Une soirée d'orgie sexuelle.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une soirée d'orgie sexuelle.
Cette histoire est une fiction écrite « à quatre mains » par deux auteurs, Miss K. et Le Matou libertin, qui ont rédigé à tour de rôle les parties féminine et masculine du récit.
CAROLINE.
Je suis une jeune femme de trente ans, ayant récemment fini mes études dentaires. Je viens de m'installer dans un cabinet avec une de mes camarades d'université. Petit à petit, nous trouvons notre clientèle et nous commençons à nous faire une jolie réputation. Je soupçonne certains hommes de ne venir nous voir que parce que nous sommes plutôt charmantes. Marielle est une belle brune pulpeuse, que quelques kilos superflus rendent appétissante. Pour ma part, je suis plutôt longiligne, blonde. Dotée d'une jolie poitrine, j'aime la mettre en valeur et m'en servir d'anesthésiant pour les patients qui ont souvent le regard posé dessus.
Marielle est mariée à un médecin qu'elle a rencontré pendant nos études. Femme fidèle, elle n'a jamais été portée sur la bagatelle. Je la soupçonne même de n'avoir aucune imagination sexuelle et préférer les relations classiques avec son mari.
Quand à moi, on peut dire que je suis sexuellement très délurée. J'ai la réputation d'être une fille facile mais je m'en moque. Oui, la plupart de mes professeurs et des étudiants ont eu les honneurs de mes faveurs. Et alors ? Il n'y a pas de mal à se faire du bien. J'aime le sexe et ne m'en cache pas. Je multiplie les conquêtes masculines, parfois féminines aussi et j'aime participer à des soirées libertines où les hommes m'utilisent à leur guise.
Il y a deux mois, lors d'une de ces soirées, j'ai rencontré un couple, Serge et Amélie. Le courant est vite passé entre nous. Charmants, j'aime la virilité de Serge qui n'hésite pas à faire de moi une vraie petite chienne et la douceur d'Amélie qui bien souvent calme, de ses caresses, le feu provoqué par la rudesse de son époux. Serge sait que j'aime que les hommes me dominent, qu'ils fassent de moi tout ce qu'ils veulent. Il ne s'en prive d'ailleurs jamais.
Il y a trois semaines, je suis allée en leur compagnie dans une soirée libertine chez un de leurs amis. Après les présentations d'usage, un convive m'a emmenée dans une chambre. Alors qu'il me prenait, il m'a attachée au lit. Les hommes et les femmes se sont alors succédé entre mes cuisses, entre mes fesses, dans ma bouche, parfois même en même temps. Je remarquais une femme assise dans un fauteuil dans un coin de la chambre. Immobile, elle m'observait sans rien dire. Il me semblait qu'elle filmait toute la scène, mais je n'en suis pas certaine. Très vite, je l'oubliais au profit du plaisir de me faire prendre. Au bout de quelques heures de ce traitement, épuisée, je prenais congé de la soirée, soutenue par Serge et Amélie. Cette superbe femme blonde ne m'a pas quittée des yeux jusqu'à ce que nous franchissions la porte de l'appartement.
LOUIS.
A bientôt quarante-cinq ans, je suis, sans vouloir me flatter, un bel homme de haute stature, mince sans être maigre mais aux épaules larges, mat de peau, j’ai les cheveux ondulés noirs. Depuis mon adolescence, j’ai toujours aimé les femmes et je ne me suis jamais privé d’en conquérir de nouvelles, pour une nuit, une semaine, un mois… jusqu’à ce que je rencontre Ingrid lors d’un diner. Quelques mois plus tard, je l’épousais par amour certes, mais aussi parce que comme moi, elle aimait le libertinage… Cela étant convenu, nous avons organisé notre vie pour satisfaire nos envies, chacun se racontant les expériences sexuelles faites hors du couple en toute confiance puisqu’il s’agissait uniquement de sexe, sans attachement sentimental.
Puis, à l’invitation d’un couple de libertins comme nous, nous avons participé à une soirée au cours de laquelle nous avons rencontré deux autres couples. Puis les choses se sont enchainées, et depuis, nous organisons Ingrid et moi, une soirée par trimestre où des couples et parfois des partenaires solitaires triés sur le volet se retrouvent pour se livrer en toute quiétude au libertinage le plus complet.
Bientôt, je vais enfin découvrir Caroline, une jeune femme qu’Ingrid, mon épouse, a rencontrée lors d’une soirée privée en compagnie de nos amis Serge et Amélie, des complices de longue date qui jouent aussi un peu les rabatteurs de nouveaux talents libertins pour agrémenter nos petites réunions coquines.
Ingrid ne cesse de me parler d'elle depuis maintenant trois semaines. Elle l'a filmée à mon intention lors d'une soirée libertine, sachant qu'elle serait à mon goût. Je l'ai vue se faire prendre par des hommes et des femmes, et y prendre énormément de plaisir. Caroline semble être une vraie assoiffée de sexe. Elle commence à m'obséder.
Je suis si impatient de baiser Caroline que c’est ma femme qui fait les frais de cette frustration. Depuis que je l’ai découverte sur l'écran, je fais subir à mon épouse mille tourments, la soumettant encore plus que je ne l’ai jamais fait en regardant la vidéo qu’elle a ramenée de sa soirée.
Il y a quelques jours, je l’ai attachée sur notre lit à baldaquin avec des liens souples. Entièrement nue, elle était à ma merci, livrée à ma concupiscence et à mes caresses. Avec un petit plumeau, je caressais ses endroits sensibles comme ses seins, son entrejambe et l’orée de son vagin. Quand je sentais son plaisir arriver, je le laissais refluer jusqu’à ce qu’elle retrouve son calme. Elle ne pouvait pas parler, me supplier d’achever ce que je faisais car elle était bâillonnée. Cette nuit là, elle est restée ainsi jusqu’au matin pendant que je regardais en boucle la vidéo où je découvrais Caroline tout en caressant mon sexe dressé comme un estoc au milieu de mon bas ventre. Lorsque j’ai délivré Ingrid au petit matin, elle s’est écriée :
• Salaud ! Tu m’as laissée sur ma faim alors que plusieurs fois j’étais sur le point de jouir sous tes caresses ! Cette garce de Caroline ne perd rien pour attendre ! Ma vengeance sera cinglante !
Ingrid et moi avons donc convaincu Serge et Amélie de convier Caroline à notre soirée trimestrielle. Je vais enfin pouvoir assouvir sur cette jeune femme mon goût pour les petites chiennes dans son genre. J’ai réellement hâte d’être à demain soir. Caroline ne sait pas ce qui l’attend ! Pour elle, ce n’est qu’une nouvelle soirée coquine, mais pour moi, c'est l'occasion d'évacuer ma frustration. De plus, j'ai bien compris qu’Ingrid veut se venger de Caroline...
CAROLINE.
Quelques semaines plus tard, je me suis retrouvée embarquée dans une soirée libertine par Serge et Amélie. C’était une soirée privée qui se déroulait dans les beaux quartiers de la capitale entre gens de bonne compagnie. Nous étions une vingtaine de personnes à peu près équitablement réparties entre les deux sexes. Dans ce grand appartement régnait une lumière atténuée qui ménageait des coins propices aux ébats les plus divers. Une douce musique permettant de danser était diffusée par une chaine stéréo, et dans un petit salon attenant à la grande pièce principale, il y avait un magnifique buffet abondamment garni de mets les plus fins et de boissons diverses. Différentes chambres étaient ouvertes, prête à accueillir des étreintes les plus folles.
Serge et Amélie qui semblaient bien connaitre le maître de maison m’ont présentée à lui à notre arrivée :
- Voici Caroline, la femme dont nous t’avons parlé. Vous verrez, je pense que vous serez satisfait de sa docilité.
Je regarde Serge avec surprise. J'ai l'impression d'être tombée dans un traquenard quand il dit à voix haute :
• Enchanté, Caroline, je suis Louis, le maître des lieux. Et voici ma femme, Ingrid.'
• De même, enchantée. Très bel appartement. J'adore.
Louis est un homme d’une quarantaine d’années, d’une haute stature, à l’allure décidée et autoritaire. Ses yeux gris lui font un regard perçant qui vous déshabille littéralement quand il se pose sur vous. Son épouse Ingrid est une suédoise d’origine, de quarante ans également. Grande blonde longiligne, devant son mari, elle semble effacée, je ne pouvais m'empêcher de penser que nous nous ressemblions toute les deux. Je faisais mine de rien, mais j'avais immédiatement reconnu la femme de Louis.
C'est elle, cette splendide créature qui m'observait l'autre soir. Que devais-je comprendre ? Amélie et Serge m'auraient-ils amenée ici dans un but précis ?
Délaissant son épouse et nos amis visiblement communs, Louis m'entraînait avec lui. Après m’avoir présentée aux convives que je ne connaissais pas encore, il m’a invitée à danser pour une série de slows. Je me suis retrouvée coincée dans ses bras puissants, littéralement collée à lui. Je sentais une des ses jambes qui cherchait à s’insinuer entre mes cuisses et contre mon bas ventre l’impérieuse pression d’un sexe de forte taille bandé à fond. Je me laissais porter par la musique et guider par mon danseur.
Plus le temps passait, plus je sentais la pression contre mon ventre. Ses mains étaient descendues à ma taille puis, l’une d’elle a remonté le bas de ma mini-robe. J’avais les fesses à l’air, simplement barrées par le cordon de mon string. J’avais l’impression que tout le monde me regardait. Mais je crois que c’était le but poursuivi, et ce n'était pas pour me déplaire. J'aime être au centre des attentions lors de ces soirées. Je sentais les regards sur mon corps, les murmures bruissant tout autour de nous. La douceur des mains de Louis, caressant mes fesses, m'électrisait et je commençais irrémédiablement à sentir mes lèvres s'ouvrir et s'humidifier. De toute manière, la soirée était lancée… Plusieurs femmes étaient déjà en soutien gorge, le chemisier ôté ou la robe rabattue…
Quand la série de slow a pris fin, Louis, le maître de maison m’a guidée vers le buffet où nous avons bu une coupe de champagne. Alors que nous finissons notre breuvage, Louis me prend soudain par le bras pour me guider vers un angle du grand salon me plaquant au mur, son corps contre le mien, il insinue sa main entre mes cuisses et la plaque sur le tissu de mon string. Il me regarde en souriant et se penche à mon oreille en me disant :
• Humm, tu mouilles déjà. Ma femme avait raison, Serge aussi. Viens ! Ce soir tu vas être MA CHIENNE !
M'attrapant de nouveau par le bras, il me guide sans ménagement à travers la salle. Quand nous arrivons près d’un fauteuil de style, il me tourne assez brusquement face à lui et dit sèchement pour que tout le monde entende :
• A genoux ! Comme la petite chienne que tu es. Désormais tu vas faire tout ce je te demanderai !
Serge s'approche de moi et souriant me dit :
• Pardon Caro, j'avais oublié de te dire. Louis adore dominer surtout lorsqu’une nouvelle fille entre dans le cercle libertin de son salon. Mais je suis sûr que ça ne te dérange pas, bien au contraire. Tu aimes ça aussi ! Donne-moi ton string que je sente ton odeur de femelle en chaleur !
Excitée par la situation, je m’empresse d’obéir en faisant glisser le mince triangle de tissu le long de mes cuisses et sous mes genoux pour le lui tendre. Après l’avoir reniflé, il le tend à Louis qui le met dans une de ses poches. J'ai très envie que cet homme me domine et fasse de moi ce qu'il veut.
• Retire mes chaussures et lèche mes pieds !
Je m'exécute immédiatement. Dés que ses pieds sont nus, je me penche au maximum et commence à embrasser et lécher sa peau. Dans cette position, ma robe très courte, remontée sur les fesses permet à tout le monde de voir ma fente et mon petit trou plissé. D’ailleurs, j’aperçois les jambes de plusieurs personnes, hommes et femmes qui s'approchent pour nous regarder en silence.
• Ça suffit ! Ouvre mon pantalon et suce-moi la bite !
Jusqu’à présent, le langage avait été plutôt mondain… mais cet ordre claque comme un coup de fouet. Je me relève et toujours sur les genoux, je fais glisser la fermeture du pantalon puis sors du slip un membre aux dimensions plus que respectables. Ce que j’avais senti lors de la danse n’était pas un mythe. J’ouvre la bouche et je gobe immédiatement le gland rouge du sang qui y bat. Mes lèvres se referment pour caresser ce gland d'une douceur incomparable. Je ne passe pas pour avoir une petite bouche, mais j’ai un peu de mal à gober ce phallus qui ne tarde pas à être triomphant, envahissant ma bouche jusqu’au fond. Je m’applique à bien le pomper mais surtout éviter de faire sentir mes dents, ce qui aurait constitué une faute impardonnable.
Ma langue palpite doucement dans ma bouche. Les gémissements que Louis laisse échapper me confirment le plaisir que je lui procure. Sortant son sexe de ma bouche et le tenant fermement en main, je le lèche, le claque sur ma langue. Je caresse les testicules qui sous mes doigts se tendent. Louis semble aux anges. Je retourne à son gland que j'avale et entame un va et vient pour faire disparaître entièrement son sexe dans ma bouche.
• Debout chienne ! Tu vas me déshabiller ! Et gare à toi si tu ne le fais pas dans le bon ordre !
L'ordre cingle toujours comme un coup de fouet, sec et impératif, dans un langage étonnant dans un milieu aussi huppé.
Je me lève. J’ôte en premier la veste, la cravate, la chemise puis je défais la ceinture du pantalon que je fais descendre jusque sur les chevilles. Me prosternant de nouveau aux pieds de Louis et relevant les yeux, je m’adresse à lui, totalement entrée dans son jeu de domination :
• Levez vos pieds Monsieur, que je puisse retirer entièrement votre pantalon.
• Appelle moi MAITRE !!! Tu es là pour me servir !!!
Louis soulève successivement ses deux pieds. Le pantalon rejoint les autres vêtements retirés que j'ai soigneusement pliés sur une chaise à portée de moi comme l'aurait fait une femme de chambre.
• Retire ta robe et ton soutif !
Je fais glisser les fines bretelles de ma robe sur mes épaules et elle tombe au sol. Passant mes mains derrière mon dos, je fais sauter l’attache et ma poitrine apparaît aux yeux de tous quand le soutien gorge s'envole. Je suis tellement excitée de ce que je suis en train de vivre que mes tétons sont dardés au milieu de mes aréoles bistre. Je sens une chaleur sourde dans mon ventre et j’ai l’impression que ma chatte dégouline de cyprine. Je termine le déshabillage de Louis en retirant son teeshirt et son boxer. Nous nous retrouvons nus tous les deux au milieu d’un cercle de convives voyeurs. L’érection de Louis n’a rien perdu de sa superbe pendant tout ce temps. Sa bite longue et d’un diamètre respectable se dresse fièrement au milieu de son pubis rasé et ses couilles battent entre ses jambes à demi écartées :
• A genoux sur le fauteuil ! Chienne ! Je vais te baiser à fond ! Mais, si tu jouis, je ne veux pas t’entendre !
Je me mets immédiatement à genoux sur l’assise du fauteuil, les bras en appui sur le dossier, mes seins ronds pendant sous mon buste. Je suis devenue le centre d’intérêt de la soirée. Presque tout le monde se regroupe en cercle autour de nous. Je sens tout d’abord des claques pas trop appuyées sur mes fesses puis de plus en plus fortes. Mes fesses me cuisent. Soudain les claques cessent et c'est l’estocade. Louis présente son gland à l’entrée de ma chatte et il y pénètre d’une seule poussée violente. Aïe ! Aïe ! Aïe ! Heureusement que je suis excitée et trempée de mouille car je l’aurais sentie passer. Mais je la voulais en moi dés lors que je l'avais eu en bouche.
Ingrid s'approche de nous. Elle ne porte qu’une guêpière de dentelle noire, un string assorti et des bas fins à couture. Perchée sur des talons très hauts, elle tient en main une sorte de martinet fait de lanières de tissu assemblées sur un manche court :
• Alors salope ! Depuis le temps que Louis entend parler de toi, il peut enfin te soumettre et te baiser ! Mais moi, je vais te punir car tu l'as fait attendre trop longtemps et c'est moi qui devais subir sa domination.
Elle commence par me pincer les tétons puis malaxe brutalement mes seins d'une main. Dans le même temps, les lanières de tissu me fouettent mes reins. Je n’ai pas mal et bien au contraire, être ainsi fustigée aux yeux de tous accentue encore ma soumission. Louis me pistonne à grands coups de reins, sortant parfois de ma chatte pour mieux y rentrer en force. Je sens ma chatte écartelée par ce membre impressionnant.
Chaque nervure glisse en moi, provoquant une vague de plaisir que je dois taire. Je me mords les lèvres pour ne pas exprimer la jouissance que je sens monter en moi. Que c’est bon d’être soumise ainsi aux caprices d’un homme. Soudain Louis colle son pubis contre mes fesses et je sens un flot de sperme envahir le fond de ma chatte. Je mords toujours mes lèvres pour ne pas exprimer l'orgasme qui me submerge au moment où l’éjaculation arrive. Waouh ! Qu’elle était généreuse ! Louis reste quelques minutes en moi. Je ne bouge pas avant qu’il m’en donne l’ordre. De lui-même il se retire :
• Nettoie ma bite !
• Bien Maître… je suis à votre service.
Sans me faire prier, je quitte le fauteuil et m'agenouille léchant son sexe afin de retirer nos sécrétions. Je sens le foutre dégouliner de ma chatte, j’en ai plein le haut des cuisses.
LOUIS.
Quand j’ai eu fini de la baiser, Caroline est allée faire le tour des différents groupes et quand elle est revenue dans le grand salon, Sarah, la copine d’Ingrid d’à peine 20 ans, était en train de me faire une fellation. Bouche grande ouverte, elle allait et venait sur mon sceptre de chair bandée.
Je lui ai fait signe d’approcher et, délaissant un instant Sarah, je me suis allongé sur le tapis, les épaules relevées par des coussins et la bite dressée vers le plafond comme un ''I''. Je l’ai faite mettre en amazone face à moi. Plus encore qu’en levrette, je sentais ma queue fichée en elle, au plus profond de sa chatte :
- Vas-y ! Laisse toi aller, baise-toi sur ma bite ! Travaille… c’est un ordre !
Je suis resté complètement immobile. Elle devait faire les mouvements de bas en haut sur ma bite pour l’amener à cracher encore une fois au fond de son vagin. Sarah s’est agenouillée au niveau de mes épaules en faisant face à Caroline. Pendant que je lui léchais la chatte, elle embrassait ses lèvres ou ses seins et caressait doucement mon pubis et le capuchon du clitoris de Caroline.
Empalée sur mon sexe bandé à fond, Caroline montait et descendait, la tête parfois rejetée en arrière comme en extase puis elle revenait vers Sarah. Elle savait vraiment y faire ! Quand ma bite était tout au fond de sa chatte, Caroline pressait mon gland avec ses muscles internes. Dieu que c’était bon ! Ça faisait quelques temps déjà que je n’étais pas tombé sur une belle chienne comme celle qui était en train de se baiser sur ma queue qu’elle utilisait comme elle aurait utilisé un gode à ventouse.
Nous étions à nouveau le centre d’intérêt et plusieurs couples enlacés observaient notre copulation à trois. Je me suis retenu de jouir le plus longtemps possible jusqu’au moment où j’ai lâché de belles giclées qui ont noyé son vagin au moment où j’avais amené Sarah à la jouissance par le cunnilingus que je lui avais prodigué en même temps.
A ce moment-là Ingrid est arrivée près de nous et sur un ton sans équivoque elle a interpelé Caroline d’une voix narquoise :
- Garce ! Tu t’es bien fait baiser ! Tu n’as que ce que tu mérites, une vraie chienne en chaleur ! Tu vas encore en prendre ! J’ai deux candidats qui ne demandent que çà : TE BAISER !
CAROLINE
À peine Louis a-t-il joui en moi que quatre mains attrapent mes bras. Je tourne la tête en me sentant soulevée. Deux hommes m'ont saisie. Ils sont charmants, jeunes. Leurs visages en disent longs sur le désir qu'ils ont de me prendre. Me tenant chacun par un bras, leurs secondes mains se posent sous mes cuisses et, tenue comme un sac de linge, me voici transportée vers une autre pièce. Les deux hommes me posent alors délicatement sur le lit. Ils restent debout, en appui sur un genou. Leurs mains caressent tendrement mes cuisses, descendent sur mes genoux, mes mollets, mes chevilles. Elles remontent le long de l'intérieur de mes cuisses.
Ils évitent soigneusement mon intimité encore luisante et dégoulinante du sperme de Louis. Ils ne veulent visiblement pas y toucher. Ce contact m'électrise et me frustre. Je me mords les lèvres en fermant les yeux. Je sens leurs mains puissantes se saisir de mes chevilles et écarter mes jambes. Mes pieds nus ne tardent pas à sentir la dureté de leurs sexes au travers de leurs pantalons, et ils s'amusent à se masturber avec la plante de mes pieds. Je ne me fais pas prier et appuie avec plaisir pour éprouver leur érection. Ouvrant les yeux, je les vois sourire avec perversion alors qu'ils accentuent encore la pression de mes pieds sur leurs sexes.
C'est à ce moment qu'Ingrid entre dans la chambre suivie de plusieurs couples. Son petit martinet à la main, je lis dans son sourire qu'elle n'a pas décidé de laisser sa punition de côté :
- Attendez Messieurs, n'allez pas trop vite ! J'ai des choses à récupérer avant que vous puissiez vous occuper d'elle…
Alors que les deux hommes continuent leur masturbation pédestre, Ingrid s'installe à genoux à côté de moi. Elle se penche et m'embrasse. Nos bouches se confondent et nos langues se mêlent. C'est dans un baiser fougueux que je sens les franges du martinet tomber sur mon ventre. La caresse des fines lanières de tissu me donne la chair de poule. Je les sens remonter entre mes seins. Bientôt elles se concentrent sur l'un d'eux. Déjà tendu d'excitation, le téton pointe encore plus, à presque m'en faire mal. La sensation me rend folle et je dévore la bouche d'Ingrid. Sans autre forme de procès, elle abandonne promptement la bouche. Surprise, je la suis du regard jusqu'à ce qu'elle vienne se placer entre les deux hommes, face à mon intimité.
Elle s'en approche et posant les lanières du martinet sur mes lèvres gonflées et très sensibles, s'amuse à les caresser. Je gémis de plaisir et de frustration. Je me tortille d'envie, me cambre de désir. Le tissu quitte soudain mes lèvres et c'est maintenant la dureté du manche qui le remplace. Au niveau de mes pieds, je ressens la même sensation puisque les deux garçons ont extrait leurs membres de leurs pantalons et utilisent mes pieds comme s'il s'agissait de mains. Ingrid a, elle, entreprit de caresser mon intimité à l'aide du manche du martinet. Écartant mes lèvres de ses doigts, elle passe avec perversion le manche en bois contre mes chairs intimes, imprégnées des sécrétions de son mari et des vestiges de ma jouissance. C'est une douce sensation que ce contact. Je la regarde dans les yeux. Elle me dévisage d'un sourire pervers. Que va t elle faire ? Je le sais pertinemment. Et c'est sans attendre que le manche du martinet entre en moi.
C'est avec soulagement que je l'accueille. Lentement, Ingrid fait tourner le manche, triture l'intérieur comme pour l'imprégner de ce que je recèle. Au bout de quelques secondes, elle le ressort. Nos regards se croisent et elle porte l'engin à sa bouche. Sa langue s'enroule autour du manche et elle récolte avec gourmandise le mélange de sperme et de cyprine. Elle semble s'en délecter. Très vite, n'y tenant plus elle se rue entre mes cuisses et commence un cunnilingus comme jamais aucun homme ne m'avait donné. Sa langue entre en moi, fouille mon intimité. Elle récolte à nouveau les lambeaux de jouissance de son homme.
Elle aspire mon intimité, boit à ma source. C'est un tel plaisir qu'elle ne tarde pas à me mener à l'orgasme, me faisant oublier les deux hommes qui jouent avec mes pieds. À peine suis je sortie de la torpeur de cet orgasme que je l’entends invectiver les deux mâles passablement excités par le spectacle saphique qui leur a été donné :
- Vous pouvez y aller messieurs, elle est propre maintenant. Elle est toute à vous !
Les deux gaillards quittent précipitamment leurs vêtements et montent sur le lit comme deux enfants pressés de se servir du jouet qu'ils ont reçu à Noël. Je leur souris, moi aussi excitée à l'idée d'en découdre avec eux. Sans me faire prier je saisis dans chacune de mes mains leurs sexes tendus. Ils sont si durs, si épais. Je les attire à ma bouche et, faisant presque se toucher leurs glands, mes lèvres et ma langue passent de l'un à l'autre.
Ils gémissent de plaisir lorsque le bout de ma langue s'attarde sur le frein. C'est un vrai délice pour moi. Leurs mains jusqu'alors affairées sur mes seins, descendent de concert sur mon ventre pour se retrouver sur mon intimité. Et c'est alors un festival de dix doigts qui pianotent mes lèvres, mon clitoris. Je gémis lorsque deux index pénètrent ma chair intime. Ouvrant ma bouche, l'un des deux étalons en profite pour y entrer dans un grommèlement de satisfaction. Je l'aspire avidement alors qu'il prend possession de ma bouche, interdisant par là-même l'accès à son partenaire. On peut même dire qu'il l'éjecte carrément puisqu'il se couche littéralement au dessus de mon visage et entame un mouvement de bassin vertical pour prendre ma bouche.
Surprise, je lâche le sexe de son acolyte. De frustration, il entreprend un va et vient rapide et violent de ses doigts en moi. Ma main tâte dans le vide à la recherche de ce sexe que j'ai involontairement lâché, mais je ne le trouve pas. Les doigts de mon assaillant quittent mon vagin et je sens deux mains passer sous mes genoux, vite suivies des avant-bras pour me soulever. Je sens les cuisses de mon second amant contre mes fesses. Il m'attire à lui et c'est sans difficulté qu'il pénètre ma chatte ouverte d'excitation.
Posant mes jambes sur son torse, il se penche en avant, prenant appui sur ses poignets et entreprend une pénétration calquée sur celle de son camarade. C'est synchrone que chacun prend possession de ma bouche et de ma chatte. À cet instant, je suis aux anges. Mes deux amants me comblent au delà de ce que j'aime. Au bout de quelques minutes de ce traitement, les deux hommes ayant besoin de reprendre leur souffle... moi aussi d'ailleurs, ils se relèvent.
J'en profite pour sauter et me retrouver à quatre pattes, face à celui qui me prenait et dos à celui que je suçais. Amusé de la situation, celui qui me fait face s'assoit et, écartant les jambes, le sexe dressé comme un obélisque, me fait signe qu'il est prêt à recevoir les faveurs de ma bouche. Je prends appui sur mes coudes et avale son chibre avec gourmandise. Ma croupe ainsi surélevée, il ne faut pas plus de temps à l'autre pour entrer en moi. C'est à grands coups de reins qu'il me pousse à avaler le sexe du premier. Je sens la caresse de ses mains sur mes fesses. Ses mains légèrement caleuses m'électrisent et je sens un de ses pouces caresser mon petit trou. Ne lui opposant aucune résistance, il comprend qu'il peut aller plus loin et c'est avec une grande délicatesse qu'il entreprend de pousser sa première phalange dans ce petit œillet plissé.
C'est avec un immense plaisir que je l'accueille. Il pénètre plus avant et c'est bientôt son pouce entier qui se retrouve fiché en moi. Il commence à le tourner, à le plier pour assouplir le conduit qu'il souhaite, je pense, assaillir prochainement. Ainsi prise, j'avale avec plus de ferveur encore le sexe que j'ai en bouche. Me sentant prête à le recevoir, l'autre retire son pouce de mon anus et son sexe de ma chatte pour bientôt présenter son gland à mon petit trou. C'est sous les murmures de l'assistance qu'il s'introduit entièrement en moi en une seule poussée. Je gémis de douleur et de plaisir mêlés, étouffée par la queue qui obstrue ma bouche. Après deux ou trois allées et venues lentes, c'est sans douceur qu'il commence à pilonner mon arrière-train.
Les murmures se font plus nombreux et, engluée dans mon plaisir douloureux, je ne comprends pas un traitre mot de ce qui se dit. L'homme que je suce décide qu'il est temps de changer de place et d'accord avec son compère, il me relève sans que ma sodomie ne cesse. Je me retrouve allongée sur mon enculeur, les pieds sur ses genoux. L'autre se présente alors face à moi, tenant fièrement son membre qu'il ne tarde pas à faire entrer dans ma chatte sous les « hourra » du public. S'engage alors une double pénétration sauvage. Les deux hommes m'écrasant contre leurs corps perlant de sueur. Je hurle mon plaisir d'être ainsi possédée. Il ne leur faut que quelques minutes de cette frénésie pour déverser un flot de sperme dans chacun de mes orifices.
À peine repus de leur plaisir, Ingrid leur ordonne de me laisser ainsi sur le lit. Je suis incapable de bouger, saoulée de sensations délicieuses. Je pensais mon divin supplice terminé et pouvoir me reposer, mais Ingrid s'approche à nouveau de moi, accompagnée de Sarah. Les deux sylphides sautent sur le lit, telles des lionnes prêtes à dévorer leur proie. Sarah m'écarte alors les jambes et sans plus de précaution commence à récolter la semence dégoulinant de mes deux orifices souillés. Ingrid elle se positionne au dessus de mon visage et plaque son intimité contre ma bouche en disant :
- Lèche-moi !
Je n'en peux plus et c'est au rythme des doigts que Sarah introduit en moi pour en sortir le précieux nectar qu'elle convoite que, résignée, je prodige mes soins à l'intimité excitée d'Ingrid. Très vite, la sensibilité accrue de mes orifices permet à Sarah de me mener à la jouissance. Ingrid n'y tenant plus, elle arrose rapidement mon visage d'un plaisir qu'elle ne peut retenir plus longtemps en disant :
- Je crois que tu m'as payé ta dette au centuple Caroline !
En s'allongeant à côté de moi, elle se love contre mon corps et nous nous câlinons alors que le public quitte la pièce excité par le spectacle que nous lui avons offert. Alors qu'Ingrid et moi entamons une discussion, nous entendons les chairs se donner du plaisir dans les pièces voisines. Petit à petit Ingrid et moi faisons plus ample connaissance.
Signé Miss K. et le Matou Libertin.
CAROLINE.
Je suis une jeune femme de trente ans, ayant récemment fini mes études dentaires. Je viens de m'installer dans un cabinet avec une de mes camarades d'université. Petit à petit, nous trouvons notre clientèle et nous commençons à nous faire une jolie réputation. Je soupçonne certains hommes de ne venir nous voir que parce que nous sommes plutôt charmantes. Marielle est une belle brune pulpeuse, que quelques kilos superflus rendent appétissante. Pour ma part, je suis plutôt longiligne, blonde. Dotée d'une jolie poitrine, j'aime la mettre en valeur et m'en servir d'anesthésiant pour les patients qui ont souvent le regard posé dessus.
Marielle est mariée à un médecin qu'elle a rencontré pendant nos études. Femme fidèle, elle n'a jamais été portée sur la bagatelle. Je la soupçonne même de n'avoir aucune imagination sexuelle et préférer les relations classiques avec son mari.
Quand à moi, on peut dire que je suis sexuellement très délurée. J'ai la réputation d'être une fille facile mais je m'en moque. Oui, la plupart de mes professeurs et des étudiants ont eu les honneurs de mes faveurs. Et alors ? Il n'y a pas de mal à se faire du bien. J'aime le sexe et ne m'en cache pas. Je multiplie les conquêtes masculines, parfois féminines aussi et j'aime participer à des soirées libertines où les hommes m'utilisent à leur guise.
Il y a deux mois, lors d'une de ces soirées, j'ai rencontré un couple, Serge et Amélie. Le courant est vite passé entre nous. Charmants, j'aime la virilité de Serge qui n'hésite pas à faire de moi une vraie petite chienne et la douceur d'Amélie qui bien souvent calme, de ses caresses, le feu provoqué par la rudesse de son époux. Serge sait que j'aime que les hommes me dominent, qu'ils fassent de moi tout ce qu'ils veulent. Il ne s'en prive d'ailleurs jamais.
Il y a trois semaines, je suis allée en leur compagnie dans une soirée libertine chez un de leurs amis. Après les présentations d'usage, un convive m'a emmenée dans une chambre. Alors qu'il me prenait, il m'a attachée au lit. Les hommes et les femmes se sont alors succédé entre mes cuisses, entre mes fesses, dans ma bouche, parfois même en même temps. Je remarquais une femme assise dans un fauteuil dans un coin de la chambre. Immobile, elle m'observait sans rien dire. Il me semblait qu'elle filmait toute la scène, mais je n'en suis pas certaine. Très vite, je l'oubliais au profit du plaisir de me faire prendre. Au bout de quelques heures de ce traitement, épuisée, je prenais congé de la soirée, soutenue par Serge et Amélie. Cette superbe femme blonde ne m'a pas quittée des yeux jusqu'à ce que nous franchissions la porte de l'appartement.
LOUIS.
A bientôt quarante-cinq ans, je suis, sans vouloir me flatter, un bel homme de haute stature, mince sans être maigre mais aux épaules larges, mat de peau, j’ai les cheveux ondulés noirs. Depuis mon adolescence, j’ai toujours aimé les femmes et je ne me suis jamais privé d’en conquérir de nouvelles, pour une nuit, une semaine, un mois… jusqu’à ce que je rencontre Ingrid lors d’un diner. Quelques mois plus tard, je l’épousais par amour certes, mais aussi parce que comme moi, elle aimait le libertinage… Cela étant convenu, nous avons organisé notre vie pour satisfaire nos envies, chacun se racontant les expériences sexuelles faites hors du couple en toute confiance puisqu’il s’agissait uniquement de sexe, sans attachement sentimental.
Puis, à l’invitation d’un couple de libertins comme nous, nous avons participé à une soirée au cours de laquelle nous avons rencontré deux autres couples. Puis les choses se sont enchainées, et depuis, nous organisons Ingrid et moi, une soirée par trimestre où des couples et parfois des partenaires solitaires triés sur le volet se retrouvent pour se livrer en toute quiétude au libertinage le plus complet.
Bientôt, je vais enfin découvrir Caroline, une jeune femme qu’Ingrid, mon épouse, a rencontrée lors d’une soirée privée en compagnie de nos amis Serge et Amélie, des complices de longue date qui jouent aussi un peu les rabatteurs de nouveaux talents libertins pour agrémenter nos petites réunions coquines.
Ingrid ne cesse de me parler d'elle depuis maintenant trois semaines. Elle l'a filmée à mon intention lors d'une soirée libertine, sachant qu'elle serait à mon goût. Je l'ai vue se faire prendre par des hommes et des femmes, et y prendre énormément de plaisir. Caroline semble être une vraie assoiffée de sexe. Elle commence à m'obséder.
Je suis si impatient de baiser Caroline que c’est ma femme qui fait les frais de cette frustration. Depuis que je l’ai découverte sur l'écran, je fais subir à mon épouse mille tourments, la soumettant encore plus que je ne l’ai jamais fait en regardant la vidéo qu’elle a ramenée de sa soirée.
Il y a quelques jours, je l’ai attachée sur notre lit à baldaquin avec des liens souples. Entièrement nue, elle était à ma merci, livrée à ma concupiscence et à mes caresses. Avec un petit plumeau, je caressais ses endroits sensibles comme ses seins, son entrejambe et l’orée de son vagin. Quand je sentais son plaisir arriver, je le laissais refluer jusqu’à ce qu’elle retrouve son calme. Elle ne pouvait pas parler, me supplier d’achever ce que je faisais car elle était bâillonnée. Cette nuit là, elle est restée ainsi jusqu’au matin pendant que je regardais en boucle la vidéo où je découvrais Caroline tout en caressant mon sexe dressé comme un estoc au milieu de mon bas ventre. Lorsque j’ai délivré Ingrid au petit matin, elle s’est écriée :
• Salaud ! Tu m’as laissée sur ma faim alors que plusieurs fois j’étais sur le point de jouir sous tes caresses ! Cette garce de Caroline ne perd rien pour attendre ! Ma vengeance sera cinglante !
Ingrid et moi avons donc convaincu Serge et Amélie de convier Caroline à notre soirée trimestrielle. Je vais enfin pouvoir assouvir sur cette jeune femme mon goût pour les petites chiennes dans son genre. J’ai réellement hâte d’être à demain soir. Caroline ne sait pas ce qui l’attend ! Pour elle, ce n’est qu’une nouvelle soirée coquine, mais pour moi, c'est l'occasion d'évacuer ma frustration. De plus, j'ai bien compris qu’Ingrid veut se venger de Caroline...
CAROLINE.
Quelques semaines plus tard, je me suis retrouvée embarquée dans une soirée libertine par Serge et Amélie. C’était une soirée privée qui se déroulait dans les beaux quartiers de la capitale entre gens de bonne compagnie. Nous étions une vingtaine de personnes à peu près équitablement réparties entre les deux sexes. Dans ce grand appartement régnait une lumière atténuée qui ménageait des coins propices aux ébats les plus divers. Une douce musique permettant de danser était diffusée par une chaine stéréo, et dans un petit salon attenant à la grande pièce principale, il y avait un magnifique buffet abondamment garni de mets les plus fins et de boissons diverses. Différentes chambres étaient ouvertes, prête à accueillir des étreintes les plus folles.
Serge et Amélie qui semblaient bien connaitre le maître de maison m’ont présentée à lui à notre arrivée :
- Voici Caroline, la femme dont nous t’avons parlé. Vous verrez, je pense que vous serez satisfait de sa docilité.
Je regarde Serge avec surprise. J'ai l'impression d'être tombée dans un traquenard quand il dit à voix haute :
• Enchanté, Caroline, je suis Louis, le maître des lieux. Et voici ma femme, Ingrid.'
• De même, enchantée. Très bel appartement. J'adore.
Louis est un homme d’une quarantaine d’années, d’une haute stature, à l’allure décidée et autoritaire. Ses yeux gris lui font un regard perçant qui vous déshabille littéralement quand il se pose sur vous. Son épouse Ingrid est une suédoise d’origine, de quarante ans également. Grande blonde longiligne, devant son mari, elle semble effacée, je ne pouvais m'empêcher de penser que nous nous ressemblions toute les deux. Je faisais mine de rien, mais j'avais immédiatement reconnu la femme de Louis.
C'est elle, cette splendide créature qui m'observait l'autre soir. Que devais-je comprendre ? Amélie et Serge m'auraient-ils amenée ici dans un but précis ?
Délaissant son épouse et nos amis visiblement communs, Louis m'entraînait avec lui. Après m’avoir présentée aux convives que je ne connaissais pas encore, il m’a invitée à danser pour une série de slows. Je me suis retrouvée coincée dans ses bras puissants, littéralement collée à lui. Je sentais une des ses jambes qui cherchait à s’insinuer entre mes cuisses et contre mon bas ventre l’impérieuse pression d’un sexe de forte taille bandé à fond. Je me laissais porter par la musique et guider par mon danseur.
Plus le temps passait, plus je sentais la pression contre mon ventre. Ses mains étaient descendues à ma taille puis, l’une d’elle a remonté le bas de ma mini-robe. J’avais les fesses à l’air, simplement barrées par le cordon de mon string. J’avais l’impression que tout le monde me regardait. Mais je crois que c’était le but poursuivi, et ce n'était pas pour me déplaire. J'aime être au centre des attentions lors de ces soirées. Je sentais les regards sur mon corps, les murmures bruissant tout autour de nous. La douceur des mains de Louis, caressant mes fesses, m'électrisait et je commençais irrémédiablement à sentir mes lèvres s'ouvrir et s'humidifier. De toute manière, la soirée était lancée… Plusieurs femmes étaient déjà en soutien gorge, le chemisier ôté ou la robe rabattue…
Quand la série de slow a pris fin, Louis, le maître de maison m’a guidée vers le buffet où nous avons bu une coupe de champagne. Alors que nous finissons notre breuvage, Louis me prend soudain par le bras pour me guider vers un angle du grand salon me plaquant au mur, son corps contre le mien, il insinue sa main entre mes cuisses et la plaque sur le tissu de mon string. Il me regarde en souriant et se penche à mon oreille en me disant :
• Humm, tu mouilles déjà. Ma femme avait raison, Serge aussi. Viens ! Ce soir tu vas être MA CHIENNE !
M'attrapant de nouveau par le bras, il me guide sans ménagement à travers la salle. Quand nous arrivons près d’un fauteuil de style, il me tourne assez brusquement face à lui et dit sèchement pour que tout le monde entende :
• A genoux ! Comme la petite chienne que tu es. Désormais tu vas faire tout ce je te demanderai !
Serge s'approche de moi et souriant me dit :
• Pardon Caro, j'avais oublié de te dire. Louis adore dominer surtout lorsqu’une nouvelle fille entre dans le cercle libertin de son salon. Mais je suis sûr que ça ne te dérange pas, bien au contraire. Tu aimes ça aussi ! Donne-moi ton string que je sente ton odeur de femelle en chaleur !
Excitée par la situation, je m’empresse d’obéir en faisant glisser le mince triangle de tissu le long de mes cuisses et sous mes genoux pour le lui tendre. Après l’avoir reniflé, il le tend à Louis qui le met dans une de ses poches. J'ai très envie que cet homme me domine et fasse de moi ce qu'il veut.
• Retire mes chaussures et lèche mes pieds !
Je m'exécute immédiatement. Dés que ses pieds sont nus, je me penche au maximum et commence à embrasser et lécher sa peau. Dans cette position, ma robe très courte, remontée sur les fesses permet à tout le monde de voir ma fente et mon petit trou plissé. D’ailleurs, j’aperçois les jambes de plusieurs personnes, hommes et femmes qui s'approchent pour nous regarder en silence.
• Ça suffit ! Ouvre mon pantalon et suce-moi la bite !
Jusqu’à présent, le langage avait été plutôt mondain… mais cet ordre claque comme un coup de fouet. Je me relève et toujours sur les genoux, je fais glisser la fermeture du pantalon puis sors du slip un membre aux dimensions plus que respectables. Ce que j’avais senti lors de la danse n’était pas un mythe. J’ouvre la bouche et je gobe immédiatement le gland rouge du sang qui y bat. Mes lèvres se referment pour caresser ce gland d'une douceur incomparable. Je ne passe pas pour avoir une petite bouche, mais j’ai un peu de mal à gober ce phallus qui ne tarde pas à être triomphant, envahissant ma bouche jusqu’au fond. Je m’applique à bien le pomper mais surtout éviter de faire sentir mes dents, ce qui aurait constitué une faute impardonnable.
Ma langue palpite doucement dans ma bouche. Les gémissements que Louis laisse échapper me confirment le plaisir que je lui procure. Sortant son sexe de ma bouche et le tenant fermement en main, je le lèche, le claque sur ma langue. Je caresse les testicules qui sous mes doigts se tendent. Louis semble aux anges. Je retourne à son gland que j'avale et entame un va et vient pour faire disparaître entièrement son sexe dans ma bouche.
• Debout chienne ! Tu vas me déshabiller ! Et gare à toi si tu ne le fais pas dans le bon ordre !
L'ordre cingle toujours comme un coup de fouet, sec et impératif, dans un langage étonnant dans un milieu aussi huppé.
Je me lève. J’ôte en premier la veste, la cravate, la chemise puis je défais la ceinture du pantalon que je fais descendre jusque sur les chevilles. Me prosternant de nouveau aux pieds de Louis et relevant les yeux, je m’adresse à lui, totalement entrée dans son jeu de domination :
• Levez vos pieds Monsieur, que je puisse retirer entièrement votre pantalon.
• Appelle moi MAITRE !!! Tu es là pour me servir !!!
Louis soulève successivement ses deux pieds. Le pantalon rejoint les autres vêtements retirés que j'ai soigneusement pliés sur une chaise à portée de moi comme l'aurait fait une femme de chambre.
• Retire ta robe et ton soutif !
Je fais glisser les fines bretelles de ma robe sur mes épaules et elle tombe au sol. Passant mes mains derrière mon dos, je fais sauter l’attache et ma poitrine apparaît aux yeux de tous quand le soutien gorge s'envole. Je suis tellement excitée de ce que je suis en train de vivre que mes tétons sont dardés au milieu de mes aréoles bistre. Je sens une chaleur sourde dans mon ventre et j’ai l’impression que ma chatte dégouline de cyprine. Je termine le déshabillage de Louis en retirant son teeshirt et son boxer. Nous nous retrouvons nus tous les deux au milieu d’un cercle de convives voyeurs. L’érection de Louis n’a rien perdu de sa superbe pendant tout ce temps. Sa bite longue et d’un diamètre respectable se dresse fièrement au milieu de son pubis rasé et ses couilles battent entre ses jambes à demi écartées :
• A genoux sur le fauteuil ! Chienne ! Je vais te baiser à fond ! Mais, si tu jouis, je ne veux pas t’entendre !
Je me mets immédiatement à genoux sur l’assise du fauteuil, les bras en appui sur le dossier, mes seins ronds pendant sous mon buste. Je suis devenue le centre d’intérêt de la soirée. Presque tout le monde se regroupe en cercle autour de nous. Je sens tout d’abord des claques pas trop appuyées sur mes fesses puis de plus en plus fortes. Mes fesses me cuisent. Soudain les claques cessent et c'est l’estocade. Louis présente son gland à l’entrée de ma chatte et il y pénètre d’une seule poussée violente. Aïe ! Aïe ! Aïe ! Heureusement que je suis excitée et trempée de mouille car je l’aurais sentie passer. Mais je la voulais en moi dés lors que je l'avais eu en bouche.
Ingrid s'approche de nous. Elle ne porte qu’une guêpière de dentelle noire, un string assorti et des bas fins à couture. Perchée sur des talons très hauts, elle tient en main une sorte de martinet fait de lanières de tissu assemblées sur un manche court :
• Alors salope ! Depuis le temps que Louis entend parler de toi, il peut enfin te soumettre et te baiser ! Mais moi, je vais te punir car tu l'as fait attendre trop longtemps et c'est moi qui devais subir sa domination.
Elle commence par me pincer les tétons puis malaxe brutalement mes seins d'une main. Dans le même temps, les lanières de tissu me fouettent mes reins. Je n’ai pas mal et bien au contraire, être ainsi fustigée aux yeux de tous accentue encore ma soumission. Louis me pistonne à grands coups de reins, sortant parfois de ma chatte pour mieux y rentrer en force. Je sens ma chatte écartelée par ce membre impressionnant.
Chaque nervure glisse en moi, provoquant une vague de plaisir que je dois taire. Je me mords les lèvres pour ne pas exprimer la jouissance que je sens monter en moi. Que c’est bon d’être soumise ainsi aux caprices d’un homme. Soudain Louis colle son pubis contre mes fesses et je sens un flot de sperme envahir le fond de ma chatte. Je mords toujours mes lèvres pour ne pas exprimer l'orgasme qui me submerge au moment où l’éjaculation arrive. Waouh ! Qu’elle était généreuse ! Louis reste quelques minutes en moi. Je ne bouge pas avant qu’il m’en donne l’ordre. De lui-même il se retire :
• Nettoie ma bite !
• Bien Maître… je suis à votre service.
Sans me faire prier, je quitte le fauteuil et m'agenouille léchant son sexe afin de retirer nos sécrétions. Je sens le foutre dégouliner de ma chatte, j’en ai plein le haut des cuisses.
LOUIS.
Quand j’ai eu fini de la baiser, Caroline est allée faire le tour des différents groupes et quand elle est revenue dans le grand salon, Sarah, la copine d’Ingrid d’à peine 20 ans, était en train de me faire une fellation. Bouche grande ouverte, elle allait et venait sur mon sceptre de chair bandée.
Je lui ai fait signe d’approcher et, délaissant un instant Sarah, je me suis allongé sur le tapis, les épaules relevées par des coussins et la bite dressée vers le plafond comme un ''I''. Je l’ai faite mettre en amazone face à moi. Plus encore qu’en levrette, je sentais ma queue fichée en elle, au plus profond de sa chatte :
- Vas-y ! Laisse toi aller, baise-toi sur ma bite ! Travaille… c’est un ordre !
Je suis resté complètement immobile. Elle devait faire les mouvements de bas en haut sur ma bite pour l’amener à cracher encore une fois au fond de son vagin. Sarah s’est agenouillée au niveau de mes épaules en faisant face à Caroline. Pendant que je lui léchais la chatte, elle embrassait ses lèvres ou ses seins et caressait doucement mon pubis et le capuchon du clitoris de Caroline.
Empalée sur mon sexe bandé à fond, Caroline montait et descendait, la tête parfois rejetée en arrière comme en extase puis elle revenait vers Sarah. Elle savait vraiment y faire ! Quand ma bite était tout au fond de sa chatte, Caroline pressait mon gland avec ses muscles internes. Dieu que c’était bon ! Ça faisait quelques temps déjà que je n’étais pas tombé sur une belle chienne comme celle qui était en train de se baiser sur ma queue qu’elle utilisait comme elle aurait utilisé un gode à ventouse.
Nous étions à nouveau le centre d’intérêt et plusieurs couples enlacés observaient notre copulation à trois. Je me suis retenu de jouir le plus longtemps possible jusqu’au moment où j’ai lâché de belles giclées qui ont noyé son vagin au moment où j’avais amené Sarah à la jouissance par le cunnilingus que je lui avais prodigué en même temps.
A ce moment-là Ingrid est arrivée près de nous et sur un ton sans équivoque elle a interpelé Caroline d’une voix narquoise :
- Garce ! Tu t’es bien fait baiser ! Tu n’as que ce que tu mérites, une vraie chienne en chaleur ! Tu vas encore en prendre ! J’ai deux candidats qui ne demandent que çà : TE BAISER !
CAROLINE
À peine Louis a-t-il joui en moi que quatre mains attrapent mes bras. Je tourne la tête en me sentant soulevée. Deux hommes m'ont saisie. Ils sont charmants, jeunes. Leurs visages en disent longs sur le désir qu'ils ont de me prendre. Me tenant chacun par un bras, leurs secondes mains se posent sous mes cuisses et, tenue comme un sac de linge, me voici transportée vers une autre pièce. Les deux hommes me posent alors délicatement sur le lit. Ils restent debout, en appui sur un genou. Leurs mains caressent tendrement mes cuisses, descendent sur mes genoux, mes mollets, mes chevilles. Elles remontent le long de l'intérieur de mes cuisses.
Ils évitent soigneusement mon intimité encore luisante et dégoulinante du sperme de Louis. Ils ne veulent visiblement pas y toucher. Ce contact m'électrise et me frustre. Je me mords les lèvres en fermant les yeux. Je sens leurs mains puissantes se saisir de mes chevilles et écarter mes jambes. Mes pieds nus ne tardent pas à sentir la dureté de leurs sexes au travers de leurs pantalons, et ils s'amusent à se masturber avec la plante de mes pieds. Je ne me fais pas prier et appuie avec plaisir pour éprouver leur érection. Ouvrant les yeux, je les vois sourire avec perversion alors qu'ils accentuent encore la pression de mes pieds sur leurs sexes.
C'est à ce moment qu'Ingrid entre dans la chambre suivie de plusieurs couples. Son petit martinet à la main, je lis dans son sourire qu'elle n'a pas décidé de laisser sa punition de côté :
- Attendez Messieurs, n'allez pas trop vite ! J'ai des choses à récupérer avant que vous puissiez vous occuper d'elle…
Alors que les deux hommes continuent leur masturbation pédestre, Ingrid s'installe à genoux à côté de moi. Elle se penche et m'embrasse. Nos bouches se confondent et nos langues se mêlent. C'est dans un baiser fougueux que je sens les franges du martinet tomber sur mon ventre. La caresse des fines lanières de tissu me donne la chair de poule. Je les sens remonter entre mes seins. Bientôt elles se concentrent sur l'un d'eux. Déjà tendu d'excitation, le téton pointe encore plus, à presque m'en faire mal. La sensation me rend folle et je dévore la bouche d'Ingrid. Sans autre forme de procès, elle abandonne promptement la bouche. Surprise, je la suis du regard jusqu'à ce qu'elle vienne se placer entre les deux hommes, face à mon intimité.
Elle s'en approche et posant les lanières du martinet sur mes lèvres gonflées et très sensibles, s'amuse à les caresser. Je gémis de plaisir et de frustration. Je me tortille d'envie, me cambre de désir. Le tissu quitte soudain mes lèvres et c'est maintenant la dureté du manche qui le remplace. Au niveau de mes pieds, je ressens la même sensation puisque les deux garçons ont extrait leurs membres de leurs pantalons et utilisent mes pieds comme s'il s'agissait de mains. Ingrid a, elle, entreprit de caresser mon intimité à l'aide du manche du martinet. Écartant mes lèvres de ses doigts, elle passe avec perversion le manche en bois contre mes chairs intimes, imprégnées des sécrétions de son mari et des vestiges de ma jouissance. C'est une douce sensation que ce contact. Je la regarde dans les yeux. Elle me dévisage d'un sourire pervers. Que va t elle faire ? Je le sais pertinemment. Et c'est sans attendre que le manche du martinet entre en moi.
C'est avec soulagement que je l'accueille. Lentement, Ingrid fait tourner le manche, triture l'intérieur comme pour l'imprégner de ce que je recèle. Au bout de quelques secondes, elle le ressort. Nos regards se croisent et elle porte l'engin à sa bouche. Sa langue s'enroule autour du manche et elle récolte avec gourmandise le mélange de sperme et de cyprine. Elle semble s'en délecter. Très vite, n'y tenant plus elle se rue entre mes cuisses et commence un cunnilingus comme jamais aucun homme ne m'avait donné. Sa langue entre en moi, fouille mon intimité. Elle récolte à nouveau les lambeaux de jouissance de son homme.
Elle aspire mon intimité, boit à ma source. C'est un tel plaisir qu'elle ne tarde pas à me mener à l'orgasme, me faisant oublier les deux hommes qui jouent avec mes pieds. À peine suis je sortie de la torpeur de cet orgasme que je l’entends invectiver les deux mâles passablement excités par le spectacle saphique qui leur a été donné :
- Vous pouvez y aller messieurs, elle est propre maintenant. Elle est toute à vous !
Les deux gaillards quittent précipitamment leurs vêtements et montent sur le lit comme deux enfants pressés de se servir du jouet qu'ils ont reçu à Noël. Je leur souris, moi aussi excitée à l'idée d'en découdre avec eux. Sans me faire prier je saisis dans chacune de mes mains leurs sexes tendus. Ils sont si durs, si épais. Je les attire à ma bouche et, faisant presque se toucher leurs glands, mes lèvres et ma langue passent de l'un à l'autre.
Ils gémissent de plaisir lorsque le bout de ma langue s'attarde sur le frein. C'est un vrai délice pour moi. Leurs mains jusqu'alors affairées sur mes seins, descendent de concert sur mon ventre pour se retrouver sur mon intimité. Et c'est alors un festival de dix doigts qui pianotent mes lèvres, mon clitoris. Je gémis lorsque deux index pénètrent ma chair intime. Ouvrant ma bouche, l'un des deux étalons en profite pour y entrer dans un grommèlement de satisfaction. Je l'aspire avidement alors qu'il prend possession de ma bouche, interdisant par là-même l'accès à son partenaire. On peut même dire qu'il l'éjecte carrément puisqu'il se couche littéralement au dessus de mon visage et entame un mouvement de bassin vertical pour prendre ma bouche.
Surprise, je lâche le sexe de son acolyte. De frustration, il entreprend un va et vient rapide et violent de ses doigts en moi. Ma main tâte dans le vide à la recherche de ce sexe que j'ai involontairement lâché, mais je ne le trouve pas. Les doigts de mon assaillant quittent mon vagin et je sens deux mains passer sous mes genoux, vite suivies des avant-bras pour me soulever. Je sens les cuisses de mon second amant contre mes fesses. Il m'attire à lui et c'est sans difficulté qu'il pénètre ma chatte ouverte d'excitation.
Posant mes jambes sur son torse, il se penche en avant, prenant appui sur ses poignets et entreprend une pénétration calquée sur celle de son camarade. C'est synchrone que chacun prend possession de ma bouche et de ma chatte. À cet instant, je suis aux anges. Mes deux amants me comblent au delà de ce que j'aime. Au bout de quelques minutes de ce traitement, les deux hommes ayant besoin de reprendre leur souffle... moi aussi d'ailleurs, ils se relèvent.
J'en profite pour sauter et me retrouver à quatre pattes, face à celui qui me prenait et dos à celui que je suçais. Amusé de la situation, celui qui me fait face s'assoit et, écartant les jambes, le sexe dressé comme un obélisque, me fait signe qu'il est prêt à recevoir les faveurs de ma bouche. Je prends appui sur mes coudes et avale son chibre avec gourmandise. Ma croupe ainsi surélevée, il ne faut pas plus de temps à l'autre pour entrer en moi. C'est à grands coups de reins qu'il me pousse à avaler le sexe du premier. Je sens la caresse de ses mains sur mes fesses. Ses mains légèrement caleuses m'électrisent et je sens un de ses pouces caresser mon petit trou. Ne lui opposant aucune résistance, il comprend qu'il peut aller plus loin et c'est avec une grande délicatesse qu'il entreprend de pousser sa première phalange dans ce petit œillet plissé.
C'est avec un immense plaisir que je l'accueille. Il pénètre plus avant et c'est bientôt son pouce entier qui se retrouve fiché en moi. Il commence à le tourner, à le plier pour assouplir le conduit qu'il souhaite, je pense, assaillir prochainement. Ainsi prise, j'avale avec plus de ferveur encore le sexe que j'ai en bouche. Me sentant prête à le recevoir, l'autre retire son pouce de mon anus et son sexe de ma chatte pour bientôt présenter son gland à mon petit trou. C'est sous les murmures de l'assistance qu'il s'introduit entièrement en moi en une seule poussée. Je gémis de douleur et de plaisir mêlés, étouffée par la queue qui obstrue ma bouche. Après deux ou trois allées et venues lentes, c'est sans douceur qu'il commence à pilonner mon arrière-train.
Les murmures se font plus nombreux et, engluée dans mon plaisir douloureux, je ne comprends pas un traitre mot de ce qui se dit. L'homme que je suce décide qu'il est temps de changer de place et d'accord avec son compère, il me relève sans que ma sodomie ne cesse. Je me retrouve allongée sur mon enculeur, les pieds sur ses genoux. L'autre se présente alors face à moi, tenant fièrement son membre qu'il ne tarde pas à faire entrer dans ma chatte sous les « hourra » du public. S'engage alors une double pénétration sauvage. Les deux hommes m'écrasant contre leurs corps perlant de sueur. Je hurle mon plaisir d'être ainsi possédée. Il ne leur faut que quelques minutes de cette frénésie pour déverser un flot de sperme dans chacun de mes orifices.
À peine repus de leur plaisir, Ingrid leur ordonne de me laisser ainsi sur le lit. Je suis incapable de bouger, saoulée de sensations délicieuses. Je pensais mon divin supplice terminé et pouvoir me reposer, mais Ingrid s'approche à nouveau de moi, accompagnée de Sarah. Les deux sylphides sautent sur le lit, telles des lionnes prêtes à dévorer leur proie. Sarah m'écarte alors les jambes et sans plus de précaution commence à récolter la semence dégoulinant de mes deux orifices souillés. Ingrid elle se positionne au dessus de mon visage et plaque son intimité contre ma bouche en disant :
- Lèche-moi !
Je n'en peux plus et c'est au rythme des doigts que Sarah introduit en moi pour en sortir le précieux nectar qu'elle convoite que, résignée, je prodige mes soins à l'intimité excitée d'Ingrid. Très vite, la sensibilité accrue de mes orifices permet à Sarah de me mener à la jouissance. Ingrid n'y tenant plus, elle arrose rapidement mon visage d'un plaisir qu'elle ne peut retenir plus longtemps en disant :
- Je crois que tu m'as payé ta dette au centuple Caroline !
En s'allongeant à côté de moi, elle se love contre mon corps et nous nous câlinons alors que le public quitte la pièce excité par le spectacle que nous lui avons offert. Alors qu'Ingrid et moi entamons une discussion, nous entendons les chairs se donner du plaisir dans les pièces voisines. Petit à petit Ingrid et moi faisons plus ample connaissance.
Signé Miss K. et le Matou Libertin.
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