WE 1 Mai samedi soir acte 2 le chemin caillouteux - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je demandais à Pascal « Pascal mais ce n’est pas la route normale, où allons nous, vous ne pouvez pas attendre d’être arrivés » Pascal baratineur « c’est un raccourci ne t’inquiète pas » Il arrête la voiture, descend, ouvre la porte arrière. Harry sort de la voiture, Pascal me dit « descend , descend vite » . Moi « pourquoi » Il me prend par le bras pour me sortir de la voiture. Moi « qu’est ce qu’il y a » et là je vois les phares d’une voiture devant qui s’allument et des hommes en descendre.
Moi « Pascal qu’est ce que tu fais » les hommes s’approchent, ils sont 5. Pascal « c’est toi ce soir qui t’est faite le moins baiser, tu vas maintenant te rattraper. Il m’a emmenée jusqu’à eux et s’est éloigné. Je fus entourée immédiatement. Les mains me plotaient et me fouillaient de toutes parts. J’entendais Pascal les encourager, comme s’il y avait besoin. J’étais au milieu d’un virage et des phares qui se croisaient. Ma robe fut remontée sur les hanches, mon string retiré, j’avais les fesses à l’air, leurs doigts me fouillaient de toutes parts en se mélangeant. D’un coup j’ai senti un sexe encapoté se présenter à l’entrée de mon vagin et entrer en moi. J’ai poussé un cri, ce qui l’a encouragé « t’aimes ça salope, comme ta copine » Il était accroché à mes hanches et me pilonnait. Je devais subir les assauts des cinq, les uns après les autres. J’ai eu quelques orgasmes. L’un d’eux me dirigea la tête sur son sexe pour que je le suce. Mes cris étaient étouffés. Je me faisais pilonner à chaque extrémité, sous les commentaires salaces « elle aime ça la salope, ça lui fait du bien, tu as l’habitude hein » Pascal dit « vous pouvez lui mettre dans le cul, elle aime ça aussi et si vous êtes en forme lui faire de double » Cela n’a pas tardé je sentis un cracha sur mon cul des doigts qui m’ouvraient en disant « oui elle est bien ouverte ça va être bon »
Je fus sodomisée violement. Ils y sont tous aller. J’entendais « laisses en un peu pour les autres moi aussi je veux l’enculer cette pute »
un autre « putain elle est aussi bonne que l’autre, je l’ai aussi enculée, ça rentrait comme dans du beurre »
Pascal dit « redressez là pour lui en mettre une devant » je fus remise presque droite, à moitié soulevée et un autre s’est présenté et ma pénétrée. Pascal tenez voila un matelas de plage elle à trois trous c’est dommage de ne pas en profiter » J’ai mis un certain temps à jouir, car j’étais plus que surprise et un peu fatiguée. Celui qui me sodomisait s’est assis sur le matelas et les autres m’ont défilé dans la chatte et la bouche en me prenant par les cheveux pour aller au fond. Mes cris étouffés leur donnaient de l’énergie « elle jouit la pute, une salope comme ça, elle ne demande que ça »
« quelle pute » « elle est à toi cette salope » Pascal « non »
Celui qui me sodomisait ne voulait pas quitter mon trous malgré les demandes des autres « laisse nous ta place depuis le temps que tu es dans son cul, on voudrait y retourner »
Je fus empalée vaginalement sur l’un d’eux et les autres me sodomisaient à volonté en passant par ma bouche. J’avais le gout de mon cul sur la langue.
Je ne sais pas au bout de combien de temps Pascal dit « allez finissez là » Ils m’ont libéré, j’étais assis sur le matelas de plage et ils m’ont éjaculé sur le visage. Lorsqu’ils sont partis ils ont remercié Pascal « on vient quand tu veux »
Pascal est venu avec une serviette pour que je m’essuie, j’en avais partout, sur le visage, les cheveux, la robe. Il m’aida à me relever et m’emmena à la voiture. Une fois installée, Pascal «tu as été super, tu vois ce que c’est de ne pas vouloir se faire baiser en boite »
Moi « vous êtes vraiment des salauds, vous en avez bien profité »
Pascal « tu vois Helen, ce soir tu t’es presque fait autant de mecs que Nathalie ». Nous sommes retournés à la maison. Lorsque je suis entré Nathalie était empalée sur Patrick, sodomisée par Sylvain, avec un de ses copains en double vaginale et les autres lui défilaient dans la bouche. J’entendais Daphné et Sylvie crier.
Pascal « tu vois il n’y pas que toi qui en profite »
Moi « je vais me doucher et me coucher. Maintenant je veux être tranquille »Je suis montée dans ma chambre, je me suis douchée et couchée. En m’endormant, je pensais à ce que je venais de subir, me faire baiser comme une pute par des inconnus sur un chemin, éclairé par la lueur des phares des voitures. Je pensais aussi à Didier qui devait être avec Christine en train de lui faire l’amour et de la faire jouir.