Une vie 8 - histoire érotique

UN APRÈS-MIDI DE RIGOLADE


Depuis que nous avions réglé le problème entre Izmir et son frère Ozgürd, la vie avait repris tranquillement. Izmir passait le plus de nuits possible avec moi, et voyait sa mère souvent. Mehdi passait le plus clair de son temps avec son mec Cédric (qu'il ne m'avait toujours pas présenté!!) et avait fini par faire venir Ozgürd dans ses agapes, ça il me l'avait raconté par le détail. Ce filou n'arrêtait pas de faire des comparaisons entre les frères et je voyais bien où il voulait en venir avoir les deux frères en même temps…

Lorsqu'il avait dit cela, sur le ton de la blague à Izmir, la seule réponse qu'il a eu c'est un regard noir. Il avait semble-t-il abandonné, mais avec Mehdi on ne sait jamais car il m'en reparlait quand même quand on se voyait tous les deux. J'avais compris qu'il voulait que ce soit moi qui convainque Izmir de partouzer tous ensemble. Mais, moi ce n'était pas dans mes prévisions, baiser Ozgürd, sans problème, avec Mehdi pas de problème, en partouze avec son mec, pas de problème, mais mêlé Izmir c'était non!

Ce samedi j'étais seul à la maison, Izmir fêtait l'anniversaire de sa mère et il restait en famille donc je me suis mis à écrire mes histoires qui paraissent maintenant sur un site. Il y a des années que j'écris des histoires, pour moi, m'amuser, pour mon pote Mehdi aussi, qui veut ensuite faire ce que je raconte dans les histoires. Mais là, ce samedi j'étais en train d'écrire une histoire pour un jeune minet qui m'avait contacté après avoir lu mes histoires sur le dit site, qui me félicitait et me proposait de me raconter les fantasmes d'un minet, si cela pouvait m'intéresser dans mes histoires. Ce jeune mec était très poli dans son message et m'a amusé. Il ne me demandait rien, seulement me dire qu'il était jeune, et proposait, alors je lui ai répondu que oui cela pouvait m'intéresser, que c'était toujours intéressant de connaitre les fantasmes des gens et nous avons commencé à entretenir une petite correspondance et j'ai écrit des histoires avec ses fantasmes. Je lui envoyais, il semblait ravi! ((voir Le maître nageur, à venir)).

Donc ce samedi j'étais lancé, quand vers le milieu de l'apprès midi j'entends une voix entrer chez moi, eh oui la porte est toujours ouverte à la campagne.

-si tu te branles change pas de main!

Mehdi était là. Je "l'engueulais " encore une fois en disant qu'un jour il y aura quelqu'un qu'il ne connait pas et qui ne sera peut être pas pédé. Mais il s'en fout, me claque une bise sur les joues et une une sur la bouche.

-ça va mon pote ? t'es tout seul ?

-oui Cédric avait des trucs à faire et Ozgürd est en famille, ça tu dois le savoir.

-eh eh oui, donc tu t'es dit si j'allais emmerder mon pote.

Il rigole, se penche par dessus mon épaule et commence à lire.

-mais ti es en d'écrire des salouperies mon ami dit il prenant son accent arabe qu'il n'a pas et faisant le mec outré.

-des saloperies que t'aimes bien lire mon cochon.

-fais voir que je lise.

Il me pousse, s'assoit carrément sur mes genoux et commence à lire. Il fait exprès de frotter son cul sur ma queue.

-ben dis donc c'est chaud ça, il en prend plein le cul ce minet… c'est qui ?

-c'est qui! j'en sais rien, tu sais bien que si je raconte pas ce qui m'arrive, le reste je l'invente.

-ben dis donc c'est drôlement réaliste. J'aimerais bien connaître un petit minet comme ça, puceau , qui prendrait ma queue pour la première fois. Je pense que je serais moins tendre que toi! mais au fait si c'est inventé complètement… pourquoi c'est ton nom dans l'histoire…?

Qu'est ce qu'il est filou ce Mehdi.

-ben pourquoi pas!

-ben parce que je te connais mon pote, et c'est toi même qui le dit, quand tu mets ton nom c'est que c'est réel! alors tu me caches un minet comme ça ? à moi ton vieux pote.

Et il rigole. Mais quand il est lancé comme ça, il ne lâche jamais le morceau.

-mais non je t'assure je ne le connais pas ce minet! je ne l'ai jamais vu ni rencontré.

-tsitt tsitt tu mens mon ami… si tu l'as pas rencontré tu le connais.

-tu fais chier Mehdi avec tes questions à la con.

-oh mon petit chéri que j'adore et adorerais toujours… alors j'ai raison.

Et, donc pour avoir la paix, je lui ai raconté l'histoire du minet.

-bah c'est tout ?

-oui c'est tout!

-t'as écrit d'autres histoires sur lui ?

-oui et je lui ai fait lire les histoires depuis le début.

Je l'ai laissé devant l'ordi, j'ai été cherché des bières pour venir m'asseoir près de lui et lire avec lui.

-putain c'est chaud n'arrêtait il pas de répondre… tiens, touche!

Il prend ma main et la pose sur sa queue, qui naturellement bandait, cela m'aurait étonné du contraire.

Quand il a eu fini de lire toutes les histoires, il s'est tourné vers moi.

-maintenant faut éteindre l'incendie.

On est allé dans ma chambre, après avoir fermé la porte d'entrée et ce fut une bonne fin d'après midi. Il était déchaîné.

-je veux que tu sois mon maître nageur comme dans l'histoire… que tu me mâtes!

-je sais que t'es docile quand tu veux Mehdi et maintenant c'est moi qui suis excité.

Il m'a embrassé tendrement, ma reniflé partout, m'a sucé comme un chef! il aime tenir mes couilles et avaler ma queue en entier, saliver dessus en faisant des vas et viens, me caresser le corps, les tétons, me mordiller, les lécher, se frotter contre moi, m'embrasser, me donner sa bite à sucer, à caresser, bien m'écarter son cul pour que ma langue le pénètre et le fasse gémir, comme une salope dit-il toujours, et le summum c'est quand je le pénètre et qu'on fait l'amour. Car on n'est pas nombreux a qui Mehdi donne son cul et j'aime ses moments avec lui, il se prend ma queue en gémissant, n'arrêtant pas de dire encore, qu'il faut que je le défonce, plus vite, plus fort… quand il se donne, c'est à fond.

Je venais encore une fois de remplir son petit cul, son beau petit cul (il va lire cette histoire…) et il avait joui dans ma bouche pour me donner tout son bon nectar. Le premier round était terminé. On était allongé tous les deux sur mon lit, sa tête dans le creux de mon épaule, on parlait de choses et d'autres, surtout des mecs que l'on avait baisé ensemble. Il jouait avec sa queue semi bandante… quand…

Mon chat Mistigri pour ne pas le nommer, saute sur le lit…

C'est une jeune chat de gouttière d'un an, très joueur, qui vient souvent me retrouver au lit et quand je redresse la tête, je le vois accroupi aux pieds de Mehdi, les yeux rivés sur la queue de Mehdi qui la fait bouger tranquillement, j'ai trouvé ça marrant. Mais avant que je réalise ce qui pouvait se passer et que je dise à Mehdi de se méfier le bon Mistigri se jette sur la queue de Mehdi qui pousse un cri. Le chat lui avait mordillé la queue de ses petites dents bien pointues et entendant crier Mehdi avait sauté du lit pour s'enfuir.

J'étais écroulé de rire devant un Mehdi qui s'observait la queue dans tous les sens.

-mon pauvre chéri t'as failli te faire bouffer la saucisse.

-putain mais faut le nourrir ton chat!

-allez! fait voir, t'as l'air d'être entier.

J'ai observé sa queue minutieusement. On voyait bien là où le chat avait planté ses petites dents. Mais heureusement, je pense, que Mehdi avait crié, le chat avait immédiatement lâché la saucisse de Mehdi. Ben oui d'habitude sa viande ne gueule pas à mon Mistigri…

J'ai caressé sa queue, j'ai passé ma langue là où le chat avait mis ses dents. J'ai léché et la queue de Mehdi est revenue à la normale, alors je l'ai sucé en lui doigtant son petit cul que j'aime tant et il m'a octroyé encore des rasades de son bon jus.

On s'est allongé tous les deux, tranquille. Le chat est revenu sur le lit, Mehdi s'est mis à plat ventre immédiatement.

-tu veux qu'il te bouffe le cul maintenant ? je lui ai pas appris ça à Mistigri.

-pfft!

Et le chat, pas rancunier de ne plus avoir de saucisse, est venu se pelotonner entre nos deux têtes et s'est mis à lécher le nez de Mehdi.

-là il s'excuse dis-je à Mehdi qui ne bougeait pas.

Puis le chat a fermé les yeux et ronronnait entre nous deux.

-c'est de la faute à Izmir, il aime l'avoir avec lui et tu penses le chat, il demande que ça.

On est resté un petit moment comme ça et on s'est levé pour ne pas déranger le chat a dit Mehdi.

On est revenu au salon, boire un verre et discuter et Mehdi a ramené le sujet sur le petit mec des histoires.

-t'es toujours en contact avec le petit puceau ?

-ben oui pour l'instant c'est pour lui que j'écris ces histoires.

-pourquoi tu fais ça avec lui ?

-j'en sais trop rien, j'ai aimé sa façon de m'écrire la première fois, de me vouvoyer. Il a du me prendre pour un croulant et au fur et à mesure des écrits, je t'avoue que j'aime lui faire plaisir même si je ne sais rien du tout de lui. J'aime ce jeu avec lui.

-mais t'aimerais bien le sauter ?

-oh toi! tu penses vraiment qu'à ça.

-ben si j'écrivais des choses comme ça pour un mec, c'est parce que je voudrais le sauter.

-j'en sais rien. C'est sûr que si ces écrits étaient pour toi tu serais passé à la casserole voyou!

-t'as toujours été trop gentil et sentimental.

-c'est bien pour ça que tu m'aimes non ?

-pour ça et pour tout le reste. Tu es le mec que j'aime et que je préfère tant en amitié qu'en baise et tu sais très bien que c'est pour ça que je suis jaloux d'Izmir.

-Mehdi tu vas pas recommencer encore. Tu te tapes le frangin, t'as baisé avec Izmir et tu lui as accordé ton cul il me semble alors ça veut bien dire quelque chose.

-ahhhh c'est vrai que tu as toujours raison mais c'est vrai aussi qu'heureusement tu es là pour m'empêcher de faire trop de conneries.

-oui c'est bien ce que pense ta mère aussi dis je en riant.

-dis, je peux jouer avec ton minet ?

-comment ça jouer ?

-j'ai envie que tu lui envois une petite vidéo de moi en train de me branler.

Je le regardais sidéré.

-pourquoi tu veux que je fasse ça ? il ne m'a jamais rien demandé de tel.

-tu lui dis que j'ai lu tes histoires et que je lui fais un cadeau pour qu'il voit ce qu'est une vraie bite de rebeu.

-des bites de rebeu y'en a plein internet Mehdi.

-des comme la mienne ? ça m'étonnerait!

On a éclaté de rires tous les deux et j'ai acquiescé à sa demande.

On a fini l'après midi dans les bras l'un de l'autre, se caressant s'embrassant, on s'est branlé mutuellement. Il n' avait pas besoin de baises sauvages entre nous pour être heureux. La tendresse et c'est vrai qu'il m'aimait beaucoup, énormément autant que moi et que le plaisir était toujours là quand on se retrouvait tous les deux.

Potes, amis, amants.