Voyage Initiatique 02

- Par l'auteur HDS Ninemark -
Récit érotique écrit par Ninemark [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Voyage Initiatique 02 Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Voyage Initiatique 02
Chapitre 2 : Pérou – Les secrets de Lima
Voilà déjà 3 semaines que je suis arrivé au Pérou et j’ai parcouru pas mal du pays. J’ai eu quelques plans mais sans plus. J’essaye d’être le plus discret possible là-dessus car je sais qu’à certains endroits c’est très mal vu. Je me suis donc concentré sur mon voyage en y faisant de nombreuses rencontres. J’y vois des paysages magnifiques et les longues heures de marche se font vite oublier du moment que la vue en vaut le coup. D’après mes plans, il me reste une semaine dans le pays avant de continuer vers l’Argentine. Je décide de retourner sur Lima quelques jours car j’ai bien accroché avec cette ville.

Je passe la soirée dans un bar seul avec ma bière quand je sens quelqu’un me regarder depuis le bar. Ça ne me perturbe pas plus que ça car en tant qu’étranger c’est pas rare de se faire observer. Je ne lui porte donc pas plus d’attention que ça. Mais au bout de 10 minutes, je le vois se lever pour se diriger vers moi. Il s’assied et engage la conversation en se présentant comme Miguel. Il me demande d’où je viens et ce que je fais là. Commence alors une longue discussion plutôt enrichissante sur nos vies. Il me laisse apparaître le fait qu’il se sente attiré par moi. Je lui fais comprendre mes intentions et bien rapidement je sens sa main caresser ma jambe. Il me dit de le suivre chez lui. J’accepte en me disant que je tirerais bien mon coup.

Arrivé chez lui, il me propose un verre pour discuter plus facile de cul. On entame donc la discussion sur l’homosexualité dans nos pays. Il me dit qu’autour de lui personne n’est au courant et que bien souvent c’est le cas pour les autres aussi. Il me parle ensuite d’un évènement secret qui a lieu dans l’obscurité de la nuit péruvienne. C’est un rendez-vous homosexuel qui tourne bien souvent en orgie générale où se mélangent personnalités et simples habitants. Cet événement à lieu qu’une fois tous les six mois et se déroulera demain soir. Pour y accéder il faut avoir une invitation ou bien servir de vide couilles toute la soirée pour avoir son ticket. Miguel spécifie toutefois que la deuxième option concerne surtout ceux qui aiment se faire défoncer en continu ou qui espère se prendre la queue de quelqu’un de connu. Je ne peux m’empêcher de lui demander pourquoi me proposer un tel évènement si je ne suis pas invité. C’est là qu’il sort deux tickets. Il m’explique qu’il devait aller avec son copain mais il l’a lâché la semaine dernière. J’accepte donc son invitation en précisant que j’aimerais quand même bien un avant-goût ce soir.

Miguel se lève alors de son siège pour venir s’asseoir sur moi et onduler son bassin. Mes mains caressent son corps tandis que nos bouches se retrouvent pour un baiser langoureux. Miguel n’est pas ce qu’on appelle un beau gosse mais disons qu’il a du charme. Et j’ai surtout envie de baiser ce soir. Alors si en plus il me donne un ticket pour une orgie je vais pas faire mon prude. J’aime beaucoup le teint de sa peau foncée aux couleurs amérindiennes. Je décide d’en voir plus en enlevant son tee-shirt et en léchant ses tétons. Je comptais bien prendre mon temps lorsque son téléphone sonna. Il se recule un peu pour le saisir et décrocher. S’ensuit alors quelques phrases que je comprends plus ou moins tant il parlait vite. Lorsqu’il raccroche, sa mine est moins détendue. Il m’explique c’est son ex qui va débarquer d’ici 20 minutes et qu’il ne faudrait pas qu’il me voit ici. Je suis dégoûté mais je vois dans ses gestes qu’il veut quand même que je le baise.
Je décide donc d’accélérer la baise en me levant du siège pour retourner Miguel et baisser son pantalon. Le cul à l’air, je sors une capote pour le baiser. A défaut de pouvoir lui procurer un plaisir long, je sais que je peux aussi le faire jouir en le défonçant comme une bête. Je m’enfonce donc plus ou moins rapidement sous ses gémissements et n’attends pas trop longtemps avant de déculer pour mieux me renfoncer. Une main contre le fauteuil, une autre tirant les cheveux de Miguel, je lui défonce le cul dans les règles de l’art. Il n’arrive pas à retenir ses cris et je me dois de lui enfoncer la tête dans le coussin du fauteuil pour ne pas réveiller tout l’immeuble. De temps à autre je lui claque une bonne gifle sur les fesses tout en lui sortant des noms salaces. Au bout de 10 minutes je suis au bord de la jouissance et décule pour mettre ma queue dans sa bouche. Je prends soin d’enlever la capote avant bien-sûr. Je le fais asseoir sur le fauteuil puis je mets ma queue à la hauteur de sa bouche pour lui défoncer la gueule. Il n’a pas beaucoup d’espace pour respirer mais je m’en fous fallait que je me finisse maintenant. Dans un dernier mouvement je m’enfonce en gorge profonde et gicle plusieurs jets de sperme. Il manque de s’étouffer mais je me retire pour qu’il puisse respirer et avaler. Il a les larmes aux yeux mais semble content de ce final. Dans ce genre de baise il m’arrive de laisser l’autre comme ça sans rendre la monnaie mais je voulais avoir ce ticket pour demain. Je descends donc du fauteuil pour me mettre à quatre pattes et sucer Miguel. Il se remet à peine de ses émotions que je travaille déjà sur sa propre jouissance. J’alterne fellation et branle et en quelques minutes Miguel crache tout son jus dans ma bouche. Je le garde en bouche pour venir lui rouler une pelle avec. Dans son état d’euphorie il n’hésite pas à m’embrasser langoureusement.

On reprend nos esprits puis, surpris par le temps, on s’habille en vitesse. Il me passe mon invitation tout en me précisant qu’il faut avoir une tenue de soirée. Il me dit aussi qu’il annonce pas mal de monde et qu’il y a des risques qu’on ne se croise pas. Je le remercie pour tout et file vite rejoindre mon hôtel. En sortant de l’immeuble je croise un jeune dans le patio qui se dirigeait vers l’escalier d’un ton soutenu et tendu. Je devine que ça doit être l’ex de Miguel. Il est pas terrible et lorsque nos regards se croisent je ne peux m’empêcher de sourire en me disant que je baisais son ex ya même pas 10 minutes.

***
Il est 19h et je finis de me mettre en beauté. J’ai vraiment tout misé pour ce soir en m’achetant un costard et en me taillant la barbe ainsi que les cheveux. C’est simple, juste en me regardant dans le miroir j’ai envie de me baiser. Je souris une dernière fois à mon reflet avant de me précipiter dans la rue à la recherche de l’endroit de la soirée.

J’arrive dans une rue plus ou moins bien éclairée. Je doute de la véracité des infos de Miguel et me dit que c’était peut-être une embuscade. Mais en arrivant devant le numéro je remarque une porte blindée avec un videur. C’est surement une planque pour ne pas être vu. Je m’adresse au videur plutôt mignon en lui présentant mon invitation. Il alterne son regard entre le billet et mon visage avant de m’offrir un large sourire tout en ouvrant la porte. Je rentre dans la bâtisse tel un départ dans le néant. Je prends l’escalier et arrivé en bas de celui-ci je reste scotché.

En dessous de cette rue miteuse se trouve en réalité un endroit luxurieux avec une décoration impeccable. De longues tables sont garnies de nourritures et la salle respire le mâle. Il y avait des hommes dans tous les coins et à mon arrivée plusieurs d’entre eux arrêtèrent leurs discussions pour me regarder. Je ne sais plus où me mettre et par chance Miguel apparaît dans la pièce pour me secourir. Je lui adresse un grand sourire et nous nous étreignons avec sympathie. Je vois autour de moi que les regards sont passés sur Miguel et je crois percevoir de la jalousie pour certains. Je m’en amuse et me concentre sur Miguel en discutant de ce lieu et de son ambiance. Il est heureux de me faire un petit tour de salle tantôt en me présentant, tantôt en m’expliquant le déroulement de la soirée. Ça commence calmement par un repas où chacun fait connaissance ou bien se retrouvent. Il existe deux autres pièces juxtaposées. La première est libre accès et est le lieu central de l’orgie adaptée pour accueillir plus d’une centaine de personnes. Il y a tout le matériel nécessaire et pleins de petits plus à découvrir sur le moment. De grands bacs contiennent des capotes ainsi que du lubrifiant. Des caisses à même le sol sont garnies de godes en tout genre. A cette heure ci la salle est vide ou bien contient quelques personnes en échauffement mais Miguel me garantit que dans quelques heures ça sentira le cul comme jamais. Il me dit que parfois même la salle de réception devient un baisodrome car il n’y a pas assez de places dans l’autre pour baiser. On retourne dans la salle de réception pour manger un bout quand mon esprit me rappelle qu’il ne m’a pas parlé de la deuxième salle. Je le questionne donc et après un gloussement il me dit de laisser tomber. C’est un peu la salle d’orgie VIP où se côtoient les plus grandes personnalités ou les héritiers. Même si pas mal de personnes de haut rang se mélangent, il y en a quand même qui préfèrent rester êtres elles. Je lui demande comment on y rentre et un second gloussement se fit entendre. Miguel raconte que rare sont ceux qui ont pu passer le seuil de cette porte. A vrai dire, seuls les vides couilles les plus endurants sont acceptés pour se faire défoncer. Je reste figé à fixer cette porte en imaginant les choses qui pourrait se passer là-dedans quand Miguel me tapa sur l’épaule pour me dire d’arrêter de rêver et en me rassurant que je vais bien m’éclater ce soir.

Miguel reste encore un petit moment avec moi avant de me laisser seul au milieu de tout ce monde. La salle s’est remplie très rapidement et il devient compliqué de pouvoir dire combien nous sommes. Chacun profite de ce qu’offre les longs buffets de nourriture. Me retrouvant seul, je squatte un peu de trop près le buffet et mange pas mal. Soudain une voix inconnue se fait entendre pour me prévenir de ne pas trop manger au risque d’être ballonné pour le dessert. Par dessert, il sous entendait bien-sûr l’orgie. Je lui fais face et décroche un sourire automatiquement. Il est plus grand que moi, sans doute 1m90-95, et se tient droit fier et musclé avec de larges épaules. Il a un visage magnifique. Ses yeux bleus tranchent avec son teint mat et ses cheveux foncés. Ses dents blanches et droites rendent son sourire encore plus beau. Je prends un peu de recul pour mieux le voir dans son ensemble et c’est à ce moment là que je me rends compte que je le connais. En effet, c’était un acteur brésilien super connu et pour qui je m’étais déjà accordé de nombreuses branles. Je reste béat devant lui et il enchaine pour combler le blanc en me demandant mon prénom.

S’enchaîne alors une discussion de présentation et de choses plus subtiles ou profondes. Je suis aux anges et je ne réalise pas ce qu’il m’arrive et avec qui je suis en train de parler. J’en viens à le questionner sur son homosexualité et il me dit que sa femme est un leurre pour ses désirs secrets car il ne veut pas que sa carrière se résume à son orientation sexuelle. Son aura se veut protectrice et rassurante et tout le long de la discussion j’ai la sensation d’être épanoui et d’oublier ce pourquoi je suis venu. Il est clair que je peux rester là à lui parler pendant de nombreuses heures. Ce qui me plaît chez lui c’est aussi sa capacité à s’intéresser à l’autre, chose que peu de célébrités arrivent encore à faire. J’ai donc pu lui expliquer mon périple et les pays que je souhaite visite. A l’évocation du Brésil il me conseille quelques adresses et en particulier la sienne pour que je puisse voir sa propriété et rencontrer des contacts pour m’aider dans les prochains pays à suivre. Je ne vois pas la pièce se vider au fur et à mesure et ce n’est que lorsque Rafael fait la remarque que je tourne la tête pour observer le buffet vide et quelques couples déjà formés. Il s’excuse alors de devoir mettre fin à la discussion et qu’il est temps pour lui de rejoindre la salle VIP pour entamer son dessert comme il le dit si bien.

Je me retrouve à nouveau seul avec cette fois-ci un mélange d’émotions allant de la joie d’avoir parlé avec Rafael à l’amertume de le voir partir dans une salle qui m’est interdite. Je reste quelques minutes à méditer et à repenser à la conversation avant de me diriger vers la salle de débauche. Je passe le seuil de la porte et reste bloqué par le spectacle. Dans tous les coins des hommes, de tout âge, toute nationalité, toute corpulence… Je sens mon pantalon se tendre et je ne peux m’arrêter d’observer la scène. Sur ma gauche, un mec de type Daddy était en train de se faire sucer par deux mecs pas plus âgés de 20 ans. Un peu plus loin un gangbang s’était formé autour d’un jeune minet. Ils étaient 5-6 à le palper et à s’embrasser pendant que l’un d’eux s’occupait de lui défoncer le cul et un autre la bouche. Les gémissements étaient devenus un bruit de fond tant de gars se faisaient défoncer. Juste sur ma droite un mec était face au mur à cambrer un maximum en attendant une queue pour le remplir. C’est alors que je vis un étalon black s’approcher et le prendre sec sans plus de préparation qu’un crachat sur sa queue. Tout en observant, je m’étais machinalement écarté du chemin pour laisser les gens aller et venir sans être gênés. Je suis tellement extasié par cette vue d’une centaine de mecs en train de baiser que je ne me suis pas aperçu qu’un mec était venu se frotter à moi. Il a déjà défait ma braguette et sort maintenant ma queue pour l’engouffrer dans sa bouche. Il n’est pas le plus canon de la salle mais il passera pour tout de suite. Je n’ai même pas besoin de le regarder puisque j’ai devant moi tout ce qu’il faut pour me stimuler. Je vois un mec qui me regarde un peu plus loin et lui fait signe de s’approcher. Dans l’erreur, un autre a cru que je m’adressais à lui et c’est deux mecs qui se retrouvent devant moi. Je les dévisage pour voir qui fera quoi et rapidement le moins attirant se retrouve face à ma queue avec l’autre mec. Je garde le plus sexy pour lui rouler des pelles. Il embrasse divinement bien et parfois se permet de me lécher le visage avec un peu plus d’animalité. Mes mains s’agitent entre son corps nu et la tête des deux mecs qui me sucent. Je sens une inégalité au niveau de la fellation et il est évident que l’un d’eux à plus d’expérience. Je dirige donc le moins expérimenté derrière moi pour qu’il s’amuse un peu avec mon cul. Je me sens tellement désiré en ce moment même et j’observe que plusieurs mecs nous observent. Le beau gosse m’avait ouvert la chemise pour lécher mes abdos et dans mes râles je fixais les autres mecs dans la salle comme si je n’étais pas satisfait d’avoir que trois gars à mes pieds.

Je veux passer à la vitesse supérieure et sentir ma queue dans un trou. Je veux baiser le beau mec mais sans m’embêter à le préparer alors j’ordonne à un des soumis de lui lécher aussi le cul. Je n’ai donc plus qu’à attendre un petit coup et je pourrai le prendre. Je suis toujours sous le charme de sa langue et ses yeux pétillants n’arrangent rien. N’en pouvant plus, je remercie les deux soumis pour les envoyer ailleurs afin d’être seul avec mon préféré. Je lui demande son prénom auquel il me répond Fabio. Je lui annonce donc qu’il va avoir le plaisir de me sentir profondément. Il est un peu gêné et me dit qu’il n’est pas passif. Mais il m’a bien trop excité pour en tenir compte et je le retourne pour lui susurrer à l’oreille que ce ne sera plus le cas dans quelques minutes et que de toute façon il rêve que je l’encule depuis qu’il m’a vu. Il ne retorque qu’une simple approbation avant de se cambrer pour m’accueillir. Quel bonheur de sentir sa queue entrer en terrain inconnu, à savoir un trou vierge. Je le vois se crisper au banc à côté et parallèlement son bassin se mettre à onduler pour mieux encaisser. S’ensuit 15 minutes de défonce où Fabio hurle son plaisir, tantôt avec la queue d’un inconnu dans la bouche. Son petit cul musclé encaisse plutôt bien et depuis le début un trentenaire bien foutu nous observe baiser. Je me dis que j’aimerais bien sentir sa queue contre la mienne dans le cul de Fabio. Je lui fais signe de venir et de s’asseoir sur le banc. Après s’est mis en place, je décule pour faire face à Fabio et lui rouler une pelle. Je le fais asseoir sur la queue du gars. Il ne saisit pas et pense que je vais m’en aller mais c’est quand il se sent basculer à l’arrière qu’il comprend. Il essaye de me faire comprendre que deux queues allaient faire trop gros mais je sens qu’il peut encaisser ça. Je me positionne donc devant son trou déjà pris et pousse doucement en lui demandant de se relaxer. Au bout de cinq minutes c’est chose faite et la sensation est incroyable. Mon regard est centré sur les gémissements de Fabio et de l’autre mec qui prend son pied. Je sens que j’arrive au bout lorsque des spasmes se font ressentir dans mon bas ventre. Je largue tout mon jus dans le cul de Fabio où l’autre mec arrive aussi au point de non-retour. Ce n’est seulement qu’en me retirant que je remarque que je n’avais pas mis de capote. Son cul suinte de jus et de mouille. Si je n’avais pas joui cette image m’aurait sans doute excité au point de le reprendre direct. Je refais donc quelques allers retours dans ce cul désormais libre. Je me baisse pour lui rouler une pelle et le remercier avant de me relever pour crier un « Siguiente ! » afin de combler son trou au plus vite. En dix secondes Fabio se retrouvent déjà fourré par un autre gars et ses gémissements reprennent de plus belles.

Il faut que je me pose un peu et, après m’être habillé comme il faut, je me dirige vers la salle de réception et plus spécifiquement vers le bar. Je commande un whisky et quelle n’est pas ma surprise de voir apparaître de l’autre côté de la salle Rafael. Il a un large sourire et me retrouve en rigolant. On échange sur ce que nous avons fait de notre côté et lorsque j’évoque mon plan, ses yeux deviennent brillants de malice. Il faut dire que lorsqu’il m’a raconté sa baise j’étais dans le même état. On reprend une conversation plus banale par la suite et au bout d’une vingtaine de minutes je sentais que le round 2 pouvait commencer. Sauf que le souci est que j’étais bien avec Rafael et que j’avais grandement envie de coucher avec. Je décide de le charrier sur ses performances en disant que dans les journaux people ont disaient qu’il ne savait pas embrasser. Piqué un peu dans son égo il me fait face et m’agrippe l’arrière de la tête pour venir m’embrasser. Ma bouche s’ouvre instantanément à son contact et sa langue s’empare de mon esprit. Il relâche la pression de sa main pour que nos deux visages se confrontent. Je vois dans ses yeux un éclair de désir et sans plus attendre je me jette à nouveau sur ses lèvres mais c’est fois-ci en m’approchant corporellement encore plus de lui. Il est assis jambes écartées tandis que je suis debout entre ses cuisses et les bras autour de sa taille. Il respire la virilité et je suis de plus en plus happé par son être. Je pourrais rester comme ça des heures sans que ma langue quitte sa bouche. J’ouvre sa chemise pour laisser apparaître le corps d’acier sur lequel je me suis branlé tant de fois. Je l’embrasse et le lèche de toute part et va pour défaire sa ceinture quand une main me stoppe. C’est la sienne et je ne comprends pas pourquoi. Je relève la tête et il m’explique qu’il ne veut pas faire ça au milieu de la salle de réception. Je balaye la salle du regard et remarque que plusieurs dizaines de personnes nous regardent ébahis ou excités. Il poursuit sa phrase en m’invitant dans la salle VIP. Je n’en revenais pas ! J’allais pouvoir passer cette porte dorée et voir ce qu’il s’y passe derrière !

Je le laisse ouvrir la marche mais il tient à rester à mes côtés, une main sur les hanches. On passe devant un vigile qui nous ouvre la porte dorée qui représente le coin VIP. Le changement de décor est flagrant et on sent tout de suite pourquoi cette salle est réservé aux VIP. La salle est certes très grande mais plusieurs rideaux ou murets donnent un côté plus intime. Ensuite la luminosité se définie mieux par le terme « tamisé ». En avançant dans la pièce je reconnais plusieurs célébrités en train de baiser avec 4 ou 5 gars qui se trouvent être les fameux vides couilles. A les voir, je comprends pourquoi on les appelle comme ça. Ils semblent pour la plupart sous poppers et leurs culs sont devenus des trous béants coulant de foutre. Ceux qui ont le plus de vide couilles à leurs pieds sont les pachas du Moyen Orient avec leurs turbans et plusieurs mecs qui s’occupent soit d’eux soit de s’enculer en spectacle. Mais à mon arrivée je vois que plusieurs d’entre eux me dévisagent et plus particulièrement un jeune pacha qui nous rejoint afin de savoir à combien il pouvait m’acheter. Rafael l’envoie bouler et lui répond que je ne suis pas à vendre. L’ambiance semble moins conviviale chez les fortunés.

On arrive enfin dans sa « tente » et je lui demande si les personnes qu’il baise sont comme ceux qu’on a pu voir. Il me répond négativement en me rassurant. Il me désigne même du doigt ceux qu’il a baisé tout à l’heure et qui s’avèrent soit des personnalités, soit des gars moins défoncés. Le spectacle que j’ai vu m’a refroidi et j’avais plus l’impression d’être à un marché de prostitution que dans une orgie. Mais le corps de Rafael allongé et dénudé enleva mes mauvaises pensées et je me laissai aller sur lui pour venir l’embrasser. Ne pouvant attendre plus longtemps, je me baisse doucement pour rejoindre son pantalon et l’enlever rapidement. Rafael n’avait pas mis de sous-vêtement et je tombe directement sur son membre en demi-molle qui parait déjà pas mal imposant. Je le vois me regarder avec engouement mettre sa queue dans ma bouche. Je la sens se durcir au rythme que me bouche lui procure une fellation. Il devient compliqué de tout mettre en bouche et je sens la main de Rafael derrière ma tête forcé à chaque aller pour enfoncer son pieu toujours plus loin. De temps à autre, il se retire et me bifle en étalant toute ma salive produite par les gorges profondes. Cet homme m’excite au plus haut point. Je le vois ensuite de redresser pour enlever son pantalon. J’en profite pour me dévêtir aussi et on se retrouve les deux nus comme des vers. Malgré mon imposante carrure, il se montre supérieur à moi et me retourne en 69 comme de rien. Il avale ma queue et étant au-dessus j’ai le plaisir de pouvoir lui mettre des coups de reins afin d’y aller plus profond. Il semble aimer ça vu comme il me claque les fesses avec ses mains robustes. Pendant ce temps là j’astique, je lèche, je suce, je branle, je mate son pieu nervuré qui doit mesurer 24 centimètres minimum et d’une largeur tout à fait proportionnelle. En temps normal je serais mort de trouille mais là je n’attends qu’un chose qui est de me sentir pénétrer par Rafael. Je sens d’ailleurs, à l’instant où je pense à ça, sa langue se diriger vers mon trou et ses doigts qui commencent à me trifouiller l’anus.

Je n’en peux plus et le supplie d’arrêter pour m’enculer. Sans rappel, il me fait basculer sur le dos pour se mettre au-dessus de moi. Son visage à une dizaine de centimètres mais son regard ancré dans le mien. Je sens sa queue à l’entrée de mon cul qui commence à toquer. Je prends une respiration et je la sens rentrer en moi. Les premiers centimètres se font bien sentir et Rafael s’arrête un peu pour me laisser encaisser. Il continue sa progression et au bout d’un moment je sens son pubis collé contre mes fesses. Sa matraque me traverse le ventre et la sensation est compliquée à définir mais tout ce que je sais c’est que j’aime ça. Il commence ses vas et viens et mes râles se font plutôt bruyamment. Après tout on est là pour baiser alors pourquoi se priver. Rafael vient m’embrasser dès qu’il peut et ses coups de matraques alternent entre la lenteur avec profondeur et le cartonnage de boule. Hors de moi je lui fais part de mon envie de me faire baiser comme un chien par lui. Il ne lui en faut pas plus pour réveiller l’animal en lui et en deux temps trois mouvements je me retrouve à quatre pattes le cul cambrer un max et sa queue qui me pilonne. Je prends tarif et je sens tous ses centimètres venir dans mon cul. Ses mains me claquent les fesses ou me bloquent la mâchoire lorsqu’il lance un assaut au marteau piqueur. Le peu de fois où j’ai pu me retourner pour l’observer, j’y voyais une bête magnifique et superbement musclée en train de m’enculer. Tout ce bruit avait attiré l’attention de certaines personnes et en particulier celle du pacha trentenaire vu plus tôt. Il est rentré dans la tente pour s’asseoir et nous observer. En temps normal ça m’aurait gêné mais je m’en foutais actuellement au plus haut point. Je dirais même que ça m’excite encore plus. Malgré les assauts de Rafael, j’arrive à le dévisager. Il a toujours son turban sur la tête mais il n’a plus ses vêtements. Il est plutôt canon et bien foutu. Il tient dans sa main une queue de taille similaire à la mienne et s’astique au rythme des coups de queue donné par Rafael. Il me fixe du regard avec désir et je sens bien qu’il s’imagine me pinant le cul. Rafael me tire de mes pensées quand je l’entends jurer en portugais et me placer des coups de reins bien violents qui me plaque littéralement sur le matelas. Des litres de jus remplissent mon cul et le corps de Rafael s’effondre sur le mien dans un râle animal poussé au volume maximum. Il reste quelques secondes avant de se retirer et se laisser tomber sur le côté.

C’est alors que le pacha se lève de sa place pour venir se mettre derrière et fourrer son pieu dans mon cul remplit de foutre. Sans ménagement il me mitraille avec sa bite. Je retrouve un peu d’aplomb pour me remettre à quatre pattes et encaisser au mieux ses à-coups. Rafael est venu se placer devant moi toujours allongé mais avec la queue à ma hauteur pour que je puisse nettoyer son packaging. Mais c’était mal le connaître car quelques minutes plus tard son dard était de nouveau dressé fièrement. Toujours dans son état d’animal, il me prend direct en gorges profondes. Je suis donc pris par les deux bouts par deux mecs puissants, riches et magnifiques. Le pacha finit par tout lâcher dans mon cul m’offrant une deuxième ration. Il me tape les fesses en guise de remerciement et quitte la tente. Il ne reste plus que Rafael, sa queue et moi. Quelques secondes après je reçois dans la bouche le résultat de son second set. J’avais déjà l’impression qu’il avait vidé un litre de sperme dans mon cul mais la quantité dans ma bouche me démontre qu’il en a encore sous la pédale. Je suis épuisé et je m’allonge pour me reposer mais c’est sans compter sur Rafael qui s’approche de moi et commence à me masturber. Dans toute cette orgie j’en avais oublié de jouir mais je savais que je m’en fichais car j’avais été comblé par la queue de Rafael. Sa main droite astique rapidement mon manche tandis que sa main gauche me doigte le cul en faisant ressortir tout ce sperme. En quelques minutes j’ai tout largué sur mon torse et mon bel étalon se fait un plaisir de tout lécher avant de venir m’embrasser.

Je m’enfouis dans ses bras pour me reposer un peu et nous parlons un peu de ce qui venait de se passer. Il me dit de pas avoir baiser comme ça quelqu’un et qu’il s’excuse s’il a été un peu brutal. Quant à moi je n’arrive pas à mettre des mots sur ce qu’il m’a fait vivre. Je finis par dire qu’il était temps que je parte et il me propose un dernier verre au bar. J’accepte et on se dirige vers la salle de réception. En arrivant vers le buffet, je remarque que, comme Miguel me l’avait dit, la salle était aussi devenue un baisodrome. D’ailleurs en parlant de lui je l’aperçois se faire sauter sur la table. Un mec est en train de le bourrer à fond tandis que pleins de mecs autour lui giclent à la gueule tour à tour. Je comprends pourquoi il a tant kiffé que je le défonce hier comme ça.

Après avoir bu un dernier verre, je me devais de quitter Rafael alors je lui promis de passer par chez lui quand j’arriverai au Brésil. Je me dirige vers la sortie mais le vigile m’arrête et me tend un papier. Je le lis et aperçoit des coordonnées et un prénom. Je regarde le vigile en demandant d’où ça vient et il m’indique une personne au fond de la pièce. Ce n’est autre que le pacha de tout à l’heure qui me regardait avec désir tout en se faisant sucer la queue par deux mecs. Je lui souris et partis de la soirée pour aller me coucher. J’ai le cul fracassé et arrivé à l’hôtel je file directement à la douche avant de m’endormir en rêvant de Rafael.

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