Une soirée qui finit bien - histoire érotique

Il est deux heures du matin, je suis allongé sur la banquette arrière de ma voiture
garée au fond d’un parking sombre d’un club échangiste ou je me suis rendu pour la
première fois de ma vie, j’attends pour rentrer chez moi que les vapeurs des whiskys
ingurgités s’évaporent
Par la faute a ma timidité quasi maladive j’ai raté ma soirée, je n’ai pas osé aborder
un couple très jeune, je dis très jeune car par rapport a mes cinquante balais ils
devaient avoir dans les vingt cinq, un homme encore plus jeune qu’eux caressait la
femme vêtue d’une micro jupe et d’un top très court, elle n’avait pas l’air
d’apprécier car elle me jetait des yeux implorent espérant peut être que je m’approche
pour remplacer le jeune fougueux, son mari subjugués par les attouchements qu’elle
subissait ne m’a pas remarqué et la bloquait sur la piste de danse afin de pouvoir
satisfaire ses fantasmes de voyeur
Voilà pourquoi je viens d’ouvrir ma braguette pour extraire mon membre raide pour me
masturber en me remémorant certaines scènes osées qui se déroulaient sous mes yeux
dans le club, telle que cette femme coincée entre deux hommes, la robe relevée à la
taille débraillée a la poitrine, les cuisses écartées pour laisser des mains
fouineuses fouiller son sexe pendant qu’elle branlait deux queues a la fois
Soudain dans le silence de la nuit j’entends des pas probablement de talons
d’escarpins féminins qui claquent sur le bitume, des voix se rapprochent, la femme rie
de bon cœur, ils sont tout prés... Ma voiture bouge … une femme vient de s’appuyer les
fesses sur ma portière arrière juste sous mes yeux, par ma vitre légèrement
entrebâillée j’entends la conversation, je ne me manifeste pas …..
- Chérie pourquoi ne t’es tu pas laissée faire par ce jeune mec ? il avait
vachement envie de te baiser
- Tu plaisante ? t’as vu ? il ressemblait comme deux gouttes d’eau à mon p’tit
frère, j’avais l’impression que c’est lui qui me pelotait
- Ahhhh dommage … y’ a pas un autre mec qui t’aurait plu ?
- Si mais il est partit, tu ne l’as pas vu, quand j’ai voulus te le montrer il
partait en direction des vestiaires, un homme de la cinquantaine une moustache fine,
un beau spécimen !
- Ha merde excuse moi chérie
Ce mec, la cinquantaine, moustache fine qui la regardait …. C’est moi ! Ce serait mon
jeune couple ??
- Chéri que fais-tu ?
- Je lève ton haut pour admirer tes seins au clair de lune ….huuuuuuummmm quels
beaux nichons
- T’es fou ? et si quelqu’un arrive ?
- Il sera le bienvenu !
Lentement je m’assois, je vois son dos nu à vingt centimètres de mes yeux…. Et si ……je
remercie le ciel de ne pas avoir une voiture moderne, mes vitres arrière possèdent une
manivelle sinon je serais obligé de mettre le contact pour la baisser …..Sans bruit je
fais descendre la vitre, c’est là que ça passe ou ça casse …du revers de ma main
j’effleure son dos nu, elle pousse un cri et se jette dans les bras de son mari
- Que t’arrive-t-il minou ?
- Quelqu’un vient de me toucher !
- Ou ça ? je ne vois personne !
- Là dans la voiture regarde la vitre est ouverte !
- Ha, c’n’est pas grave … ça te dirait de te faire toucher sans savoir a qui
appartient la main ? une personne mystérieuse qui palperait tes seins ? …… reprends la
position que tu avais chérie…
- Ça me fout les chocottes ! ……
La jeune femme docile s’adosse à nouveau sur ma portière, je prend une position plus
confortable et pose mes mains sur les flancs de la nana qui tressaille
- Il me touche à nouveau ……
- Je vois ses mains, détend toi mon amour …..
Lentement je progresse vers la poitrine et enveloppe de mes paumes les tétons et une
bonne partie des seins gonflés de désir, je les malaxe comme deux boules de pate, mon
érection redouble de rigidité
- Hhhuuuummmm tu mouille ma salope !
- Ça me fait des choses ….
- Je vais relever ta jupe au cas où cette personne voudrait visiter plus bas …
- Chéri on va nous surprendre …
- T’occupe je veille …écarte les pieds …
J’hésite juste une seconde avant de laisser ma main gauche descendre sur son ventre
plat, je passe sur la jupe roulée en boule, mes doigts se fraient un passage entre le
cache sexe et la peau brulante, une inspiration profonde gonfle son sein, je joue un
instant avec les poils bouclés du mont de vénus puis avec les lèvres charnues, elle
sursaute et pousse un cri quand j’atteins le clitoris, je vais mouiller un doigt dans
la fente avant de revenir titiller le mini gland enflé d’excitation
- Il te fait du bien chérie ? je vais faire glisser ton cache sexe
- Ooouuiiiiiiiii ! il me doigte merveilleusement bien………
- Branle moi aussi …
Je décide de mettre deux doigts dans son vagin et mon pouce lubrifié sur le clito
- Ta chatte fait du bruit ma salope ça te coule entre les cuisses
- Soutien moi je vais jouir …..aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh !!!!!!!!!!
La fille fléchie les jambes ce qui fait que mes doigts sont retirés de force de la
vulve trempée, je les porte a mon nez …. Muuummm quel parfum !!!! Et quel goût ……..
- Ça va mieux mon amour ?
- Voouuufff ! quel pied !
- C’est la sensation de te faire toucher par une main anonyme, au fait monsieur,
nous pourrions peut être faire connaissance maintenant que vous avez bien ‘ examinée ‘
ma femme ?
- Avec plaisir…écartez- vous je vais ouvrir la portière …
Je pose les pieds au sol, ma queue dépasse largement de ma braguette
- Mais ! … Mais vous êtes le monsieur qui me regardait dans la salle ?
- Effectivement excusez moi je n’ai pas eu l’audace de vous aborder
- Vous plaisiez pourtant à Nelly, et à ce que je vois vous tenez la forme ! Tu
veux qu’il te baise chérie ?
- Ou ça ici ?
- Oui, dans votre voiture, c’est possible ?
- Tout à fait je peux basculer le siège passager en couchette, j’en ai pour une
seconde …il serait préférable qu’elle soie nue, et moi aussi pour ne pas être entravés
car la place est limitée
- Je pourrais regarder ?
- Bien sûr je me tiendrais écarté afin que vous voyiez bien ma queue entrer dans
son ventre… vous avez une charmante compagne monsieur mes compliments
- Merci c’est d’ailleurs pour cela que j’aime la prêter à des mâles fougueux !
- Remontez le plus possible en arrière je vais vous manger l’abricot avant de
vous pénétrer
- Comme ça ?
- Impeccable, lever une jambe je vais me glisser entre vos cuisses…. Voilàààààà
! je vais allumer le plafonnier …. Hummmm quel tableau, il y a longtemps que je
n’avais pas vu un p’tit cul comme celui là ! vos lèvres brillent de mouille
Je me penche au mieux pour lécher la fente juteuse, le mari a ouvert la porte arrière
pour caresser les seins de sa femme et observer ma façon de brouter son minou,
l’orgasme récent se réveille a nouveau, heureusement que j’ai un plaid sur le siège je
n’arrive pas a tout avaler, elle m’attrape par les oreilles pour plaquer mon visage
entre ses cuisses au cas où j’aurais la mauvaise idée de me retirer, une plainte
montante brise le silence mais c’est son mari qui hurle le plus fort
- AIIIIEEE ! lâche moi la queue chérie tu me mords !
Nelly met une minute à reprendre son souffle, dés qu’elle émet un son compréhensible
je la tire par les jambes afin de positionner sa chatte au ras du siège, les pieds sur
la planche de bord, a genoux mon braquemard a la main je fouille l’entrée de la vulve
afin de trouver le passage qui mène au paradis, mon nœud s’enfonce dans un magma
brulant, en appuis sur les mains je prends lentement possession du vagin, le mari
approche sa tête
- Ça y est chérie ! tu es belle et bien prise !
- Il en a une grosse …la positon est impeccable ça frotte au bon endroit
- Défoncez là, elle adore être secouée
- C’était bien mon intention ….
Tandis qu’il triture les tétons j’entame une sarabande diabolique, elle secoue se tête
en tous sens rendant impossible une fellation sur son homme, si des gens passent à
proximité ils vont voir la voiture exécuter une drôle de danse
Mes coups de boutoirs font couiner la femme, le mari n’ose pas me dire de ralentir
mais je vois qu’il est inquiet, le vagin s’est dilaté, la mouille baigne son entre-
fesses, ma queue poisseuse brille sous la lumière du plafonnier, combien de temps ai-
je labouré son jardin secret ? En tout cas il est prêt à être ensemencé, d’un coup de
rein plus violent que les autres je me soude à son ventre, ma queue crache de longs
jets à intervalles réguliers au fond de sa matrice, une lave épaisse suinte des lèvres
tuméfiées, Nelly est inerte sa respiration devient régulière, ma queue se réduit a vue
d’œil et quitte le trou marécageux, son mari l’embrasse tendrement
- Ça va chérie ? tu m’as fait peur, tu n’as pas mal ?
- Rassure toi, il m’a littéralement explosée la chatte mais ça fait un bien fou
!
- Allons dans notre voiture j’aimerais lécher ton con ….
- Tu pourras aussi me baiser….