Une 'occasion' pas chère
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une 'occasion' pas chère
- Beau-papa ? Vous pourriez m’emmener voir la voiture d’occasion que j’ai vue sur le journal ?
- Comme c’est moi qui fais l’avance je préfère voir ce a quoi tu vas t’engager- Ho, cinq milles euros ce n’est pas cher, et puis c’est un vieux garçon qui la vend, elle est bien entretenue et a peu de kilomètre- Cinq milles euros c’est une somme, surtout a vingt ans et que l’ont vient de se marier- Alors on y va ? chouette !
Le temps de prévenir mon mari et nous voilà partis, en cours de route mon beau père me détaille comme si c’était la première fois qu’il me voyait, machinalement je regarde mes cuisses … elles ne sont pas exagérément dévoilées et puis il les a déjà vues a la plage ! Et mon décolleté ? Ça va aussi, même si mon pull est moulant mes tétons ne pointent pas … alors ????
- Quelque chose vous préoccupe Bernard ?
- Je réfléchissais …tu sais que tu dois essayer de faire baisser le prix ?
- Bien sûr, mais elle parait irréprochable cette voiture - Elle est quand même un peu chère...
- Que dois-je faire ?
- Une femme a des atouts qu’un homme n’as pas … - De quoi voulez vous parler ?
- Tes cuisses par exemple, remonte un peu plus ta jupe - Quoi ?
- N’ai crainte je ne vais pas te sauter dessus je veux juste t’expliquer comment faire pour attiser le désir d’un homme et lui faire oublier l’argent- Voilà ça suffit ?
- Il faut savoir de combien tu veux faire baisser le prix …pour cinq cent euros je dois voir quasiment ta petite culotte- Ha j’ai compris ! vous voyez elle est en soie rose !
- Bien, mais tu peux faire mieux, ôte ton soutien-gorge- Maintenant ? ici ? dans ma voiture ?
- Je reste vigilant a la route et puis tes nichons je les connais … ils sont magnifiques … tes tétons valent bien cinq cent de mieux !
- Ça ne vous fait rien par rapport à votre fils ?
- Ce qu’il ne voit pas il n’en souffre pas- Et si j’allais jusqu’à le tromper ?
- Ça ne me regarde pas …moins tu auras à me rembourser mieux ça sera pour nous deux …- Reste à savoir comment est ce vieux célibataire …- Ne t’attend pas à voir le prince charmant, si c’était le cas oublie de le charmer, il a sûrement toutes les femmes qu’il veut, par contre si c’est un mec ‘aux abois’ fonce !
Je me retrouve un instant torse nu dans la voiture, sa tête reste droite mais son regard oblique vers moi, mon beau père qui m’incite à faire cocu mon mari, ont auras tout vu ! Après tout il a raison, j’ai tout de même une boule au ventre, comment vais-je m’y prendre ?
- Nous arrivons, c’est ici Bernard, la voiture et son propriétaire sont devant la maison … Pouah ! Quelle horreur ce mec bedonnant ! Par contre la bagnole me plait bien !
- Alors fait ce qu’il faut pour l’avoir au meilleur prix… fait un ourlet a ta jupe pour la remonter, bombe bien le torse... muuuummmmm ! si tu n’étais pas ma belle fille …..
- Je passerais à la casserole vieux cochon ?
A peine descendue l’homme bave en me détaillant de la tête aux pieds, il s’adresse directement à mes seins en me parlant
- Voilà la voiture mademoiselle - Pardon, madame, je suis mariée - Ça ne change rien à votre beauté, vous la payez comment ?
- Holà pas si vite je veux d’abord l’essayer, c’est votre dernier prix cinq milles ?
- Faut voir, vous venez avec nous pour les essaies monsieur ?
- Non, je reste là prenez votre temps, je vais contacter l’assurance pour pouvoir repartir avec la voiture si nous tombons d’accord- Prenez le volant madame …
Je règle le siège à ma morphologie ainsi que le rétro, mais je ne rectifie pas ma jupe outrageusement remontée, Bernard me fait un clin d’œil en levant le pouce, le vendeur s’empourpre vite et dépatte un bouton à son col de chemise, carrément tourné vers moi il laisse trainer une grosse main sur mon dossier de siège, comme le ferait un amoureux et l’autre prés du levier de vitesse ce qui fait que je l’effleure souvent, c’est le moment de me lâcher car malgré son physique ingrat ma vulve commence à s’humidifier, jamais je n’ais connu telle situation, sa laideur me rend folle ….
- Je n’y connais pas grand-chose aux femmes mais vous avez de très belles jambes madame et votre poitrine … je suppose qu’elle est libre pour pointer ainsi ?
- Je vois que je ne vous laisse pas indifférente, de combien baissez vous le prix si je vous autorise quelques ‘libertés’ sur mon corps ?
- Je casse cinquante euros sur le prix de cette voiture et je pose la main sur votre genou … - Et si je vous autorise ma poitrine aussi ?
- Cent ?
- Cinq cent et vous pouvez remonter sous mon pull- Je peux les saisir à pleine main ?
- Bien sur- Alors c’est oui, qu’ils sont doux et si fermes … je vois aussi que vous portez une adorable petite culotte rose - Vous êtes un petit curieux monsieur !
- Vous devez être excitée car elle est tachée …- C’est vous qui en êtes la cause - Cinq cent de plus et je vous touche l’entrejambe jusqu’au slip ?
- Pourquoi pas plus au centre pour mille ?
- Alors là je dis oui tout de suite, je bande comme un cerf madame, laissez moi vous toucher - Je ralentis par sécurité
Les doigts maladroits accrochent le fond de mon slip, m’arrachant quelques poils au passage et un ‘aie’ de douleur, j’écarte les genoux autant que la conduite me le permet, un doigt boudiné arrive à trouver ma faille, cette fois c’est un gémissement de plaisir qui sort de ma bouche, ce mec rondouillard me rend dingue, je suis prête a tout pour qu’il me fasse jouir très vite et ce n’est plus pour le fric
- Attendez... ? je trouve qu’elle broute votre voiture …- C’est moi qui ai envie de vous brouter, garez vous vite dans ce chemin boisé- Les sièges font couchette ?
- Bien sur, regardez … et voilà je n’ai plus qu’à m’allonger comme dans un lit - Restez ainsi, je viens sur vous
Le vendeur extrait de sa braguette une queue épaisse et violacée qu’il brandit comme un trophée
- Je vous laisse la voiture à trois milles si je vous me permettez de vous faire l’amour- Ça c’est très gentil ! j’accepte !
A peine le frein a main serré je fais voler mon pull par-dessus ma tête et retrousse ma jupe, j’enjambe le ‘monstre’ et petite culotte repoussée dans l’aine je pose ma figue sur son visage, il lape, aspire aussi discrètement qu’il doit manger sa soupe, je me pince un téton et cherche la trique a la verticale qui tape sur mon cul, ses jambes battent l’air, il me repousse brutalement
- Excusez moi je vous étouffe ?
- Non, mais si vous continuez je vais décharger dans votre main- Je vais vous la mettre au chaud ne bougez pas ….
- Je mets une capote ? avec les filles que je vais voir a la ville il en faut obligatoirement une- Surtout pas ! je tiens à sentir votre sperme gicler dans ma chatte - Vous allez être servie, je suis à jeun depuis deux mois
Les yeux fermés pour ne pas voir sa tronche je m’empale délicieusement sur ce mât de cocagne extra large, il ne me faut pas plus de deux minutes pour m’envoyer en l’air et entrainer l’homme à juter dans mon con, a peine la dernière contraction de sa bite terminée je me retire et rajuste mon slip sur ma fente, je renfile mon pull et reprend le volant car partis de puis bientôt une heure je m’inquiète de la réaction de mon beau père, a notre arrivée, a la vue de ma mine décomposée il comprend sans peine que je viens de tromper son fils mais il n’en laisse rien paraitre
- Haaaaa ! Enfin, je commençais à m’inquiéter n vous êtes tombés en panne ?
- Voulez vous bien payer trois milles euros à monsieur beau père ?
- Trois milles ? seulement ? bravo, voilà monsieur - Merci, si vous avez le moindre souci madame revenez me voir, nous nous arrangerons …- Ça m’étonnerait …je roule devant vous Bernard - Je te suis ….
Il nous faut repasser devant ce chemin ou j’ai fauté …ma chatte n’en finit pas de dégouliner si je ne fais rien pour endiguer l’hémorragie de foutre je vais tacher le siège, je mets mon clignotant et bifurque, Bernard me suis …sitôt arrêtée il vient a ma vitre
- Tu as un problème ?
- Oui, une grosse fuite …- Ha merde déjà ? retournons voir ce con- Pas la peine … c’est justement mon con qui fuit …regardez ….
- Hé ben ! tu as le cul trempé ! il s’est bien purgé le saligaud, que va-tu faire ?
- Plutôt ‘qu’allez vous faire ‘…. deux milles et vous me nettoyez tout ça avec la langue !
- Quoi ?
- Je ne vous rembourse que mille et nous somment quittes !
- Tu ne perds pas le nord toi - C’est vous qui m’avez dit qu’il fallait toujours ‘négocier’, alors ? dépêchez vous ça coule
Il ouvre ma portière et tire mes jambes en dehors, je les pose sur ses épaules, le frein a main me fait mal au cou, en grognant devant mon entrecuisse béant et odorant il ne perd pas de temps pour lécher le satin imbibé de ma petite culotte et l’intérieur de mes cuisses, une fois cela fait il se redresse et baisse pantalon et slip en même temps, j’en profite pour baisser ma culotte vers mes chevilles
- Met toi à genoux sur ton siège, les fesses bien en dehors …- Comme ça ?
- Salope de belle fille ! prend ça !
- Ha ! oui ! oui !oui !oui !
- Tu vas en prendre pour deux milles euros dans le cul espèce de catin !
- Ho oui ! dans le cul, je la veux dans le cul !
- Mille pour ta chatte et mille pour ton cul, sans compter les coups à venir dés que nous en aurons l’occasion
Bernard me pilonne la chatte dans un gargouillis immonde, l’angle de pénétration est sublime je vais à nouveau jouir en moins d’une heure avec un amant différent, une crème épaisse coule entre mes cuisses récemment léchées a grands coups de langue, voyant mon degré d’excitation monter mon beau père enfonce deux doigts dans mon rectum, c’est a peine si j’accuse le coup lorsqu’il fuse a grands jets dans mon vagin
- Jouis salope ! Pendant ce temps je vais changer de trou j’ai encore mille euros a récupérer- Vous me faites du bien Bernard, j’aime votre façon de me baiser, je pars haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahouuuuuuuuuuiille !!
Sa queue saturée de sécrétions a changé aisément de trou sans avoir le temps de débander, il me besogne longuement en claquant mes fesses puis il décharge abondement dans mon tunnel en se retirant il m’essuie délicatement afin que rien de coule sur le siège
- Mon fiston est cocu mais c’est pour la bonne cause, tu as le sens des affaires- Vous allez bientôt me devoir de l’argent ! je ne baisse pas ma culotte pour rien !
- Comme c’est moi qui fais l’avance je préfère voir ce a quoi tu vas t’engager- Ho, cinq milles euros ce n’est pas cher, et puis c’est un vieux garçon qui la vend, elle est bien entretenue et a peu de kilomètre- Cinq milles euros c’est une somme, surtout a vingt ans et que l’ont vient de se marier- Alors on y va ? chouette !
Le temps de prévenir mon mari et nous voilà partis, en cours de route mon beau père me détaille comme si c’était la première fois qu’il me voyait, machinalement je regarde mes cuisses … elles ne sont pas exagérément dévoilées et puis il les a déjà vues a la plage ! Et mon décolleté ? Ça va aussi, même si mon pull est moulant mes tétons ne pointent pas … alors ????
- Quelque chose vous préoccupe Bernard ?
- Je réfléchissais …tu sais que tu dois essayer de faire baisser le prix ?
- Bien sûr, mais elle parait irréprochable cette voiture - Elle est quand même un peu chère...
- Que dois-je faire ?
- Une femme a des atouts qu’un homme n’as pas … - De quoi voulez vous parler ?
- Tes cuisses par exemple, remonte un peu plus ta jupe - Quoi ?
- N’ai crainte je ne vais pas te sauter dessus je veux juste t’expliquer comment faire pour attiser le désir d’un homme et lui faire oublier l’argent- Voilà ça suffit ?
- Il faut savoir de combien tu veux faire baisser le prix …pour cinq cent euros je dois voir quasiment ta petite culotte- Ha j’ai compris ! vous voyez elle est en soie rose !
- Bien, mais tu peux faire mieux, ôte ton soutien-gorge- Maintenant ? ici ? dans ma voiture ?
- Je reste vigilant a la route et puis tes nichons je les connais … ils sont magnifiques … tes tétons valent bien cinq cent de mieux !
- Ça ne vous fait rien par rapport à votre fils ?
- Ce qu’il ne voit pas il n’en souffre pas- Et si j’allais jusqu’à le tromper ?
- Ça ne me regarde pas …moins tu auras à me rembourser mieux ça sera pour nous deux …- Reste à savoir comment est ce vieux célibataire …- Ne t’attend pas à voir le prince charmant, si c’était le cas oublie de le charmer, il a sûrement toutes les femmes qu’il veut, par contre si c’est un mec ‘aux abois’ fonce !
Je me retrouve un instant torse nu dans la voiture, sa tête reste droite mais son regard oblique vers moi, mon beau père qui m’incite à faire cocu mon mari, ont auras tout vu ! Après tout il a raison, j’ai tout de même une boule au ventre, comment vais-je m’y prendre ?
- Nous arrivons, c’est ici Bernard, la voiture et son propriétaire sont devant la maison … Pouah ! Quelle horreur ce mec bedonnant ! Par contre la bagnole me plait bien !
- Alors fait ce qu’il faut pour l’avoir au meilleur prix… fait un ourlet a ta jupe pour la remonter, bombe bien le torse... muuuummmmm ! si tu n’étais pas ma belle fille …..
- Je passerais à la casserole vieux cochon ?
A peine descendue l’homme bave en me détaillant de la tête aux pieds, il s’adresse directement à mes seins en me parlant
- Voilà la voiture mademoiselle - Pardon, madame, je suis mariée - Ça ne change rien à votre beauté, vous la payez comment ?
- Holà pas si vite je veux d’abord l’essayer, c’est votre dernier prix cinq milles ?
- Faut voir, vous venez avec nous pour les essaies monsieur ?
- Non, je reste là prenez votre temps, je vais contacter l’assurance pour pouvoir repartir avec la voiture si nous tombons d’accord- Prenez le volant madame …
Je règle le siège à ma morphologie ainsi que le rétro, mais je ne rectifie pas ma jupe outrageusement remontée, Bernard me fait un clin d’œil en levant le pouce, le vendeur s’empourpre vite et dépatte un bouton à son col de chemise, carrément tourné vers moi il laisse trainer une grosse main sur mon dossier de siège, comme le ferait un amoureux et l’autre prés du levier de vitesse ce qui fait que je l’effleure souvent, c’est le moment de me lâcher car malgré son physique ingrat ma vulve commence à s’humidifier, jamais je n’ais connu telle situation, sa laideur me rend folle ….
- Je n’y connais pas grand-chose aux femmes mais vous avez de très belles jambes madame et votre poitrine … je suppose qu’elle est libre pour pointer ainsi ?
- Je vois que je ne vous laisse pas indifférente, de combien baissez vous le prix si je vous autorise quelques ‘libertés’ sur mon corps ?
- Je casse cinquante euros sur le prix de cette voiture et je pose la main sur votre genou … - Et si je vous autorise ma poitrine aussi ?
- Cent ?
- Cinq cent et vous pouvez remonter sous mon pull- Je peux les saisir à pleine main ?
- Bien sur- Alors c’est oui, qu’ils sont doux et si fermes … je vois aussi que vous portez une adorable petite culotte rose - Vous êtes un petit curieux monsieur !
- Vous devez être excitée car elle est tachée …- C’est vous qui en êtes la cause - Cinq cent de plus et je vous touche l’entrejambe jusqu’au slip ?
- Pourquoi pas plus au centre pour mille ?
- Alors là je dis oui tout de suite, je bande comme un cerf madame, laissez moi vous toucher - Je ralentis par sécurité
Les doigts maladroits accrochent le fond de mon slip, m’arrachant quelques poils au passage et un ‘aie’ de douleur, j’écarte les genoux autant que la conduite me le permet, un doigt boudiné arrive à trouver ma faille, cette fois c’est un gémissement de plaisir qui sort de ma bouche, ce mec rondouillard me rend dingue, je suis prête a tout pour qu’il me fasse jouir très vite et ce n’est plus pour le fric
- Attendez... ? je trouve qu’elle broute votre voiture …- C’est moi qui ai envie de vous brouter, garez vous vite dans ce chemin boisé- Les sièges font couchette ?
- Bien sur, regardez … et voilà je n’ai plus qu’à m’allonger comme dans un lit - Restez ainsi, je viens sur vous
Le vendeur extrait de sa braguette une queue épaisse et violacée qu’il brandit comme un trophée
- Je vous laisse la voiture à trois milles si je vous me permettez de vous faire l’amour- Ça c’est très gentil ! j’accepte !
A peine le frein a main serré je fais voler mon pull par-dessus ma tête et retrousse ma jupe, j’enjambe le ‘monstre’ et petite culotte repoussée dans l’aine je pose ma figue sur son visage, il lape, aspire aussi discrètement qu’il doit manger sa soupe, je me pince un téton et cherche la trique a la verticale qui tape sur mon cul, ses jambes battent l’air, il me repousse brutalement
- Excusez moi je vous étouffe ?
- Non, mais si vous continuez je vais décharger dans votre main- Je vais vous la mettre au chaud ne bougez pas ….
- Je mets une capote ? avec les filles que je vais voir a la ville il en faut obligatoirement une- Surtout pas ! je tiens à sentir votre sperme gicler dans ma chatte - Vous allez être servie, je suis à jeun depuis deux mois
Les yeux fermés pour ne pas voir sa tronche je m’empale délicieusement sur ce mât de cocagne extra large, il ne me faut pas plus de deux minutes pour m’envoyer en l’air et entrainer l’homme à juter dans mon con, a peine la dernière contraction de sa bite terminée je me retire et rajuste mon slip sur ma fente, je renfile mon pull et reprend le volant car partis de puis bientôt une heure je m’inquiète de la réaction de mon beau père, a notre arrivée, a la vue de ma mine décomposée il comprend sans peine que je viens de tromper son fils mais il n’en laisse rien paraitre
- Haaaaa ! Enfin, je commençais à m’inquiéter n vous êtes tombés en panne ?
- Voulez vous bien payer trois milles euros à monsieur beau père ?
- Trois milles ? seulement ? bravo, voilà monsieur - Merci, si vous avez le moindre souci madame revenez me voir, nous nous arrangerons …- Ça m’étonnerait …je roule devant vous Bernard - Je te suis ….
Il nous faut repasser devant ce chemin ou j’ai fauté …ma chatte n’en finit pas de dégouliner si je ne fais rien pour endiguer l’hémorragie de foutre je vais tacher le siège, je mets mon clignotant et bifurque, Bernard me suis …sitôt arrêtée il vient a ma vitre
- Tu as un problème ?
- Oui, une grosse fuite …- Ha merde déjà ? retournons voir ce con- Pas la peine … c’est justement mon con qui fuit …regardez ….
- Hé ben ! tu as le cul trempé ! il s’est bien purgé le saligaud, que va-tu faire ?
- Plutôt ‘qu’allez vous faire ‘…. deux milles et vous me nettoyez tout ça avec la langue !
- Quoi ?
- Je ne vous rembourse que mille et nous somment quittes !
- Tu ne perds pas le nord toi - C’est vous qui m’avez dit qu’il fallait toujours ‘négocier’, alors ? dépêchez vous ça coule
Il ouvre ma portière et tire mes jambes en dehors, je les pose sur ses épaules, le frein a main me fait mal au cou, en grognant devant mon entrecuisse béant et odorant il ne perd pas de temps pour lécher le satin imbibé de ma petite culotte et l’intérieur de mes cuisses, une fois cela fait il se redresse et baisse pantalon et slip en même temps, j’en profite pour baisser ma culotte vers mes chevilles
- Met toi à genoux sur ton siège, les fesses bien en dehors …- Comme ça ?
- Salope de belle fille ! prend ça !
- Ha ! oui ! oui !oui !oui !
- Tu vas en prendre pour deux milles euros dans le cul espèce de catin !
- Ho oui ! dans le cul, je la veux dans le cul !
- Mille pour ta chatte et mille pour ton cul, sans compter les coups à venir dés que nous en aurons l’occasion
Bernard me pilonne la chatte dans un gargouillis immonde, l’angle de pénétration est sublime je vais à nouveau jouir en moins d’une heure avec un amant différent, une crème épaisse coule entre mes cuisses récemment léchées a grands coups de langue, voyant mon degré d’excitation monter mon beau père enfonce deux doigts dans mon rectum, c’est a peine si j’accuse le coup lorsqu’il fuse a grands jets dans mon vagin
- Jouis salope ! Pendant ce temps je vais changer de trou j’ai encore mille euros a récupérer- Vous me faites du bien Bernard, j’aime votre façon de me baiser, je pars haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahouuuuuuuuuuiille !!
Sa queue saturée de sécrétions a changé aisément de trou sans avoir le temps de débander, il me besogne longuement en claquant mes fesses puis il décharge abondement dans mon tunnel en se retirant il m’essuie délicatement afin que rien de coule sur le siège
- Mon fiston est cocu mais c’est pour la bonne cause, tu as le sens des affaires- Vous allez bientôt me devoir de l’argent ! je ne baisse pas ma culotte pour rien !
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