Voyage initiatique en Suède (2) - histoire érotique

Chers lecteurs, chères lectrice
La première partie de " voyage initiatique en Suède " a été publiée dans la rubrique " Entre nous, les hommes "... Voici maintenant le deuxième volet dans la catégorie " Plus on est plus on s'amuse ". J'espère qu'il vous...divertira et qu'avec un peu d'aide " externe ", vous parviendrez à l'orgasme !...
Chaude lecture  à tous!...
Alan

Voyage initiatique en Suède (2)
Durant les quarante-huit heures suivantes, il nous fût impossible en dépit de nos efforts, de rencontrer Nils ou Sven. Ils avaient complètement disparu de notre horizon. Le chalet du sauna était fermé, le foyer éteint et l'on ne voyait aucune trace d'activité... C'était désert !...Nous eûmes tout le temps nécessaire pour échanger nos histoires et nos idées ainsi que nos impressions.
Le programme d'activité de ce jour prévoyait une visite à Helsingborg et en particulier à la la Maison de la jeunesse qui prendrait la journée. Comme Bruno, notre chef, demandait deux volontaires pour assurer une permanence au camp, Bertrand et moi, nous nous étions offerts pour cette mission....ce qui a enchanté nos copains qui se faisaient une joie de cette excursion...
Ils étaient à peine partis dans leur bus bleu et jaune que nous filions sur la plage, vers le chalet, dont la cheminée fumait joyeusement !... La perspective de retrouver Nils et Sven nous donna des ailes... Nous arrivâmes bientôt à la porte que nous ouvrîmes aussi sec sans prêter attention à l'écriteau qui y était suspendu sur lequel était écrit " Uppmärksamhet för flikor ". Après nous être déchaussés rapidement, nous fîmes irruption dans le local...pour nous retrouver devant deux filles juste revêtues d'une serviette nouée autour de la taille !... Après un moment de stupéfaction, je bredouillais des excuses en français mais avant que nous ayons esquissé le moindre mouvement de replis, celle qui me paraissait la plus âgée s'était approchée vivement..
Vous êtes français ? me demanda-t-elle souriante...Vous n'avez donc pas compris l'avis affiché sur la porte indiquant que le sauna était réservé aux filles aujourd'hui.
Elle se tourna vers sa compagne, lui parlant dans leur langue... Je m’aperçus alors qu'elle était complètement nue, la serviette qui était sensée lui couvrir le bas de son ventre gisant sur le sol , près de la banquette où étaient encore assise l' autre fille qui opinait aux propos de notre interlocutrice..
Ma copine est d'accord...Vous pouvez rester...mais en aucun cas dans votre tenue de scout...
Elle commença à déboutonner ma chemise d'unif... qui se retrouva bientôt sur le sol. Elle s'agenouillait devant moi, dégrafant mon ceinturon puis les boutons de ma braguette...Ma culotte rejoignis ma chemise et, déjà elle faisait glisser mon slip le long de mes jambes, exposant à la vue de tous mes attributs sexuels : une bite fièrement dressée au dessus d'une brousse de poils châtains et de mes testicules pendant entre mes jambes... J'étais paralysé : c'était la première fille que je voyais nue... Je jetais un rapide coup d’œil à Bertrand, cherchant son aide... mais il était au prise avec l' autre fille qui s'évertuait à baisser son slip !... Je respirais à fond et fit front à ma....cavalière. Je pris le temps de l'examiner...en détails....Une chevelure blond cendrée coupée mi-long, un visage à l’ovale régulier orné de deux grands yeux bleu pale...mais ce n'était pas là le plus intéressant !... Deux seins de proportions tout à fait harmonieuses couronnés par des mamelons turgescents au centre de larges aréoles brunes...un joli petit nombril surmontait le buisson blond qui couvrait son mont de Vénus et dissimulait son intimité...
Me trouves-tu à ton goût ?..dit-elle moqueuse....et tu n'as vu que le devant !...Mon cul aussi mérite la visite !... Avant d'aller plus loin, je m'appelle Brigit, j'ai bientôt dix-neuf ans et...je ne suis plus vierge...Ma copine, c 'est Kristina...Nous avons vécu toutes les deux très longtemps en France où nous avons étudié ensemble, aux Oiseaux, dans le XVI°...Nous sommes bi avec une légère préférence ...pour les jeux entre filles !..
Mon copain, c'est Bertrand et moi, je suis Michel... Notre sommes puceaux tous les deux !
Bertrand m'interrompit :
Parle pour toi !... Moi je ne le suis plus !... Je l'ai perdu il y a trois jours grâce à Nils !...
Il m'a baisé au cul mais moi aussi, je lui ai rendu la monnaie de sa pièce !..
Brigit le regardait interloquée, voire même incrédule d'autant plus que Kristina caressait avec envie sa bite, souriante...
Brit, j'ai envie de ce petit français, un extra !...Occupe toi de l'autre !...Il est pas mal, un peu trop membré pour mon goût... On se retrouvera après...pour la suite !...
Elle entraîna Bertrand derrière elle, ajoutant
Je rechargerai le foyer en passant, si tu veux !...
Je profitais de la stupéfaction de Brigit pour la prendre dans mes bras. Sans attendre qu'elle reprenne ses esprits, je l'embrassais sur la bouche, comme faisait les stars de cinéma. Ma langue fit pression sur ses lèvres qui s'ouvrirent sans tergiverser... Pendant que nos deux langues s’entremêlaient, nos mains partaient explorer nos corps respectifs : celles de Brit avaient entrepris de caresser mes fesses, un de ses doigts glissait lentement vers mon petit trou....Je titillais les mamelons de ses seins, ma verge frottant son mont de Vénus...
Je la fis asseoir sur la banquette...Ma bite était à la hauteur de son visage...Sans tergiverser, elle prit mon gland entre ses lèvres et commença à le caresser avec sa langue... J’avançais mon bassin tout en appuyant sur sa tête des deux mains pour pénétrer jusqu'au fond de sa gorge...Après quelques promenades de sa bouche tout le long de mon vit ce qui le fit gonfler à me faire délicieusement mal, elle me repoussa pour s'allonger de tout son long, sur un matelas de plage étendu sur le parquet. Les jambes largement écartées, ses doigts écartant ses grandes lèvres, elle m'offrait sa chatte grande ouverte !...Je n'avais jamais vu pareille ...chose ! L'entrée de son vagin, surmontée par son clitoris et encadrée par ses petites lèvres … Une découverte totale !...je n'identifiais ses organes que grâce à des visites clandestines rendues au Larousse médical de ma mère !...
Mes doigts prirent possession de sa chatte et s’intéressèrent plus spécialement à son clitoris qu'ils décapuchonnèrent rapidement...A sa demande, je la chevauchais de telle sorte que ma bouche se trouve au dessus de son sexe...Ma langue trouva rapidement, au dessus de ses petites lèvres, son clitoris. Je le suçais voluptueusement ! .. Elle engloutit à nouveau, ma verge dans sa bouche et reprit le cours des sa fellation...mais après quelques mouvements de retrait puis de pénétration, elle libéra ma queue et décida d'inverser nos positions : je m'allongeais donc sur le matelas tandis qu'elle m'enjambait et prenait position sur moi, son sexe sur mon visage et ma bite dans sa bouche... Les mouvements de ses lèvres se firent plus amples et plus vifs...Simultanément, ma langue s’introduisait dans son vagin... et baignait dans le liquide exsudant de son organe...Mon chibre me paraissait sur le point d'exploser...Mes mains caressaient ses fesses, l'un de mes doigts glissant le long de sa raie, vers son petit trou...Mon majeur, enduit de son jus, entreprenait de s'introduire dans son conduit anal... Il pressait sa rondelle musculaire qui lui céda bientôt le passage... Brity tressaillit...et abandonna ma bite...Elle se retourna ce qui m'obligea à abandonner l'exploration de son anus... Me faisant face maintenant, sa vulve juste au-dessus de mon zob turgescent, elle murmura :
Je vais te faire l'amour maintenant...Je vais te prendre ton pucelage et nous allons jouir tous les deux.. Tu es prêt ?.. Détends-toi , je te baise !..
Fléchissant lentement sur ses cuisses en guidant mon vit, elle s'empala doucement dessus, l'absorbant totalement dans son vagin...S'appuyant sur ses bras tendus, m'offrant son buste, elle entreprit des va-et-vient de son bassin sur mon membre...Ses muscles vaginaux l'étreignaient étroitement, alternant contractions et relâchements... L'une de mes mains agaçait l'un de ses mamelons, l'autre masturbait son clitoris... Je sentais monter en moi une énorme vague sur le point de déferler....Haletante, elle laissait échapper des petits cris entrecoupés de mots de suédois, incompréhensibles pour moi !...Mes deux mains quittèrent leurs objectifs spécifiques pour prendre position sur la raie de son cul, l'un de mes doigts s’efforçant de pénétrer son anus....Elle s'immobilisa le temps qu 'il entre dans son intimité puis repris ses mouvements de bassin de plus en plus frénétiquement...Soudain, la digue qui retenait la vague de ma jouissance céda et mon sperme se déversa dans son sexe... Elle se cambra brutalement en criant avant de s'effondrer sur moi, pantelantes ... Puis elle se tourna, libérant mon sexe qui perdait progressivement de sa superbe et recherchant son souffle, s 'allongea à mes cotés, une main sur ma verge, les jambes largement écartées....
J'entendis à peine la porte s 'ouvrir... Katrina et Bertrand firent irruption dans le sauna dont le foyer était quasiment éteint... Elle dénoua la serviette qui ceignait ses reins en demandant à Bertrand de recharger le feux. ...puis elle se précipita sur la chatte de Brit, ruisselante d'un mélange de cyprine et de sperme qui collait les poils de sa toison pubienne...Elle s'accroupit entre les jambes de son amie et entrepris de nettoyer son sexe à grands coups de langue... Je m'écartais d'un coup de rein pour faire place à Katrina qui s’installa tète -bêche sur le corps de Brit....Adossé à la banquette, je regardais avec stupéfaction ce spectacle totalement insolite et nouveau pour moi : la langue de Katrina jouait avec le clitoris puis, entre ses petites lèvres, avec l'entrée du vagin de Brit....Absorbé par leurs activités, je n'eus pas conscience du retour de Bertrand qui vint s'asseoir à coté de moi, tenant sa bite turgescente dans sa main...Après quelques minutes d’observation, il prit ma hampe dans sa main libre et entreprit de branler simultanément nos deux queues...Comme je restais sans réaction, toujours aussi attentif au spectacle qui se déroulait sous mes yeux, il me glissa à l'oreille :
Katrina et moi, nous n'avons pas trouvé d’endroit discret pour baiser...Revenue ici, elle n'a pas résisté à la vue de la chatte de Brit ...J'ai très envie de baiser !...Veux tu me baiser ou préfères tu le contraire ?...
J 'étais abasourdi de cette proposition totalement inattendue... mais ma bite ayant repris un volume convenable grâce aux efforts de Bertrand et mon désir et ma curiosité s 'en mêlant, je suivis mon copain à l'autre extrémité de la pièce, laissant les filles à leurs jeux saphiques pour explorer en profondeur ceux de Castor et Pollux.
Il prit la direction des opérations : il ne semblait pas désireux de s’appesantir sur les préalables... Étrangement, il suçait avec application , l'index de sa main droite. Il me fit agenouiller sur le parquet, ma tête reposant entre mes bras, sur la banquette. Il écarta mes jambes de telle sorte que mon cul soit totalement offert à sa ...lubricité.
Je vais te baiser comme une pute !...Comme tu as fait avec Brit....
De sa main gauche, il ouvrit la raie de mes fesses pour permettre à l'index de l'autre main de s'introduire dans mon anus...Je compris les raisons du léchage de son doigt quand celui-ci s'introduisit lentement et sans douleur jusqu'au fond de mon trou, venant au contact de ma prostate (encore un mot découvert dans le Larousse médical !...)...Il commença alors à effectuer des va-et-vient dans mon conduit anal tout a fait similaire à ceux que conduisait sa main gauche sur ma queue...Il poursuivit cette double action pendant un bon moment, introduisant un deuxième puis un troisième doigt dans mon cul...la dernière introduction m'ayant arraché un bref cri de douleur qui s'estompa bien vite...Il sortit ses doigts de mon orifice et lâcha ma bite brûlante et proche de l'éjaculation... Du coin de l’œil, je le vis enduire son sexe turgescent d'une substance crémeuse... puis je sentis sa hampe glisser dans la raie de mon cul. Guidé par sa main, son gland vint se présenter à mon œillet... qui résista un court moment avant de céder le passage dans mon intimité. J'eus l'impression qu'il me déchirait le cul... "ça " me brûlait !.. J’avançais mon bassin dans un vain effort pour retarder la pénétration de son gland qui progressait lentement, forçait sans grandes difficultés, mon sphincter...La sensation de brûlure s’apaisa laissant place à une impression de bien-être inouïe... Ses mains, cramponnées à mes hanches, immobilisaient complètement mon bassin...Sa bite pénétrait de plus en plus profondément et me remplissait toujours plus...
Tu sens ma queue?...Tu la sens bien,...Elle va s 'enfoncer jusqu'au fond de ton cul!;;;Tu n'es qu'une pute, ma pute  et je vais jouir dans ton cul de pute !...
Le traitement qu'il me faisait subir ...avec délices, je le reconnais me fit tout oublier y compris la vulgarité de ses propos que je n'avais jamais imaginé dans sa bouche d'ex puceau tout frais.... et la présence des filles, surtout de Brity que je venais de baiser....et qui se faisait astiquer à coté, par Katrina !..Nils avaient du être un sacré bon prof (et je n'étais pas au bout de mes découvertes )!.. Je répondis, emporté par son langage crû, en utilisant mécaniquement, un vocabulaire similaire:
Oui, je suis ta pute !...Mets moi ta bite tout entière !.. C'est super...Vas y jusqu'au fond ! C 'est bon, trop bon !...Je te sens bien...Je suis plein de toi...Encore !...Plus fort !...
Il amplifia en les accélérant les mouvements de son membre dans mon canal anal : son gland venait frapper ma prostate puis s'éloignait comme s'il voulait sortir de mon cul avant de rentrer à nouveau, avec une puissance croissante jusqu'à ce que ses couilles viennent claquer contre mes fesses...J'eus soudain des sensations nouvelles : une main s'était saisie de ma queue et me branlait et, plus curieux, on titillait avec ardeur les mamelons de mes seins !..  Des lèvres couraient sur mon dos....Je n'arrivais pas à analyser mes sensations tant j'étais absorbé par la queue démesurément enflée qui s 'agitait en moi et par le tsunami de jouissance que je sentais venir...Bertrand se cambra au terme d'une ultime pénétration et son sperme, en jets puissants, inonda mon rectum.... Au même instant, j'éjaculais moi aussi ...dans les doigts de Kristina … qu'elle se mit à lécher avec gourmandise....
Bertrand se laissa glisser doucement hors de mon cul, sa bite ramollie et ruisselante de sperme..Brit guettait la sortie de son gland comme un chat, une souris..A peine apparut-il à la lumière que la bouche gourmande de notre blonde amie l'avalait goulûment...suçait sa tige avec ardeur, avalait ses roustons puis les malaxait… sans grand effet !... La bite de mon copain restait indifférente à ses efforts et désespérément pendante entre ses cuisses... Je pris conscience...que ma situation n'était pas plus brillantes en dépit des activités de Katrina tant sur ma bite que sur le trou de mon cul qui était occupé par deux de ses doigts !... Mon chibre restait mou et brinquebalant !...Je compris qu-il nous fallait un armistice ou mieux un entracte !... Je proposais un bain dans le Sund, suite classique d'une séance normale de sauna.... Ma suggestion adoptée, nous nous précipitâmes dans une mer qui ne devait pas faire plus de 16°C...Nos ébats nautiques égayés par quelque caresses plus ou moins érotiques, furent relativement brefs !... Bertrand proposa d'aller manger un truc au snack qui se trouvait à l'entrée du centre de loisir Brit accepta mais Katrina s'excusa elle devait déjeuner avec sa mère et avait ensuite un rendez-vous important
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Après avoir avaler un sandwich aux filets de harengs marinés, nous avons proposé à Brit de visiter notre bungalow...Sur le chemin, Bertrand ne put s "empêcher de demander à notre amie
Excuse-moi... mais je voudrai savoir si tu fais souvent l'amour avec des garçons ?... Tu n'as pas peur de tomber enceinte ?... Je connais une fille, à Paris à qui s 'est arrivée...Elle n'avait pas tout a fait dix-neuf ans et ses parents l'ont obligée de se marier de toute urgence avec son copain !...
Ça ne risque pas de m'arriver...Je porte un stérilet et j'utilise un gel spermicide !... D'ailleurs, il va falloir que je le change parce que j'imagine que vous ne me faites pas visiter votre chambre pour ...jouer aux billes !...
Sa réponse nous fit éclater de rire tous les trois et me soulagea d'une crainte que la question de Bertrand avait introduite dans mon esprit .
Kristina aussi ? demandai-je
Bien sur, répondit Brit, mais peut-être ne l'avait elle pas mis aujourd'hui car nous n'avions pas prévus de relations sexuelles avec des garçons !...
A mon tour, je demandais naïvement :
Tu fais aussi l'amour avec Katrina ?... Tu es donc...- j'hésitais...gouine ?... Je ne comprends pas comment deux filles peuvent faire l'amour entre elles : elles n'ont pas de bite !...
Un énorme éclat de rire de Brit répondit à ma question. Bertrand et moi attendions une réponse plus explicite !..
Je ne suis pas gouine comme tu dis. Je baise avec un garçon comme avec une fille...même si j'ai une petite préférence pour les chattes de fille...J'ai constaté que vous faisiez pareil, sans état d’âme. Vous êtes bisexuels comme nous. A l'occasion, nous vous donnerons un cours d'homosexualité féminine, Katrina er moi !...Maintenant, je dois aller aux toilettes.
Nous étions arrivés à la porte de notre bungalow. Bertrand conduisit Brit à la salle d'eau me laissant à mes réflexions, assis sur mon lit.... Au bout de quelques minutes, comme ils ne revenaient pas ni l'un ni l'autre, je décidais de les rejoindre. Bien m'en pris....Bertrand, à poil , debout dos au carrelage, se faisait sucer la queue par Brit, tout aussi nue, agenouillée face à lui. Je me déshabillais en quelques secondes sans un bruit...Ma bite dressée, je m'agenouillais moi aussi derrière Brit et m'approchais de son cul et glissais mon gland dans sa raie...Elle tressaillis et écarta les cuisses. Mon dard se présentait à l'entrée de son anus. Son sphincter, contracté faute de préparation adéquate, lui refusa l'entrée... Brit me repoussa et se releva, abandonnant la bite enduite de salive de Bertrand....
J'ai une idée qui vous plaira sans doute : Bertrand va baiser ma chatte et toi Michel, tu va m'enculer simultanément...Mais il faut d'abord préparer mon petit trou...Je n'ai pas apporté mon lubrifiant...A défaut, il faudrait du beurre ou du savon...
Je crois que j'ai un truc... Niels m'a donné le produit qu'il a utilisé dans mon cul quand il m'a baisé !
Il ramassa sa culotte qui gisait sur le sol ; fouilla rapidement ses poches et sortit triomphalement un tube jaune qu'il tendit à Brit.
Parfait dit-elle après l'avoir examiné …. Suce moi le cul, Michel...la raie et le trou !...
Je me mis immédiatement à l'ouvrage... Brit courbée sur le bidet, m'offrait son anus en écartant de ses mains ses deux fesses....Bientôt, ma langue pénétrait sa rondelle....Son bassin poussait sur moi pour faire entrer plus profondément ma langue...Simultanément, mes mains avaient pris le contrôle de sa vulve, la droite s’intéressant spécialement à son clitoris que je sentais gonfler et durcir. De la cyprine commençait à s'écouler de son vagin.... Elle se redressa, abandonnant le bidet sur lequel elle s 'était appuyé, fit quelques pas vers Bertrand en me tendant le tube jaune et me dit :
Tu en enduits ta verge puis mon petit trou et mon canal anal bien profond.
Comme prescrit mais avec en plus une touche d'imagination personnelle, je déposais un peu de gel sur sa rondelle et l'astiquais... L'entrée de son cul se détendait et mon doigt entrait facilement dans son canal. J'enduisis à nouveau mon majeur et aussi mon index de produit...Les deux doigts la pénétrèrent sans la moindre résistance... Me laissant œuvrer sur et dans son cul, elle se colla à mon copain qui n'avait rien perdu de nos faits et gestes et, guidant sa bite de la main, elle l'introduisit sans tergiverser, dans son vagin … Moi, je lui mettais un troisième doigt dans le cul...Elle ouvrit grand l'accès à son trou... 
Allez, Michel ! Arrête de me masturber et encule moi maintenant !... Oui , entre  vite! Ne faiblis pas !...Vas y !... Plus profond !..
Ma queue la pénétra comme une motte de beurre frais et mes couilles étaient déjà au contact de son cul...Je sentis alors, à travers les parois de ses organes, la bite de Bertrand dans son vagin. Instantanément nos mouvements se synchronisèrent et nos glands voisinaient au plus profond de l'intimité de notre complice....Mon œil accrocha notre image dans le grand miroir mural... Une sorte de sandwich humain : un corps de fille entre deux corps d'homme le tout étroitement imbriqués et enlacés... Je suspendis mes mouvements pour regarder ceux du cul de Bertrand venant frapper de plus en plus rapidement et violemment le ventre de notre compagne dont le cul s'enfonçait de plus en plus rapidement et violemment sur ma bite.... Nos respirations s’accélérèrent en même temps...Chaud comme nous étions, le final était proche !... Brit nous encourageait :
Doucement !...Oh oh ...Je vous sens bien tous les deux, au fond de moi ! ...Doucement, Bertrand !...N'accélère pas!...Oui, oh oui ! Encore... C'est super....
Je limais son trou de balle avec toute l 'application souhaitée et beaucoup d'ardeur... Ses sphincters se contractaient puis se relâchaient emprisonnant ma bite dans un écrin de velours... Bertrand s'activait de son coté et nos deux bites, l'une dans sa chatte l'autre dans son rectum se caressaient périodiquement à travers les parois de ses organes...Je me mordais les lèvres pour ralentir la montée de ma jouissance et retarder l'orgasme....Brit laissa échapper un petit cri de douleur :
Arrête Michel, tu me mords...tu vas me faire une marque !
Je desserrais l'étreinte de mes dents sur son épaule tout en augmentant l'amplitude de mes allées et venues dans son cul... Mon gland, terriblement exacerbé, devenait douloureux
Ça monte, je le sens !..Je ne peux plus tenir...Je vais jouir !...Oh oh que c'est bon !...
gémit Bertrand, le gland tout au fond du vagin de Brit...Je le sentis exploser au moment même où notre compagne se cambrait violemment, en plein orgasme.... Je ne résistais pas et de longs jets de sperme inondèrent son rectum....J'embrassais notre amie dans le cou...et constatais que j''avais laissé sur son épaule outre une très belle empreinte de mes dents, un superbe suçon... Je l'embrassais encore en lui disant
Merci Brit... Mille fois merci !... Excuse moi...mais dans mon orgasme, je t'ai fait un sacré suçon que tu auras du mal à cacher !... En plus, tu as ...mon empreinte dentaire !... Je suis désolé, j'ai perdu mon self-control... C'était merveilleux !
Il y a bien un miroir dans votre turne !... demanda Brit. .. Je voudrai voir ce que Michel m'a fait !...
Je lui montrais le grand miroir mural... Bertrand éclata de rire en découvrant le spectacle qu'il reflétait : une fille nue encadrée par deux garçons à poil, bites pendantes...La " face nord " de Brit apparut quand elle se retourna...mais la vue de son adorable petit cul aux fesses bien rondes ne retint pas son attention concentrée sur le magnifique suçon qui ornait ( ?...) la base de son cou !...encerclé par une superbe empreinte de ma dentition
Tu es un sacré salop, Michel !... Je suis condamné à huit jours de col roulé par ta faute !...Mes copines vont se payer ma tête !..Je devrais te mordre tes burnes ou ta bite !
Kristina va mourir de jalousie !...dit-elle en souriant...et en malaxant vivement les couilles...
Je protestais faiblement , un peu confus de cet...égarement, témoin visible de notre délire sexuel... Je l'embrassais à pleine bouche dans l'espoir de me faire pardonner... Sa réponse linguale provoqua une réaction bandante de ma verge...J'étais pardonné !...
Il était temps de revenir sur terre... Se rhabiller ne nous pris que quelques instants et nous raccompagnâmes Brit jusqu'à l'arrêt du bus, à la porte du centre de loisir où nous logions...Bertrand et moi avons abandonné juste avant l'arrivée du bus.... dans lequel je reconnus au passage, avec une stupéfaction teintée d'effroi, un des passagers qui se préparait à descendre, l’aumônier de notre troupe scout !... Nous avons regagné le centre en accélérant le pas...et en priant Éros et autres dieux de l 'Amour d'effacer notre image de la mémoire de ce prêtre si proche de nous.....

Mais ceci est une autre histoire, comme disait Kipling !