille pour 6 mecs en pleine forme ; afin de ne pas provoquer, nous décidons de nous comporter en copains. Soirée sympa à discuter de nos expérience et tout le monde au lit. Le lendemain dès 9 h, tout le monde sur le pont, équipé de nos bouteilles et en route pour le stage ; pris par le travail, j’oublie un peu line et ce n’est que dans la dernière partie, moins spécifique que je remarque qu’un des stagiaires ne la quitte pas et quand il le peut, il se frotte contre elle, cela n’énerve et m’amuse à la fois ; je sais qu’elle aime ce genre de situation, mais la proximité du groupe doit la gêner ; de retour, elle me dit que non seulement il ne la quittait pas mais qu’à plusieurs reprises, il lui avait mis la main aux fesses ; je dois dire que cela lui faisait plaisir d’être ainsi courtisée. La journée suivante n’apporta rien de nouveau, mais notre homme était tenace ; de retour, nous prenions notre douche, comme deux vieux copains de club, quand il demanda s’il pouvait venir ; après accord de line, il arriva nu comme un ver, et la vue du corps de line eut tôt fait de lui faire dresser la queue ;sans s’émouvoir, il lui adressa un sourire et dit : tu vois tu me fais de l’effet et se rapprochant d’elle, sans s’occuper de ma présence, il lui caresse les seins, puis sa main descend vers la toison finement taillée et il lui caresse le minou, ses doigts essayant de pénétrer dans sa chatte ; line écarte les jambes, les doigts rentrent, mais brutalement line se dérobe et sort de la douche ; je suis excité et ma verge est tendue, mais c’est le désappointement du loustic qui m’amuse et la queue basse, il s’en va. J’aimerais bien sauter ma petite femme mais avec tout ce monde ce n’est pas facile, je verrais cette nuit.
Je ne suis pas le seul à avoir eu cette pensée car un peu plus tard dans la nuit, un bruit me réveille à coté de moi ; discrètement je regarde en direction du lit de line et dans la pénombre, je m’aperçois qu’elle n’est plus seule, le ventre à l’air , le haut du pyjamas remonté sur ses seins ;il se branle ; j’arrive sans doute à la fin car s’il a encore la main dans le sexe de line, je l’entends sa respiration s’accélérer et il éjacule sur son visage il repart vers son lit et après quelques instants, line vient me rejoindre ; tourné sur le coté, je n’ai aucun mal à la prendre ; son conduit est trempé et ma queue s’enfile sans coup frémir ; je la baise doucement, lui caressant les seins, lui pinçant le mamelon pour favoriser sa jouissance ;il ne me faut pas longtemps pour lui juter dans le ventre et elle me mord la main pour ne pas crier. Puis se retournant vers moi, elle me raconte :
« il est arrivé la queue tendue et m’a mis la main sur la bouche pour ne pas crier ; son autre main a descendu mon pyjamas , et ses doigts ont écarté mes lèvres pour pénétrer ma chatte ; je secouais la tête pour refuser, je réussis à lui dire que je ne voulais pas qu’il me baise ici, il m’a enfilé sa bite dans la bouche ; je l’ai sucé pendant qu’il me branler avec ses doigts ; tu as vu le reste « « tu as jouis ? Tu as envie qu’il te baise ? « Sa bouche se colle contre la mienne puis dit « oui mais avec toi, j’ai envie de sa queue mais je te veux aussi » elle s’est retournée et j’ai à nouveau planté ma queue dans sa chatte, et c’est ainsi que nous nous sommes endormis ; le petit jour pointé quand elle a repris son lit.
Le soir, nous avons attendu le départ du groupe pour le village avant d’ aller à la douche et enfin seul, j’en profitais pour la caresser en lui savonnant le dos ; mes mains s’attardent sur ses seins puis sur son ventre, frottant sa petite toison, puis lui pénétrant ses lèvres de deux doigts fureteurs ; line gémit et son corps se cambre, réclamant la saillie ; la mettent à genoux, je plaque sa tête sur ma queue et goulument elle l’avale ; elle adore faire une pipe et je ne résiste que rarement à ses succions, mais un bruit nous fait stopper, nous ne sommes plus seuls, Pierre nous regarde en se masturbant
« c’est bien ce que je pensais, c’est pour cela que je suis revenu » il s’approche de nous et présente sa bite à sucer ; line me regarde , un sourire, et sa langue vient lécher son gland, puis s’infiltre dans le méat ; la réaction est immédiate et lui prenant la tête, il s’engouffre dans sa bouche, poussant au plus profond et se masturbe entre les lèvres ; line suffoque sous la poussée et se recule, puis le reprend à nouveau ;je me suis accroupi et je lèche le minon, ma main s’infiltrant dans la chatte, c’est deux doigts, puis trois que je peux rentrer ; elle a écarté ses jambes et je peux ainsi m’insérer plus profond ; doucement je rentre mes doigts en totalité et j’enfonce ma main le plus loin possible ; grâce à sa mouille c’est presque toute la main qui lui fouille le ventre ; pierre se retire et va chercher une capote, j’en profite et redressant line ,je la plaque contre le mur et j’enfourne ma verge d’un coup sec, elle glisse avec facilité et c’est ainsi que je la lime ; je ne tarde pas à juter et Pierre prend ma place avec avidité , il la pilonne avec fougue , sans ménagement , accrocher à ses hanches, il lui bourre sa chatte, son pubis claquant contre les fesses de line ; elle se tortille , reculant son postérieur pour mieux sentir la pénétration et avec un grognement ,Pierre s’immobilise et retirant sa capote, il lui immonde les fesses de sperme ; line n’a pas son compte, sa jouissance n’est pas totale, je le sens ; nous prenant par le sexe , elle nous emmène dans la chambrée, et réunissant deux lits, elle nous pousse sur le dos, ses mains s’activant en branlant avec vigueur nos sexes ; c’est pierre qui est le premier en forme et sa queue se dresse ; line se plante alors sur elle et à grand coup de bassin, il se propulse en elle ; appuyée sur ses épaules, elle encaisse et commence à gémir sous las vigoureuses poussées ; le vue de cette pénétration m’a redonné de la vigueur et je suis près, la bite tendue ; son postérieur s’offre à moi, mais la pensée de ma main dans sa chatte , pendant la douche me stimule et c’est dans sa chatte déjà occupée que je me présente, elle veut se rebiffer, mais prise entre nous deux, rien n'y fait et je sens la queue de pierre contre la mienne , je pousse, je force et enfin les deux bites sont de concert en elle ; nous sommes ensembles et cette fois line cède et se livre totalement à la double pénétration vaginale, sa jouissance est complète et elle coule sur nos queues ; un râle prolongé nous surprend et elle s’écroule écrasée par son plaisir ; presque qu’ensemble, nos queues crachent et je récents les ressauts de sa queue qui se vide.
Une fois seuls, nous discutons de la situation ; je lui avoue mon plaisir de la voir prise par un autre, passé le premier sentiment de jalousie ; à son tour elle reconnait avoir pris beaucoup de plaisir ; et que sentir deux hommes dans son ventre avait éveillé de nouvelles sensations mais que malgré tout elle éprouvait de la culpabilité de jouir avec un autre ; elle avait un peu honte de me tromper ainsi . La prenant dans mes bras, je l’ai rassuré lui faisant comprendre que j’aimais la voir ainsi et qu’ensemble ce n’était pas me tromper, mais seulement un jeu qui nous excité tous les deux. Nous décidons de laisser faire les choses et de profiter de la totalité de notre stage. Les deux jours qui suivirent, les difficultés des épreuves d’examen ont occupés tout le monde et le vendredi soir, les résultats tombaient ; 5 sur 7 de reçus, le stage était pour nous une réussite ; les deux collés nous quittèrent rapidement, déçus et avec les deux autres et notre formateur nous décidons d’aller fêter notre réussite, le départ n’étant que pour le lendemain. L’apéro puis le repas qui suivit fut très arrosé et c’est en chantant, et passablement éméchés que nous sommes rentrés ; pendant le trajet Pierre ne se gênait de ploter line et ma main rencontrait souvent la sienne, à des endroits plus privés ; line riait et se prêtait aux attouchements. Le moniteur nous quitta et tout le beau monde se retrouva dans la chambrée ; Pierre éteint une partie de l’éclairage et demande alors à line de nous faire un strip-tease ; sous les encouragements, le regard brillant elle commence son effeuillage ; le pantalon rejoint le pull sur le sol, et en slip et soutien gorge en dentelle donc très transparents ; pierre se comporte en conquérant et il la fait tourner ; line ne se retient plus et dégrafe son soutien gorge, ses seins sont gonflés et ses mamelons pointent, je la laisse faire, trop excité par la scène ; elle hésite pour le slip, mais mes encouragements la stimule et c’est nue maintenant qu’elle nous nargue ; la tension est montée et plusieurs bosses apparaissent dans les pantalons ; ses seins fermes, tressautent à chaque mouvement et rapidement les mains de pierre se posent sue elle ; « elle aime cela, c’est une bonne occasion, je l’ai baisé avec jean « ce salaud se vante de sa soirée, j’ai envie de le boxer, mais line ne bronche pas, bien au contraire, elle se frotte maintenant sur moi et dit à haute voix » j’ai envie que l’on me caresse, branle moi » je ne la reconnais plus, et même si l’alcool agit, je pense que c’est par envie qu’elle se livre à nous ; c’est le déchainement et même si l’un des stagiaires reste en retrait, c’est trois paires de main qui torturent ses seins et s’infiltrent dans son intimité ; je lui caresse le sillon et mon doigt lui pénètre l’œillet ; elle est vite allongée sur les lits rapprochés et c’est deux males en rut qui vont s’acharner sur elle, je reste un peu en retrait, pour me branler en regardant line se faire mettre ; en levrette une queue dans la bouche , elle encaisse sans frémir la bite de pierre dans la chatte ; toutes les pénétrations sont brutales, sauvages ; ils baisent une salope et ils ne se gênent pas, lui tirant sur les mamelons, et en lui claquant avec force le postérieur ; elle est prise dans toutes les positions sa jouissance est permanente, elle râle de plaisir et s’offre aux sexes ; Une partie de la nuit son corps est possédé à tour de rôle par ses amants d’un soir, tous ses trous sont remplis et elle se retrouve souvent avec trois queues en elle et quand je me présente sur son sillon, l’excitation me projette sans retenue dans son anus, je le perfore, et je m’enfonce jusqu’à la garde avant de jouir pour la unième fois ; je ne saurais dire combien de fois elle a jouit car cela semblait être permanent ; enfin le calme revient et le groupe se sépare pour enfin se reposer ; line extenuée, mais épanouie de plaisir se refugie dans mes bras, je l’embrasse tendrement, puis mes lèvres descendent jusqu’à son sexe ; il est plein de jute et de son anus s’écoule du jus de ses amants ; ses lèvres sont engluées de sperme et je la lèche tendrement, lui nettoyant sa vulve ; je rebande et je viens pour la prendre tendrement……elle s’est endormie un sourire sur les lèvres.
Ce séjour, plein en événements nous a marqué, il a libéré ma Line et m’a fait découvrir le plaisir de voir ma femme prise par d’autres. Pendant quelques jours elle est restée honteuse de son comportement, mais avec beaucoup d’amour et de persuasion, elle a accepté son plaisir et par la suite, si nous avons écarté l’amour en groupe, nous avons souvent fait l’amour à trois.