Vive les vacances 3
Récit érotique écrit par Florence27 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Vive les vacances 3
VIVE LES VACANCES SUITE 3
Marie. était rouge de confusion, j'ai tenté de la rassurer en lui disant qu'à son age il était normal de vouloir connaître les choses du sexe.
- As-tu déjà embrassé un garçon ?
Son silence et sa rougeur étaient éloquents!
- Quand je vois ta réaction, il est inutile que je te demande si tu as embrassé une fille ?
La rougeur augmentait !!!
- Viens dans mes bras ma belle, je vais te montrer ce qu'est embrasser, au moins une fille, avec les garçons c'est la même chose, mais tu ne vas quand même pas essayer avec ton frère !
Elle vint, timidement, vers moi et je lui pris la main pour la faire asseoir sur une des couchettes à mes cotés. Je l'ai prise par le cou et j'ai lentement posé mes lèvres sur les siennes. Elle était très passive mais je la sentais consentante et avide d'apprendre.
Elle gardait ses lèvres fermées, j'ai donc lentement insinué ma langue entre les siennes afin d'y chercher sa langue; comme l'aurait fait un garçon avec son sexe pour être le premier à écarter les lèvres du puit d'amour ?
Petit à petit je la sentais se détendre, ses bras s'étaient passés autour de mon cou et sa langue commençait à jouer avec la mienne. Mes lèvres se firent plus pressantes et ma langue plus hardie. Au fur et à mesure tout son corps se détendait et elle se laissait aller contre moi.
Elle était nue et sa peau sentait le miel. Je n'avais qu'une envie, aller voir comment se comportait la petite fente aux milieux de ses poils naissants. Pour ne pas brusquer les choses j'ai commencé à caresser doucement ses jeunes et peux volumineux mamelons dont je sentais les pointes vibrer sous mes caresses; très bon présage !!!
Pendant que d'une main je continuais à agacer la pointe d'un sein, mon autre main s'était posée sur son genou et entamait une, lente, reptation vers des endroits plus intimes que je convoitais. Lorsqu'elle sentit ma main arriver en haut de sa cuisse, elle quitta mes lèvres pour me dire dans un souffle.
- Arrête. Il parait que c'est sale!!!
- Qui a dit une chose pareille ! C'est même l'un des plus grand bonheur de la vie, tu n'as jamais caressé cette jolie petite fente ? Tu n'as jamais rien senti entre tes cuisses?
- Si, cela m'est arrivé, mais j'ai tout de suite arrêté, car il parait que ce n'est que les petites vicieuses qui sentent des choses bizarres à cet endroit.
Cette réflexion fît rire son frère qui nous observait avec beaucoup d'intérêt !
- Je te promet de te démonter que ces sensations sont aussi délicieuses et même plus que de manger le meilleur gâteau à la crème que tu puisses aimer !!!
- Pour le moment je sens simplement que cela me fait faire pipi, je suis toute mouillée à cet endroit !!!
- Tu ne fais pas pipi, tu es simplement excitée, cela veut dire que tu as envie d'autres choses que de lèvres sur ta bouche, qu'une langue qui joue avec la tienne ou q'une main titillant tes jeunes seins. Laisses toi faire. Je te montrerai le "Nirvana".
- C'est sans doute ce que Brigitte et Isabelle ont voulu dire, un soir, à papa quand ils sont rentrés d'un bain de minuit : "Mène-nous au Nirvana"!
Tiens curieuse réflexion, l'ami de mon père aurait-il des jeux à trois en rentrant des bains de minuit ? Il faudrait que j'élucide la question.
-Tu te sens mouillée ma belle je vais donc pouvoir te faire jouir pour la première fois de ta vie. J'espère que tu en garderas un bon souvenir.
Je partis à la recherche de sa petite fente au milieu de sa pilosité naissante aux longs poils clairs. Mes doigts furent immédiatement trempés du suc divin qui coulait de ses cuisses.
Dès qu'ils en furent imbibés je les portais à ma bouche pour mieux déguster sa senteur juvénile ! Mais cela ne me suffisait pas. Il me fallait ses lèvres dans ma bouche afin que je puisse, du bout de la langue, aller y dénicher un clitoris qui ne demandait qu'à s'épanouir tel un papillon sortant de sa chrysalide.
Je me mis à genoux, en lui écartant bien les cuisses, ses lèvres étaient peu recouvertes par ses poils pubiens et j'ai donc pu contempler sa fente tout à loisir, avant d'y poser ma bouche, dont la cyprine coulait d'abondance !!!
Son frère continuait à nous regarder avec concupiscence.
Il savait à quoi je savais utiliser ma bouche !!!
J'ai doucement léché cette fente, de bel abricot juteux, dont sourdait le doux nectar.
Marie se tordait, elle découvrait ce qu'était la jouissance; j'avais un malin plaisir à sucer son bouton d'amour, tout gonflé, sensation qu'elle n'avait encore jamais éprouvée!!!
J'ai demandé à son frère de venir boire ma liqueur, ruisselant entre mes cuisses. Il le fit maladroitement.
Peu m'importait, je m'étais occupée des deux puceaux!!!!
Je n'avais plus qu'une hâte, être seule sur le pont pour titiller mon clitoris en fantasmant sur toutes les lèvres, masculines ou féminines, qui le prendraient afin qu'il soit encore plus gonflé et sensible qu'il ne l'était sous mon index!!!
J'étais restée, étendue nue sur le pont, les deux jeunes, étaient partis faire de beaux rêves sur ce qu'ils avaient découvert. L'ami de mon père, Brigitte. et Isabelle. n'étaient pas encore rentrés à bord.
Le ciel était beau, plein d'étoiles pas trop masquées par une superbe lune.
J'étais bien, caressant mes seins, ma toison, suçant mes doigts pleins de la mouille de Marie; le souvenir du sperme de Jérôme. emplissant ma bouche.
Le sexe était vraiment une chose merveilleuse!!!!
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Marie. était rouge de confusion, j'ai tenté de la rassurer en lui disant qu'à son age il était normal de vouloir connaître les choses du sexe.
- As-tu déjà embrassé un garçon ?
Son silence et sa rougeur étaient éloquents!
- Quand je vois ta réaction, il est inutile que je te demande si tu as embrassé une fille ?
La rougeur augmentait !!!
- Viens dans mes bras ma belle, je vais te montrer ce qu'est embrasser, au moins une fille, avec les garçons c'est la même chose, mais tu ne vas quand même pas essayer avec ton frère !
Elle vint, timidement, vers moi et je lui pris la main pour la faire asseoir sur une des couchettes à mes cotés. Je l'ai prise par le cou et j'ai lentement posé mes lèvres sur les siennes. Elle était très passive mais je la sentais consentante et avide d'apprendre.
Elle gardait ses lèvres fermées, j'ai donc lentement insinué ma langue entre les siennes afin d'y chercher sa langue; comme l'aurait fait un garçon avec son sexe pour être le premier à écarter les lèvres du puit d'amour ?
Petit à petit je la sentais se détendre, ses bras s'étaient passés autour de mon cou et sa langue commençait à jouer avec la mienne. Mes lèvres se firent plus pressantes et ma langue plus hardie. Au fur et à mesure tout son corps se détendait et elle se laissait aller contre moi.
Elle était nue et sa peau sentait le miel. Je n'avais qu'une envie, aller voir comment se comportait la petite fente aux milieux de ses poils naissants. Pour ne pas brusquer les choses j'ai commencé à caresser doucement ses jeunes et peux volumineux mamelons dont je sentais les pointes vibrer sous mes caresses; très bon présage !!!
Pendant que d'une main je continuais à agacer la pointe d'un sein, mon autre main s'était posée sur son genou et entamait une, lente, reptation vers des endroits plus intimes que je convoitais. Lorsqu'elle sentit ma main arriver en haut de sa cuisse, elle quitta mes lèvres pour me dire dans un souffle.
- Arrête. Il parait que c'est sale!!!
- Qui a dit une chose pareille ! C'est même l'un des plus grand bonheur de la vie, tu n'as jamais caressé cette jolie petite fente ? Tu n'as jamais rien senti entre tes cuisses?
- Si, cela m'est arrivé, mais j'ai tout de suite arrêté, car il parait que ce n'est que les petites vicieuses qui sentent des choses bizarres à cet endroit.
Cette réflexion fît rire son frère qui nous observait avec beaucoup d'intérêt !
- Je te promet de te démonter que ces sensations sont aussi délicieuses et même plus que de manger le meilleur gâteau à la crème que tu puisses aimer !!!
- Pour le moment je sens simplement que cela me fait faire pipi, je suis toute mouillée à cet endroit !!!
- Tu ne fais pas pipi, tu es simplement excitée, cela veut dire que tu as envie d'autres choses que de lèvres sur ta bouche, qu'une langue qui joue avec la tienne ou q'une main titillant tes jeunes seins. Laisses toi faire. Je te montrerai le "Nirvana".
- C'est sans doute ce que Brigitte et Isabelle ont voulu dire, un soir, à papa quand ils sont rentrés d'un bain de minuit : "Mène-nous au Nirvana"!
Tiens curieuse réflexion, l'ami de mon père aurait-il des jeux à trois en rentrant des bains de minuit ? Il faudrait que j'élucide la question.
-Tu te sens mouillée ma belle je vais donc pouvoir te faire jouir pour la première fois de ta vie. J'espère que tu en garderas un bon souvenir.
Je partis à la recherche de sa petite fente au milieu de sa pilosité naissante aux longs poils clairs. Mes doigts furent immédiatement trempés du suc divin qui coulait de ses cuisses.
Dès qu'ils en furent imbibés je les portais à ma bouche pour mieux déguster sa senteur juvénile ! Mais cela ne me suffisait pas. Il me fallait ses lèvres dans ma bouche afin que je puisse, du bout de la langue, aller y dénicher un clitoris qui ne demandait qu'à s'épanouir tel un papillon sortant de sa chrysalide.
Je me mis à genoux, en lui écartant bien les cuisses, ses lèvres étaient peu recouvertes par ses poils pubiens et j'ai donc pu contempler sa fente tout à loisir, avant d'y poser ma bouche, dont la cyprine coulait d'abondance !!!
Son frère continuait à nous regarder avec concupiscence.
Il savait à quoi je savais utiliser ma bouche !!!
J'ai doucement léché cette fente, de bel abricot juteux, dont sourdait le doux nectar.
Marie se tordait, elle découvrait ce qu'était la jouissance; j'avais un malin plaisir à sucer son bouton d'amour, tout gonflé, sensation qu'elle n'avait encore jamais éprouvée!!!
J'ai demandé à son frère de venir boire ma liqueur, ruisselant entre mes cuisses. Il le fit maladroitement.
Peu m'importait, je m'étais occupée des deux puceaux!!!!
Je n'avais plus qu'une hâte, être seule sur le pont pour titiller mon clitoris en fantasmant sur toutes les lèvres, masculines ou féminines, qui le prendraient afin qu'il soit encore plus gonflé et sensible qu'il ne l'était sous mon index!!!
J'étais restée, étendue nue sur le pont, les deux jeunes, étaient partis faire de beaux rêves sur ce qu'ils avaient découvert. L'ami de mon père, Brigitte. et Isabelle. n'étaient pas encore rentrés à bord.
Le ciel était beau, plein d'étoiles pas trop masquées par une superbe lune.
J'étais bien, caressant mes seins, ma toison, suçant mes doigts pleins de la mouille de Marie; le souvenir du sperme de Jérôme. emplissant ma bouche.
Le sexe était vraiment une chose merveilleuse!!!!
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