Une maison d'ôtes bien garnie. 3ème partie.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une maison d'ôtes bien garnie. 3ème partie.
(Nota… certains pourront trouver que cet épisode tourne court… Hélas, l’antillaise qui devait m’aider pour les dialogue en créole m’a laissé en plan après le premier volet…)
Lorsque je me suis réveillé après presque 24 heures de sommeil, je me sentais tout ragaillardi.
Je me sentais en pleine forme et comme pratiquement tous les matins, cela se manifestait par une bandaison naissante qui soulevait le drap…
J’avais faim et le plateau du petit déjeuner que m’apportait une des pensionnaires de Dame Ernestine avait de quoi me rassasier… mais ce qui m’a le plus intéressé (je suis incorrigible…) c’est cette jeune femme qui portait le plateau et qu’elle a posé sur une petite table près de la fenêtre.
Elle m’a semblée très jeune, une véritable reine de Saba… avec déjà des formes pleines… une poitrine juvénile déjà bien formée prise dans le haut du paréo, une taille souple et fine et des fesses faites au moule sous la cambrure qu’elle semblait accentuer volontairement lorsqu’elle me tourna le dos brièvement…
Elle avait la tête rasée… de grands yeux marron en amande, le nez un peu épaté et des lèvres ourlées qui lui faisaient une bouche très sensuelle.
Décidément les petites pensionnaires de Dame Ernestine étaient toutes très jolies et je comprenais maintenant ce qu’Isabelle voulait dire… En fait, ces jeunes femmes étaient là pour satisfaire la libido des clients de la maison d’hôtes.
C’était une sorte de lupanar qui ne voulait pas dire son nom !
Lorsque la fille se retourna vers moi, elle remarqua aussitôt la bosse sous le drap.
• Monsieur, je suis là pour vous servir en tout ce que vous voulez… et je vois ce que vous voulez !
• Et je veux quoi ?
• Mais que je soulage ce qui pointe sous le drap !
• N’es-tu pas trop jeune pour un homme comme moi ?
• Mais… j’ai plus de 18 ans…
Cette fille avait presque le tiers de mon âge et elle s’offrait, d’une manière totalement impudique, de me soulager…
• Bien… montre moi ce que tu sais faire !
Elle s’est approchée et a rejeté le drap au pied du lit…
Comme d’habitude, je m’étais couché nu et mon sexe pointait allégrement au dessus de mon pubis.
La demoiselle m’a enjambé, un peu comme si elle enfourchait un cheval et, dans un mouvement souple elle a ôté son paréo pour m’apparaître dans la splendeur de sa nudité… totale puisque son pubis était aussi rasé que sa tête !
Elle s’installa à califourchon, écrasant mon sexe contre le sien. Face à moi, elle a fait glisser mon sexe sur le devant du sien et a entrepris une danse lubrique, faisant aller et venir ma bite entre ses lèvres intimes que je sentais de plus en plus humides…
Elle allait d’avant en arrière pour me masturber d’une manière savante que je ne connaissais pas !
Ses seins bien fermes dansaient devant moi et je n’ai pas manqué d’aller titiller les tétons à peine marqués du bout de mes doigts…
Cette danse lubrique me mettait en joie… Peut-être n’avait-elle pas envie d’une pénétration… une masturbation mutuelle suffisait peut-être et moi, je sentais la sève monter… et comme je n’étais pas couvert, je n’allais pas tarder à me répandre sur mon ventre…
Ce que je ne tardai pas à faire alors que ma compagne poussait un feulement rauque au moment où elle aussi jouissait !
J’avais le bas du ventre maculé de traces de sperme qu’elle s’est empressée d’éponger avec une serviette prise dans le cabinet de toilette.
Puis elle a pris congé sur un sonore :
• Bonne journée Monsieur…
Je n’en revenais pas…
J’avais été accueilli dans la maison de Dame Augustine par une jeune antillaise qui semblait ne pas avoir froid aux yeux…
Le lendemain matin, Maeva m’avait procuré un massage savant qui s’était achevé par une fellation non moins savante…
Le soir même, j’avais fait l’amour et sodomisé ma belle hôtesse de l’air et là, dès mon réveil, je déchargeais à nouveau sous la caresse savante de la jeune fille qui venait m’apporter mon plateau de petit déjeuner !
Si cela continuait, j’allais rentrer en Métropole plus fatigué qu’à mon arrivée…
Mais on ne vit qu’une fois !
Chaque soir passé à la maison de Dame Augustine, une de ses pensionnaires venait me tenir compagnie pour la nuit…
Elles étaient toutes jeunes, belles, d’origines diverses et très douées pour toutes les choses du sexe…
Quant à Isabelle, son planning de vol n’a plus permis de rencontres… Elle n’était même pas sur mon vol de retour vers la Métropole… et devait voguer vers d’autres cieux et d’autres lits.
Lorsque je me suis réveillé après presque 24 heures de sommeil, je me sentais tout ragaillardi.
Je me sentais en pleine forme et comme pratiquement tous les matins, cela se manifestait par une bandaison naissante qui soulevait le drap…
J’avais faim et le plateau du petit déjeuner que m’apportait une des pensionnaires de Dame Ernestine avait de quoi me rassasier… mais ce qui m’a le plus intéressé (je suis incorrigible…) c’est cette jeune femme qui portait le plateau et qu’elle a posé sur une petite table près de la fenêtre.
Elle m’a semblée très jeune, une véritable reine de Saba… avec déjà des formes pleines… une poitrine juvénile déjà bien formée prise dans le haut du paréo, une taille souple et fine et des fesses faites au moule sous la cambrure qu’elle semblait accentuer volontairement lorsqu’elle me tourna le dos brièvement…
Elle avait la tête rasée… de grands yeux marron en amande, le nez un peu épaté et des lèvres ourlées qui lui faisaient une bouche très sensuelle.
Décidément les petites pensionnaires de Dame Ernestine étaient toutes très jolies et je comprenais maintenant ce qu’Isabelle voulait dire… En fait, ces jeunes femmes étaient là pour satisfaire la libido des clients de la maison d’hôtes.
C’était une sorte de lupanar qui ne voulait pas dire son nom !
Lorsque la fille se retourna vers moi, elle remarqua aussitôt la bosse sous le drap.
• Monsieur, je suis là pour vous servir en tout ce que vous voulez… et je vois ce que vous voulez !
• Et je veux quoi ?
• Mais que je soulage ce qui pointe sous le drap !
• N’es-tu pas trop jeune pour un homme comme moi ?
• Mais… j’ai plus de 18 ans…
Cette fille avait presque le tiers de mon âge et elle s’offrait, d’une manière totalement impudique, de me soulager…
• Bien… montre moi ce que tu sais faire !
Elle s’est approchée et a rejeté le drap au pied du lit…
Comme d’habitude, je m’étais couché nu et mon sexe pointait allégrement au dessus de mon pubis.
La demoiselle m’a enjambé, un peu comme si elle enfourchait un cheval et, dans un mouvement souple elle a ôté son paréo pour m’apparaître dans la splendeur de sa nudité… totale puisque son pubis était aussi rasé que sa tête !
Elle s’installa à califourchon, écrasant mon sexe contre le sien. Face à moi, elle a fait glisser mon sexe sur le devant du sien et a entrepris une danse lubrique, faisant aller et venir ma bite entre ses lèvres intimes que je sentais de plus en plus humides…
Elle allait d’avant en arrière pour me masturber d’une manière savante que je ne connaissais pas !
Ses seins bien fermes dansaient devant moi et je n’ai pas manqué d’aller titiller les tétons à peine marqués du bout de mes doigts…
Cette danse lubrique me mettait en joie… Peut-être n’avait-elle pas envie d’une pénétration… une masturbation mutuelle suffisait peut-être et moi, je sentais la sève monter… et comme je n’étais pas couvert, je n’allais pas tarder à me répandre sur mon ventre…
Ce que je ne tardai pas à faire alors que ma compagne poussait un feulement rauque au moment où elle aussi jouissait !
J’avais le bas du ventre maculé de traces de sperme qu’elle s’est empressée d’éponger avec une serviette prise dans le cabinet de toilette.
Puis elle a pris congé sur un sonore :
• Bonne journée Monsieur…
Je n’en revenais pas…
J’avais été accueilli dans la maison de Dame Augustine par une jeune antillaise qui semblait ne pas avoir froid aux yeux…
Le lendemain matin, Maeva m’avait procuré un massage savant qui s’était achevé par une fellation non moins savante…
Le soir même, j’avais fait l’amour et sodomisé ma belle hôtesse de l’air et là, dès mon réveil, je déchargeais à nouveau sous la caresse savante de la jeune fille qui venait m’apporter mon plateau de petit déjeuner !
Si cela continuait, j’allais rentrer en Métropole plus fatigué qu’à mon arrivée…
Mais on ne vit qu’une fois !
Chaque soir passé à la maison de Dame Augustine, une de ses pensionnaires venait me tenir compagnie pour la nuit…
Elles étaient toutes jeunes, belles, d’origines diverses et très douées pour toutes les choses du sexe…
Quant à Isabelle, son planning de vol n’a plus permis de rencontres… Elle n’était même pas sur mon vol de retour vers la Métropole… et devait voguer vers d’autres cieux et d’autres lits.
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