Vivianne, mon Graal (Ch I) "Rencontre"

- Par l'auteur HDS Prospero -
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Récit libertin : Vivianne, mon Graal (Ch I) "Rencontre" Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2025 dans la catégorie Pour la première fois
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Vivianne, mon Graal (Ch I) "Rencontre"
Voici une série de textes dont je ne sais pas si j’irais au bout tant cette période de ma vie a été important, heureuse, joyeuse, sombre et dramatique. Je ne cacherais pas que j’ai bien faillis ne pas aller plus loin que cet horrible échec.



Pourtant tout a commencé presque comme un conte de fée.
Vivianne la fée. Pour ceux qui connaissent les légendes celtiques, Arthur, Merlin et les autres. Vivianne est un prénom qui me parlait.



Un copain me dit qu’il était invité à un mariage d’un frangin en Alsace, il n’avait pas envie d’y aller seul, sa copine étant bloquée par son job. Faire la route seul l’emmerdait. Et comme il me savait, pas très en forme à la suite d’une rupture récente (Giovanna). J’acceptais pourquoi pas, picoler un peu voir rencontrer une paire de fesses agréable.

Nous voici partis pour Strasbourg. J’avais eu déjà l’occasion de croiser la famille de mon pote. Le frangin se mariait avec une charmante Alsacienne, blonde accent compris, jolie fille. Je ne vais pas raconter le mariage bien sûr, vous en avez déjà vu. Naturellement les organisateurs retors de ce genre de sauteries aiment à penser qu’il est bien de mélanger les convives. Donc on mélange on éparpille. Résultat on te colle des inconnus ensembles sans discernement. Je dois dire que pour une fois j’ai eu de la chance (ou la pire des malchances) de me retrouver attablé face a une jolie brune, regards pénétrant, yeux gris acier. Des cheveux ondulés très longs. Très jolie femme, dans une robe aussi jolie qu’elle, un décolleté mettant en valeur des seins ronds et fermes, une silhouette harmonieuse, des hanches et un postérieur rebondi, de jolies jambes. Et surtout une conversation intéressante, on a de nombreux points communs, histoire, littérature nous rapprochent. Sa façon de voir le monde aussi, ni elle ni moi n’aimons la tournure des choses. Comme moi elle n’aime pas particulièrement les fêtes, mariage et tous ces réjouissances. Comme moi elle sort d’une relation difficile.

Le destin semble nous avoir rapproché avec un but. Elle est médecin spécialisée dans la traumatologie (ironie du destin vous comprendrez) et elle exerce depuis assez peu dans un gros centre de traumatologie situé dans la banlieue de Strasbourg à Illkirch Graffenstaden (simplicité des noms alsaciens)

Le courant passe très vite entre Vivianne et moi. Levons un détail, son prénom est Nicole en fait mais elle utilise son second prénom Viviane qu’elle lui préfère de loin. Je lui fait savoir que je suis vraiment enchanté qu’elle utilise ce prénom. Le plus ironique c’est qu’après elle j’ai fini par rencontrer une femme avec qui j’ai passé 2 ans que j’ai épousé pour 15 jours après le mariage quitté cette union pour éviter de l’enterrer dans le jardin. Je n’avais jamais vu une femme changer aussi vite que ma femme Nicole.. Hé oui le destin.

Revenons a Vivianne dans la période idyllique.

J’ai dansé un peu avec Vivianne, je ne suis pas un fan de danse, mais çà permet de se rapprocher, de sentir comment les corps réagissent, avec Vivianne ce fut magique, déjà elle n’avait pas la volonté de mettre de la distance par convenance. Je crois qu’elle était attirée déjà par nos échanges d’idées. Elle se lovait contre moi durant les slow, se laissait aller, joue contre joue, sa main sur ma nuque, la mienne au creux de ses reins sous ses longs cheveux. Une cambrure de reins affolante.

On s'est vite lassé des danses et j’ai fini par attraper une bouteille de champagne neuve et deux verres, nous sommes sortis dans le jardin, il faisait doux, les bancs de pierre nous tendaient les bras un peu éloignés du brouhaha nous avons commencé à parler de choses plus personnelles, au clair de lune. Romantique ? Oui vraiment je crois.

Je finis rapidement, par lui dire que je la trouvais vraiment jolie, dire l’inverse aurait été mentir. Elle me fit état de son gout pour mes yeux, toutes les femmes que j’ai pu avoir dans ma vie ont été unanimes, j’ai de beaux yeux verts et dorés j’ai fini par l’admettre alors que moi je ne les vois pas comme çà. Vivianne elle avait des yeux d’un gris acier pâle qui pouvaient être aussi attirants que lui donner un regard glacial. Je sentais chez elle une sorte de fragilité doublée d’une force incroyable. Fragilité car elle évoquait son travail de tous les jours au centre de traumatologie, passer son temps avec des grands accidentés, des gens hommes et femmes qui étaient physiquement détruits demandait une force de caractère et une résilience que Vivianne avait. Je ne pensais pas que cette résilience cette force l’avait mené là ou elle était.

Les heures passants, plus on se rapprochait, intellectuellement mais aussi tactilement. On n’avait l’impression de se connaitre depuis des années. Le petit matin approchait et in avait dû aller chiper au moins trois bouteilles, pour revenir les partager entre nous deux simplement.

- Tu es vraiment gentil me dit Vivianne passant sa main sur ma joue et ma barbe.

- Je ne regrette vraiment pas d’avoir accompagné Marc, j’ai la chance de te rencontrer, aussi jolie que drôle et intéressante. Mais aussi attirante.

- Ohhhh Attirante ? Je t’attire tant que çà Gilles?

- Plus que çà même dis je posant ma main sur sa joue.

- Hmmmm fit elle

Ma main passant derrière sa nuque sous la masse de ses cheveux, l’attira vers moi ou plutôt accompagna son mouvement vers moi. Sa bouche s’entrouvrit, et nos lèvres se touchèrent. Alors que j’étais inconsciemment attiré par elle, ce contact mis le feu a mes sens. Je sentais mon sexe entrer en érection.

Le baiser fut vraiment un instant mémorable 5h30 du matin le jour pointait, Vivianne et moi enlacés échangeaient un baiser dont la portée était loin d’être négligeable. C’était un jalon important d’une histoire aussi magnifique que tragique.

Cet instant magique passé, Vivianne me regardait avec un feu intense dans ses yeux.

- Vient-on va chez moi, tu a ta voiture ?

- Non je suis venu avec Marc.

- J’ai la mienne, viens dit elle me tendant la main.

Je pris cette main et la suivi docilement jusqu’ a sa voiture une Mini noire. Nous voila parti direction Illkirch, je ne peux m’empêcher de poser ma main sur sa nuque et de la caresser doucement. Sa main se pose sur ma cuisse et elle me sourit, tout en regardant la route.

- J’ai hâte d’être dans mon lit dit-elle Mais je n’ai pas sommeil du tout rit-elle

- Je suis comme toi tu sais. Ajoutais-je.

Nous voici arrivés rue des Fleurs çà ne pouvait pas mieux tomber. On descend de voiture, elle me tend la main je la tire a moi et nouveau baiser j’avais trop envie du gout de sa bouche, la chaleur de ses lèvres. Je suis conscient que je désir parle, j’ai envie d’elle. Mais plus profondément j’ai la sensation que ce ne sera pas une rencontre d’un soir de fête. Je suis piégé et volontaire pour rester dans le piége. Je suis fait comme çà, je sais qu’il y aura des lendemains. Je la désire plus que tout, nous montons ls escaliers vers son appartement. Elle ouvre la porte et a peine entrée c’est elle qui saute a mon cou et m’embrasse tout en enlevant ma veste et la jetant au sol, j’ai trouvé la fermeture de sa robe, le zip coulisse, sa robe chois à sa taille et je me rends compte quand elle enjambe la robe qui glisse au sol, elle n’avait rien dessous, elle est en bas blancs et escarpins a talons haut. Image magnifique que je n’oublierais jamais, penchée vers moi pour m'embrasser ses deux seins lourds qui se balancent, mes mains qui s’en emparent avant de basculer sur elle, sur le lit. Ses doigts prestement dégrafent ma ceinture, et me voilà nu moi aussi.

Sans se dire un mot on se comprend, le désir est né doucement, il culmine maintenant. Nous n’avons pas envie de dormir bien sur. Je calme un peu le jeu je veux la voir, dans cette lumière naissante du petit matin, ses cheveux bruns éparpillés sur le lit. Sa chevelure est impressionnante. La pointe de ses cheveux arrive à la naissance de la raie de ses fesses, rondes, fermes et fort jolies., un petit ventre a peine rond, un pubis glabre et un abricot rebondi. Une taille assez fine et une poitrine opulente, ferme, des aréoles assez foncées sans êtres brunes des tétons longs, épais granuleux, que je léche avec passion.

- Tu es très belle, Vivianne et tu me plais beaucoup.

- Tu es beau aussi , je sens bien que tu ne va pas me croire, mais je te trouve beau, et tes yeux, ton sourire, ta douceur. Et je vois bien que je te plais, sinon tu ne serais pas aussi tendu là a cet endroit fit –elle en pointant du doigt mon sexe en érection

- Pourquoi je ne te croirais pas?

- On ne se connait pas depuis longtemps, tu ne te mets jamais en avant, tu m’as surtout écoutée et j’adore ta façon de me regarder. Viens, aimes moi Gilles.

Je me glisse entre ses bras tendus, nos bouches se scellent, dans un baiser enivrant. Mon sexe est entre nous posé sur son aine., Ma bouche est a l’assaut de ses seins que je presse. La jambe de Vivianne s’enroule autour de moi, mon sexe glisse sur sa fente, dont je sens la chaleur moite. Elle pense que je désire la posséder tout de suite, mais ma magnifique conquête ne me connait pas encore. Je n’ai pas pour habitude de me jeter sur les femmes pour les prendre, en son temps cela va venir mais pour le moment je veux la faire gémir de désir, l’amener a me supplier de la prendre. Ma bouche descend le long de son ventre, elle est a peine parfumée, et j’adore le gout de sa peau l’odeur de sa peau, douce sans excès. Me voici arrivé au centre de mon intérêt après un petit coup de langue a son nombril.

Vivianne est très chatte, elle ronronne presque se laisse aller sous mes caresses. Ses doigts jouent dans mes cheveux, enfin elle les caresse car j’ai toujours les cheveux très courts.

- Que tes mains son douces, ta langue aussi. J'aimes tu sais.

Je pense qu’en ne me précipitant pas en elle j’ai encore resserré ce petit lien naissant. Vivianne apprécie ma douceur. Ce corps que je découvre est taillé pour l’amour, le sexe. Elle s’ouvre pour moi docilement, ses cuisses grandes ouvertes me fournissent une vue merveilleuse, sur un sexe rose vif, déjà bien humide, ses petites lèvres sont discrètes et forme a leur jonction supérieur un capuchon de belle taille pour un clitoris long et gros d’une extrême sensibilité je vais le découvrir rapidement. Emporté par la passion, avec mes pouces je dégage justement de clito qui gonfle et durci , bille de chair rose nacrée, qui m'attire comme un aimant. La pointe de ma langue le touche, involontairement car je voulais glisser ma langue dans son sexe palpitant.

- Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhh pas si fort!!!

- Pardon, excuses moi dis-je vraiment embêté

- J’ai été surprise, oui là comme çà hmmm ta langue est pourtant si douce.

Cet impair est une fausse note, je sais pourtant que s’attaquer au clito sans avoir préparé le reste c’est vraiment idiot. Mais je rattrape facilement mon erreur, Vivianne apprécies ma langue, ses doigts sur ma tête et ses petits cris en atteste.

- Oh ouii oui comme cà, doucement. Oh c’est bon Gilles.

Son joli minou est de plus en plus mouillé, par ma salive, mais surtout par la cyprine qui coule en abondance, j’aime ce parfum d’épice , de poivre que dégage son sexe.. Maintenant qu’elle est trempée, je reviens vers le haut, ce clitoris qui est plus gonflé et dont le rose tendre, est passé au rose plus soutenu. Son vagin est agité de spasmes par moment elle s’ouvre en grand pour se resserrer subitement et lâcher une coulée de mouille de plus en plus laiteuse. Cette position, la bouche contre le sexe d’une femme est sans doute ce que je préfère et celles qui ont partagé mes caresses savent que ma langue est appréciable. Aucun mérite, j’aime manger le sexe des femmes. Là je me régales et j’ai bien l’intention de faire jouir Vivianne avant de prendre mon plaisir et j’espère la faire jouir de nouveau.

- Elle n’est pas dupe et sait que je ne vais pas la lâcher avant qu’elle prenne son pied.

- Oh chéri, tu va me faire jouir... encore continue oh ta bouche.

Seuls les bruits humides de ma langue, sa respiration hachée et ses gémissement emplissent la chambre. Mon érection est intense, limite douloureuse, je la désire intensément.

Vivianne s’agite, roule des hanches se cambre, crie, frappe le lit de ses mains. Agrippe les draps. Visiblement je plaisir la submerge, c’est fort, trés fort elle devient animale, son sexe est ruisselant, sa liqueur est plus forte, plus épaisse. Ma langue la fouille loin. Ses cuisses sont agitées d’un tremblement qui enfle a chaque seconde.

- Ouii chéri, encore , oui là !!!

Je prends son clito entre mes lèvres et l’aspire, c’est dantesque, elle se cambre arc boutée sur ses épaules, je suis le mouvement, ma bouche, ma barbe dégoulinent de son nectar. J’aurais son odeur un moment et j’adore çà.

Un coup de langue sur son clito déclenche la foudre et les éclairs.

- Ouuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Je jouissssssssssssssssssssssss Hurle Vivianne

En effet une vague humide emplis ma bouche, tandis qu’u n squirt puissant noie tout mon visage. Vivianne c’est lâché totalement. Elle est tremblante, elle se tortille sa jouissance est assez impressionnante. J’adore la voir comme çà.

- Gilles Gilles, oh viens prends moi je veux te sentir.

- Oui chérie, j’ai tellement envie de toi.

Je me place entre ses cuisses, mon sexe dur que je dois forcer a passer a l”horizontale car il s’obstine a rester dressé contre mon ventre.

Mon gland glisse dans ce sexe trempé, de la soie, bouillante, mais de la soie. A peine suis-je en elle que ce sexe vorace se met a palpiter, s'ouvrant se serrant sur mon vit. Je déguste l’instant. Je suis fait de telle manière que l’instant ou enfin je pénètre ma partenaire c’est le moment ou je considère que je lui fais l’amour. Je peux faire jouir une femme 10 fois si je ne l’ai pas pénétrée je ne lui ai pas fait l’amour. Je suis comme çà. J’aimes voir les yeux de ma partenaire, et Vivianne me regarder intensément. Tressaillement quand mon sexe la pénètre.

- Ohhhh je te sens bien en moi, oh c’est bon , oui fort.. Plus fort.

Vivianne aime que les assauts soient virils. Je me lâche, je ne retiens pas mes coups de reins elle apprécie. Ses jambes croisées sur mes reins m’attirent en elle. Mes couilles claquent sur ses fesses. Sa tête dodeline de gauche a droite, elle se mord les lévres, gémis, plusieurs fois je ne vois plus que le blanc de ses yeux. Elle agrippe ma nuque , s’accroche a moi et vient m’embrasser, gémissant sur ma langue.

- Baise moi fort Gilles, oh oui comme çà c’est bon ,bon,bon tu va me faire jouir encore...

Vivianne se donne a fond, une vraie fée de l’amour, une nymphe. Je ne suis que le satyre, mais je ne céderais ma place a personne. Dans ces instants sans le penser consciemment je sais que cette femme va compter dans ma vie, amoureux déja? Sans doute, ce n’est jamais conscient chez moi. Je me réveille a un moment et je sais que je suis amoureux. Ces premières étreintes m’ont lié a elle.

Je suis au bord de l’orgasme, en elle je ralentis goutant le plaisir de ce sexe brulant et palpitant, totalement liquéfié qui se serre autour de ma queue. Mes mains ont attrapé ses cheveux, on se regarde les yeux dans les yeux. Elle ne cille pas. Sa bouche entrouverte laisse échapper un râle continu, ses doigts se crispent sur mes bras qu’elle écrase et pétrit. Respiration courte, elle lutte pour ne pas fermer les yeux , moi aussi.

Quelques secondes avant moi elle se tend, se tétanise totalement, son sexe écrase ma queue, bon sang qu’elle est musclée en elle. Je crois qu’on a hurlé de plaisir en même temps.

- Je jouissssssssssssssssssssss ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii cria t elle.

- Ohhhh oui oui prends prends chérie

Ma mémoire est peut-être trompeuse, mais je ne le pense pas. J’ai ce matin-là connu une extase puissante et la simultanéité de nos orgasmes est sommes toute assez rare. Ce n’est pas gênant d’être décalés mais quand on à le bonheur d’être au rendez-vous, c’est intense.

Après ce premier “assaut” on s'est câliné quelques temps, mais naturellement notre désir était loin d’être éteint. Il devait être 6h30 du matin. Vivianne et moi devions participer a midi a nouveau a un repas avec les mariés, mais nous étions trop bien au lit, elle et moi avions la sensation que quelque chose venait de commencer entre nous. Ceux qui me lisent maintenant régulièrement doivent le penser. Non ce jour-là je ne lui ai pas dit “je t’aime” mais j’ai eu ces mots au bout de la langue a tous les instants.

A suivre

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