Un toc de ma maman - histoire érotique

Je sais que maman étant jeune mariée aimait se balader nue sous ses robes a la demande de papa, j’avais compris ça un jour qu’ils plaisantaient avec des copains, elle disait que de sentir l’air frais caresser sa foufoune c’est le pied et elle profitait de l’excitation de papa le soir !, ce doit être elle qui m’a filé le virus car a vingt ans j’adore me balader en douce sans culotte en ville rien que de penser que des hommes tout prés de moi pourraient me passer la main au cul s’ils savaient que ma chatte est accessible, c’est vrai que c’est une sensation extraordinaire, que celles qui n’ont jamais essayé vérifient ….. L’été je me balade nue sur nos grandes plages naturistes mais c’est permis donc pas intéressant, ce que je désire c’est me promener avec seulement un imper sur le dos pour braver ‘l’interdit ‘ Nous somment fin septembre, les touristes sont partis, les plages sont désertes c’est là que je vais tester ma p’tite folie avant de m’attaquer a la ville, aujourd’hui le temps est gris, un fort vent chaud venant du sud souffle, c’est l’idéal, je m’habille normalement pour ne pas éveiller les soupçons en quittant la maison- Tu va te balader avec ce vent ? ah tu as pris un imperméable, tu as raison en cas de pluie ça peut servir - A ce soir maman !
Je file vers le premier parking désert en sortie de ville, là une fois garée je me déshabille entièrement, rien que cette action me fait mouiller, l’adrénaline monte déjà, j’enfile mon précieux vêtement et me dirige vers la côte sauvage, pas de voitures sur ce parking, je m’y gare et fonce vers la plage, la marée est haute ne laissant qu’une bande de sable sec, quel délice de sentir frotter sur ma peau ce vêtement ! Le vent fort s’engouffre sous l’imper lissant mes poils, si mes lèvres n’étaient pas jointées par ma mouille elles se décolleraient pour laisser le vent me faire l’amourJe défais un bouton du bas … ouuuaaaah !quel bonheur, un autre …. Puis un autre, je ne tiens plus que les deux pans ouverts dans mes mains face a l’océan, mes seins sont fouettés, je serre mes cuisses l’une contre l’autre écrasant mes lèvres, la pression fait suinter mon suc, puis les cuisses écartées, deux allers retours de mes doigt sur mon clito suffisent, je jouis les yeux fermés… une onde bienfaitrice traverse mon corps, un ruissèlement poisse l’intérieur de mes cuisses, a peine apaisée je respire a fond cet air iodé et repars en maintenant les pans afin que le vent continue son œuvre et sèche mes poils amidonnésJe ne retiens plus l’imper qui vole au gré du vent dévoilant mon corps jusqu'aux reins, mes seins gonflés pointent droit devant, si ça continue je ne vais pas tarder à jouir une seconde fois sans rien faire quand soudain un halètement me fait baisser les yeux … un chien ! Un chien qui me renifle la chatte, je referme l’imper sans le boutonner afin de protéger mon sexe ? Mais … si il ya chien il y a maitre …Effectivement un coup de sifflet retentit - Icare au pied ! tout de suite !
Le chien obéis, je me retourne un homme me suit a trente mètres, les tempes grisonnantes, il doit avoir plus du double de mon âge, il sourie- N’ayez pas peur il est très joueur Affolée et vexée de m’être faite surprendre car il a dut voir que j’étais nue et depuis combien de temps ? A-t-il assisté à mon orgasme ? Je détale sans prendre le temps de refermer les boutons, je monte au premier passage praticable entre les dunes et cours vers la forêt là ou la végétation est la plus dense, mais partie trop vite un point de coté me prend, impossible de courir, de plus mes savates pleines de sable me font mal aux pieds, de quel coté aller ? Ou est ma voiture ? Épuisée je respire a grand peine, je pose mon avant bras sur le tronc d’un grand chêne et y appuis ma tête, mon cœur cogne dans ma poitrine qui se soulève fortement Soudain un jappement …la bête m’a repérée, j’ai atrocement mal impossible de repartir, des craquements de branches, l’homme est derrière moi - Ha te voilà brigand, tu as du flair, je sais pourquoi il vous suit... il fait de même avec ma femme lorsqu’elle a ses règles, mais je crois que ce n’est pas votre cas, c’est autre chose, vous êtes en chaleur Icare ne se trompe pas …vous avez de jolies formes je vous ai vue face au vent ….… Il reste derrière moi, une main se pose sur mon épaule, paralysée par le peur et par le point de coté toujours présent je ne bouge pas, il doit prendre ça pour un consentement car une main écarte un pan de mon vêtement- Mais tu es entièrement nue dit donc … - MONSIEUR …….. !
- N’aie pas peur …..COUCHER ICARE, PAS BOUGER ! ton maitre a du travail ……..
La large main englobe un sein l’autre par devant se faufile entre mes cuisses j’aurais dût serrer les pieds quand je me suis arrêtée ….des doigts ouvrent mes lèvres recollées, il se colle a moi, une excroissance significative pousse sur mes fesses puis une main farfouille dans son pantalon sans doute pour libérer son membre, une queue dure qui me semble très large se frotte sur mes reins qu’il a mis a nus - Je vais t’apaiser, retourne toi ….
Tel un pantin, de nouveau la chatte en feu j’obéis et m’adosse au tronc, l’homme s’agenouille pose ses mains sur mes fesses pour attirer a lui mon entrejambes, son souffle me fait plus de bien que le vent, je pousse mon bassin vers lui - Huuuuummmmm tu sens bon, tu as jouis combien de fois pour que tes poils soient aussi collés ?
… sa langue fait son passage, polissant mes lèvres pour débusquer mon clitoris à moitie sortit de son capuchon, il est aspiré, mordillé, sucé tandis que deux doigts fouillent mon vagin - Aaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhh…- Rrrrhhhhhuuuuuummmmmm… tu coule encore salope muuuuuuuummmmmmmmmJe pose mes mains sur sa tête et fléchie les genoux pour le guider, je ruisselle dans sa bouche, submergée par l’orgasme je suis obligée de m’accoter a l’arbre pour ne pas tomber, l’homme profite de la situation - Tu va te trouver mal ? assied toi repose ton dos sur l’arbreJe me retrouve avec devant le visage sa queue qui se dandine de droite à gauche, je la suis des yeux, comme hypnotisée j’avale le membre qui sent la pisse - Ouais, suce-moi, toi au moins tu n’es pas farouche !
Ma langue dure passe et repasse sur le frein du gland qui remplit mon palais - T’es experte ma fille je ne vais pas tarder à te rincer les amygdales A peine deux minutes et le canal de son nœud se contracte a intervalles réguliers pour expulser sa semence dans ma gorge- Hoooouuuuaaaaaaa tu me vide les burnes haaaaaaaaaaaaaaaa c’est boooooooonnnnnnnIl se retire de ma bouche un filet de foutre coule sur mon menton, mais au lieu de remettre sa bitte dans son pantalon il me regarde l’entrejambe d’un air vicieux - T’es encore en feu hein ta chatte baille, allonge toi carrément sur ton imper il ne risque rien c’est de la mousse Avec ses pieds d’autorité il ouvre mes jambes et se met a genoux, il frotte longuement son pénis sur ma chatte qui n’attend que ça - Voilà un bon médicament pour apaiser tes tourments ….je vais t’enfiler …- NOOOOUUUUUUUOUUUUUIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!
- Tu vois ? ça fait du bien !
Ma chatte est étirée son gland mafflu frotte sur mes muqueuses, je dois reconnaitre que sa queue me procure une sensation bienfaisante a chaque coups de reins il me pénètre plus profondément, puis il me recouvre de son corps écrasant mes seins, sa bouche cherche la mienne je ne lui refuse pas, nos bas ventres en action se percutent de plus en plus violement, j’ai envie de sentir son foutre chaud gicler dans ma gaine vaginale - Oui baise moi ! donne-moi tout bien au fond !
- Tu vas l’avoir bien profondément ma belle ce n’est pas ta pipe qui m’a vidées les burnes j’ai de la réserve- Va-y- va-y -va-y ! VA-Y PLUS FOOOOORRRRRRRT - Tiiiiiiieeeeeeennnnnnnnt- ENCORE ! ENCORE ! ENCORE !!!!!
- SALOOOOOOOOPE !!!!!!
Il est resté sur moi cinq minutes avant de se relever péniblement, ma chatte s’est vidée en un flot épais, je n’ai rien pour m’essuyer car j’adore sentir ma moule évacuer le reste de jus quand je viens de baiser - La voiture rouge qui est au parking c’est la tienne ?
- Oui, alors suit moi je suis garé là moi aussi Je le suis sans échanger un mot, de temps à autre je repousse le museau du chien qui cherche ma vulve odorante, une fois arrivés il marque un temps d’arrêt a ma voiture je sens qu’il a envie de me dire quelque chose ? Non, il va enfermer le chien dans le coffre, j’ôte mon imper et me penche sur le siège arrière pour prendre mes sous-vêtements, je n’ai pas eu le temps de ressortir, deux mains maintiennent fermement mes hanches - Que dirait tu si je te prenais le petit ? je vois qu’il en veut lui aussi ta rondelle est gonflée - Mais non voyons …. Aaaaaahhhhhhhhh….. ooooooooohhhhhhh ooooouuuuuuiiiiiiiiiii !
- Tu vois ? t’en avait envie autant que moi - Oooohhh ouuuuuuiiiiii c’est bon ! j’en veux ! j’en veux !!
- Tu va en avoir ma belle HAN ! HAN ! HAAANNNNNNNNN putain je jouis déjà ? t’es bonne toi - Ouuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Même après ma jouissance il continue à me besogner comme un forcené, une main sur ma chatte je me masturbe en attendant son éjaculation, enfin comme dans ma chatte tout a l’heure sa queue se contracte, son sperme coule dans mon boyau, cette fois totalement vidé il débande rapidement le membre glisse hors de mes fesses, ma rondelle fait des bulles, je me redresse péniblement avec un fort mal aux reins dû a ma position courbée pendant dix minutes- Ça y est ? tu es calmée ? si tu veux d’autres séances je viens promener mon chien tous les jours ? ta tenue m’a excité alors ne change rien vient comme ça la prochaine fois ………C’est décidé je vais me promener nue en ville avec cet imper !.... et je reviendrais sur cette plage demain………