Voyage initiatique en Suède (1)
Récit érotique écrit par Alan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 20 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Alan ont reçu un total de 142 798 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 8 241 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Voyage initiatique en Suède (1)
Amies lectrices, amis lecteurs.
Ce récit, en grande partie autobiographique évoque mes débuts dans le monde des adutes. Il comporte plusieurs chapitres mettant en scène des garçons et des filles parfois en solitaire, souvent en couple homo et hétéro, mais aussi en groupe...ce qui vous amènera à parcourir différentes " rubriques " d'Histoire de Sexe. J'espère que vous apprécierez toutes les péripéties de ce récit que l'on peut très bien lire … d'une seule main ou à plusieurs. Très bonne lecture ...et caresses érotiques à tous.
Alan
Je m'appelle Michel. Nous sommes en 1948, au lendemain de la guerre ...J'ai 18 ans à peine et je suis chef de la patrouille des Aigles de la troupe scout du Lycée privé de C... A midi, ma mère m'a pris à part et m'a dit que mon cousin Bruno qui avait presque vingt ans, partait en Suède avec sa troupe de scouts parisiens et qu'il me proposait de se joindre à eux car il y avait une défection...Je devais lui donner une réponse rapidement, le départ en convoi militaire étant fixé au 16 juillet, deux semaines plus tard...Les vacances en France ne se présentant pas sous les meilleures auspices à cette époque, j'acceptais l'offre de Bruno sans état d’âme... Quinze jours plus tard, les formalités administratives terminées et mon sac bouclé, je retrouvais mon cousin gare d'Austerlitz...Le lendemain, nous embarquions avec armes et bagages dans des bahuts militaires bâchés, destination Copenhague. Je n'ai jamais su comment les organisateurs avaient obtenu la prise en charge par l'Armée de notre transport jusqu 'au Danemark.
Le hasard fit que je me retrouvais assis sur une banquette de bois entre mon cousin et un garçon de mon age, blond aux yeux bleus qui se présenta comme Bertrand de N...de la patrouille des Castors...Le convoi s'ébranla peu de temps après...La traversée de la Belgique puis surtout de l'Allemagne du Nord, en ruines, n'était pas particulièrement stimulante... Depuis longtemps déjà la conversation avec mon voisin s'était éteinte...Nous arrivions enfin dans un camp militaire proche de Hambourg où nous devions faire escale pour la nuit avant de reprendre la route....On nous emmena vers des casernements provisoires qui devaient nous servir d'hébergement : un réfectoire où s'alignaient une douzaine de grandes tables, une grande pièce garnit de lits métalliques qui me parurent forts étroits et enfin une dernière pièce à usage de toilettes collectives avec une série de lavabos d'un coté, faisant face à une série de cabines que j' identifiais comme des W.C . et, au fond du bâtiment, une salle de douche où l'intimité de chacun était faiblement préservée par des rideaux de plastique translucide...
Dès que j'eus déposé mon sac sur le lit qui m'était attribué, je récupérais mes affaires de toilette et me dirigeais vers les toilettes pour prendre une douche pendant que la plupart de mes collègues scouts se vautraient sur leurs lits. Trois ou quatre des compartiments " ad hoc " étaient occupés : du couloir, on devinait la silhouette de l'utilisateur !.. Ma pudeur naturelle était quelque peu affecté par ce manque d'intimité mais, dans de telles circonstances, au diable la pudeur !... J'entrais dans un espace libre et me déshabillait rapidement, accrochant à une patère mes vêtements...J'étais en slip kangourou bon chic bon genre quand ce qui représentait la porte glissa sur ses anneaux de suspension...Un type d'une trentaine d'année, en tenue de sport, entra sans hésitation ni excuse. Je crus reconnaître un des chauffeurs de notre convoi. Il me regarda des pieds à la tête puis me sourit en disant :
Salut... Tu es pas mal roulé, jeunot !..Si tu permets, on va prendre la douche ensemble...Les autres cabines sont occupées...
Tout en parlant, il s'était dévêtu et se tenait maintenant totalement à poil devant moi....Il pendit ses vêtements à une patère, me laissant reluquer son cul velu, séparé en deux lobes rebondis par sa raie...Il se retourna et se préparait à ouvrir les robinets...Mes yeux ne pouvaient se détacher de son sexe. C'était la première fois de ma vie que je découvrais un équipement de mâle adulte : une grosse bite totalement relâchée surgissait d'une épaisse forêt de poils bruns et dominait ses deux grosses burnes...Il vit ma stupéfaction...et mon intérêt. Il chuchota :
T'as jamais vu la queue d'un mec ?...C'est beau, hein !...Tu peux toucher si tu veux !...N'ai pas peur, ça ne mord pas !
Il flattait sa queue de sa main gauche tandis que l'autre prenait ma main droite et l'amenait au contact de son sexe. Le touché le fit tressaillir....J’étais... totalement stupéfié... et c'est peu pour qualifier mon état d'esprit du moment !...Maintenant, il tirait sur l'élastique de la ceinture de mon slip et le faisait glisser sur mes chevilles ; Instinctivement, mes mains vinrent couvrir mes attributs sexuels...Il m'observait, ses lèvres affichant un sourire malicieux...Il ramassa mon slip offrant à mes yeux ébahis le spectacle de son trou de balle apparaissant comme un puit sans fond perdu dans une brousse impressionnante de poils noirs... Il accrocha mon slip avec mes autres vêtements puis ouvrit les robinets s'attachant à régler le débit et la température de l'eau. Je constatais, un peu étonné, que ma verge était dure et gonflée ce qui n'arrivait habituellement que dans mon lit, certains matins,. Et celle-ci échappait à mes tentatives de dissimulation...
Je jetais un œil à mon....voisin . Je m' aperçus, surpris, que sa bite aussi était dressée comme un gros dard, au dessus de ses testicules dissimulés par son épaisse forêt de poils pubiens bruns...Mais voilà qu'il écartait mes mains, offrant ma nudité totale à son examen... Il prit ma verge dans sa main et fit glisser la fine peau qui recouvrait mon gland...Je fus un peu surpris par la sensation de brûlure que je ressentis lors de ce décalottage... Simultanément, de son autre main, il caressait doucement mes couilles puis les enferma dans son poing qu'il serra...Ça me fit un peu mal puis la douleur s'estompa, laissant la place à une sensation de plaisir....
Il abandonna ma verge pour saisir la sienne qu'il décalotta...Son gland était aussi rouge que le mien mais d'une grosseur bien supérieure...Sa main entreprit des mouvements de haut en bas le long de sa bite, découvrant puis recouvrant son gland..Il me semblait qu'elle grossissait encore....Les mouvements s’accélérèrent...Je copiais tous ses gestes...Mon zob était gonflé et raide ...Mon prépuce jouait à cache-cache avec mon gland...Je sentais une espèce de douce pression montée de mon bas-ventre, dans mon sexe... Le corps de mon voisin se raidit soudainement : sous mes yeux esbaudis, un puissant jet crémeux jaillit de l'extrémité de son dard et retomba dans le réceptacle de la douche précédant deux autres émissions moins importantes.... Voyant mon étonnement, il prit ma verge dans sa main en disant :
C'est ta première fois ?.... Laisse-moi faire !...ça te fera peut-être un peu mal mais tu vas jouir toi aussi !...
Sa main avait entrepris de faire coulisser mon prépuce sur mon gland par des mouvements profonds d'aller et retour d'abord assez lents puis de plus en plus rapides. Ma verge me faisait bien un peu souffrir mais je sentais à nouveau la pression monter dans mes couilles et dans ma verge...Mon corps se raidit à son tour, tendu vers cette main toujours en mouvement sur ma bite... Une soupape s'ouvrit dans mon gland et un jet d'un épais liquide jaillit de son ouverture terminale....
T'as joui p'tit ?...C'était bon ?....
dit-il en se savonnant... Il n'attendit pas ma réponse pour se rincer, se rhabiller et sortir de la cabine
après m'avoir glisser
Pas un mot de ceci....Attends cinq minutes avant de sortir !.. Salut !...
Je fis comme il m'avait dit et rejoignit le dortoir pour ranger mes affaires de douche ...Mon camarade de route, Bertrand était assis sur le lit voisin de celui qui m'avait été assigné. Il me sourit et me dit :
T'en a mis du temps pour prendre ta douche !.... Qu'est que tu fichais ?...
Après une courte hésitation, je lui répondis :
Je te raconterai plus tard... C'est quasiment l'heure d la bouffe !...On y va ?...
Durant les quarante huit heures suivantes , la fatigue s 'ajoutant à la nouveauté, je n'avais pas trouvé l'opportunité de raconter mon aventure à Bertrand : la visite rapide de Copenhague avec celle obligatoire à la délicieuse Petite Sirène, le trajet en bus jusqu'à Helsingor, l'Elseneur d'Hamlet, l'embarquement sur le ferry et la traversée de l' Öresund puis notre arrivée à Helsingborg et enfin notre installation dans un centre de loisir, au bord de la mer, à quelques kilomètres, occupèrent ces deux jours... Je dois ajouter que je restais très troubler par ce que j'avais découvert dans cette fameuse cabine de douche : le sexe d'un inconnu , les attouchements, la masturbation, l'éjaculation ! Mon éducation catho et ma conscience me reprochaient ce que l'on appelait des péchés !... J'envisageais même d'aller confesser ces fautes à notre aumônier mais Bertrand, très intrigué par mon silence, mourrait d'impatience... et l'attrait de nouvelles sensations m'excitait terriblement … Tout cela me poussa à demander à Bruno, notre chef et mon cousin, l'autorisation d'explorer les environs.
D'accord me dit-il. Chercher, au bord de la mer, il doit y avoir un sauna...Nils, un scout suédois qui parle très bien français et qui assure la liaison avec nos homologues, doit être en train de le mettre en condition...Donnez-lui un coup de main si besoin est !...Je vous y retrouverai avec les autres , d'ici deux heures....
Bertrand qui avait été témoin de notre bref entretien, était très excité....Nous partîmes donc vers la côte, guidé par le bruit des vagues et je commençais à lui raconter l'irruption du chauffeur dans la cabine de douche où je venais de m'installer...Le chemin que nous suivions, nous conduisit à une petite plage en pleine forêt ,,,,A l’autre bout de la plage, il y avait un chalet en bois dont la cheminée fumait comme celle d'une locomotive... Un banc de bois nous tendait les bras... Bertrand s'assit m’entraînant à coté de lui ...Il relança mon récit :
Il t'a montré sa bite et ses couilles !...Allez, continue !...
Je repris mon histoire en lui révélant que j'avais touché son vit, qu'il m'avait enlevé mon slip...Je remarquais alors que sa culotte d'uniforme laissait apparaître une grosse bosse au niveau de son entrejambe...Il se tourna vers moi, me sourit et posa sa main sur ma cuisse nue, retroussant un peu le bas de ma culotte...Mon sexe aussi, emprisonné par mon slip, formait une grosse bosse sous le drap bleu. Je racontais les manœuvres de mon visiteur sur ma verge, le décalottage de mon gland...La main de mon copain progressait et le bout de ses doigts passaient outre la barrière de mon slip et entraient en contact avec le bout de ma bite... J'en perdais le fil !... Un coup de sifflet vint stopper nos ébats : au bout de la plage, juste devant le chalet, quelqu'un s'agitait et nous faisait signe de le rejoindre....Nous rajustâmes rapidement nos culottes et rejoignîmes en courant...un garçon blond avec des yeux bleu délavé, un peu plus âgé que nous, torse nu, le reste enveloppé dans une serviette de coton...Il nous regarda en souriant et nous dit :
Je suis Nils et vous êtes les scouts parisiens...Je vais vous présenter mon copain Sven...Il s'occupe du feu ...Déshabillez-vous...Ici, on est tous à poil, c'est la règle !... Il m'a semblé que c'est ce que vous étiez en train de faire ajouta-t-il en nous montrant la paire de jumelles qu'il tenait à la main.
J Je me sentais rougir...Bertrand était écarlate...Nils continua
C'est pas grave !...Nous aussi on joue souvent à ces jeux là...Si ça vous intéresse, regardez mais ne toucher pas ;;; pour l'instant au moins !..
Il dénoua la serviette qui ceignait sa taille, dévoilant son sexe au repos et la forêt de poils pubiens qui l'entourait....
A vous deux maintenant !
Il nous tendit deux serviettes identiques à celle qu'il venait d’ôter....Je débouclais déjà mon ceinturon, déboutonnais la ceinture et la braguette de ma culotte qui tomba immédiatement sur mes chevilles. Mon slip ne tarda pas à la rejoindre, mon sexe restant dissimuler par les pans de ma chemise.. Bertrand me regardait ébahi, la main sur la boucle de sa ceinture...Nils vint à son aide et trente secondes plus tard mon copain était complètement à poil, sa bite droite comme un soldat au garde à vous ! Une fine toison blonde dissimulait à peine le sac de ses testicules...Son torse harmonieusement musclé mais peu velu montrait deux mamelons turgescent au centre de leurs aréoles brunes et larges...J’ôtais enfin ma chemise dévoilant ma poitrine plus poilue et mon sexe dont le vit se dressait fièrement au dessus d'une brousse brune.
Pas mal, vos outils !....Il est temps d'aller voir Sven... Il doit s'impatienter !...
dit Nils en ajustant sa serviette autour de ses reins...Nous fîmes de même sans oser le moindre commentaire tant nos étions stupéfiés, autant Bertrand que moi. Nous contournâmes le chalet pour parvenir à une mini cave où se trouvait le foyer enterré sous la construction. On y accédait par quatre marches...Un garçon s'activait pour alimenter le brasier...Nils l'appela..;Il se retourna et nous rejoignit. Nils fit les présentations, déposa nos vêtements dans un placard et donna ses instructions :
Voilà un échantillon des scouts français que nous attendions!...Michel et Bertrand...Ils sont venus pour nous aider avant que les autres arrivent pour le sauna...dans un peu plus d'une heure...Michel va rester avec toi pendant que j'irai chercher du bois avec Bertrand.
Il se saisit d'une brouette disant à Bertrand de faire de même et ils s'éloignèrent dans le bois. .. J'examinais Sven, juste ceint d'une serviette nouée autour de sa taille. Il était brun, un peu plus âgé que moi sans doute, plus costaud et plus velu !...Ses pectoraux étaient plus développés que les miens – il devait faire de la muscu !...- même ses mamelons étaient plus importants...Lui aussi me dévisageait des pieds à la tête... Il défit le nœud de sa serviette et la laissa tomber sur le sol découvrant son sexe.... Sa bite, au repos, me parut plus longue et plus massive que la mienne que je décidais d'exposer à ses yeux... Il me prit par le bras et m’entraîna à l'intérieur du chalet...J'entrais dans la pièce unique. Aucun meuble, mis à part une large banquette de bois vernis qui s'allongeait sur trois cotés...Le milieu du quatrième était occupé par un tas de pierres plates dont émanait une très forte chaleur . A proximité, se trouvait un gros baquet plein d'eau...
Je passais donc devant Sven qui en profita pour me mettre la main aux fesses, son majeur calé dans ma raie au niveau de mon petit trou... Je me retournais, très surpris...Il souriait et me serra contre lui...Nos deux sexes se touchèrent...Je constatais qu' il bandait comme un turc !...Sa main droite caressant toujours mon anus, l'autre se saisit de mon phallus...s'employant à décalotter mon gland...Je sortis de ma stupide stupeur en titillant d'abord l'un de ses mamelons tandis que ma main libre glissait le long de son dos puis de la raie de son cul....Il s'écarta me permettant d'admirer l'espèce de gourdin qui lui servait de sexe : long, musculeux, terminé par un gland turgescent dont le prépuce avait été retroussé, se dressant au-dessus d'une toison brune soigneusement taillée .
Une impulsion soudaine m'amena à prendre en main sa grosse verge et à entreprendre les mouvements de va-et-vient récemment appris dans une cabine de douche !...Son membre se raidit encore sous cette caresse... Une grosse veine bleu y palpitait...Son majeur faisait pression sur mon œillet rectal et était sur le point de pénétrer quand il suspendit sa tentative, arrêta ma masturbation et, s'agenouillant devant moi, introduisit ma bite dans sa bouche... Sa langue caressa mon gland, son méat... Il avale mon vit dans sa totalité... Mon gland heurte le fond de sa gorge... Dès que je reviens de ma stupéfaction initiale – c'est la première fois que je subissais un tel traitement, ..je trouvais ça , sucer une queue, vraiment dégueulasse mais, très vite, je changeais d'avis : c'était tellement bon que, oubliant mon partenaire, je me concentrais sur la poursuite de mon plaisir... Au diable mon éducation et le catéchisme !...Je sentais monter la pression dans mon bas-ventre...Il interrompit son activité sur ma verge et se redressa... Il s'approcha du baquet d'eau, en puisa à l'aide d'une gamelle et la versa lentement sur les pierres chauffées à blanc. L'eau se vaporisa instantanément avec un chuintement de cocotte minute... Il se dirigea ensuite vers la porte en me disant :
Je vais recharger le foyer. J'en ai juste pour deux ou trois minutes.
Et il sortit... Je m'assis sur la banquette en caressant mon sexe. J'avais hâte de son retour et toujours un peu contrit de ce que nous étions en train de faire... mais très curieux et impatient de connaître la suite !
Quand il revint, il s'approcha tout de suite de moi, toujours assis, la main sur mon vit. Son sexe était à la hauteur de mon visage... Il saisit sa bite et la mis au contact de mes lèvres...Très vite bien que n'ayant jamais fait une telle chose et malgré un léger dégoût, j'ouvris la bouche et laissais son gland puis sa queue entière y pénétrer
Aller...Suce moi bien, comme je t'ai fait tout à l'heure !...Oui, c'est très bien !... J'aime !..
Ses mains posées sur ma tête modulaient les mouvements de ma bouche... Son gland heurtait le fond de ma gorge puis s'éloignait jusqu'à me dents avant de revenir pus vite et plus vivement...Sa verge gonflait... la mienne aussi car je... me masturbais d' une main, l'autre se promenant autour de son anus, comme si elle voulait en forcer l'accès... Il haletait
Ahhhh !...C'est trop bon !...encore aaaaah...Ça y est....Je viens....
Mon index pénétra l’œillet de son trou de balle... Il gémit, se cambra en enfonçant son zob au fin fond de ma gorge. .. et il lâcha un long jet tout en maintenant mon visage contre son sexe...
J'étais écœuré, sur le point de vomir...
Avale mon jus....tout mon jus !...c'est mon sperme, jeune puceau !...
J'obtempérais, mon dégoût décroissant . Surpris, j'avais vivement retiré mon doigt de son conduit anal à l'instant de son éjaculation dans ma bouche...Il finit par sortir sa bite sans toutefois l'éloigner de mes lèvres... Elle était couverte d'un liquide épais et gluant semblable à celui que mon compagnon de douche avait fait jaillir de son sexe et du mien, à Hambourg.
Nettoie cette superbe queue avec ta langue, bien partout !..Allez !...Go !...
A nouveau, j'eus un haut-le-cœur...Je crus que j'allais vraiment dégueuler mais ma langue semblait avoir pris son indépendance et entrepris de lécher sa bite mollissante, de haut en bas en insistant particulièrement sur son gland et les replis de son prépuce...
C'est bien... Je vais m'occuper de toi, maintenant !... Lève toi je vais te faire jouir à ton tour.... Allez ! Debout....
J'obéis..Il s'agenouilla devant moi et... sans plus tergiverser, goba ma queue. Tout de suite, j’appréciais la chaleur humide de cette grotte ... Sa langue joua un moment avec mon gland, caressant son méat et son prépuce... L'une de ses mains malaxait mes testicules tandis que l'autre parcourait la raie de mon cul puis entreprenait de s'introduire dans mon petit trou ... Il engloutit entièrement ma verge dont le gland vint buter sur son arrière gorge... Il commença alors des mouvements de va-et-vient sur ma hampe de plus en plus turgescente....Mes mains se positionnèrent spontanément sur sa tête et s 'efforçaient d'accélérer les mouvements de sa bouche... Son index força ma rondelle et pénétra mon canal anal...Je sentais monter dans mon bas-ventre, une énorme vague comme celle que j'avais déjà connu à Hambourg !...Je gémissais, haletant :
Continue, je t'en prie !.. Ça vient...Je vais éjaculer dans ta bouche !..Ça vient ! Ohoh !...
Mon sperme jaillissait en plusieurs vagues successives... Ma jouissance était indescriptible...Il me repoussa... Du sperme s'échappait de ses lèvres...Il les ouvrit et rejeta dans sa main le contenu de sa bouche...puis il me tendit le creux de celle-ci, plein de sperme.
Bois !...m'ordonna-t-il... C'est ton foutre !... Tu me diras s'il est meilleur que le mien !...
Je lapais le contenu de sa main puis suçait ses doigts engluées de ma sève...Le bruit des brouettes chargées de bûches interrompit notre si délicieuse activité : Nils et Bertrand approchaient.
Sven jeta rapidement une marmite de flotte sur les pierres chauffées à blanc...L'eau se vaporisa instantanément et un nuage de vapeur envahit la pièce...Sven noua sa serviette sur ses hanches...
Attends deux minutes avant de sortir !...
Deux minutes plus tard, je sortais couvert de sueur, la serviette bien nouée autour de mes reins, juste à temps pour accueillir nos deux copains.... Le temps de décharger les brouettes et de lancer une nouvelle casserole d'eau sur les pierres, et une demi-douzaine de nos collègues scouts arrivaient en plaisantant pour le sauna...Nis leur ordonna de se déshabiller ce qu'ils firent après quelques minutes d'hésitation bien compréhensibles... C'était un spectacle tout à fait nouveau de nous retrouver tous à poil, assis cote à cote sur la banquette, dans cette pièce surchauffée...Je voyais la stupéfaction sur les visages des uns et des autres trop absorbés par le spectacle offert à leurs yeux ébahis pour laisser échapper un commentaire ou une plaisanterie !...
Après un séjour en " vapeur sèche " durant une dizaine de minutes et un bain dans le Sund...glacial, nous nous sommes rhabillés et nous sommes rentrés à notre camp sans un mot , sans même saluer Nils et Sven.
Après cette journée totalement inattendue pour les scouts français que nous étions, je séchais la veillée du soir et gagnais la chambre que je partageais avec Bertrand et quatre autres scouts dans l'un des bungalows du centre...A peine couché, je m'endormis comme une masse...Je ne sais ni au bout de combien de temps ni la cause de mon réveil, mais je rouvris les yeux dans une chambre dont le clair obscur n'était troublé que par les ronflements peu mélodieux de mes cothurnes !...Une ombre se dressait à demi au chevet de mon lit !... J' hésitais un court instant avant de reconnaître mon copain Bertrand !... Il s’assit un instant puis pris le parti de s'allonger à mes cotés en dépit de l'étroitesse relative du lit et se glissa finalement dans les draps....C'était pour le moins inattendu !... Il murmura à mon oreille attentive mais surprise
Nils m'a enculé !...et moi aussi, je la lui ai mise dans son petit trou !...C'était génial !... J'ai le cul tout endolori....Mais c'était vachement jouissif !...
Je restais sans voix, ne pouvant pas en croire mes oreilles... Le Bertrand bon chic bon genre avait céder la place à un garçon au langage cru qui venait de faire une expérience… surprenante !..
Enculé par Nils, tu blagues !... C'est pas possible !... Racontes !..
Pas ici... Tu es fou !.. On va réveiller les autres !... Allons au dressing, on y sera tranquille !
Aussitôt, je lui donnais mon accord et , quelques minutes plus tard, sans faire le moindre bruit ; nous gagnâmes la petite pièce attenante qui servait de vestiaire. Je m'assis sur le petit banc qui constituait, avec six placards le seul ameublement de la pièce... Bertrand s'agenouilla à mes pieds, une main posée sur ma cuisse.
Tu ne me crois pas ?... Tu veux voir mon cul ?...
Sans attendre ma réponse, il se releva en me tournant le dos, baissa sa culotte de pyjama en se penchant en avant, jambes écartées.... Son anus était juste à la hauteur de mes yeux, tuméfié et dilaté... Incontestablement, il portait les traces d'une tentative (pour le moins...) de pénétration !... J'approchais ma main...Mon index entra sans la moindre difficulté dans son trou.... Bertrand tressaillit :
Non !...Pas maintenant !... Tu me fais mal... Arrête !...
murmura-t-il en écartant ma main. Il remonta vivement sa culotte et se retourna vers moi, en s'asseyant à mes cotés , interrogateur .
Tu as vu, hein ?...J'ai le cul défoncé, n'est-ce-pas ? Il m'a demandé de lui faire pareil et c'est ce que je lui ai fait...Je suis pas aussi adroit que lui mais, avec ses conseils et ses encouragements... j'ai déchargé dans son fion !...Pour de vrai !... J'ai perdu mon pucelage … anal !...Et toi ?...
Sa main, posée sur ma cuisse, avait progressé vers mon sexe qu'elle caressait maintenant à
travers le coton de ma culotte.... Je commençais à bander à nouveau...mais ce n'était ni le lieux ni l'heure pour donner une suite à cela !..
Non, Bertrand !...Pas ici et pas maintenant !...Avant de retourner dans ton lit, sache que je suis toujours puceau !...Sven m'a juste fait une extraordinaire fellation, c'est le mot qu'il a employé. Sa queue a craché son sperme dans ma bouche...Je l'ai avalé puis je lui ai fais la même chose...Mais il n'a pas avalé tout mon foutre, il m'en a fait boire une partie !...
On ne va pas se coucher maintenant... Tu m'a promis de me raconter l’histoire de Hambourg avec le chauffeur !... Je t 'écoute !...
Tandis que nous parlions, sa main avait réussi à s'introduire dans ma culotte de pyjama et à se saisir de ma bite en pleine turgescence...Je dois dire que je n'avais guère manifesté d'opposition... Désireux de poursuivre son action, il se leva et entrepris de m'en débarrasser complètement... Le moment n’était plus à se raconter nos exploits, mais à l'action !... Coopératif, je soulevais même légèrement mon cul pour lui permettre de la descendre le long de mes jambes...Ne voulant pas être en reste, je lui ôtais non seulement le bas de son pyjama mais aussi, pour reprendre l 'initiative, le haut ! ...A poil, debout devant moi, il eut un moment d'étonnement dont je profitais pour attirer son sexe exacerbé vers mes lèvres entrouvertes... Avant qu 'il ne se ressaisisse, son gland était dans ma bouche où ma langue avait entrepris son travail d'exploration...
Le tableau que nous formions tous les deux se reflétait dans les miroirs qui tapissaient le mur lateral du dressing : Bertrand, debout, à poil entre mes jambes largement écartées, bras ballants, son sexe englouti dans ma bouche...Moi, assis sur le petit banc, le cul nu, la queue en érection, la bouche pleine de sa bite et mes mains agrippées à ses fesses !... Un instant, j'imaginais la tête de l’aumônier, de Bruno ou même de l 'un de nos copains entrant dans le dressing et découvrant ce beau spectacle ! J'en eu un frisson !..
Ma bouche parcourait sa pine de haut en bas puis se bas en haut, les mains de Bertrand appuyées sur ma tête, s’efforçaient d'accélérer la cadence..Les miennes, posées sur.... ses fesses, ne résistèrent pas longtemps au désir de visiter son petit trou....Après une approche en douceur mon index entrepris d'amadouer son œillet... Bertrand grogna un peu mais écarta ses jambes pour faciliter la pénétration de mon doigt ...Je ne sais si cela accéléra son éjaculation mais il donna un violent coup de bassin avant d'exploser au fond de ma gorge, libérant un gros jet de sperme...que j'avalais jusqu'à la dernière goutte...Ensuite, je nettoyais son sexe et ses testicules avec ma langue et beaucoup de plaisir... Bertrand reprenait doucement son souffle..Il me regarda, souriant et me dit :
C'était super,Michel !... Je n'avais jamais imaginé que l'on puisse jouir comme ça !...Tu m'as sucer comme une vraie pute !... Mais ma supériorité sur toi, c'est que moi, je ne suis plus puceau, au moins du cul alors que toi tu es toujours...vierge !
Tu n'as pas la moindre reconnaissance pour le plaisir que je t'ai donné...Pas un geste pour m’ôter ce pucelage qui te fait rigoler et moi qui voyait en toi l'auteur de ce fait d'armes...Je trouverai un autre chevalier blanc pour ce faire !...
Je l'obligeais à se lever en tirant sur sa bite luisante et molle, lui donnais une claque sur les fesses en lui tendant son pyjama et nous regagnâmes nos lits respectifs sans autres paroles !...
Ce récit, en grande partie autobiographique évoque mes débuts dans le monde des adutes. Il comporte plusieurs chapitres mettant en scène des garçons et des filles parfois en solitaire, souvent en couple homo et hétéro, mais aussi en groupe...ce qui vous amènera à parcourir différentes " rubriques " d'Histoire de Sexe. J'espère que vous apprécierez toutes les péripéties de ce récit que l'on peut très bien lire … d'une seule main ou à plusieurs. Très bonne lecture ...et caresses érotiques à tous.
Alan
Je m'appelle Michel. Nous sommes en 1948, au lendemain de la guerre ...J'ai 18 ans à peine et je suis chef de la patrouille des Aigles de la troupe scout du Lycée privé de C... A midi, ma mère m'a pris à part et m'a dit que mon cousin Bruno qui avait presque vingt ans, partait en Suède avec sa troupe de scouts parisiens et qu'il me proposait de se joindre à eux car il y avait une défection...Je devais lui donner une réponse rapidement, le départ en convoi militaire étant fixé au 16 juillet, deux semaines plus tard...Les vacances en France ne se présentant pas sous les meilleures auspices à cette époque, j'acceptais l'offre de Bruno sans état d’âme... Quinze jours plus tard, les formalités administratives terminées et mon sac bouclé, je retrouvais mon cousin gare d'Austerlitz...Le lendemain, nous embarquions avec armes et bagages dans des bahuts militaires bâchés, destination Copenhague. Je n'ai jamais su comment les organisateurs avaient obtenu la prise en charge par l'Armée de notre transport jusqu 'au Danemark.
Le hasard fit que je me retrouvais assis sur une banquette de bois entre mon cousin et un garçon de mon age, blond aux yeux bleus qui se présenta comme Bertrand de N...de la patrouille des Castors...Le convoi s'ébranla peu de temps après...La traversée de la Belgique puis surtout de l'Allemagne du Nord, en ruines, n'était pas particulièrement stimulante... Depuis longtemps déjà la conversation avec mon voisin s'était éteinte...Nous arrivions enfin dans un camp militaire proche de Hambourg où nous devions faire escale pour la nuit avant de reprendre la route....On nous emmena vers des casernements provisoires qui devaient nous servir d'hébergement : un réfectoire où s'alignaient une douzaine de grandes tables, une grande pièce garnit de lits métalliques qui me parurent forts étroits et enfin une dernière pièce à usage de toilettes collectives avec une série de lavabos d'un coté, faisant face à une série de cabines que j' identifiais comme des W.C . et, au fond du bâtiment, une salle de douche où l'intimité de chacun était faiblement préservée par des rideaux de plastique translucide...
Dès que j'eus déposé mon sac sur le lit qui m'était attribué, je récupérais mes affaires de toilette et me dirigeais vers les toilettes pour prendre une douche pendant que la plupart de mes collègues scouts se vautraient sur leurs lits. Trois ou quatre des compartiments " ad hoc " étaient occupés : du couloir, on devinait la silhouette de l'utilisateur !.. Ma pudeur naturelle était quelque peu affecté par ce manque d'intimité mais, dans de telles circonstances, au diable la pudeur !... J'entrais dans un espace libre et me déshabillait rapidement, accrochant à une patère mes vêtements...J'étais en slip kangourou bon chic bon genre quand ce qui représentait la porte glissa sur ses anneaux de suspension...Un type d'une trentaine d'année, en tenue de sport, entra sans hésitation ni excuse. Je crus reconnaître un des chauffeurs de notre convoi. Il me regarda des pieds à la tête puis me sourit en disant :
Salut... Tu es pas mal roulé, jeunot !..Si tu permets, on va prendre la douche ensemble...Les autres cabines sont occupées...
Tout en parlant, il s'était dévêtu et se tenait maintenant totalement à poil devant moi....Il pendit ses vêtements à une patère, me laissant reluquer son cul velu, séparé en deux lobes rebondis par sa raie...Il se retourna et se préparait à ouvrir les robinets...Mes yeux ne pouvaient se détacher de son sexe. C'était la première fois de ma vie que je découvrais un équipement de mâle adulte : une grosse bite totalement relâchée surgissait d'une épaisse forêt de poils bruns et dominait ses deux grosses burnes...Il vit ma stupéfaction...et mon intérêt. Il chuchota :
T'as jamais vu la queue d'un mec ?...C'est beau, hein !...Tu peux toucher si tu veux !...N'ai pas peur, ça ne mord pas !
Il flattait sa queue de sa main gauche tandis que l'autre prenait ma main droite et l'amenait au contact de son sexe. Le touché le fit tressaillir....J’étais... totalement stupéfié... et c'est peu pour qualifier mon état d'esprit du moment !...Maintenant, il tirait sur l'élastique de la ceinture de mon slip et le faisait glisser sur mes chevilles ; Instinctivement, mes mains vinrent couvrir mes attributs sexuels...Il m'observait, ses lèvres affichant un sourire malicieux...Il ramassa mon slip offrant à mes yeux ébahis le spectacle de son trou de balle apparaissant comme un puit sans fond perdu dans une brousse impressionnante de poils noirs... Il accrocha mon slip avec mes autres vêtements puis ouvrit les robinets s'attachant à régler le débit et la température de l'eau. Je constatais, un peu étonné, que ma verge était dure et gonflée ce qui n'arrivait habituellement que dans mon lit, certains matins,. Et celle-ci échappait à mes tentatives de dissimulation...
Je jetais un œil à mon....voisin . Je m' aperçus, surpris, que sa bite aussi était dressée comme un gros dard, au dessus de ses testicules dissimulés par son épaisse forêt de poils pubiens bruns...Mais voilà qu'il écartait mes mains, offrant ma nudité totale à son examen... Il prit ma verge dans sa main et fit glisser la fine peau qui recouvrait mon gland...Je fus un peu surpris par la sensation de brûlure que je ressentis lors de ce décalottage... Simultanément, de son autre main, il caressait doucement mes couilles puis les enferma dans son poing qu'il serra...Ça me fit un peu mal puis la douleur s'estompa, laissant la place à une sensation de plaisir....
Il abandonna ma verge pour saisir la sienne qu'il décalotta...Son gland était aussi rouge que le mien mais d'une grosseur bien supérieure...Sa main entreprit des mouvements de haut en bas le long de sa bite, découvrant puis recouvrant son gland..Il me semblait qu'elle grossissait encore....Les mouvements s’accélérèrent...Je copiais tous ses gestes...Mon zob était gonflé et raide ...Mon prépuce jouait à cache-cache avec mon gland...Je sentais une espèce de douce pression montée de mon bas-ventre, dans mon sexe... Le corps de mon voisin se raidit soudainement : sous mes yeux esbaudis, un puissant jet crémeux jaillit de l'extrémité de son dard et retomba dans le réceptacle de la douche précédant deux autres émissions moins importantes.... Voyant mon étonnement, il prit ma verge dans sa main en disant :
C'est ta première fois ?.... Laisse-moi faire !...ça te fera peut-être un peu mal mais tu vas jouir toi aussi !...
Sa main avait entrepris de faire coulisser mon prépuce sur mon gland par des mouvements profonds d'aller et retour d'abord assez lents puis de plus en plus rapides. Ma verge me faisait bien un peu souffrir mais je sentais à nouveau la pression monter dans mes couilles et dans ma verge...Mon corps se raidit à son tour, tendu vers cette main toujours en mouvement sur ma bite... Une soupape s'ouvrit dans mon gland et un jet d'un épais liquide jaillit de son ouverture terminale....
T'as joui p'tit ?...C'était bon ?....
dit-il en se savonnant... Il n'attendit pas ma réponse pour se rincer, se rhabiller et sortir de la cabine
après m'avoir glisser
Pas un mot de ceci....Attends cinq minutes avant de sortir !.. Salut !...
Je fis comme il m'avait dit et rejoignit le dortoir pour ranger mes affaires de douche ...Mon camarade de route, Bertrand était assis sur le lit voisin de celui qui m'avait été assigné. Il me sourit et me dit :
T'en a mis du temps pour prendre ta douche !.... Qu'est que tu fichais ?...
Après une courte hésitation, je lui répondis :
Je te raconterai plus tard... C'est quasiment l'heure d la bouffe !...On y va ?...
Durant les quarante huit heures suivantes , la fatigue s 'ajoutant à la nouveauté, je n'avais pas trouvé l'opportunité de raconter mon aventure à Bertrand : la visite rapide de Copenhague avec celle obligatoire à la délicieuse Petite Sirène, le trajet en bus jusqu'à Helsingor, l'Elseneur d'Hamlet, l'embarquement sur le ferry et la traversée de l' Öresund puis notre arrivée à Helsingborg et enfin notre installation dans un centre de loisir, au bord de la mer, à quelques kilomètres, occupèrent ces deux jours... Je dois ajouter que je restais très troubler par ce que j'avais découvert dans cette fameuse cabine de douche : le sexe d'un inconnu , les attouchements, la masturbation, l'éjaculation ! Mon éducation catho et ma conscience me reprochaient ce que l'on appelait des péchés !... J'envisageais même d'aller confesser ces fautes à notre aumônier mais Bertrand, très intrigué par mon silence, mourrait d'impatience... et l'attrait de nouvelles sensations m'excitait terriblement … Tout cela me poussa à demander à Bruno, notre chef et mon cousin, l'autorisation d'explorer les environs.
D'accord me dit-il. Chercher, au bord de la mer, il doit y avoir un sauna...Nils, un scout suédois qui parle très bien français et qui assure la liaison avec nos homologues, doit être en train de le mettre en condition...Donnez-lui un coup de main si besoin est !...Je vous y retrouverai avec les autres , d'ici deux heures....
Bertrand qui avait été témoin de notre bref entretien, était très excité....Nous partîmes donc vers la côte, guidé par le bruit des vagues et je commençais à lui raconter l'irruption du chauffeur dans la cabine de douche où je venais de m'installer...Le chemin que nous suivions, nous conduisit à une petite plage en pleine forêt ,,,,A l’autre bout de la plage, il y avait un chalet en bois dont la cheminée fumait comme celle d'une locomotive... Un banc de bois nous tendait les bras... Bertrand s'assit m’entraînant à coté de lui ...Il relança mon récit :
Il t'a montré sa bite et ses couilles !...Allez, continue !...
Je repris mon histoire en lui révélant que j'avais touché son vit, qu'il m'avait enlevé mon slip...Je remarquais alors que sa culotte d'uniforme laissait apparaître une grosse bosse au niveau de son entrejambe...Il se tourna vers moi, me sourit et posa sa main sur ma cuisse nue, retroussant un peu le bas de ma culotte...Mon sexe aussi, emprisonné par mon slip, formait une grosse bosse sous le drap bleu. Je racontais les manœuvres de mon visiteur sur ma verge, le décalottage de mon gland...La main de mon copain progressait et le bout de ses doigts passaient outre la barrière de mon slip et entraient en contact avec le bout de ma bite... J'en perdais le fil !... Un coup de sifflet vint stopper nos ébats : au bout de la plage, juste devant le chalet, quelqu'un s'agitait et nous faisait signe de le rejoindre....Nous rajustâmes rapidement nos culottes et rejoignîmes en courant...un garçon blond avec des yeux bleu délavé, un peu plus âgé que nous, torse nu, le reste enveloppé dans une serviette de coton...Il nous regarda en souriant et nous dit :
Je suis Nils et vous êtes les scouts parisiens...Je vais vous présenter mon copain Sven...Il s'occupe du feu ...Déshabillez-vous...Ici, on est tous à poil, c'est la règle !... Il m'a semblé que c'est ce que vous étiez en train de faire ajouta-t-il en nous montrant la paire de jumelles qu'il tenait à la main.
J Je me sentais rougir...Bertrand était écarlate...Nils continua
C'est pas grave !...Nous aussi on joue souvent à ces jeux là...Si ça vous intéresse, regardez mais ne toucher pas ;;; pour l'instant au moins !..
Il dénoua la serviette qui ceignait sa taille, dévoilant son sexe au repos et la forêt de poils pubiens qui l'entourait....
A vous deux maintenant !
Il nous tendit deux serviettes identiques à celle qu'il venait d’ôter....Je débouclais déjà mon ceinturon, déboutonnais la ceinture et la braguette de ma culotte qui tomba immédiatement sur mes chevilles. Mon slip ne tarda pas à la rejoindre, mon sexe restant dissimuler par les pans de ma chemise.. Bertrand me regardait ébahi, la main sur la boucle de sa ceinture...Nils vint à son aide et trente secondes plus tard mon copain était complètement à poil, sa bite droite comme un soldat au garde à vous ! Une fine toison blonde dissimulait à peine le sac de ses testicules...Son torse harmonieusement musclé mais peu velu montrait deux mamelons turgescent au centre de leurs aréoles brunes et larges...J’ôtais enfin ma chemise dévoilant ma poitrine plus poilue et mon sexe dont le vit se dressait fièrement au dessus d'une brousse brune.
Pas mal, vos outils !....Il est temps d'aller voir Sven... Il doit s'impatienter !...
dit Nils en ajustant sa serviette autour de ses reins...Nous fîmes de même sans oser le moindre commentaire tant nos étions stupéfiés, autant Bertrand que moi. Nous contournâmes le chalet pour parvenir à une mini cave où se trouvait le foyer enterré sous la construction. On y accédait par quatre marches...Un garçon s'activait pour alimenter le brasier...Nils l'appela..;Il se retourna et nous rejoignit. Nils fit les présentations, déposa nos vêtements dans un placard et donna ses instructions :
Voilà un échantillon des scouts français que nous attendions!...Michel et Bertrand...Ils sont venus pour nous aider avant que les autres arrivent pour le sauna...dans un peu plus d'une heure...Michel va rester avec toi pendant que j'irai chercher du bois avec Bertrand.
Il se saisit d'une brouette disant à Bertrand de faire de même et ils s'éloignèrent dans le bois. .. J'examinais Sven, juste ceint d'une serviette nouée autour de sa taille. Il était brun, un peu plus âgé que moi sans doute, plus costaud et plus velu !...Ses pectoraux étaient plus développés que les miens – il devait faire de la muscu !...- même ses mamelons étaient plus importants...Lui aussi me dévisageait des pieds à la tête... Il défit le nœud de sa serviette et la laissa tomber sur le sol découvrant son sexe.... Sa bite, au repos, me parut plus longue et plus massive que la mienne que je décidais d'exposer à ses yeux... Il me prit par le bras et m’entraîna à l'intérieur du chalet...J'entrais dans la pièce unique. Aucun meuble, mis à part une large banquette de bois vernis qui s'allongeait sur trois cotés...Le milieu du quatrième était occupé par un tas de pierres plates dont émanait une très forte chaleur . A proximité, se trouvait un gros baquet plein d'eau...
Je passais donc devant Sven qui en profita pour me mettre la main aux fesses, son majeur calé dans ma raie au niveau de mon petit trou... Je me retournais, très surpris...Il souriait et me serra contre lui...Nos deux sexes se touchèrent...Je constatais qu' il bandait comme un turc !...Sa main droite caressant toujours mon anus, l'autre se saisit de mon phallus...s'employant à décalotter mon gland...Je sortis de ma stupide stupeur en titillant d'abord l'un de ses mamelons tandis que ma main libre glissait le long de son dos puis de la raie de son cul....Il s'écarta me permettant d'admirer l'espèce de gourdin qui lui servait de sexe : long, musculeux, terminé par un gland turgescent dont le prépuce avait été retroussé, se dressant au-dessus d'une toison brune soigneusement taillée .
Une impulsion soudaine m'amena à prendre en main sa grosse verge et à entreprendre les mouvements de va-et-vient récemment appris dans une cabine de douche !...Son membre se raidit encore sous cette caresse... Une grosse veine bleu y palpitait...Son majeur faisait pression sur mon œillet rectal et était sur le point de pénétrer quand il suspendit sa tentative, arrêta ma masturbation et, s'agenouillant devant moi, introduisit ma bite dans sa bouche... Sa langue caressa mon gland, son méat... Il avale mon vit dans sa totalité... Mon gland heurte le fond de sa gorge... Dès que je reviens de ma stupéfaction initiale – c'est la première fois que je subissais un tel traitement, ..je trouvais ça , sucer une queue, vraiment dégueulasse mais, très vite, je changeais d'avis : c'était tellement bon que, oubliant mon partenaire, je me concentrais sur la poursuite de mon plaisir... Au diable mon éducation et le catéchisme !...Je sentais monter la pression dans mon bas-ventre...Il interrompit son activité sur ma verge et se redressa... Il s'approcha du baquet d'eau, en puisa à l'aide d'une gamelle et la versa lentement sur les pierres chauffées à blanc. L'eau se vaporisa instantanément avec un chuintement de cocotte minute... Il se dirigea ensuite vers la porte en me disant :
Je vais recharger le foyer. J'en ai juste pour deux ou trois minutes.
Et il sortit... Je m'assis sur la banquette en caressant mon sexe. J'avais hâte de son retour et toujours un peu contrit de ce que nous étions en train de faire... mais très curieux et impatient de connaître la suite !
Quand il revint, il s'approcha tout de suite de moi, toujours assis, la main sur mon vit. Son sexe était à la hauteur de mon visage... Il saisit sa bite et la mis au contact de mes lèvres...Très vite bien que n'ayant jamais fait une telle chose et malgré un léger dégoût, j'ouvris la bouche et laissais son gland puis sa queue entière y pénétrer
Aller...Suce moi bien, comme je t'ai fait tout à l'heure !...Oui, c'est très bien !... J'aime !..
Ses mains posées sur ma tête modulaient les mouvements de ma bouche... Son gland heurtait le fond de ma gorge puis s'éloignait jusqu'à me dents avant de revenir pus vite et plus vivement...Sa verge gonflait... la mienne aussi car je... me masturbais d' une main, l'autre se promenant autour de son anus, comme si elle voulait en forcer l'accès... Il haletait
Ahhhh !...C'est trop bon !...encore aaaaah...Ça y est....Je viens....
Mon index pénétra l’œillet de son trou de balle... Il gémit, se cambra en enfonçant son zob au fin fond de ma gorge. .. et il lâcha un long jet tout en maintenant mon visage contre son sexe...
J'étais écœuré, sur le point de vomir...
Avale mon jus....tout mon jus !...c'est mon sperme, jeune puceau !...
J'obtempérais, mon dégoût décroissant . Surpris, j'avais vivement retiré mon doigt de son conduit anal à l'instant de son éjaculation dans ma bouche...Il finit par sortir sa bite sans toutefois l'éloigner de mes lèvres... Elle était couverte d'un liquide épais et gluant semblable à celui que mon compagnon de douche avait fait jaillir de son sexe et du mien, à Hambourg.
Nettoie cette superbe queue avec ta langue, bien partout !..Allez !...Go !...
A nouveau, j'eus un haut-le-cœur...Je crus que j'allais vraiment dégueuler mais ma langue semblait avoir pris son indépendance et entrepris de lécher sa bite mollissante, de haut en bas en insistant particulièrement sur son gland et les replis de son prépuce...
C'est bien... Je vais m'occuper de toi, maintenant !... Lève toi je vais te faire jouir à ton tour.... Allez ! Debout....
J'obéis..Il s'agenouilla devant moi et... sans plus tergiverser, goba ma queue. Tout de suite, j’appréciais la chaleur humide de cette grotte ... Sa langue joua un moment avec mon gland, caressant son méat et son prépuce... L'une de ses mains malaxait mes testicules tandis que l'autre parcourait la raie de mon cul puis entreprenait de s'introduire dans mon petit trou ... Il engloutit entièrement ma verge dont le gland vint buter sur son arrière gorge... Il commença alors des mouvements de va-et-vient sur ma hampe de plus en plus turgescente....Mes mains se positionnèrent spontanément sur sa tête et s 'efforçaient d'accélérer les mouvements de sa bouche... Son index força ma rondelle et pénétra mon canal anal...Je sentais monter dans mon bas-ventre, une énorme vague comme celle que j'avais déjà connu à Hambourg !...Je gémissais, haletant :
Continue, je t'en prie !.. Ça vient...Je vais éjaculer dans ta bouche !..Ça vient ! Ohoh !...
Mon sperme jaillissait en plusieurs vagues successives... Ma jouissance était indescriptible...Il me repoussa... Du sperme s'échappait de ses lèvres...Il les ouvrit et rejeta dans sa main le contenu de sa bouche...puis il me tendit le creux de celle-ci, plein de sperme.
Bois !...m'ordonna-t-il... C'est ton foutre !... Tu me diras s'il est meilleur que le mien !...
Je lapais le contenu de sa main puis suçait ses doigts engluées de ma sève...Le bruit des brouettes chargées de bûches interrompit notre si délicieuse activité : Nils et Bertrand approchaient.
Sven jeta rapidement une marmite de flotte sur les pierres chauffées à blanc...L'eau se vaporisa instantanément et un nuage de vapeur envahit la pièce...Sven noua sa serviette sur ses hanches...
Attends deux minutes avant de sortir !...
Deux minutes plus tard, je sortais couvert de sueur, la serviette bien nouée autour de mes reins, juste à temps pour accueillir nos deux copains.... Le temps de décharger les brouettes et de lancer une nouvelle casserole d'eau sur les pierres, et une demi-douzaine de nos collègues scouts arrivaient en plaisantant pour le sauna...Nis leur ordonna de se déshabiller ce qu'ils firent après quelques minutes d'hésitation bien compréhensibles... C'était un spectacle tout à fait nouveau de nous retrouver tous à poil, assis cote à cote sur la banquette, dans cette pièce surchauffée...Je voyais la stupéfaction sur les visages des uns et des autres trop absorbés par le spectacle offert à leurs yeux ébahis pour laisser échapper un commentaire ou une plaisanterie !...
Après un séjour en " vapeur sèche " durant une dizaine de minutes et un bain dans le Sund...glacial, nous nous sommes rhabillés et nous sommes rentrés à notre camp sans un mot , sans même saluer Nils et Sven.
Après cette journée totalement inattendue pour les scouts français que nous étions, je séchais la veillée du soir et gagnais la chambre que je partageais avec Bertrand et quatre autres scouts dans l'un des bungalows du centre...A peine couché, je m'endormis comme une masse...Je ne sais ni au bout de combien de temps ni la cause de mon réveil, mais je rouvris les yeux dans une chambre dont le clair obscur n'était troublé que par les ronflements peu mélodieux de mes cothurnes !...Une ombre se dressait à demi au chevet de mon lit !... J' hésitais un court instant avant de reconnaître mon copain Bertrand !... Il s’assit un instant puis pris le parti de s'allonger à mes cotés en dépit de l'étroitesse relative du lit et se glissa finalement dans les draps....C'était pour le moins inattendu !... Il murmura à mon oreille attentive mais surprise
Nils m'a enculé !...et moi aussi, je la lui ai mise dans son petit trou !...C'était génial !... J'ai le cul tout endolori....Mais c'était vachement jouissif !...
Je restais sans voix, ne pouvant pas en croire mes oreilles... Le Bertrand bon chic bon genre avait céder la place à un garçon au langage cru qui venait de faire une expérience… surprenante !..
Enculé par Nils, tu blagues !... C'est pas possible !... Racontes !..
Pas ici... Tu es fou !.. On va réveiller les autres !... Allons au dressing, on y sera tranquille !
Aussitôt, je lui donnais mon accord et , quelques minutes plus tard, sans faire le moindre bruit ; nous gagnâmes la petite pièce attenante qui servait de vestiaire. Je m'assis sur le petit banc qui constituait, avec six placards le seul ameublement de la pièce... Bertrand s'agenouilla à mes pieds, une main posée sur ma cuisse.
Tu ne me crois pas ?... Tu veux voir mon cul ?...
Sans attendre ma réponse, il se releva en me tournant le dos, baissa sa culotte de pyjama en se penchant en avant, jambes écartées.... Son anus était juste à la hauteur de mes yeux, tuméfié et dilaté... Incontestablement, il portait les traces d'une tentative (pour le moins...) de pénétration !... J'approchais ma main...Mon index entra sans la moindre difficulté dans son trou.... Bertrand tressaillit :
Non !...Pas maintenant !... Tu me fais mal... Arrête !...
murmura-t-il en écartant ma main. Il remonta vivement sa culotte et se retourna vers moi, en s'asseyant à mes cotés , interrogateur .
Tu as vu, hein ?...J'ai le cul défoncé, n'est-ce-pas ? Il m'a demandé de lui faire pareil et c'est ce que je lui ai fait...Je suis pas aussi adroit que lui mais, avec ses conseils et ses encouragements... j'ai déchargé dans son fion !...Pour de vrai !... J'ai perdu mon pucelage … anal !...Et toi ?...
Sa main, posée sur ma cuisse, avait progressé vers mon sexe qu'elle caressait maintenant à
travers le coton de ma culotte.... Je commençais à bander à nouveau...mais ce n'était ni le lieux ni l'heure pour donner une suite à cela !..
Non, Bertrand !...Pas ici et pas maintenant !...Avant de retourner dans ton lit, sache que je suis toujours puceau !...Sven m'a juste fait une extraordinaire fellation, c'est le mot qu'il a employé. Sa queue a craché son sperme dans ma bouche...Je l'ai avalé puis je lui ai fais la même chose...Mais il n'a pas avalé tout mon foutre, il m'en a fait boire une partie !...
On ne va pas se coucher maintenant... Tu m'a promis de me raconter l’histoire de Hambourg avec le chauffeur !... Je t 'écoute !...
Tandis que nous parlions, sa main avait réussi à s'introduire dans ma culotte de pyjama et à se saisir de ma bite en pleine turgescence...Je dois dire que je n'avais guère manifesté d'opposition... Désireux de poursuivre son action, il se leva et entrepris de m'en débarrasser complètement... Le moment n’était plus à se raconter nos exploits, mais à l'action !... Coopératif, je soulevais même légèrement mon cul pour lui permettre de la descendre le long de mes jambes...Ne voulant pas être en reste, je lui ôtais non seulement le bas de son pyjama mais aussi, pour reprendre l 'initiative, le haut ! ...A poil, debout devant moi, il eut un moment d'étonnement dont je profitais pour attirer son sexe exacerbé vers mes lèvres entrouvertes... Avant qu 'il ne se ressaisisse, son gland était dans ma bouche où ma langue avait entrepris son travail d'exploration...
Le tableau que nous formions tous les deux se reflétait dans les miroirs qui tapissaient le mur lateral du dressing : Bertrand, debout, à poil entre mes jambes largement écartées, bras ballants, son sexe englouti dans ma bouche...Moi, assis sur le petit banc, le cul nu, la queue en érection, la bouche pleine de sa bite et mes mains agrippées à ses fesses !... Un instant, j'imaginais la tête de l’aumônier, de Bruno ou même de l 'un de nos copains entrant dans le dressing et découvrant ce beau spectacle ! J'en eu un frisson !..
Ma bouche parcourait sa pine de haut en bas puis se bas en haut, les mains de Bertrand appuyées sur ma tête, s’efforçaient d'accélérer la cadence..Les miennes, posées sur.... ses fesses, ne résistèrent pas longtemps au désir de visiter son petit trou....Après une approche en douceur mon index entrepris d'amadouer son œillet... Bertrand grogna un peu mais écarta ses jambes pour faciliter la pénétration de mon doigt ...Je ne sais si cela accéléra son éjaculation mais il donna un violent coup de bassin avant d'exploser au fond de ma gorge, libérant un gros jet de sperme...que j'avalais jusqu'à la dernière goutte...Ensuite, je nettoyais son sexe et ses testicules avec ma langue et beaucoup de plaisir... Bertrand reprenait doucement son souffle..Il me regarda, souriant et me dit :
C'était super,Michel !... Je n'avais jamais imaginé que l'on puisse jouir comme ça !...Tu m'as sucer comme une vraie pute !... Mais ma supériorité sur toi, c'est que moi, je ne suis plus puceau, au moins du cul alors que toi tu es toujours...vierge !
Tu n'as pas la moindre reconnaissance pour le plaisir que je t'ai donné...Pas un geste pour m’ôter ce pucelage qui te fait rigoler et moi qui voyait en toi l'auteur de ce fait d'armes...Je trouverai un autre chevalier blanc pour ce faire !...
Je l'obligeais à se lever en tirant sur sa bite luisante et molle, lui donnais une claque sur les fesses en lui tendant son pyjama et nous regagnâmes nos lits respectifs sans autres paroles !...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Alan
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
histoire bandante
Super histoire ! Vivement la suite !!
Belle histoire bandante. Racontes nous vite la suite.