Vacances originales ... 1/2 - histoire érotique

Je garde un souvenir impérissable de nos vacances dans un petit camping de la côte sauvage … et ma femme encore plus !
Dés le premier jour j’ai tout de suite vu que le barman de la buvette attenant a la scène ou se déroule les animations du soir plaisait a Angélique et que c’était réciproque, les femmes flairent ça de suite
Quelle femme résisterait au charme d’un surfeur bronzé et bâtit comme un athlète
Sur la plage, allongée sur le ventre, les mains sous son menton, elle a l’air pensive, rêveuse

- Et si nous allions à l’animation au bar ce soir chéri ?
- Boff ! pour voir des niaiseries a deux balles ?
- Nous allons nous coucher comme deux retraités depuis trois jours, tu dois être remis de la fatigue de la route maintenant ?
- Ce ne serait pas plutôt un prétexte pour voir le beau barman ?
- Bah ! tout de suite les grands mots
- Jure-moi qu’il ne te plait pas ?
- Bien sûr il est bel homme, mais de là a penser à coucher avec …
- Caresse-moi la queue et nous y allons ce soir
- Quoi ? te masturber ici ?
- Mais oui, rien de plus facile, allonge toi sur le coté face a moi et passe une main dans mon flottant, je suis déjà en érection
- Tu peux me dire ce qui t’excite ?
- Toi !
- Moi ?
- Oui, toi avec le beau gosse
- Tu délire ?
- Je t’imagine entre ses bras musclés avant qu’il ne te prenne devant moi, il doit être bien monté ce mec, et comme tu fantasme sur les grosses bites…
- Arrête ! et d’ailleurs je n’ai connu que la tienne de bite, et elle me suffit amplement
- Raison de plus pour comparer
- Chéri, tu me fais mouiller le bikini !
- Branle-moi et je te branle …

La tête dans mon épaule corps contre corps elle glisse une main dans l’élastique de mon short et empoigne ma queue bandée pour retrousser le prépuce, moi je repousse son maillot dans une aine et enfile deux doigts dans sa chatte trempée, elle se raidie spontanément lorsque j’effleure son clito du pouce, les gens qui passent peuvent juste imaginer deux amoureux qui se blottissent l’un contre l’autre

- Nous irons voir le barman ce soir, nous ferons connaissance et essaierons de le retenir après vingt trois heures, tu lui montreras ton bronzage intégral
- Les seins ?
- Et les fesses aussi, tu le feras bander
- Il pourra me toucher ?
- Oui et toi aussi tu le toucheras
- Ohhhhhhhhhhhh je vais jouir …..
- Fait le en silence, moi aussi je vais décharger, tant pis pour le maillot, je vais aller le rincer dans les vagues …. Aaaaahhhhhh ça y est …. Hhoooooooooooooooo que c’est bon !
- Je pisse dans tes doigts, muuuuuuuuuummmmmm je joooooouuuuuiiiiiiiiiiis !!

Il était déjà l’heure de rentrer, nous n’en avons pas reparlé, Angélique est allée prendre sa douche, drapée d’un simple paréo avant de préparer un diner simple, malgré ma ferme intention de la ‘prêter’ a un étranger je devenais hésitant, je n’étais plus aussi sûr de voir ma femme prendre du plaisir devant moi

- Je me prépare ?
- Heeeeuuuu … oui bien sûr, qu’est-ce que tu mets ?
- Ma mini-robe de plage ? la portefeuille sans soutient gorge ?
- Évidemment, met tout de même un string, ne serais-ce que pour les autres gens
- Évidement mon amour, regarde je me suis épilée complètement la chatte !
- Il faudra parfaire ton bronzage, c’est blanc ou il y avait des poils
- Demain matin j’irais m’exposer au soleil
- T’ira seule, c’est fréquenté tu ne risque rien, je dois aller faire des courses, allons au bar, c’est l’heure

Agrippée à mon bras comme a une bouée, je sens Angélique fébrile, comme si je l’amenais à un sacrifice, toutes les tables sont occupées il ne reste que deux tabourets au comptoir …le barman nous regarde arriver avec un large sourire

- Voilà mes touristes préférés ! comment c’est passé la journée ?
- Plage, bronzage et baignade naturellement !
- Vous allez ‘chez les tout nus’ ?
- Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
- Je ne vois pas le bas, mais le peu que je vois des seins magnifiques de madame ne portent pas de traces !
- Bien vu ! Angélique et moi ne supportons pas un maillot mouillé sur nous !
- Vous avez raison, dés que je peux c’est ce que je fais, je vous sers un cocktail ? désolé pour le manque de place
- Nous somment bien au bar, ainsi nous pouvons parler ensemble, à moins que la vue que vous avez sur les cuisses d’Angélique ne soit insupportable ?
- Je risque l’apoplexie, mais je tiendrais le coup !
- Vous ne devez pas être privé de gente féminine ?
- J’avoue que beaucoup de nanas me font les yeux doux, mais je cède rarement car je manque de lieu décent pour les recevoir, comme je ne travaille pas le matin et quand elle est libre je fais ça dans notre cabane de surf, sur la plage, celle qui est juste a l’entrée de la zone naturiste
- Ah oui je l’aie vue !
- Rien ne t’échappe ma chérie !
- J’ai remarqué que les surfeurs rangeaient leur matériel là dedans c’est tout !
- Mes potes seraient ravis de vous la faire visiter ! a vos risques et périls bien sûr !
- Tu ne dirais pas non, hein mon amour ?
- Je n’ai jamais rien fait sans toi alors a plusieurs ça me ferait peur !
- Vous ne voulez pas vous déplacer sur le coté du bar ? ainsi vous tourneriez le dos au public ce serait plus discret… car je serai très honoré si votre femme voulait bien me montrer le bronzage de sa poitrine …
- Chérie ?
- Pourquoi pas ? si c’est seulement vous qui en profitez …
- Au fait, moi c’est Johnny, vous, j’ai compris que c’est Angélique, très beau prénom d’ailleurs
- Moi c’est Christophe

Les yeux rendus brillants par le cocktail et a l’idée de montrer pour la première fois ses seins à un inconnu, Angélique se déplace comme l’a indiqué le barman a la différence que sur le tabouret elle écarte davantage les cuisses ce qui fait ouvrir sa robe portefeuille et montre son string blanc en tulle au travers duquel on distingue ses lèvres bien pleines, dépourvues de toison
Johnny l’a vu et se penche sur le comptoir, mais pour entretenir le suspense elle resserre vivement les genoux, puis, elle lance dans un souffle, afin que personne n’entende

- Hé bien Johnny ? On mate les femmes mariées ? Nous avons parlés seulement des seins
- Excusez moi je suis tellement impatient de découvrir vos trésors !
- Ne nous fait pas languir ainsi, défait le cordon de ta robe chérie
- Toi aussi tu veux regarder ? tu les connais pourtant bien ! attention …un… deux … et …trois !
- Houuuaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ……

Je n’aurais jamais deviné qu’elle soit aussi osée ! Elle ouvre les pans de la mini-robe et montre ses deux obus dont les bouts sont tendus comme lorsque nous faisons l’amour, l’homme ouvre grand la bouche et les yeux, il réprime de justesse le mouvement de tendre sa main vers la poitrine offerte, par dépit le bras se baisse derrière le comptoir, aux mouvements de son avant bras je divine qu’il se masse la braguette

- Jeeee… Heeeeeuuuu… je vous offre un autre cocktail ? le spectacle va se terminer, vous devriez rester, le temps de fermer le bar et nous discuterons à l’intérieur
- Avec joie, tu peux cacher tes nichons ma chérie !
- Ah oui ? dommage, il fait chaud j’étais bien ainsi !
- Tu pourras tout enlever dans cinq minutes ….
- NON CHÉRI !! pas ça …
- Tu nous as allumés, il faut assumer
- Je veux juste voir Angélique ….
- D’accord …
- Faites le tour discrètement, je vous ouvre
- Referme le bas de ta robe Angélique
- Oh ! j’allais oublier !

Elle est mûre a point, a mon grand étonnement, je suis prêt a la ‘prêter’ a cet homme, nous faisons le tour du bâtiment, une minute plus tard la porte s’ouvre, nous nous engouffrons dans la réserve
Des caisses de boisons encombrent le sol, Johnny nous montre deux sièges improvisés et une caisse sur laquelle nous attendent des verres, sans que personne ne lui demande Angélique tire sur le cordon qui maintient difficilement sa robe fermée décemment, Johnny vient derrière elle et se met a genoux, ses mains tirent sur le vêtement qui glisse autour d’elle, il ne lui reste plus que le string largement taché d’humidité, d’une voix devenue rauque par l’émotion le barman s’adresse a ma femme

- Levez vous angélique …

Ses yeux m’interrogent, je bats des cils, elle se redresse et bombe le torse, mettant ses seins en valeur, c’est au tour de l’homme à m’interroger du regard, nouveau battement de cils …il se lève et pose ses mains sur les frêles épaules, elles glissent lentement vers la poitrine Angélique, les yeux clos, les bras le long du corps, elle attend …une plainte étouffée accompagne la prise en mains des seins durcis, ses bras se tendent en arrière pour saisir les cuisses de l’homme qui se colle franchement a elle , ses fesses ondulent sur l’érection que je devine démesurée, Johnny l’embrasse dans le cou, sa tête se renverse en arrière et se tourne , les lèvres s’agressent, les langues passent de bouche en bouche, une main masculine descend vers l’entrejambe qui s’ouvre instinctivement, les doigts malaxent les lèvres encore cachées sous le tulle quasi transparent, je sors ma queue comprimée dans sa prison …
Angélique croise ses cuisses en signe d’énervement, la main passe dans l’élastique et vient a même la chatte, cette fois les jambes s’ouvrent totalement, j’ai juste eu le temps de voir les doigts ondulant chercher la fente avant qu’ils ne disparaissent dans la vulve
Johnny lâche le sein qu’il tenait toujours et fouille a la taille de son pantalon, celui-ci chute en accordéon a ses chevilles, au passage je remarque qu’il a le cul bronzé, une autre manipe pour passer le slip sous ses couilles, j’aperçois la grosse colonne de chair cassée en deux sur les reins de ma femme, elle se penche en avant pour lui faire comprendre ce qu’elle désire …
Je viens devant elle pour la soutenir, elle se tient a ma bite et se voute encore plus, le barman la lâche un court instant, prend sa queue d’une main, les doigts de l’autre main écartent le vagin, inutile de passer de la salive pour faciliter l’introduction, elle est enfondue, il va la baiser …elle ne bouge plus …je la maintiens par les épaules afin qu’elle reste immobile lord de la pénétration… ça y est ! Le ventre de Johnny touche les fesses de ma femme qui vient d’expulser un râle enchanté, les deux mains sur les hanches il entreprend une sarabande soutenue, la queue perfore sèchement le vagin, Angélique couine de bonheur, me sucer ne lui vient même pas a l’esprit, je comprends qu’elle veuille savourer sa première pénétration par une bite étrangère, une main crispée sur ma bite, l’autre s’accroche avec ses ongles a ma cuisse, Angélique jouit en quelque minutes, son amant l’accompagne aussitôt, une fois la tension retombée les deux amants n’osent me regarder

- Alors les amoureux ? C’était bon ?
- Excusez-moi Christophe, d’habitude je ne fais jamais ça devant le mari
- Je préfère ainsi, et toi mon amour ?
- Je reste un peu sur ma faim, mais c’était super ! merci a toi amour de ma vie, rentrons, j’ai envie de te sentir sur moi… et en moi
- Bonsoir Johnny, a demain


A SUIVRE …