Une femme n'oublie jamais ...
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 850 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.1
- • L'ensemble des récits érotiques de Georges ont reçu un total de 13 735 041 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2014 dans la catégorie Pour la première fois
Cette histoire de sexe a été affichée 13 293 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Une femme n'oublie jamais ...
Avec Angélique nous nous somment connus à la fac, elle n’était plus vierge depuis peu et m’a confié le nom de son amant d’un soir qui lui a pris sa virginité, quasiment sans son consentement, lors d’une soirée trop arrosée entre étudiants, son cerveau étant embrumé par l’alcool elle s’est laissée faire par ce mec ainsi que trois autres de ses copines a la suite
Un garçon avec qui elle n’a plus entretenu de relations, même amicale, mais elle a ajouté qu’elle avait ressenti beaucoup de plaisir, et ce, parce que sa verge lui avait comblée la chatte, autrement dit, il devait être bien pourvu, cet aveu nous a libérés et a permis que certains soirs nous nous confions nos fantasmes les plus fous, apparemment elle est ouverte a tout, cette histoire m’a beaucoup marqué
Un soir, nous étions nus, en pleins préliminaires, je lui ai avoué par bribes, le fantasme qui me tenait le plus à cœur
- Angélique chérie ….
- Oui mon amour ?
- J’aimerais te voir avec un autre homme …
- Pour quoi faire Adam ?
- Pour baiser pardi !
- Baiser avec un inconnu ? …tu es sérieux ?
- On ne peut pas plus
- Et tu vois ça comment ?
- Cela veut dire que tu ne serais pas contre ?
- Je peux prêter mon corps si tu le désire, mais pas mon cœur, il t’est acquis a jamais
- Je le vois comme ça mon amour…
- Et …. Ce serait avec qui ?
- Il ne t’est pas inconnu, c’est Benoit …..
- BENOIT ?? celui qui m’a dépucelée ? tu es fou ?
- Pourquoi pas ?
- J’aurais trop honte de le solliciter…
- Cette fois, ce sera lui notre jouet, tu m’as bien dit qu’il t’avait fait du bien, non ?
- Oui, c’est vrai, j’ai jouis en deux minutes
- Grâce à quoi a tu joui ? son savoir faire ?
- ….. Grâce à sa queue …..j’étais saoule mais je me souviens d’une sorte de grosse peluche qui m’a recouverte et de la grosseur du sexe qui m’a rapidement forcée la vulve encore en sommeil….j’ai cru qu’il allait me déchirer la chatte en même temps que l’hymen, je ne sais pas combien de fois il a dégorgé en quelques minutes, son sperme fuyait de mon vagin tellement j’étais aspergée intérieurement, et j’y suis passée après mes amies c’est pour te dire sa réserve !
- C’est bien pour ça que je veux revoir cette scène en réel
- Si je jouis comme une folle sous tes yeux, tu ne seras pas froissé ?
- Je ne peux pas le jurer, mais j‘en prend le risque
- Alors ça se fera ici, dans notre petit deux pièces, je serais plus a l’aise, et tu te débrouille de tout Adam
- D’accord !!!!
Nous avons fait l’amour, mais je suis certain que sa pensée allait vers ‘ce benoit’ quand je la pilonnais de toute mes forces et qu’un orgasme inhabituel l’a terrassée
Ne me demandez pas comment j’ai réussis à bredouiller les mots qui ont décidé ce benoit effectivement très poilu à accepter, c’est a peine s’il se souvient d’Angélique, pour lui c’est juste tirer un coup sans avoir à chercher une bonne poire ! Ceci me rassure pour la suite, car il est plutôt beau gosse, sûr de lui, avec un cou de taureau comme il possède la virilité lui sort par tous les pores de la peau, ce doit être une bête de sexe ce mec
- C’est pour samedi soir chérie…
- Bien…
- Surtout, tu joue bien le jeu de la femme qui ne connait pas grand-chose en matière de sexe je veux que ce soit réussi
- Pas de problème, après quelques verres je jouerais parfaitement l’ingénue effarouchée
Angélique a revêtue pour ‘l’occasion’ une robe coure et légère qui moule son corps comme une seconde peau, je n’ai pas le droit de vérifier ce qu’elle porte dessous, en tout cas le soutient gorge ne fait pas partie de la panoplie car les tétons ne demandent qu’a percer le tissu, elle est très nerveuse a l’approche de l’heure fatidique, je ne suis pas sur que ça lui déplaise autant qu’elle veut le faire croire …
Je reçois Benoit tandis qu’angélique fait une dernière retouche a son maquillage, je le fait assoir sur le bord du lit et j’en profite pour lui exposer nos désirs en buvant le premier verre de la soirée
- Comme je t’ai dis, je ne me souviens plus beaucoup de ta copine, je la croiserais dans la rue que je ne la reconnaitrais pas
- Ça va te revenir lorsqu’elle va entrer, elle est sublime et très sexy, tiens la voilà …
- On papote derrière mon dos messieurs ?
- Nous parlions de ta beauté chérie
- C’est vrai que tu es ravissante, pardonne moi pour ce fameux soir, nous étions tous un peu ivre, je te reconnais bien maintenant ! tu ne m’en veux pas trop ?
- T’en vouloir ? je suis plus fautive que toi et puis cela m’a permis de découvrir que j’aimais le sexe, et Adam est très doué !
Assise entre nous deux, je pose une main sur son genou, largement découvert, au lieu de les resserrer elle en colle contre le mien et l’autre contre celui de Benoit, de ce fait ses cuisses s’ouvrent, sa robe remonte, sans hésiter benoit passe une main entre les cuisses offertes, a voir la robe bouger a l’entre cuisses, il doit chercher a insinuer des doigts dans la culotte , angélique me fixe afin de lire dans mon regard, soudain sa bouche s’ouvre, elle se mord la lèvre inférieure et ferme les yeux, j’en conclue qu’il vient d’enfoncer un, ou des doigts dans la vulve surement mouillée
Je fais glisser le haut de la robe à large encolure sur les frêles épaules, elle dégage ses bras l’un après l’autre afin de dénuder sa poitrine, puis, elle se laisse tomber sur le lit, je me penche et prend un téton déjà dur entre mes lèvres, benoit se saisit de l’autre, angélique nous attrapent par le cou afin de nous maintenir sur ses seins, elle ronronne comme une chatte en chaleur
Des clapotis de plus en plus sonores se font entendre, aucun doute sur l’état avancé de son excitation, la petite main de ma copine ne cherche à déboucler la ceinture du pantalon pour dégager la queue prisonnière, je vais enfin savoir a quoi ressemble cette verge
Une sorte de gros ergot poilu dont la forme fait penser a une corne de rhinocéros posée sur son pubis, une arme redoutable, je doute qu’une femme résiste a la jouissance une fois bien emmanchée
La main d’angélique agrippée à la queue parait minuscule, un coup de rein, tout en souplesse, elle se relève et tire sur les jambières afin de mettre le bas du corps de l’homme nu, puis a genoux, puis elle se penche sur le membre, avant de l’emboucher elle l’examine sous tous les angles, ce doit être la première fois qu’elle le voit réellement, le fameux soir il n’a fait que lui perforer la chatte sans préliminaires
Dans la manœuvre Benoit a dût retirer sa main de la culotte, seul a rester assis, je finis de faire descendre la robe au fond trempé sur ses chevilles et passe a mon tour une main entre les fesses, le string mouillé est a moitié entré dans la vulve, je reprends la masturbation vaginale tandis qu’elle s’applique à sucer le gland décalotté, la moule se resserre sur mes doigts, elle continue a lâcher sa cyprine gluante, soudain l’homme se manifeste en râlant bruyamment, le sperme coule aux commissures des lèvres d’angélique qui s’évertue a en boire le plus possible, mais il se dégage de l’emprise féminine et quitte se derniers vêtements, ce n’est pas un homme .. C’est un ours ! Le crin lui recouvre les épaules, le dos et lui bouche même la raie des fesses
- Adam, retire son slip, je n’en peux plus, je vais la baiser ….
- Oui benoit …n’oublie pas, je veux tout voir…
J’essaie de deviner ses intentions, va-elle s’empaler sur la biroute poilue ? Dans ce cas je vais être aux premières loges pour assister à l’intromission de la colonne de chair, mais ce n’est pas ce scénario qui se prépare, il retourne angélique sur le dos comme une crêpe et avec ses genoux l’oblige à s’écarteler
Comme un athlète qui va faire une série de pompes, en appuis sur ses poings et sur les orteils, il guide son bout tressautant, encore baveux, sur la fissure poisseuse
- Chéri ? Tu es là ? Il va me baiser, ne m’en veux pas si je crie
- Du moment que ce n’est pas de douleur …..
- Je vais lui chignoler le vagin à cette petite salope ! regarde bien Adam, ça va aller vite ….
Le gland écarlate ondule devant la moule entrebâillée, guette le moment ou sa queue sera face au trou a bite, angélique se tient des deux mains a la crinière du dos, elle appréhende le choc …
- HHHOOOOOOOUUUUUAAAAAAAAAOUUUUUUUUUUIIIIIIIII ! ENCORE !!
A la vitesse d’un reptile qui se jette sur sa proie la queue vient de disparaitre en une seule poussée, ma copine enserre les reins de son amant avec ses talons au cas où il voudrait se retirer, Benoit hurle de douleur car dix ongles acérés viennent de se planter dans ses omoplates, du sang perle sous les doigts
- Petite conne tu me fais mal ! tu vas me le payer !
- Baise-moi ! baise-moi !!
Il retire lentement son membre mouillé jusqu'au gland et le replante aussi sèchement dans le calice désormais ouvert, et c’est le pilonnage, a la vitesse d’une machine à coudre la biroute défonce littéralement angélique qui geint dans une mélopée ininterrompue, une crème se forme a la base de la queue et sur les lèvres difformes, soudain Benoit interrompt un bref instant sa chevauchée et émet un bref : ‘ho-ha- ho- haaaaaa’, un ruissellement épais suinte de la moule, ma copine en extase ne peut contrôler un orgasme qui secoue tout son être, et c’est reparti ! elle s’accroche a son amant comme un coquillage a son rocher , ballotée d’avant en arrière, les seins tournoyants, en sueur de la tête aux pieds , elle donne des coups de reins comme s’il n’allait pas assez vite, les pubis s’entrechoques bruyamment
Je viens moi aussi de décharger au creux de ma main quand Benoit émet une nouvelle fois des symptômes d’éjaculation auxquels sa maitresse répond par un hurlement caractéristique… et de deux !
Comment a-t-il fait ? Angélique se retrouve à genoux la tête dans le drap, sans que la bite ne soit sortie du trou qui ressemble à tout sauf à un vagin, on dirait la gueule d’un animal qui vient de bouffer un yaourt !
Cette fois elle déguste ! On dit que par derrière l’homme gagne deux centimètres ! C’est ceux qui la font chavirer dans l’hystérie, elle ‘aboie’ des mots incompréhensibles a consonance pornographique, le long de ses cuisses c’est un torrent visqueux, Benoit, les poils du torse collés par la sueur reste stoïque et martèle la chatte tel un métronome, c’est une vraie machine à baiser cet homme ! un gode humain branché sur le deux cent vingt volts !
Pour la troisième fois il vient d’expédier une bonne dose de foutre dans le ventre de ma chérie, sans pour cela mettre un terme a la saillie, ma queue me fait si mal que je n’ose plus la toucher, je deviens jaloux, elle fait comme si je n’existais pas, seul la queue qui la ramone occupe son esprit, du coup je veux qu’il lui fasse mal ….
- Encule là …
- Tu veux que je lui défonce le cul ?
- Oui !
- Comme tu veux, prend de la sauce entre ses cuisses et tartine lui le fion
J’enduis la rondelle qui palpite sous mes doigts, j’en enfonce même deux sans que cela ne la dérange …au moment ou je les retire, avant que la cavité ne se referme Benoit change de trou, angélique se cabre,…
- OOOOOUUUUUUIIIIII…… !!!!!! Enfin ! Je n’attendais que ça !! Bourre-moi le cul Benoit, j’adore ta queue, je pense souvent au soir ou tu m’as dépucelée ….
- Je reviendrais te bourriquer salope …
En fait de ‘souffrance ‘ elle jouit sans discontinuer…suite à cette soirée Benoit vient deux fois par mois, en ma présence ou non, baiser ma copine jusqu'à l’évanouissement
Un garçon avec qui elle n’a plus entretenu de relations, même amicale, mais elle a ajouté qu’elle avait ressenti beaucoup de plaisir, et ce, parce que sa verge lui avait comblée la chatte, autrement dit, il devait être bien pourvu, cet aveu nous a libérés et a permis que certains soirs nous nous confions nos fantasmes les plus fous, apparemment elle est ouverte a tout, cette histoire m’a beaucoup marqué
Un soir, nous étions nus, en pleins préliminaires, je lui ai avoué par bribes, le fantasme qui me tenait le plus à cœur
- Angélique chérie ….
- Oui mon amour ?
- J’aimerais te voir avec un autre homme …
- Pour quoi faire Adam ?
- Pour baiser pardi !
- Baiser avec un inconnu ? …tu es sérieux ?
- On ne peut pas plus
- Et tu vois ça comment ?
- Cela veut dire que tu ne serais pas contre ?
- Je peux prêter mon corps si tu le désire, mais pas mon cœur, il t’est acquis a jamais
- Je le vois comme ça mon amour…
- Et …. Ce serait avec qui ?
- Il ne t’est pas inconnu, c’est Benoit …..
- BENOIT ?? celui qui m’a dépucelée ? tu es fou ?
- Pourquoi pas ?
- J’aurais trop honte de le solliciter…
- Cette fois, ce sera lui notre jouet, tu m’as bien dit qu’il t’avait fait du bien, non ?
- Oui, c’est vrai, j’ai jouis en deux minutes
- Grâce à quoi a tu joui ? son savoir faire ?
- ….. Grâce à sa queue …..j’étais saoule mais je me souviens d’une sorte de grosse peluche qui m’a recouverte et de la grosseur du sexe qui m’a rapidement forcée la vulve encore en sommeil….j’ai cru qu’il allait me déchirer la chatte en même temps que l’hymen, je ne sais pas combien de fois il a dégorgé en quelques minutes, son sperme fuyait de mon vagin tellement j’étais aspergée intérieurement, et j’y suis passée après mes amies c’est pour te dire sa réserve !
- C’est bien pour ça que je veux revoir cette scène en réel
- Si je jouis comme une folle sous tes yeux, tu ne seras pas froissé ?
- Je ne peux pas le jurer, mais j‘en prend le risque
- Alors ça se fera ici, dans notre petit deux pièces, je serais plus a l’aise, et tu te débrouille de tout Adam
- D’accord !!!!
Nous avons fait l’amour, mais je suis certain que sa pensée allait vers ‘ce benoit’ quand je la pilonnais de toute mes forces et qu’un orgasme inhabituel l’a terrassée
Ne me demandez pas comment j’ai réussis à bredouiller les mots qui ont décidé ce benoit effectivement très poilu à accepter, c’est a peine s’il se souvient d’Angélique, pour lui c’est juste tirer un coup sans avoir à chercher une bonne poire ! Ceci me rassure pour la suite, car il est plutôt beau gosse, sûr de lui, avec un cou de taureau comme il possède la virilité lui sort par tous les pores de la peau, ce doit être une bête de sexe ce mec
- C’est pour samedi soir chérie…
- Bien…
- Surtout, tu joue bien le jeu de la femme qui ne connait pas grand-chose en matière de sexe je veux que ce soit réussi
- Pas de problème, après quelques verres je jouerais parfaitement l’ingénue effarouchée
Angélique a revêtue pour ‘l’occasion’ une robe coure et légère qui moule son corps comme une seconde peau, je n’ai pas le droit de vérifier ce qu’elle porte dessous, en tout cas le soutient gorge ne fait pas partie de la panoplie car les tétons ne demandent qu’a percer le tissu, elle est très nerveuse a l’approche de l’heure fatidique, je ne suis pas sur que ça lui déplaise autant qu’elle veut le faire croire …
Je reçois Benoit tandis qu’angélique fait une dernière retouche a son maquillage, je le fait assoir sur le bord du lit et j’en profite pour lui exposer nos désirs en buvant le premier verre de la soirée
- Comme je t’ai dis, je ne me souviens plus beaucoup de ta copine, je la croiserais dans la rue que je ne la reconnaitrais pas
- Ça va te revenir lorsqu’elle va entrer, elle est sublime et très sexy, tiens la voilà …
- On papote derrière mon dos messieurs ?
- Nous parlions de ta beauté chérie
- C’est vrai que tu es ravissante, pardonne moi pour ce fameux soir, nous étions tous un peu ivre, je te reconnais bien maintenant ! tu ne m’en veux pas trop ?
- T’en vouloir ? je suis plus fautive que toi et puis cela m’a permis de découvrir que j’aimais le sexe, et Adam est très doué !
Assise entre nous deux, je pose une main sur son genou, largement découvert, au lieu de les resserrer elle en colle contre le mien et l’autre contre celui de Benoit, de ce fait ses cuisses s’ouvrent, sa robe remonte, sans hésiter benoit passe une main entre les cuisses offertes, a voir la robe bouger a l’entre cuisses, il doit chercher a insinuer des doigts dans la culotte , angélique me fixe afin de lire dans mon regard, soudain sa bouche s’ouvre, elle se mord la lèvre inférieure et ferme les yeux, j’en conclue qu’il vient d’enfoncer un, ou des doigts dans la vulve surement mouillée
Je fais glisser le haut de la robe à large encolure sur les frêles épaules, elle dégage ses bras l’un après l’autre afin de dénuder sa poitrine, puis, elle se laisse tomber sur le lit, je me penche et prend un téton déjà dur entre mes lèvres, benoit se saisit de l’autre, angélique nous attrapent par le cou afin de nous maintenir sur ses seins, elle ronronne comme une chatte en chaleur
Des clapotis de plus en plus sonores se font entendre, aucun doute sur l’état avancé de son excitation, la petite main de ma copine ne cherche à déboucler la ceinture du pantalon pour dégager la queue prisonnière, je vais enfin savoir a quoi ressemble cette verge
Une sorte de gros ergot poilu dont la forme fait penser a une corne de rhinocéros posée sur son pubis, une arme redoutable, je doute qu’une femme résiste a la jouissance une fois bien emmanchée
La main d’angélique agrippée à la queue parait minuscule, un coup de rein, tout en souplesse, elle se relève et tire sur les jambières afin de mettre le bas du corps de l’homme nu, puis a genoux, puis elle se penche sur le membre, avant de l’emboucher elle l’examine sous tous les angles, ce doit être la première fois qu’elle le voit réellement, le fameux soir il n’a fait que lui perforer la chatte sans préliminaires
Dans la manœuvre Benoit a dût retirer sa main de la culotte, seul a rester assis, je finis de faire descendre la robe au fond trempé sur ses chevilles et passe a mon tour une main entre les fesses, le string mouillé est a moitié entré dans la vulve, je reprends la masturbation vaginale tandis qu’elle s’applique à sucer le gland décalotté, la moule se resserre sur mes doigts, elle continue a lâcher sa cyprine gluante, soudain l’homme se manifeste en râlant bruyamment, le sperme coule aux commissures des lèvres d’angélique qui s’évertue a en boire le plus possible, mais il se dégage de l’emprise féminine et quitte se derniers vêtements, ce n’est pas un homme .. C’est un ours ! Le crin lui recouvre les épaules, le dos et lui bouche même la raie des fesses
- Adam, retire son slip, je n’en peux plus, je vais la baiser ….
- Oui benoit …n’oublie pas, je veux tout voir…
J’essaie de deviner ses intentions, va-elle s’empaler sur la biroute poilue ? Dans ce cas je vais être aux premières loges pour assister à l’intromission de la colonne de chair, mais ce n’est pas ce scénario qui se prépare, il retourne angélique sur le dos comme une crêpe et avec ses genoux l’oblige à s’écarteler
Comme un athlète qui va faire une série de pompes, en appuis sur ses poings et sur les orteils, il guide son bout tressautant, encore baveux, sur la fissure poisseuse
- Chéri ? Tu es là ? Il va me baiser, ne m’en veux pas si je crie
- Du moment que ce n’est pas de douleur …..
- Je vais lui chignoler le vagin à cette petite salope ! regarde bien Adam, ça va aller vite ….
Le gland écarlate ondule devant la moule entrebâillée, guette le moment ou sa queue sera face au trou a bite, angélique se tient des deux mains a la crinière du dos, elle appréhende le choc …
- HHHOOOOOOOUUUUUAAAAAAAAAOUUUUUUUUUUIIIIIIIII ! ENCORE !!
A la vitesse d’un reptile qui se jette sur sa proie la queue vient de disparaitre en une seule poussée, ma copine enserre les reins de son amant avec ses talons au cas où il voudrait se retirer, Benoit hurle de douleur car dix ongles acérés viennent de se planter dans ses omoplates, du sang perle sous les doigts
- Petite conne tu me fais mal ! tu vas me le payer !
- Baise-moi ! baise-moi !!
Il retire lentement son membre mouillé jusqu'au gland et le replante aussi sèchement dans le calice désormais ouvert, et c’est le pilonnage, a la vitesse d’une machine à coudre la biroute défonce littéralement angélique qui geint dans une mélopée ininterrompue, une crème se forme a la base de la queue et sur les lèvres difformes, soudain Benoit interrompt un bref instant sa chevauchée et émet un bref : ‘ho-ha- ho- haaaaaa’, un ruissellement épais suinte de la moule, ma copine en extase ne peut contrôler un orgasme qui secoue tout son être, et c’est reparti ! elle s’accroche a son amant comme un coquillage a son rocher , ballotée d’avant en arrière, les seins tournoyants, en sueur de la tête aux pieds , elle donne des coups de reins comme s’il n’allait pas assez vite, les pubis s’entrechoques bruyamment
Je viens moi aussi de décharger au creux de ma main quand Benoit émet une nouvelle fois des symptômes d’éjaculation auxquels sa maitresse répond par un hurlement caractéristique… et de deux !
Comment a-t-il fait ? Angélique se retrouve à genoux la tête dans le drap, sans que la bite ne soit sortie du trou qui ressemble à tout sauf à un vagin, on dirait la gueule d’un animal qui vient de bouffer un yaourt !
Cette fois elle déguste ! On dit que par derrière l’homme gagne deux centimètres ! C’est ceux qui la font chavirer dans l’hystérie, elle ‘aboie’ des mots incompréhensibles a consonance pornographique, le long de ses cuisses c’est un torrent visqueux, Benoit, les poils du torse collés par la sueur reste stoïque et martèle la chatte tel un métronome, c’est une vraie machine à baiser cet homme ! un gode humain branché sur le deux cent vingt volts !
Pour la troisième fois il vient d’expédier une bonne dose de foutre dans le ventre de ma chérie, sans pour cela mettre un terme a la saillie, ma queue me fait si mal que je n’ose plus la toucher, je deviens jaloux, elle fait comme si je n’existais pas, seul la queue qui la ramone occupe son esprit, du coup je veux qu’il lui fasse mal ….
- Encule là …
- Tu veux que je lui défonce le cul ?
- Oui !
- Comme tu veux, prend de la sauce entre ses cuisses et tartine lui le fion
J’enduis la rondelle qui palpite sous mes doigts, j’en enfonce même deux sans que cela ne la dérange …au moment ou je les retire, avant que la cavité ne se referme Benoit change de trou, angélique se cabre,…
- OOOOOUUUUUUIIIIII…… !!!!!! Enfin ! Je n’attendais que ça !! Bourre-moi le cul Benoit, j’adore ta queue, je pense souvent au soir ou tu m’as dépucelée ….
- Je reviendrais te bourriquer salope …
En fait de ‘souffrance ‘ elle jouit sans discontinuer…suite à cette soirée Benoit vient deux fois par mois, en ma présence ou non, baiser ma copine jusqu'à l’évanouissement
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Georges
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bon. Excitant!!!