Une soirée tout à fait ordinaire...

- Par l'auteur HDS Georges -
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Une soirée tout à fait ordinaire... Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Une soirée tout à fait ordinaire...
Ce soir-là avec ma copine Adeline, nous avons eu envie nous éclater, alors nous somment allées boire un verre dans un bistro du côté de la gare, nous le connaissons pour sa réputation sulfureuse, l’endroit est sombre, peu de monde dans la salle, nous nous installons au bout du bar, assises sur des tabourets façon vamp, nos cuisses largement découvertes ont vite attiré le regard d’un homme étrange, mis baroudeur, mis gitan, d’emblée, il s’est approché de nous, ceci a irrité de suite ma copine

- Alors les petites ? On cherche sa dose d’adrénaline

Sans hésiter, il pose la main sur une cuisse d’Adeline

- Nous sommes venues simplement boire un verre, laissez-nous tranquilles et retirez votre sale patte

L’homme n’insiste pas et regagne sa place

- Non mais t’as vu sa dégaine ? Il va nous foutre la paix celui-là ?
- Moi, je lui trouve du charme avec ces traits marqués, j’aime son air négligé et sa cicatrice qui lui barre la joue
- C’est peut-être un gangster ?
- Justement, son air mystérieux me fait envie …
- Hé bien baise avec lui si tu veux moi, je me barre, salut a demain

Enfin seule ! Je me demandais comment me débarrasser de cette mijaurée, pas un sou d’audace ! Ça a l’air d’intéresser ‘mon homme’ qui a présent mate mes cuisses sans s’encombrer de principes , je sens un pincement dans ma chatte, mes lèvres gonflent, ma culotte s’humidifie immédiatement, volontairement je décroche un pied de la barre du siège et laisse pendre ma jambe ce qui a pour effet de faire remonter ma jupe sur ma cuisse et surtout de séparer ma fourche , si je me trouvais en pleine lumière je pense qu’en se baissant légèrement ma culotte est visible Il n’en faut pas plus à mon ‘pirate’, pour revenir à la charge, il fait les deux mètres qui nous séparent et pose une main calleuse sur ma cuisse

- Te voilà seule, tu cherches de la compagnie ma belle ?
- Ça dépend …..
- Cela dépend de quoi ?
- Ce serait plutôt de qui …
- Ça dépend si je suis entreprenant ou pas ?… Tien regarde

Sa main remonte entre mes cuisses, je me moque si l’on nous observe, je le laisse atteindre mon slip et en apprécier la moiteur

- Tu mouilles comme une chaudasse, passe ta main dans ma braguette et attrape mon cobra, méfie-toi il est prêt à mordre

Je ne vais pas passer pour une dégonflée, je passe ma main dans la fente déboutonnée, le sexe énorme n’est pas prisonnier de sous vêtement, un formidable soubresaut secoue mon poignet

- Mon dieu, quel membre
- Si tu veux le gouter suis moi, mais avant paye mon verre

Il est plutôt gonflé, mais ça m’excite ce coté macho, je laisse un billet sur le comptoir et sors juste derrière lui, il m’attend au coin de la rue encore plus sombre que le bar

- Montre-moi ton cul, je te montre ma queue
- Ici ?
- Oui ici … remonte ta jupe et vite, écarte ton fond de slip…, enfonce un doigt et fait le moi sentir ? …ouais, tu sens la femelle en chaleur, regarde le morceau que tu vas prendre dans la moule d’ici peu ….

Il fourre la main dans sa braguette restée ouverte et sort son sexe, dans la pénombre, j’aperçois un manche à demi bandé, mais qui promet d’être gigantesque en érection

- Allons vers les voies de chemin de fer, je connais un endroit où nous ne serons pas dérangés

Il marche à grandes enjambées sans se préoccuper si j’arrive à le suivre, dans cet endroit désert il pourrait m’égorger sans que personne trouve mon cadavre d’ici plusieurs jours, je suis complètement folle mais l’envie de me faire sauter par ce mec est plus fort que tout, il se dirige vers des wagons désaffectés, ouvre une porte de l’un d’eux et me fait asseoir sur une banquette a la propreté douteuse, un clair de lune illumine la scène

- Ici, nous serons bien, pour commencer, tu vas me sucer ma mignonne
- Elle est propre votre verge ?
- PROPRE ? Avale et ne rechigne pas

L’homme agrippe ma tignasse par la nuque et m’oblige à me pencher vers sa bitte , une odeur de pisse envahit mes narines mais la pression qu’il m’inflige est si forte que je suis obligée d’ouvrir la mâchoire à fond, c’est comme si on m’obligeait à gober un œuf , derrière le gland la peau est noueuse , je sens les grosses veines coulisser sur mes lèvres , il ne s’arrête pas de m’enfiler son manche tant qu’il ne sent pas le fond de ma gorge , un premier haut le cœur fait couler une salive épaisse de ma bouche et de grosses larmes sur mes joues creusées par la succion

- Alors ? Qu’en dis-tu ? Elle n’est pas bonne ma matraque ? Suce feignasse, attrape mes couilles et presse les bien

Je finis par m’habituer à cette présence et fait tourner ma langue autour du prépuce, mes doigts fond rouler les bourses dans leur sacoche de peau

- Mais c’est qu’elle sait faire la petite salope ! Suce-moi à fond ça vient …..
HHOOOOOOOUUUUUUAAAAAA !!!!!!

Un déferlement de foutre obstrue ma gorge, son jus acre me ressort par le nez, enfin, il retire sa queue pour que je puisse respirer, je tousse, je crache, mon chemisier est maculé de semence

- Hoooo, dommage ! Tu aurais dû le retirer avant, laisse faire, je m’en occupe

L’homme fouille dans sa poche, il en ressort une sorte de manche sur lequel d’une pression, il en fait jaillir une lame effilée qui luit sous la lumière blafarde

- Vous n’allez pas me faire du mal ?????
- Rassure-toi je ne te veux que du bien, allonge-toi et ferme les yeux

Résignée j’obéis, je pense que ma dernière heure est arrivée, soudain la lame glacée frôle ma poitrine, un coup sec et le premier bouton saute, les autres suivent à toute vitesse, les pans de mon chemisier sont écartés, il émet un sifflement d’admiration, mais ce n’est pas fini, à nouveau la lame s’introduit entre mes seins et mon soutien-gorge, une secousse et me voilà dépoitraillée, je sais que mes tétons sont dressés, il va s’apercevoir que je suis excitée

- Houuuuaaaaaa, quelle salope, tu bandes des seins, t’as vraiment envie ! Autant en finir de suite

Le gitan s’attaque maintenant à ma jupe, là aussi pas de détail, il tire sur la fermeture éclair qui cède dans un sinistre craquement, il tire le vêtement jusqu'à mes chevilles, il ne me reste plus pour tout rempart que mon slip mouillé par ma cyprine et maintenant par mon urine, car je pisse de trouille, je croise les cuisses pour protéger ma chatte, mais rien n’y fait, la lame entaille les deux côtés de ma culotte, c’est fini, je suis nue ….

- Écarte-toi ! Rien ne m’arrêtera petite pute, je vais te fourrer le bonbon jusqu'à ce que tu recraches mon foutre par la bouche
- Pitié monsieur …ne me faites pas mal
- Tu vas gueuler, mais de bonheur ma poule, écarte-toi … encore plus … je vois voir ta chatte bailler d’impatience
- Ça va comme ça monsieur ?
- Ne me beurre pas les couilles avec tes ‘monsieur’ appelle moi ‘chéri ‘puisque nous allons devenir amants, supplie-moi plutôt de te la mettre bien profond
- Mettez-moi votre verge chéri...
- J’ai pas entendu …
- Mets-moi ta queue profondément dans le ventre chéri …
- Hé ben voilà ! C’est mieux ! Avant je vais te caresser avec mon surin

Le froid de l’acier passe entre mes lèvres, mon clitoris en érection est hors de sa cachette, il appuie dessus du plat de la lame,

- Si je le voulais, je pourrais t’exciser d’un seul coup de poignet
- NON ! Pas ça ! Baisez-moi, enculez-moi si vous le voulez !
- Retourne-toi en levrette que je vois ton trou du cul palpiter

Cambrée à outrance, le nez dans le siège qui sent le moisi, les ongles plantés dans le tissu déchiré, j’attends l’assaut ultime, il pose un genou au ras de mes fesses, il tape plusieurs fois violemment sur mon cul avec sa queue, comme pour en tester la raideur, je confirme, elle est dure comme un manche de pelle, mon vagin émet un bruit obscène

- T’entends ? Elle réclame à bouffer ta conasse, ne la faisons plus attendre … t’es étroite bordel ….

Mais qu’il m’enfonce sa queue bon sang ! Il ne pensera plus à me faire souffrir mentalement, je suis prête à supporter sa bitte dans n’importe quel trou… enfin ! Mon col s’ouvre sous la poussée du gland mafflu, ma gaine vaginale est labourée, écartelée, ça me fait un bien démesuré, je m’arque boute afin de supporter la charge qu’il m’inflige, ça y est ses poils pubiens me chatouille le cul, mes muscles vaginaux sont tellement compressés qu’il m’est impossible de les contracter, par contre sa queue bat la mesure dans ma chatte aussi fort qu’un cœur de bœuf

- Tu m’écrases la queue avec ton con étroit ! S’en est que meilleur pour moi, demain, tu seras obligée de passer de la crème adoucissante entre tes cuisses
- ASSEZ ! Baisez-moi ! Baisez-moi !

Le mandrin se met en mouvement, au début, il me semble qu’il va faire ressortir mon utérus à l’extérieur, puis ma mouille aidant ça devient le paradis, à chaque aller-retour, c’est l’extase, les orgasmes se succèdent, l’intérieur de mes cuisses est trempé, l’homme est comme fou, il grommèle des obscénités, soudain quelque chose de froid pèse sur mon anus, à la forme et à la consistance, je devine que c’est le manche de couteau qu’il m’enfile dans le boyau

- Et voilà ! À moi seul, je satisfais tous tes trous ! Ça te plait ?
- Hooooooooouuuiiiiii, j’aime ça !

Méthodiquement, il me lime la chatte avec son membre démesuré et mon anus avec un manche en corne ciselée, son éjaculation est à la hauteur de la réserve de ses couilles, une déferlante de foutre jaillit dans mon ventre, a peine la dernière giclée envoyée qu’il retire queue et manche de couteau, j’espérais être délivrée, mais c’est sans compter sur sa vigueur, la bitte ne fait que changer de trou, mon anus a peine assouplis reçois le membre imposant

- Une petite visite de courtoisie a ton cul et je te laisse rentrer chez toi, courage chienne !
- Je vais défaillir …..
- Fait comme tu veux, ça ne m’empêchera pas de finir en déchargeant dans ta niche privée

Sans tenir compte de mes protestations il baise mon cul qui se met à lubrifier, preuve que ce n’est pas du viol, lorsqu’il s’est enfin épanché a gros bouillons je suis tombée dans les pommes, c’est le froid qui m’a ranimée, je suis seule, maculée de sperme, avec mes vêtements lacérés, j’ai regagné ma voiture en tenant ma jupe d’une main et les pans de mon chemisier de l’autre, j’ai laissé sur place mes sous-vêtements inutilisables, mais quelle soirée de débauche ! … Je reviendrais la semaine prochaine …..

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Tu m'as excite, je me suis faite un plaisir fou sur cette histoire!

Histoire Libertine
Histoire trop bandante. Je me suis masturbée à souhait en la lisant

tes histoires ont le don de m'exciter, personnellement je retournerai sans problème dans ce bar.

Bise Love_



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