Vol 238...les turbulences d'une lune de miel

- Par l'auteur HDS GM34280 -
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Récit libertin : Vol 238...les turbulences d'une lune de miel Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Vol 238...les turbulences d'une lune de miel
J’étends les jambes, Val, mon mari, me prend la main et me sourit.
Je m’appelle Léa, et nous venons de nous unir, pour la vie. Là, nous sommes dans l’avion qui nous emmène à Bangkok, pour nôtre voyage de noces.
Cela fait presque une demi-heure que nous sommes installés, dans l’attente que les derniers passagers daignent monter. Et le dernier était d’une beauté à couper le souffle.
Cheveux noirs, barbe de trois jours,des yeux bleus acier...une super canon.
Je le vis s’avancer dans l’allée centrale, chercher sa place. Je ne le lâchais pas du regard.
Il prit le même fauteuil correspondant au nôtre, mais de l’autre côté de l’allée. Nous n’avions qu’à tendre la main, pour nous toucher. Bien évidemment, ça ne risquait pas de se produire.
- C’est bon, me dit Val, on décolle.
Je me penche sur mon mari pour avoir accès au hublot, regarde le soleil se coucher sur Paris.
J’espère que se geste n’a pas fait trop remonté le haut de ma robe sur mes jambes, et ainsi dévoiler le haut de mes cuisses à nôtre voisin.
Après une collation servie par l’hôtesse, je m’assoupis sur l’épaule de mon mari. J’ouvre doucement les yeux, je suis allongée sur le côté, couverte d’une couverture, la télé posée sur les cuisses de mon mari. Je le regarde.
- Tu ne dors pas, mon amour.
- Si, j’ai dû m’assoupir un peu, mais le ronflement de l’avion me gêne.
Je regarde à droite, croise le regard de mon jeune voisin qui me sourit. Je fait rouler mon alliance de jeune femme, pour lui montrer que j’étais mariée.
En reposant ma tête sur les cuisses de Val, la nuque presque collée à son ventre, je sens sa braguette durcie, et gonflée. Ma main rejoint celle de mon mari sous la couverture, me rappelle nôtre fougueuse nuit de noces. .
Je soupire de bonheur, des images cochonnes et coquines, me reviennent. Sa main toujours cachée par la couverture, remonte sur mon sein, et vient le caresser tendrement. Je reste immobile, seul le bruit de l’appareil se fait entendre.
Les lumières sont tamisées, la majorité des passagers endormis. Seul une hôtesse s’affaire sans bruit dans son compartiment.
La main de mon mari vient se nicher doucement dans mon soutien-gorge, son index titille déjà mon bourgeons durci par le désir. Je remonte la couverture sur ma joue, et passe ma main sous ma tête. Mes doigts glisser silencieusement la braguette, et s’immiscent dans son boxer.
Val reste immobile, les yeux rivés sur l’écran, fixé sue l’appuie tête, faisant semblant de suivre le filme qui s’y déroulait.
Ma main commence de lents va et vient sur sa bite bien décalottée, tandis qu’il caresse mes seins avec délicatesse. La pression exercée trahit mon excitation.
Il les frotte, font rouler les bouts entre ses doigts, ils n’ont jamais été aussi durs, aussi gonflés de plaisir. J’ai l’impression que le frottement du tissu, peu éveiller les soupçons des passagers.
Mais je suis tellement excitée, que je n’arrive pas à cesser de caresser le délicieux objet, qui grossit de pus en plus.
Je remonte encore un eu plus la couverture, jusqu’à me recouvrir complètement la tête. Val comprend ma démarche, et m’aide en faisant glisser son pantalon, et son boxer, de quelques centimètres. Sa belle queue décalottée, fière et dure, jaillit devant mon visage. Je repose mon visage sur le bas de son ventre, engloutissant lentement cette bite jusqu’au fond de ma gorge.
Je sens son dos se cambrer, et imagine sa concentration pour ne laisser apparaître aucune émotion sue son visage.
Le savoir obligé de rester immobile, décuple mon excitation, je veux jouer à le faire craquer.
Le lèche et je suce avec gourmandise cette queue, ce gland que j’aime tant. Mes doigts caressent ses couilles, elles sont chaudes, gonflées, prêtes à exploser à tout moment.
Ma langue s’agite de plus en plus sur son gland, que je globe dans un bruit de succions.
Il sursaute légèrement, me dit « Chut ».
Mais je continue malgré tout ma dégustation...en silence
Soudain, la mai de Val se pose brusquement sur ma tête. Je cesse tout mouvement, gardant sa queue en bouche, attentive au moindre mouvement.
J’entends des pas qui se rapprochent dans l’allée centrale.
- Vous m’avez appelée, Monsieur ?
- Heu? Non, pas du tout répond mon mari.
Je sens sa voix tremblante, mal assurée et gênée.
Les pas de l’hôtesse s’éloigne. Mon mari se détend, et je reprends sa respiration. Le temps semble s’arrêter. J’entends à nouveau des pas. L’hôtesse se penche sur mon époux, laissant largement s’ouvrir son décolleté. Elle chuchote alors à son oreille, lui signalant que les toilettes de l’appareil sont propres et spacieuses. Elle ajoute qu’elle resterait discrète, si nous voulions en profiter. Val me souffle la proposition de l’hôtesse, que j’approuve fortement.
Mon mari me libère, omettant de sortir sa bite de ma bouche, montrant de ce fait, à nôtre beau et jeune voisin de vol, sa femme en train de lui tailler une pipe, sans prendre la peine de cacher sa bite en érection, luisante de salive.
Je me redresse sur mon siège, rouge de honte. Je crois le regard de l’hôtesse qui me fait un clin d’œil, tandis que mon séduisant voisin, m’adresse un sourire coquin.
Je me retourne vers mon mari, dont le sourire en dit long surs ses intentions.
A peine entrée dans cette pièce malgré tout exiguë, mon mari m’embrasse fougueusement. Nos langues s’emmêlent, nos dents s’entrechoquent, nôtre excitation est forte. En un geste, il me lève ma jupe, enlève ma culotte. Je m’agrippe à son cou, tandis qui dégrafe son pantalon. Il enfonce sa queue au plus profond de moi. J’en avis tellement envie. Je sens rapidement un plaisir chaud monter en moi. Je ne peux m’empêcher de gémir, sens l’orgasme pointer. La bouche de Val vient se plaquer à la mienne, pour étouffer mes cris de plaisir qu’il me donne. Dans un dernier coup de rein, je le sens jouir en moi, rejoignant mon terrible orgasme.
Je me repoudre le nez, et quelques instant plus tard, je rejoins Val à nôtre place.
L’ensemble des passagers est endormis, l’appareil est toujours aussi calme.
Mon regard croise le regard de mon jeune voisin, qui m’adresse un sourire coquin, plaçant son pouce entre son index et son majeur, signe vulgaire d’enfiler une chatte, faisant comprendre qu’il savait que je venais de me faire baiser dans les toilettes.
J’explique à Val qu’on s’est fait remarquer par nôtre jeune et beau voisin. Il ne s’en inquiètes pas. Il consulte son portable, et me dit qu’il nous reste quatre heures de vol.
mon mari me demande de reprendre ma place sous la couverture. Le salaud a sorti sa queue, toujours aussi raide, encore humide. Je la prends en bouche.
« A le coquin, il veut s’amuser...on va s’amuser…
Ce qui va suivre est indigne d’une femme mariée, mais la tentation est trop forte. Sans bruit, je fis glisser la couverture, mettant en vue la queue de Val dans ma bouche.
A l’insu de mon mari, la fellation se passe dans l’habitacle de la carlingue.
Tout en lui taillant une pipe, je me tourne vers nôtre voisin, l’invite à regarder ma langue s’enrouler autour du gland de mon mari. Mes va et vient sont doux, tout comme mes caresses sur ses couilles. Je sens la queue de mon mari vibrer sous ma langue.
D’un clin d’œil, je fais comprendre à mon séduisant voisin, que mon mari va jouir, de ne rien perdre de se qu’il va se produire. Je tiens la queue de mon mari à deux, trois centimètres de mes lèvres. Je le sens qui se cambre...ça y est...je veux que nôtre voisin de vol, voit la première giclé. La voila...rapidement, j’aspire la bite entre mes lèvres, l’emprisonne dans ma bouche. Elle en ressort toute baveuse, luisante de salive et de sperme.
Je nettoie la queue délicatement avec ma langue, et la range sous la couverture. Je me tourne vers mon séduisant voisin, ouvre la bouche pour lui montrer la semence de mon mari stockée sur ma langue. Gourmande, j’avale tout.
Mon voisin, tout excité par la scène, tend son majeur, me fait comprendre qu’il aimerait subir le même traitement. Je me penche, suce ainsi le doigt tendu...Je m’appelle Luigi, souffle-t-il.
J’éclate de rire, et me love contre mon mari pour le reste du trajet.
Nous voila enfin arrivés, il est sept heures du matin.
Dans le hall de l’aéroport, je fais un clin d’œil et un signe de la main à nôtre jeune et beau voisin, tout en lui souriant. Il me rend son sourire, et disparaît dans la foule des passagers.
Je ne le revis plus, puis avec mon mari, rejoignons nôtre hôtel.
Nôtre chambre est somptueuse, une vaste pièce décorée avec goût, baignée de soleil. Le lit est confortable, les draps et les oreiller moelleux. A droite, se trouve la salle de bains, avec une grande douche italienne, un grande baignoire, et un miroir occupant tout un pan de mur, ou se reflète le lit.
Une grande baie vitrée donne accès sur une piscine privée, ombragée par endroits, grâce à de grands palmiers. Nous prenons une bonne douche.
Le soleil se couche sur la Thaïlande, mais avec le décalage horaire, nous avons envie de nous coucher. Nous décidons de commander à dîner. Quelques minutes plus tard, nôtre repas est servi sur la terrasse de nôtre chambre.
Les plats sot délicieux, le vin ait pétiller les yeux de mon mari, et rosir mes joues. Après le dessert, je me lève, dénoue mon peignoir, qui glisse le long de mon corps, et fini au sol.
Je suis nue devant mon mari, il m’observe sagement, assis dans son fauteuil. L’air est encore chaud, malgré l’heure tardive.
- Tu penses pouvoir baiser ce superbe corps cette nuit, mon chéri ?
- Hum...coquine...toute la nuit...je vais te manger, t’épuiser.
Je me tourne et plonge dans la piscine. L’eau est rafraîchissante, c’est un délice de se baigner nue sous les étoiles. Je fais quelques longueurs, puis ressort. Val m’attend pour m’essuyer, me prodiguer quelques caresses dont il a le secret.
On serait allé plus loin, s’il n’y avait pas ce foutu repas dansant, organisé par la direction de l’hôtel. Pour l’occasion, j’enfile une longue robe noire, fendue sur le côté, qui découvre gracieusement le haut de ma cuisse. Une paire d’escarpins de six centimètres, et voila. Ah oui, pas de soutien-gorge, simplement un string rouge.
La soirée se déroule dans une ambiance feutrée.
Je sens les regards se poser sur moi, et les premiers se présentent pour m’inviter à danser. Val, étant un piètre danseur, n’oppose aucun refus.
- Je t’attends au casino, me dit-il.
Au bout de quelques slows avec des partenaires différend, certains osaient glisser leurs mains à des endroits précis de mon sublime corps, s’approchant dangereusement de ma chatte.
Je rejoignais mon mari à la table de jeux.
Je fus surprise de voir la pile de jetons entassée devant lui. Jugeant qu’il avait assez de gains, il se retira, et invita quelques connaissance de jeux, au bar. J’étais fière de lui.
Mais petit à petit, les gains disparaissaient dans les bouteilles de champagne. Pire, il devint distant avec moi, m’ignorait. Je compris que nôtre première nuit de lune de miel, n’allait pas être celle que j’espérais.
Je laissais Val au bar, et me dirigeais vers le complexe de la piscine de l’hôtel.
Seule une partie du bassin était éclairée, l’autre était plongée dans la pénombre. D’un geste sensuel, j’ôtais mes escarpins, et fis glisser ma longue robe. Ce serait ridicule de garder un string. Il rejoint ma robe sur les margelles, et me retrouve ainsi, entièrement nue.
Lentement, je me laisse glisser dans l’eau jusqu’au cou. Je ferme les yeux, je suis bien.
Il me semble deviner une silhouette dans la partie mal éclairée du bassin.
« Ce coquin de Val a laissé ses potes, et veut me faire uns surprise ».
J’en profite pour me hisser hors de l’eau, afin que mes seins soient hors de la ligne d’eau.
Soudain, la partie sombre du bassin s’éclaira. Le fort éclairage des projecteurs sous-marin, rendirent d’un coup l’eau transparente. Ceci permit de mettre à jour la silhouette que je croyais être celle de mon mari, mais ce n’était pas lui.
C’était celle de nôtre beau et séduisant voisin de vol, accoudé aux margelles de la piscine, entièrement nu, et qui me fixait du regard. Par pudeur, je glissais dans l’eau pour cacher mes superbes seins. Puis, curieuse, je baissais les yeux, et vis pointer entre ses jambes, une queue assez imposante, plus que celle de Val en tout cas.
Il me sourit, et me surpris à répondre à son sourire. Je pensais alors à ma lune de miel, ou mon mari m’avait la promesse de me baiser toute la nuit. Mais il n’était plus opérationnel pour satisfaire une jeune épouse, qu’il avait oubliée sur une table de jeux.
Je ne pouvais retirer mes yeux de cette bite qui me narguait, et m’invitait à aller m’y empaler dessus. Mais j’étais mariée à présent, et tenais à rester fidèle, malgré ma déception.
Malgré tout, je fis mine de m’en approcher, quand soudain, Luigi, je me souviens de son prénom, plongea sous l’eau. Je le vois passer sous moi, il nage vite, trop vite. Je plonge à mon tour puis remonte à la surface. Je l’ai perdu de vue...mais ou est-il ?
Soudain, je sens quelque chose glisser le long de ma jambe, remonter à l’intérieur de mes cuisses. Je reconnaîtrais cette douce petite chose, entre mille...c’est une langue. Elle remonte rapidement, passe habillement entre les lèvres intimes de ma chatte, frôlant ainsi mon clitoris. Je sens Luigi glisser contre moi, remontant la tête hors de l’eau. Je tente de l’attraper par les épaules, mais il est déjà reparti, en nageant à l’autre extrémité de la piscine.
Le revoilà sous l’eau, nageant vers moi. J’admire ce corps svelte, ses belles fesses brillantes sous la clarté des projecteurs. Il me contourne, je sens une de ses mains entre mes fesses, frôler mon intimité. Il revient à la surface.
- Ouah...quel joli petit cul…
- A quoi vous jouez...venez ici…
- Non, non...attrapez-moi si vous pouvez, répondit-il les yeux pleins de malice.
Et le voila à nouveau sous l’eau, me tournant autour, me touchant à chaque fois, une partie différente de mon corps. Parfois avec ses mains, ses doigts, sa langue. Ce petit jeu m’excite, mais me frustre aussi, car je n’arrive pas à le toucher.
La vue de son corps nu glissant sous l’eau, mais inaccessible, m’énerve et m’excite à même temps. Rapidement, ma chatte se met à mouiller, mais rien à voir avec l’eau de la piscine.
Je suis collée à la paroi, quand soudain, je sens des mains me saisir à la jointure des genoux, et les soulever. J’ai les genoux au niveau de la ligne d’eau, les jambes entièrement écartées. Je sens sa langue pointue lécher ma fente, puis pénétrer ma chatte .
Je me débats, réalisant soudain que j’étais une jeune mariée en voyage de noces, et n’avais aucune envie de m’offrir à un autre homme que mon mari. Je perdis toutes résistances quand il sortit de l’eau, et me prit les lèvres. Je sentais sa queue à l’entrée de ma chatte, puis glisser lentement en moi. je poussais un souffle de plaisir, et passais mes bras autour de son cou.
Les coups de queues, jusque là tout en douceur, montèrent en puissance. Le rythme de ses reins augmentaient, mes gémissement de plaisir aussi, pour atteindre un puissant orgasme.Luigi se retira, posa ses mains sur les margelles et se souleva à la force des bras. J’avais alors son énorme calibre à portée de lèvres. Je les écartais et le pris en bouche.
A peine absorbée, qu’il envoyait une incroyable giclé de sperme qui tapissait le fond de ma gorge. Il se retira, reprit sa position initiale, et enfila profondément sa queue dans m chatte. Ces sous fabuleux coups de reins, que j’atteignis le deuxième orgasme.
Puis ses mains parcoururent mon corps, mes seins, ma chatte, mon petit trou, tandis que je tenais sa bite en main. Pour faire un pause, il se mit à faire la planche, son énorme queue dressée au plafond. Il resta un instant immobile, flottant tranquillement. Je pars après lui, voulant prendre ce pieu en bouche. Je veux de son sa semence, l’avaler jusqu’à la dernière gouttes. Mais il parvient chaque fois à se défiler.
Le regard plein de défi, je commence à me caresser les seins, fait rouler les bourgeons entre mes doigts, déjà excités par ses caresses, et nos jeux aquatiques. Puis mes doigts glissent à l’intérieur de mes cuisses, remonte sur ma chatte. Je me caresse lentement devant lui, titillant mon petit bouton, ou introduisant deux doigts en moi. je continue à me caresser, basculant ma tête en arrière, en fermant les yeux.
Je sursaute lorsque je sens ses mains se cramponner à mes fesses. Il a profité de mon inattention pour traverser la bassin. Aussitôt sa langue se colle à ma chatte, et se met à la lécher. Ses doigts se mêlent au jeu en faisant des va et vient dans ma chatte et mon petit trou. Un orgasme terrible me fait me cambrer, pendant qu’il continue d’aspirer doucement mon clitoris, pour achever mon plaisir.
Puis je me laisse glisser dans l’eau, face à lui. Instantanément, sa bite entre en moi. Il me tient par la taille, et me fait descendre de quelques marches se trouvant près de nous. Il se retire, et m’invite à me tourner, dos à lui, les genoux posés sur une marche, les mains, elles, posées dur trois marches plus haut. Nos corps sont à moitié dans l’eau.
Il observe la cambrure de mes reins, palpe généreusement mes fesses, les écarte, et glisse un doigt dans ma chatte. Plusieurs fois, il prélève un peu de mouille, et vient l’étaler sur mon petit trou, y introduisant un doigt, lentement, délicatement. Je me détends, prête à lui offrir ce qu’il veut. Un doigt, puis deux, j’aime sentir son regard sur le délicieux travail qu’il entreprit.
Un dernier aller retour, et je le sens se rapprocher de moi.
Il saisit sa queue gonflée de désir, et l’introduit délicatement à le place de ses doigts. Au début, il ne me pénètre pas totalement. Il rentre, sort, rentre, sort lentement. Afin de rester détendue, et offerte, je caresse mon petit bouton. Je sens se mains tenir fermement mes hanches.
Ce doux balancement m’excite de plus en plus.
- Prends-moi fort, le suppliais-je.
Aussitôt, il s’exécute, comme d’il n’attendait que ces paroles. Je l’entends gémir de plaisir, ce qui décuple mon excitation. En mâle dominant, il introduit deux doigts dans ma chatte.
La découverte de cette double pénétration, fait monter en moi un orgasme très intense, de suite rejoint par le sien. Je sens son souffle dans mon dos, tandis qu'il jouit en moi. Il se retire délicatement, et m’attire contre lui au milieu de la piscine.
- Veux-tu finir la nuit dans ma chambre...c’est la vingt huit.
- Je te promets rien, je dois passer à la chambre voir mon mari.
On se donne un tendre baiser, et nous séparons.
Arrivée à la chambre, je trouve mon mari tout habillé, allongé sur le lit. Les ronflements ne font aucun doute, il a prit une cuite, et va dormir jusqu’au matin.
J’enfile une courte nuisette, sans rien dessous, et dix minutes plus tard, je frappe à la porte de la chambre vingt huit. Je trouve Luigi allongé sur le lit, entièrement nu. J’ôte ma nuisette et le rejoins, bien décidée à passer une belle lune de miel, même si ce n’est pas avec celui qui devait me l’offrir.
On s’enlace, s’embrasse, parcourons nos corps à la découverte de nouvelles sensations. Ses caresses font rapidement mouiller ma petit chatte déjà bien humide. Je bascule ma tête en arrière, fermant les yeux, laissant son énorme calibre pénétrer ma chatte. Cette nuit là, elle ne va pas être la seule à se faire baiser. Mon petit trou est sodomisé, ma bouche investie, pour mon plus grand plaisir. C’est sous la douche que j’atteins mon énième orgasme de la nuit.
Une semaine plus tard, nous prenons le trajet de retour, avec les mêmes passager, aux même place.
Je me penche sur mon mari, pour avoir accès au hublot, et regarder le couché de soleil sur Bangkok. J’espère que ce geste a fait remonter très haut ma robe sur mes cuisses, et ainsi dévoiler ma chatte, dont j’ai omis de protéger d’une culotte.
Après une collation distribuée par l’hôtesse, je m’assoupis sur l’épaule de mon mari.
J’ouvre doucement les yeux, je suis allongée sur le côté, recouverte d’une couverture, la tête posée sur les cuisses de Val. Je regarde à droite, croise le regard de mon jeune voisin. D’un geste habille, j’extrais la bite en érection de mon mari, et n’hésite pas à l’exhiber hors de la couverture ; par ce geste, je veux faire comprendre à Luigi que nôtre relation, certes intense, n’était qu’une aventure sans lendemain.
Pour enfoncer d’avantage le clou, je prends la queue de Val en bouche, et entame une lente fellation, sous les yeux exorbités de mon amant d’une nuit. Il doit voir la queue de mon mari vibrer dans ma bouche, et ne fut pas surpris quand je l’ouvris pour lui montrer ma langue tapissée de sperme. Il le fut encore plus quand j’avalais tout.
Je sentis une pointe de jalousie dans son regard.
Je lui fis un clin d’œil, remis la couverture en place, et m’assoupis dans les bras de mon mari.

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