WILLY UN MEC COMME UN AUTRE - histoire érotique

C'est au cours de mes escapades gays, bien avant que je ne rencontre mon mari stéph que j'ai connu willy, un garçon de 28 ans qui faisait la manche, évidemment  je lui ai filé des ronds et je l'ai même invité à manger chez moI et là il a pu se décrasser un peu et comme il ne savait pas où dormir ben il a dormi avec moi. Ce mec plus beau que moche était gêné de mon hospitalité et m'a dit :- Vous êtes comme ça avec tout le monde, c'est rare des gars comme vous.
- Non mais profite c'est mon jour de bonté.
Puis il a vu des pubs de culs gays qui traînaient dans la chambre et m'a questionné :- Ah vous êtes gay ?
- Ben ouais pourquoi t'aimes pas ls pédés ?
- Je ne vous juge pas, je n'ai rien contre pourquoi vous vous sentez gêné, ne vous braquez pas, c'est parce que je vois les pubs de cul parterre.
- T'inquiète, tit gars je ne me braque pas puis je ne suis pas du tout gêné, il y a longtemps que j'en suis revenu de tout ça mais dis-moi il y a longtemps que tu es dehors ?
- Ca fait un mois, mon proprio à repris mon appart que je ne pouvais plus payer donc comme je connais personne dans cette ville  j'ai bien été forcé de me rendre à l'évidence et je me suis retrouvé dehors, alors merci pour le fric et tout ce que vous avez fait pour moi.
- Le fric on s'en fout puis si tu veux tu peux rester avec moi le temps de te retourner là il fait bon, je ne suis pas un type chiant puis je ne te demande rien en retour, là t'auras toujours de quoi te caler l'estomac.
- Ben merci c'est plus que gentil mais je ne pourrai jamais vous rembourser.
- Mais je ne te demande rien, puis dis-moi tu, j'ai même pas 40 piges.
Willy avala sa salive en poursuivant :- Ok, donc j'ai tiré le bon numéro à ce que je vois, vous ... enfin tu es bien sympa.
Willy était mort de fatigue et il s'est endormi comme un bébé, non je n'ai pas profité de son corps, enfin pas maintenant, le mec est resté plus de 2 mois chez moi et un beau jour il a insisté :- Dis moi, yanno ça me gène quand même tout ce que tu fais pour moi sans contrepartie, puisque tu es gay je pourrais quand même te faire une petite pipe ?
On était le soir et willy était nu près de moi, à ces paroles je me suis mis à bander surtout que le garçon avait un beau corps, une belle teub et surtout un sacré beau cul comme je les aime, des fesses fermes bien rebondies alors je lui ai dit comme tu veux mais je ne voudrais pas te forcer t'es même pas pédé !
- Non mais je ne vais pas mourir de te sucer et puis je serais content de te faire au moins ce plaisir là.
Willy m'a empoigné la queue et l'a porté à sa bouche sans se douter des conséquences que ça allait engendrer, bien sur il s'est mit à bander aussi en se masturbant le chibre :- Putain il est gros ton truc mais c'est bon, tu as une bonne bite mec ! ouuh j'en ai plein la bouche, poursuivit-il en me léchant le gland d'une bonne langue qui me faisait mouiller, tu mouilles bien salaud.J'ai averti mon compagnon qu'il allait me faire venir s'il continuait comme ça mais il a continué jusqu'à se retrouver la gueule pleine de sperme, évidemment je l'ai piper à mon tour et comme il avait l'air d'y prendre goût je l'ai un peu doigté et il a apprécié, sa bite bien décalottée faisant des soubressauts alors dans le creux de l'oreille je lui ai glissé en lui caressant la poitrine :- willy veux-tu que je t'encules, tu me fais trop envie, t'as un si beau cul …- Essayes mais mon trou est vierge je ne sais pas si ça pourra rentrer.
Là je lui ai demandé de se mettre à quatre pattes dans le plumard et je lui ai bouffé la rosette comme je crois ne l'avoir jamais bouffé comme ça à quelqu'un puis je lui ai mis du gel à cul tandis que des frissons devaient lui parcourir le corps et c'est en l'embrassant sur la bouche après lui avoir tourné la tête que j'ai pointé mon gland sur sa rondelle qui s'est ouverte  puis j'ai forcé doucement jusqu'à m'engouffrer assez loin dans ce cul merveilleux qui a accueilli toute la longueur de mon zob, willy se prétant bien à la situation :- Yanno je sens ton sexe mais ne rentre pas tout.
- Trop tard ma poule, je suis à fond.- Ah bon, ben j'ai même pas eu mal.
- Et là tu  vas t'envoler car je vais pilonner ta prostate qui va te faire voir des étoiles.
J'ai bien pilonné le cul de willy ce qui l'a fait jouir intensément puis j'ai également déposé ma sauce dans ce rectum qui n'était plus vierge et on s'est encore embrassé, willy m'a dit :- En fait la sodo c'est bien, je n'ai jamais rien ressenti de tel, je me doutais bien que toi étant homo que j'y passerais tôt ou tard à la casserole mais je ne regrette pas.
Une semaine après j'avais trouvé un job pour willy dans la boîte où je travaillais à l'époque avec un hébergement bien à lui. Depuis ce temps ce mec reconnaissant me rend quelquefois des petites visites en n'hésitant pas à me donner de nouveau son cul ...
yanno