Voyage Initiatique - 05
Récit érotique écrit par Ninemark [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Voyage Initiatique - 05
Chapitre 5 : Brésil Partie 2 – L’heure de se poser un peu
Cela fait déjà quelques jours que je suis chez Rafael et je prends plaisir à me reposer dans cette maison luxuriante. Rafael n’est pas constamment présent mais dès que son corps apparait dans mon champ de vision, ma queue se dresse instantanément et mon anus frétille. Chaque soir je m’endors dans ses bras et je me sens vraiment bien. Déjà une semaine est passée mais je n’ai pas envie de repartir de suite. Et ça tombe bien car Rafael ne veut pas me voir partir non plus. On a les deux développés des sentiments l’un pour l’autre qui dépassent le stade plan cul. Il lui arrive de juste passer derrière moi et de m’embrasser sans que ça débouche sur une partie de jambes en l’air.
Le personnel s’est habitué tant bien que mal à ma présence et il m’arrive de bien rigoler avec certains. En particulier avec les cuisiniers et les jardiniers avec qui je bois des coups quand ils n’ont rien à faire. Rafael est plutôt un patron relax et n’est pas très exigeant envers son personnel tant qu’ils accomplissent leur travail. Rafael m’a annoncé devoir partir durant deux jours pour une affaire de contrat et c’est dans une certaine peine que je l’embrasse en espérant pouvoir vite le retrouver. Au moment de disparaitre, il me laisse entendre que ce n’est pas parce qu’il n’est pas là que je ne peux pas me vider un coup. Il me fait un signe du menton accompagné d’un clin d’œil. Je souris en réfléchissant à ses mots.
Les employés habitent généralement dans la ville d’à côté et rentrent chez eux le soir mais ce n’est pas le cas de tous comme le majordome ou Julio le jardinier sexy. Il a une chambre offerte par Rafael qui leur permet de vivre et de profiter aussi de la maison. C’est donc naturellement avec eux que je passe la soirée, accompagné d’un des deux cuisiniers obligés de rester pour nous faire à manger. On rigole bien et ils semblent quand même plus détendus quand Rafael n’est pas là. Je finis par rejoindre la chambre afin de regarder un film et m’endormir seul sans Rafael. Mais au bout d’un certain moment je crève de soif et me dois de partir en direction de la cuisine. En traversant le couloir, je passe devant les différentes chambres vides ou non. Une en particulier attire mon œil car elle est un peu entrouverte et je m’approche pour regarder qui se trouve dans cette chambre. J’essaye d’être discret et ferme un œil pour me concentrer sur la fente. Mes yeux s’écarquillent quand je me rends compte que c’est la chambre de Julio qui est actuellement en train de se branler aidé d’un gode dans le cul. Ma queue se dresse instantanément et ma main la rejoint pour entamer une lente masturbation. Je ne sais pas si je dois entrer ou rester là et me branler seul en le matant. Mais il me donne trop envie pour rester dans mon coin et je me déshabille pour ouvrir la porte et me retrouver nu face à lui. Il est surpris donc se cache par réflexe. Mais je m’approche de lui et lui suggère de se faire enculer par une vraie queue. Il sourit et se redresse pour approcher sa bouche de ma queue.
Sa bouche me transporte directement et il laisse parler son expérience. Je pense qu’il a dû en sucer beaucoup avant d’arriver à ce niveau. J’essaye de pas jouir rapidement mais c’est compliqué. Je me retire donc de sa bouche pour le retourner et prendre sa queue en bouche. Elle est de taille normale et plutôt belle. Il n’est pas rasé et ça va de pair avec son corps moyennement poilu. Il est vraiment mignon. Il doit avoir la vingtaine, plutôt grand et viril avec un regard plein de malice. Il est plutôt bien foutu et j’apprécie ses grosses cuisses musclées. Je m’exerce aux gorges profondes où Julio m’accompagne avec ses mains et son bassin relevé. Je prends un rythme plus lent pour pouvoir le goder en même temps. Mais je dois aussi lui faire bon effet car je me retrouve avec son sperme dans la bouche et ses halements deviennent des râles de jouissance. A ce moment là je me dis que je n’allais pas pouvoir le baiser car une fois la jouissance passée, c’est compliqué d’apprécier la pénétration… Mais à ma grande surprise il me demande de le prendre de suite. Je lui signifie bien que ça peut lui faire mal et je reçois comme réponse qu’il est au courant et que c’est ça qui l’excite. Je ne me fais pas attendre et en quelques secondes ma queue s’enfonce dans son cul déjà dilaté par le gode. Je l’encule sans ménagement en levrette et son visage est crispé entre douleur et plaisir. Je le fesse avec ardeur en lui tirant les cheveux par l’arrière. On dura un bon moment avant que je jouisse en lui et le laisse allonger sur son lit où un porno continuait à passer sur la télé. Avant de partir, il me dit que je peux revenir quand je veux. C’est d’ailleurs ce que j’ai fait à 3h du matin quand je me suis levé pour pisser. En repassant devant la porte, je ressens le désir de ma queue donc je rentre dans sa chambre. Il dort sur le ventre avec un simple drap. Je retire ce drap pour le découvrir nu, les fesses à l’air. Je me positionne au-dessus de lui et m’enfonce dans son cul sans prendre la peine de le réveiller. C’est ma queue qui s’en occupe car une fois bien au fond, Julie eut un mouvement de recul. Manque de chance il s’enfonce encore plus profond. Je lui rappelle qu’il m’a autorisé à le baiser à tout moment et que le moment était venu. Je ne prends pas le temps d’aller doucement car je veux me recoucher alors je le matraque comme une bête dans son lit, sa tête dans l’oreiller pour éviter de réveiller tout le monde. Je finis par me décharger dans son cul et après une dernière fessée je retourne dans mon lit sans dire un mot.
A mon réveil, je tâte la place à côté de moi dans l’espoir de trouver mon bel étalon mais ce n’est que du vent qui glisse entre mes doigts. Je finis par me résigner à me lever et rejoindre le salon. Je m’installe sur la terrasse où l’on me sert mon petit-déjeuner. Je profite de la chaleur et du soleil pour me vivifier quand j’entends quelqu’un me dire bonjour. J’ouvre les yeux pour découvrir Julio, grand sourire, passer devant moi. Je lui souris en retour en me souvenant de nos ébats de la veille. Il ne s’attarde pas plus que ça et continue son chemin pour aller tailler les arbustes. Je le regarde s’éloigner en n’omettant pas de mater son fessier plutôt musclé. Je réfléchis ensuite à la suite de ma journée et décide qu’elle se résumera à… rien faire.
Il est midi passé et je suis sur mon transat au bord de la piscine en somnolence avec la musique dans les oreilles. Je suis prêt à m’endormir quand une étrange sensation m’envahit au niveau des jambes. Je sens comme une bête remonter le long de ma jambe. Par réflexe, j’ouvre les yeux, prêt à bondir. Mais ce n’est pas une bête qui m’apparaît mais un homme magnifique. C’est Rafael qui semble être rentré plus tôt que prévu. Il aborde un large sourire et exhibe son torse musclé aux rayons de soleil. Il vient s’allonger à côté de moi et me couvre de baisers parsemés de phrases m’exprimant le manque qu’il avait sans moi. Je le trouve touchant et lui rend la pareille. Nos baisers deviennent de plus en plus insistants et langoureux et nos mains parcourent nos corps pour s’arrêter sur nos parties. Je commence à descendre doucement vers sa queue en léchant ses pectoraux sur le chemin. Son short vire aussi vite que possible et je me trouve vite à lui téter le gland. Il soupire d’aise et m’encourage à toujours faire mieux. Je lui relève un peu les jambes afin d’avoir un accès à son anus et le doigter tout en continuant de le sucer. Il se laisse faire et gémit de plus en plus. J’en profite pour l’observer dans ce moment et je ne peux m’empêcher de penser à la chance que j’ai d’être là avec lui. Il a un corps magnifiquement musclé, mat et bien proportionné. Sa queue de 24 centimètres rajoute un bonus au spectacle et sa gueule d’ange en fait un demi-dieu.
Il me prend le bras pour me ramener à sa bouche et entamer de nouveaux baisers langoureux. Cela lui permet d’échanger les rôles et de venir me sucer avec toujours plus d’ardeur. Au bout de quelques minutes, il me relève le bassin pour fourrer son visage dans mes fesses et lécher mon anus. La position n’est pas des plus confortables donc je lui demande de s’arrêter quelques secondes le temps de me mettre à quatre pattes. La position changée, il reprend son léchage de cul et commence à me doigter. Il finit par se lasser de mettre ses doigts et passe à la vitesse supérieure en approchant sa matraque de mon cul. Je suis tellement en manque de lui que je n’attends que ça et lorsqu’il me pénètre c’est un vrai soupir de relâchement qui sort de ma bouche. Il commence ses vas et viens tout en m’embrassant dans le dos. Il me prend ainsi pendant une dizaine de minutes en alternant profondeur et rapidité. J’en ai oublié la présence d’autres personnes et c’est que lorsque je vois passer Julio devant moi les yeux excités, la main dans le caleçon, que je me rappelle qu’on n’est pas tout seul. Rafael se finit ensuite en moi avant de s’effondrer de tout son poids épuisé. Je me blottis contre lui et on se raconte nos journées. Il me confesse être en grande forme aujourd’hui et que depuis son départ il ne pense qu’à revenir me baiser. Il me dit que je risque de me prendre plusieurs cartouches dans la journée.
Ayant soif, je me suis levé pour aller en cuisine chercher de quoi boire. J’ouvre les frigos et trouve de quoi me rafraichir. Le cuisinier mignon est présent et on parle quelques minutes. Il s’appelle Paolo et son accent me dit qu’il n’est pas originaire d’ici. On discutait un peu de tout quand Rafael entra dans la cuisine à son tour. Il sourit en alternant son regard entre Paolo et moi et déclare vouloir nous baiser les deux maintenant. Je rigole en lui disant qu’on vient de baiser il n’y a même pas dix minutes. Il baisse alors son maillot de bain pour dévoiler une queue presque en pleine érection. Je reste abasourdi à le regarder mais il s’approche de moi pour me retourner contre le plan de travail. Il s’enfonce de nouveau en moi aidé par sa défonce de tout à l’heure. Il s’excite dans mon cul comme un bulldog et ordonne à Paolo de venir se faire prendre à côté. Pour rappel, Paolo est l’unique employé à coucher avec Rafael et je le comprends quand ce dernier dévoile son cul musclé et rebondi en s’offrant dans une cambrure exceptionnelle. Il se retire alors de moi pour le prendre à sec et lui donner le même traitement que moi. Je dirais même qu’il prend encore plus cher et mon excitation est à son maximum. Il se retire pour me permettre de prendre Paolo à mon tour et sentir ma queue dans son cul est tellement jouissif. Mais sentir la queue de son étalon en même temps dans son propre cul est aussi indescriptible. On s’emboite donc les trois pendant un petit moment avant que Rafael s’allonge sur le plan de travail afin de proposer à Paolo une petite double pénétration qu’il accepte sans rechigner. Bien que ce soit difficile au début, on finit par trouver un rythme et lui offrir une belle doublette. La friction de nos deux queues l’une contre l’autre provoque notre jouissance et Paolo se trouve rapidement avec une double dose de jus dans son cul. Je pensais en avoir fini mais c’est sans compter sur Paolo qui se met instantanément à genoux pour venir nettoyer nos deux queues. Après ce nettoyage de luxe, on finit par prendre nos boissons et partir.
Et ce fut comme ça toute la journée où je me serai fait enculer pas moins d’une dizaine de fois. Je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi performant et il faut dire que j’ai beau avoir terminé cette journée vivant, je ne suis pas assez endurant pour encaisser ça sur le long terme. C’est donc dans une grande fatigue que je m’endors ce soir en devant refuser une nouvelle baise. Je lui raconte donc ce qu’il s’est passé avec Julio la nuit passée. Excité comme jamais, il sort du lit et file dans la chambre d’à côté baiser son jardinier comme un animal. Je l’entends crier et lui mettre des fessées. Je commence à m’endormir quand il revient visiblement satisfait. Il me prend dans ses bras et me dit que c’était juste comme ça aujourd’hui et que demain ça ira mieux. Il a subi pas mal de frustrations ces deux derniers jours et il avait besoin d’expulser tout ça.
Les jours continuent de filer et Rafael s’est en effet calmé même si on couche ensemble au moins trois fois dans la journée dans à peu près tous les endroits possibles. Mais aujourd’hui je me réveille en ayant le sentiment qu’il est temps pour moi de continuer mon périple. Je lui en parle et c’est dans une dernière baise langoureuse et tendre qu’on se dit au revoir. On a vraiment du mal à se quitter et la promesse de se revoir semble nous faire garder espoir. Le prochain pays à visiter s’avère être la Colombie et pour y parvenir il me reste encore pas mal de route.
Cela fait déjà quelques jours que je suis chez Rafael et je prends plaisir à me reposer dans cette maison luxuriante. Rafael n’est pas constamment présent mais dès que son corps apparait dans mon champ de vision, ma queue se dresse instantanément et mon anus frétille. Chaque soir je m’endors dans ses bras et je me sens vraiment bien. Déjà une semaine est passée mais je n’ai pas envie de repartir de suite. Et ça tombe bien car Rafael ne veut pas me voir partir non plus. On a les deux développés des sentiments l’un pour l’autre qui dépassent le stade plan cul. Il lui arrive de juste passer derrière moi et de m’embrasser sans que ça débouche sur une partie de jambes en l’air.
Le personnel s’est habitué tant bien que mal à ma présence et il m’arrive de bien rigoler avec certains. En particulier avec les cuisiniers et les jardiniers avec qui je bois des coups quand ils n’ont rien à faire. Rafael est plutôt un patron relax et n’est pas très exigeant envers son personnel tant qu’ils accomplissent leur travail. Rafael m’a annoncé devoir partir durant deux jours pour une affaire de contrat et c’est dans une certaine peine que je l’embrasse en espérant pouvoir vite le retrouver. Au moment de disparaitre, il me laisse entendre que ce n’est pas parce qu’il n’est pas là que je ne peux pas me vider un coup. Il me fait un signe du menton accompagné d’un clin d’œil. Je souris en réfléchissant à ses mots.
Les employés habitent généralement dans la ville d’à côté et rentrent chez eux le soir mais ce n’est pas le cas de tous comme le majordome ou Julio le jardinier sexy. Il a une chambre offerte par Rafael qui leur permet de vivre et de profiter aussi de la maison. C’est donc naturellement avec eux que je passe la soirée, accompagné d’un des deux cuisiniers obligés de rester pour nous faire à manger. On rigole bien et ils semblent quand même plus détendus quand Rafael n’est pas là. Je finis par rejoindre la chambre afin de regarder un film et m’endormir seul sans Rafael. Mais au bout d’un certain moment je crève de soif et me dois de partir en direction de la cuisine. En traversant le couloir, je passe devant les différentes chambres vides ou non. Une en particulier attire mon œil car elle est un peu entrouverte et je m’approche pour regarder qui se trouve dans cette chambre. J’essaye d’être discret et ferme un œil pour me concentrer sur la fente. Mes yeux s’écarquillent quand je me rends compte que c’est la chambre de Julio qui est actuellement en train de se branler aidé d’un gode dans le cul. Ma queue se dresse instantanément et ma main la rejoint pour entamer une lente masturbation. Je ne sais pas si je dois entrer ou rester là et me branler seul en le matant. Mais il me donne trop envie pour rester dans mon coin et je me déshabille pour ouvrir la porte et me retrouver nu face à lui. Il est surpris donc se cache par réflexe. Mais je m’approche de lui et lui suggère de se faire enculer par une vraie queue. Il sourit et se redresse pour approcher sa bouche de ma queue.
Sa bouche me transporte directement et il laisse parler son expérience. Je pense qu’il a dû en sucer beaucoup avant d’arriver à ce niveau. J’essaye de pas jouir rapidement mais c’est compliqué. Je me retire donc de sa bouche pour le retourner et prendre sa queue en bouche. Elle est de taille normale et plutôt belle. Il n’est pas rasé et ça va de pair avec son corps moyennement poilu. Il est vraiment mignon. Il doit avoir la vingtaine, plutôt grand et viril avec un regard plein de malice. Il est plutôt bien foutu et j’apprécie ses grosses cuisses musclées. Je m’exerce aux gorges profondes où Julio m’accompagne avec ses mains et son bassin relevé. Je prends un rythme plus lent pour pouvoir le goder en même temps. Mais je dois aussi lui faire bon effet car je me retrouve avec son sperme dans la bouche et ses halements deviennent des râles de jouissance. A ce moment là je me dis que je n’allais pas pouvoir le baiser car une fois la jouissance passée, c’est compliqué d’apprécier la pénétration… Mais à ma grande surprise il me demande de le prendre de suite. Je lui signifie bien que ça peut lui faire mal et je reçois comme réponse qu’il est au courant et que c’est ça qui l’excite. Je ne me fais pas attendre et en quelques secondes ma queue s’enfonce dans son cul déjà dilaté par le gode. Je l’encule sans ménagement en levrette et son visage est crispé entre douleur et plaisir. Je le fesse avec ardeur en lui tirant les cheveux par l’arrière. On dura un bon moment avant que je jouisse en lui et le laisse allonger sur son lit où un porno continuait à passer sur la télé. Avant de partir, il me dit que je peux revenir quand je veux. C’est d’ailleurs ce que j’ai fait à 3h du matin quand je me suis levé pour pisser. En repassant devant la porte, je ressens le désir de ma queue donc je rentre dans sa chambre. Il dort sur le ventre avec un simple drap. Je retire ce drap pour le découvrir nu, les fesses à l’air. Je me positionne au-dessus de lui et m’enfonce dans son cul sans prendre la peine de le réveiller. C’est ma queue qui s’en occupe car une fois bien au fond, Julie eut un mouvement de recul. Manque de chance il s’enfonce encore plus profond. Je lui rappelle qu’il m’a autorisé à le baiser à tout moment et que le moment était venu. Je ne prends pas le temps d’aller doucement car je veux me recoucher alors je le matraque comme une bête dans son lit, sa tête dans l’oreiller pour éviter de réveiller tout le monde. Je finis par me décharger dans son cul et après une dernière fessée je retourne dans mon lit sans dire un mot.
A mon réveil, je tâte la place à côté de moi dans l’espoir de trouver mon bel étalon mais ce n’est que du vent qui glisse entre mes doigts. Je finis par me résigner à me lever et rejoindre le salon. Je m’installe sur la terrasse où l’on me sert mon petit-déjeuner. Je profite de la chaleur et du soleil pour me vivifier quand j’entends quelqu’un me dire bonjour. J’ouvre les yeux pour découvrir Julio, grand sourire, passer devant moi. Je lui souris en retour en me souvenant de nos ébats de la veille. Il ne s’attarde pas plus que ça et continue son chemin pour aller tailler les arbustes. Je le regarde s’éloigner en n’omettant pas de mater son fessier plutôt musclé. Je réfléchis ensuite à la suite de ma journée et décide qu’elle se résumera à… rien faire.
Il est midi passé et je suis sur mon transat au bord de la piscine en somnolence avec la musique dans les oreilles. Je suis prêt à m’endormir quand une étrange sensation m’envahit au niveau des jambes. Je sens comme une bête remonter le long de ma jambe. Par réflexe, j’ouvre les yeux, prêt à bondir. Mais ce n’est pas une bête qui m’apparaît mais un homme magnifique. C’est Rafael qui semble être rentré plus tôt que prévu. Il aborde un large sourire et exhibe son torse musclé aux rayons de soleil. Il vient s’allonger à côté de moi et me couvre de baisers parsemés de phrases m’exprimant le manque qu’il avait sans moi. Je le trouve touchant et lui rend la pareille. Nos baisers deviennent de plus en plus insistants et langoureux et nos mains parcourent nos corps pour s’arrêter sur nos parties. Je commence à descendre doucement vers sa queue en léchant ses pectoraux sur le chemin. Son short vire aussi vite que possible et je me trouve vite à lui téter le gland. Il soupire d’aise et m’encourage à toujours faire mieux. Je lui relève un peu les jambes afin d’avoir un accès à son anus et le doigter tout en continuant de le sucer. Il se laisse faire et gémit de plus en plus. J’en profite pour l’observer dans ce moment et je ne peux m’empêcher de penser à la chance que j’ai d’être là avec lui. Il a un corps magnifiquement musclé, mat et bien proportionné. Sa queue de 24 centimètres rajoute un bonus au spectacle et sa gueule d’ange en fait un demi-dieu.
Il me prend le bras pour me ramener à sa bouche et entamer de nouveaux baisers langoureux. Cela lui permet d’échanger les rôles et de venir me sucer avec toujours plus d’ardeur. Au bout de quelques minutes, il me relève le bassin pour fourrer son visage dans mes fesses et lécher mon anus. La position n’est pas des plus confortables donc je lui demande de s’arrêter quelques secondes le temps de me mettre à quatre pattes. La position changée, il reprend son léchage de cul et commence à me doigter. Il finit par se lasser de mettre ses doigts et passe à la vitesse supérieure en approchant sa matraque de mon cul. Je suis tellement en manque de lui que je n’attends que ça et lorsqu’il me pénètre c’est un vrai soupir de relâchement qui sort de ma bouche. Il commence ses vas et viens tout en m’embrassant dans le dos. Il me prend ainsi pendant une dizaine de minutes en alternant profondeur et rapidité. J’en ai oublié la présence d’autres personnes et c’est que lorsque je vois passer Julio devant moi les yeux excités, la main dans le caleçon, que je me rappelle qu’on n’est pas tout seul. Rafael se finit ensuite en moi avant de s’effondrer de tout son poids épuisé. Je me blottis contre lui et on se raconte nos journées. Il me confesse être en grande forme aujourd’hui et que depuis son départ il ne pense qu’à revenir me baiser. Il me dit que je risque de me prendre plusieurs cartouches dans la journée.
Ayant soif, je me suis levé pour aller en cuisine chercher de quoi boire. J’ouvre les frigos et trouve de quoi me rafraichir. Le cuisinier mignon est présent et on parle quelques minutes. Il s’appelle Paolo et son accent me dit qu’il n’est pas originaire d’ici. On discutait un peu de tout quand Rafael entra dans la cuisine à son tour. Il sourit en alternant son regard entre Paolo et moi et déclare vouloir nous baiser les deux maintenant. Je rigole en lui disant qu’on vient de baiser il n’y a même pas dix minutes. Il baisse alors son maillot de bain pour dévoiler une queue presque en pleine érection. Je reste abasourdi à le regarder mais il s’approche de moi pour me retourner contre le plan de travail. Il s’enfonce de nouveau en moi aidé par sa défonce de tout à l’heure. Il s’excite dans mon cul comme un bulldog et ordonne à Paolo de venir se faire prendre à côté. Pour rappel, Paolo est l’unique employé à coucher avec Rafael et je le comprends quand ce dernier dévoile son cul musclé et rebondi en s’offrant dans une cambrure exceptionnelle. Il se retire alors de moi pour le prendre à sec et lui donner le même traitement que moi. Je dirais même qu’il prend encore plus cher et mon excitation est à son maximum. Il se retire pour me permettre de prendre Paolo à mon tour et sentir ma queue dans son cul est tellement jouissif. Mais sentir la queue de son étalon en même temps dans son propre cul est aussi indescriptible. On s’emboite donc les trois pendant un petit moment avant que Rafael s’allonge sur le plan de travail afin de proposer à Paolo une petite double pénétration qu’il accepte sans rechigner. Bien que ce soit difficile au début, on finit par trouver un rythme et lui offrir une belle doublette. La friction de nos deux queues l’une contre l’autre provoque notre jouissance et Paolo se trouve rapidement avec une double dose de jus dans son cul. Je pensais en avoir fini mais c’est sans compter sur Paolo qui se met instantanément à genoux pour venir nettoyer nos deux queues. Après ce nettoyage de luxe, on finit par prendre nos boissons et partir.
Et ce fut comme ça toute la journée où je me serai fait enculer pas moins d’une dizaine de fois. Je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi performant et il faut dire que j’ai beau avoir terminé cette journée vivant, je ne suis pas assez endurant pour encaisser ça sur le long terme. C’est donc dans une grande fatigue que je m’endors ce soir en devant refuser une nouvelle baise. Je lui raconte donc ce qu’il s’est passé avec Julio la nuit passée. Excité comme jamais, il sort du lit et file dans la chambre d’à côté baiser son jardinier comme un animal. Je l’entends crier et lui mettre des fessées. Je commence à m’endormir quand il revient visiblement satisfait. Il me prend dans ses bras et me dit que c’était juste comme ça aujourd’hui et que demain ça ira mieux. Il a subi pas mal de frustrations ces deux derniers jours et il avait besoin d’expulser tout ça.
Les jours continuent de filer et Rafael s’est en effet calmé même si on couche ensemble au moins trois fois dans la journée dans à peu près tous les endroits possibles. Mais aujourd’hui je me réveille en ayant le sentiment qu’il est temps pour moi de continuer mon périple. Je lui en parle et c’est dans une dernière baise langoureuse et tendre qu’on se dit au revoir. On a vraiment du mal à se quitter et la promesse de se revoir semble nous faire garder espoir. Le prochain pays à visiter s’avère être la Colombie et pour y parvenir il me reste encore pas mal de route.
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