Une escapade en bord de mer avec Fred et Bernard. - histoire érotique

Cette histoire se passe à l'époque de ma relation avec Fabrice, j'ai hésité un moment avant de la publier.
"Allo, P...? C'est Fred, ca te dit une petite virée au bord de mer avec Bernard et moi? On connait un endroit chaud!".
"Quand?".
"Tu es libre quand? Plutôt l'après-midi! ca m'arrangerai!".
"Attend, je réfléchis! Lundi! Je suis fermé et ma femme sera chez une amie!".
"Super, on passe te prendre sur le boulevard du port, OK!".
"OK!".
Le matin du Lundi, ma femme étant partie, je pratique un lavement anal sous la douche et me rase les testicules, entièrement, jusqu'à l'anus.
L'heure venue, j'attends mes complices de l'après-midi, curieux de ce qu'ils ont prévu avec moi.
La voiture approche et s'arrête à mon niveau, c'est Bernard qui conduit, Fred est à l'arrière, il me dit:"Montes avec moi! Viens!".
J'entre dans le véhicule, près de Fred qui plaisante:"Chauffeur, allons baiser cette charmante salope, s'il vous plait!".
On rit franchement, et Bernard ajoute en riant:"Enfoiré!".
Fred répond:"Putain, je bande déjà!".
Il sort son sexe avec son gland gonflé et me dit:"Suces-moi!".
"Euh, on est en pleine ville, c'est risqué!".
"Allez, je cacherai ton visage, avec mes mains!".
Je contrôle que personne ne prête attention à ce qu'il se passe dans la voiture qui roule.
J'allonge mon corps sur le siège, pour avoir ma bouche au dessus de sa queue, puis l'enfonce dans ma gorge.
Il pose une main sur ma joue, en accompagnant mes mouvements de pompe sur sa bite.
Il gémit de plaisir, ça rend dingue Bernard qui le fait savoir:"Salaud, t'aurais pu attendre! Je bande, moi aussi, maintenant! Ca va? Tu te régales?".
"Hummm, il suces trop bien, tu le sais!".
"Ouais, il faut qu'on arrive vite, ça m'excite trop!".
La voiture s'arrête à un feu rouge, je tente de me redresser, mais Fred me bloque sur sa bite en ajoutant son autre main, pour cacher mon visage, il m'est impossible de savoir si des gens à pieds, passent près de nous.
Il m'impose une pénétration buccale avec ses mains en attendant le passage au vert.
La voiture redémarre, Bernard regarde dans le rétroviseur et dit:"Il y en a deux qui se retournent, à mon avis, ils ont compris que tu te faisais sucer par un mec!".
Je suce goulument, encore et encore, la bite de Fred, qui m'arrête doucement en ajoutant:"Stop! Je veux pas jouir maintenant! Bernard! Tu veux que je conduise?".
"Avec plaisir!".
Il se gare sur le bas coté, sort de la voiture et prend la place de Fred, qui prend le volant et redémarre.
Bernard ouvre son pantalon largement pour dégager sa grosse queue, que j'englobe goulument encore une fois.
"Ohhh, putain, c'est bon, prend ton temps, Fred! Je suis pas pressé!".
"Eh, n'oublies pas qu'on doit le baiser aussi!".
"Oui, on va le baiser, t'en as envie salope?".
"Mmmmm, gglllllrrp, Oui, mmmmm".
Il change de main pour la diriger vers mon pantalon, et s'insinue entres mes fesses pour me pénétrer avec ses doigts.
"Au fait Fred, t'as pensé au gel?".
"Oui!".
"Super".
Le reste du trajet se passe ainsi, jusqu'au moment ou Bernard me demandera d'arrêter lui aussi, de peur d'éjaculer dans ma bouche.
La voiture se gare, sur la corniche de la plage.
Ils m'entrainent loin, dans un sentier, Fred me demande:"T'es déjà venu ici?".
"Oui, mais pas aussi loin, je pensais pas qu'on pouvait venir jusque là!".
A force de marcher, en croisant des inconnus, nous arrivons sur une terrasse naturelle entourée d'arbustes, avec une vue magnifique sur la mer.
Fred fait tomber son pantalon sur ses pieds et dit:"Bon, on en était où, déjà?".
Je m'approche et reprend ma fellation goulue avec passion et application.
Bernard nous rejoint, en ajoutant sa queue dans ma bouche, puis quelques secondes après, il dit:"Venez, il est pas farouche!".
Je tourne la tête et vois deux inconnus qui se masturbent déjà.
Il ajoute:"Si on lui bandait les yeux, comme au magasin, avec Fabrice?".
Fred réponds:"Bonne idée!"Il enlève son tee-shirt et me couvre les yeux avec, en le roulant soigneusement.
Dès ce moment, je ne distingue que les gémissements, les bruits de brindilles écrasées, les boutons qui se dégrafent, les fermetures éclairs qui s'ouvrent, et les caresses de plusieurs mains qui me déshabillent entièrement.
Ils font un tapis avec leurs vêtements sur le sol et me mettent à genoux devant eux, je suce plusieurs queues, ensembles et à tour de rôles.
Je suis pénétré analement par un homme au sexe épais, qui m'a couvert l'anus de gel auparavant.
"Hummm, il m'avait manqué ton cul! salope!".
Je reconnais la voix de Bernard, qui entame peu à peu un rythme énergique dans mon cul pendant un long moment, puis il s'arrête et quitte mon anus.
Un autre sexe me pénètre d'un coup, je sens la présence d'une capote, c'est surement un inconnu qui commence déjà à me défoncer.
Après les assauts de Bernard, il reprend la montée d'orgasme qui m'envahissait.
Je râle en grognant sur les bites dans ma bouche.
Fred dit:"Attends mec!".
Quelqu'un me soulève les fesses, je devine que quelqu'un se glisse sous moi, on me pousse vers le sol, en m'empalant sur une bite nue et épaisse.
"Voila, tu peux reprendre ta place, si tu veux!".
C'est la voix de Fred, qui donc se trouve sous moi, je suis aussitôt écartelé par la bite recouverte du préservatif, qui rejoint celle de Fred dans mon anus.
"Oh, c'est super, j'avais jamais essayé ça, c'est la première fois!".
"C'est bon, pas vrai, nous aussi, on adore l'enculer comme ça, il est génial pour ça!".
L'homme s'active dans mon cul en sortant, par erreur, quelques fois mais replongeant, profondément, tout de suite après.
Il éjacule en râlant bizarrement.
"Pfffffffffffff, pffffffffffff, pfffffffffffffffffmmmmmmmmmmmmmmm".
"Je peux?".
"Vas-y profite, c'est notre salope!"Celui qui a joui se retire, et je sens un autre sexe plus long et sans protection, me pénétrer jusqu'aux couilles.
Je jouis encore analement sous leurs assauts simultanés.
L'homme du dessus se retire, pour apprécier encore le fait de me pénétrer, et donc, s'enfonce encore en moi en me faisant gémir de plaisir.
Il sort à nouveau de mon cul.
Bernard lui dit alors:"Attends, on va essayer quelque chose! Toi tu peux venir?".
"Essayez!".
Avec effroi, je devine que deux autres queues essaient de me pénétrer, les hommes se serrant l'un contre l'autre pour faciliter la pénétration.
La queue la plus longue, entre sans difficulté, mais pas très profondément à cause de la position.
Le troisième gland force puissamment et trouve le chemin pour s'enfoncer lui aussi.
je me sens écartelé, comme avec le gode de 8,5 cm, Ils s'amusent du coté exceptionnel de cette pratique, en sortant leurs glands et reprenant leurs places à tour de rôle.
L'homme à la longue queue se lasse, et dit:"Bon, c'est excitant, mais c'est pas pratique, laisses-moi l'enculer comme ça, deux bites, c'est bien aussi!".
Il se déchaine dans mon cul comme une bête, et peu de temps après annonce qu'il veut jouir dans ma bouche.
Il vient devant moi et me rempli la gorge en demandant à ceux que je suçais de se pousser.
Il soulève mon bandeau et me dit:"Regardes moi, quand tu avales!".
Je lève les yeux et vois un homme d'une soixantaine d'années, qui me remplit la bouche d'un sperme fort et amer.
J'avale goulument, quelque en soit le gout, j'aime tous les spermes, ils ont le gout du plaisir qu'ils prennent en me baisant.
Il baisse le bandeau, et disparait.
"Merci Bernard, c'était super!".
"De rien, Roger!".
Sous moi, Fred se déchaine comme un dingue, dans mon cul, et avant que l'autre puisse le rejoindre dans mon anus, il éjacule son foutre chaud en flots continus.
"Ohh, Patrick, c'est trop bon de t'enculer! Merde, désolé, ça m'a échappé".
Il vient de prononcer mon prénom, mais après tout, on est tous complices.
Il se retire de sa position, Bernard demande:"Personne aurait une corde? Non? Je voudrais lui attacher les mains".
"Non, mais je peux lui tenir!".
"Super!".
L'homme saisit mes bras et me maintient avec les mains dans le dos.
Puis, je reconnais la queue de Bernard, qu'il me fourre dans la bouche, me baisant en gorge profonde.
"Faites ce que vous voulez avec son cul, mais laissez moi lui baiser sa bouche de pute!".
J'entends des crissements de capote qui recouvrent des queues, dont une qui me possède sans retenue, une main prend la mienne pour la poser sur une bite bandée, puis une seconde fait de même avec l'autre main.
un homme fait couler du gel sur sa bite que je masturbe.
"C'est pas con ça! Passes le moi!".
L'autre bite est elle aussi lubrifiée. je me retrouve comme un pantin désarticulé, pour recevoir les assauts d'une queue dans l'anus, et masturber deux bites en me faisant baiser la gorge.
Celui qui m'encule est le premier à jouir, pendant que celui qui est dans ma main droite à saisit mon poignet pour augmenter la cadence de ma masturbation, il éjacule peu de temps après, en maculant ma main de son liquide chaud.
"Ohh J'adore!!, c'est bon!"Il continue à faire glisser mes doigts sur sa bite couverte de foutre.
"Oh, vous êtes là!". Dit un homme qui arrive apparemment.
Une queue me pénètre analement encore, dans une défonce profonde.
"Ah, je m'en doutais que c'était une salope, je suis sûr qu'il est bon, son cul, pas vrai?".
Il a un accent du sud très prononcé, il me semble connaitre sa voix.
"Ca rentre tout seul! Tu verras tout à l'heure! il est bien humide et chaud! Regardes!".
Il sort de mes fesses et écarte mon anus de ses doigts.
"Eh, il a déjà du foutre! Moi, ça m'excite ça! Allez dépêches toi, je vais le baiser aussi!".
Je suis rempli à nouveau, et défoncé comme une pute encore pendant un long moment, jusqu'à l'éjaculation de Bernard dans ma bouche.
"Oh, il avale le jus en plus, il est parfait, ce jeune!".
Celui qui m'encule ne tient plus et décide de venir ajouter sa dose de sperme dans ma bouche, pendant que je sens, une grosse bite très large, investir mon anus.
"Oh, putain, qu'il est bon son cul! Ca fait longtemps que je voulais le baiser!".
Il se lance dans un mouvement progressif et de plus en plus puissant. Mais qui est ce type qui a l'air de me connaitre?
"Tiens, salope, prends toi ça, petite pute!".
Son accent, et ses mots crus, ajoutés à ses assauts profonds me font râler d'orgasme anal.
Le salaud est endurant et me procure deux autres montées de plaisir, avant d'éjaculer dans ma bouche.
Son sperme est gras et abondant, très salé, il se fait lécher la bite très longuement, puis il ôte mon bandeau, alors que je suis à nouveau tenu dans le dos.
J'ai un regard effrayé, je reconnais l'homme, il a une bonne soixantaine d'années, lui aussi.
Nous nous connaissons d'un emploi que je faisais en temps qu'intérimaire, il y a plusieurs années.
"Bonjour, on se connait, Patrick, c'est ça?".
"Oui".
"Ca t'as plu, comme je t'ai enculé?".
"Oui".
"C'est dommage, on a perdu du temps! Alors!".
A cet instant, celui qui était dans ma main, et qui me tiens fermement avec les bras en arrière, est passé derrière moi pour m'enculer, lui aussi en se déchainant, excité par mes prestations.
L'homme devant, moi tient fermement sa queue à la base pour conserver son érection, et me baise doucement mais profondément la gorge.
"Il faudra que tu me dises comment te revoir, je vais encore te baiser!".
L'inconnu derrière moi se déverse en flots successifs, il sort presque son gland sans en avoir l'intention, et le sperme sort de mon anus en allant maculer mes couilles.
"Ahhhhhhhhhhhhhhh, arrrrrrrrrhhhhhhh!".
Il me lâche les bras, puis recule en titubant.
"Ouf, c'était bon, excitant et vulgaire comme j'aime! Quelle salope ton copain, Bernard!".
Le sexagénaire ajoute:"Je pensais pas que c'était lui dont tu me parlais! Je l'avais croisé pas loin, mais je l'ai pas vu baiser, donc j'avais un doute!".
Bernard, lui dit alors:"On le baise dans son magasin, habituellement, "Au S..... c'est pratique, quand tu trouves pas de mecs sympas ici".
Je regarde autour de moi, tous les hommes encore là, qui m'ont baisé, leurs queues pendent, certaines ont encore du sperme au bout de leur gland.
Je ne connais que Fred, Bernard et Maurice le sexagénaire, qui range son gros instrument.
Je me doutais qu'il était bien pourvu, et m'étais souvent mis à fantasmer sur lui, et sa grosse déformation à l'entre-jambe.
Je l'ai souvent entendu parler de sexe, il disait:"Vous savez qu'un homme est plus disposé qu'une femme au plaisir anal?".
Ou encore:"Tu vois Mohamed? Il a une bite énorme! Mais il aime que les hommes!".
Il me ciblait toujours des yeux en parlant de sexe entre hommes avec nos camarades. Aujourd'hui, il a réussi son coup, il m'a baisé.
Les hommes récupèrent les vêtements qui m'ont servit de tapis de fortune, l'un d'entre eux se plaint qu'il est taché de sperme.
Les autres se moquent de lui, pendant que je me rhabille.
Le sexagénaire m'enlace et dit:"Je suis content de t'avoir enfin baisé! Ca te dit de recommencer? Elle t'as plu ma grosse bite?".
Je souris et lui réponds:"Oui, bien sûr! Avec plaisir! T'aurais du insister à l'époque, mais plus discrètement! Tu parlais un peu trop ouvertement".
"Ah, moi, j'ai jamais caché que j'aimais enculer des jeunes hommes!".
"Oui, mais on est pas tous comme toi, c'était gênant, surtout quand tu insistais avec Mohamed!".
"Oh, Mohamed, tu te souviens de lui, je le vois toujours!".
"Ouais, tu m'as pas mal perturbé avec, lui, à force, je rêvais de sa queue!".
Bernard demande:"Bon, Patrick, on te ramène?".
"Oui, s'il vous plait, au revoir, Maurice!".
"A bientôt! Petit Patrick".
Dans la voiture, mes deux complices me demandent:"Ca t'as plu?".
"Enormément!".
Comme avec Fabrice, Franck et Joel?".
"Oui, mais au fait, je vois plus Franck?".
"T'es pas au courant, sa femme pensait qu'il avait une maitresse et l'a pisté, elle l'a gaulé en train de sortir de ton magasin avec son sac a dos et les godes, elle a cru qu'il baisait une vendeuse, mais elle revenue pour voir qui tu étais, ils sont en train de se séparer, je pense que si tu avais été une femme, il aurait pu rattraper le truc, mais un mec, elle a pas supporté!".
"Je suis désolé pour lui, mais en même temps, c'est bien fait pour lui, par sa faute, j'ai eu du mal à me séparer d'un couple vicelard qui venait m'obliger à faire des trucs avec eux, en plus avec ses godes, c'est pour ça que je lui ai demandé de les récupérer.
"Je pense que tu le reverras plus, il se contente du cinéma porno et du Sex-Shop, en faisant gaffe à ne pas être suivi!".
"Bon, on est arrivé, merci Patrick, t'es un super mec, une grosse salope, mais un super mec aussi! Bisous!".
"Ouais, bisous salope, on se revoit bientôt!".
"Bisous, enfoirés!".
Je ferme la porte du véhicule et rentre me doucher en me masturbant longuement, plein de souvenirs pervers.
Ma femme rentrera pour le diner, un bon poulet au vin blanc, je regarde si elle a des traces de baise, mais il semble que cette fois, elle disait la vérité, elle était bien chez une amie, puisqu'elle me raconte sa journée, un peu ennuyeuse.
"Et toi, qu'est-ce que t'as fait?".
"Bof, j'ai regardé la télé!".
"Ah bon, j'ai appelé, ça répondait pas!".
"Je dormais!".
"OK! désolée".
"Pas grave!".