Y'a plus de jeunesse... - histoire érotique

Je me suis mis en couple récemment avec une femme divorcée, nous avons dix ans de différence, c’est moi le plus jeune, pour une fois !
Armelle à quarante ans, moi, Rémy, trente … et sa fille louise, bientôt dix huit ans, en plein épanouissement physique, elle sera largement aussi belle que sa mère, si c’est idem sur le plan sexuel ce sera une véritable bombe
C’est une fille sympa et directe, elle sait dire merde si quelque chose la gonfle, tous les matins je la dépose devant son lycée, nous avons dix minutes pour parler de tout et de rien avant que je rejoigne mon dépôt, je suis chauffeur routier, courtes distances
Pour les câlins d’après midi, principalement le weekend, nous profitons de l’absence de louise, et c’est comme ça qu’aujourd’hui dimanche je me suis fait piégé …après un ‘café des pauvres’, c’est ainsi que je nome nos câlins sexuels d’après déjeuner

Dés que nous somment remis de notre orgasme intense je ramasse mes habits au pied du divan et je vais a poil dans la salle de bain afin de me laver seulement ce qui a servit, c'est-à-dire la bite !

Je ne sais comment vous faites les hommes ? Mais moi je pose ma queue encore grosse de mon érection sur le bord du lavabo, j’ouvre le robinet d’eau, me passe du savon dans les mains et me frictionne la queue, comme si je me masturbais mais en plus cool ! Avant de me rincer a l’eau froide

J’étais donc pris par mes ablutions intimes, plus exactement je me lavais consciencieusement derrière le gland lorsque je me suis senti épié, la porte n’étant pas fermée j’ai vu Louise arrêtée, son regard n’était pas dirigé vers le haut de mon corps, si vous voyez ce que je veux dire, ses yeux exprimaient la surprise totale, puis elle s’est renfermée dans sa chambre
- Tu as vus louise chéri ?
- Euuuuh non, de toute façon j’avais fermé la porte
- Ah bon, il faut faire gaffe, a présent qu’elle devient femme elle a les yeux partout
- Tu as raison elle change drôlement vite en ce moment…

Comment allais se passer notre tête à tête demain matin dans la voiture ? Une gêne s’est installée pourtant je sentais qu’elle avait quelque chose à me dire, d’un coup elle s’est lâchée

- Tu faisais quoi hier Rémy ?
- Aaah ! je vois, ce n’est pas ce que tu crois, bon, je vais te parler en adulte, ta mère et moi profitons de ton absence pour faire l’amour sur le divan, ça change de la chambre, et après je vais me laver les parties
- Ah ?
- Oui seulement la verge dans le lavabo, satisfaite ?
- Ça va, j’étais troublée par ce que j’ai vu, très troublée
- Te voilà arrivée, à ce soir louise
- A ce soir Rémy

Elle est partie en courant rejoindre ses copines c’est une fois sur la route que j’ai aperçu une chose rose roulée en boule sur le plancher, coté passager, je me suis arrêté net croyant qu’elle avait perdu quelque chose …
C’est un slip de femme ? Son slip ? Au milieu un papier est plié en quatre, il est griffonné ceci … - Rémy, cette nuit j’ai pensé et repensé a ce que j’ai aperçu … jamais je n’ai autant mouillé mon slip, il faut dire que mes doigts y ont beaucoup contribué, il est d’ailleurs encore humide, rends le moi encore plus imbibé s t p (ce soir dans ma chambre) p s : il m’arrive de mettre nos sous-vêtement dans la machine a laver, j’ai le même toc que maman, je sens les slips... les tient sentent encore la lessive, ils sont déformés par une grosse poche… comme j’aimerais qu’il sentent plus fort l’homme - lol

C’est clair, elle veut que je décharge dans sa petite culotte et que le la mette en douce dans sa chambre...idem pour mes slips sales, toute la journée ça m’a poursuivi, décharger dans sa petite culotte déjà odorante de ses sécrétions et jouir par dessus ?

Je me suis décidé juste avant de rentrer a la maison, garé en bordure de bois j’ai ressorti le slip et ma queue, le nez dans la dentelle et ma bite dans l’autre main je me suis astiqué jusqu'à jouir, j’ai pris soin d’étaler ma semence sur l’étroit triangle de coton, en rentrant je fais la bise aux deux femmes, avec un regard appuyé pour Louise qui regarde sa série préférée a la télé

- J’ai beaucoup sué aujourd’hui chérie, je vais prendre une douche
- Prend ton temps Rémy le diner n’est pas prêt
- je vais aller réviser dans ma chambre maman, après j’irais faire tourner une lessive
- N’oublie pas de prendre le linge sale de Rémy

Je vais direct a la chambre de la fille et y dépose le trophée sur son oreiller puis me renferme dans la salle de bain, l’eau coule, j’ai mon slip entre les mains, je me masturbe énergiquement en pensant a cette petite vicieuse
Deux minutes chronos et je barbouille mon slip de sperme avant de le jeter dans la panière et de me laver véritablement, la porte s’ouvre, Louise vide le bac a linge et disparait …
Au diner elle reste silencieuse, son repas vite expédié elle retourne dans sa chambre

- Qu’est-ce qu’elle a aujourd’hui ?
- J’sais pas, elle était normale dans la voiture ce matin
- Elle est sans doute amoureuse ! je sais qu’elle est encore vierge, je parie qu’un de ces jours elle va me demander d’inviter un garçon à dormir
- Dix huit ans, c’est bien pour le perdre !
- On va se coucher ? j’ai une grosse envie de ta queue chéri
- Je suis épuisé mais je vais te contenter femelle en chaleur !!

Imaginant louise les doigts entre ses cuisses, respirant mon odeur de mâle je ne peux que bander, j’ai tournée et retournée Armelle dans toutes les positions, elle s’est endormie repue, ma semence encore suintante de son con ouvert, le lendemain, mère et fille ont les yeux cernés, Louise est habillée court aujourd’hui, dans la voiture elle ne rectifie pas sa jupe qui dévoile ses longues cuisses

- Roule doucement Rémy …
- Ah bon ? pourquoi ?
- Je veux que tu me là montre, moi je vais te faire voir mon bijou ! cette nuit il a transpiré beaucoup ! que ton slip était sale !
- Qu’a tu fait ?
- Je me suis masturbée en respirant ton parfum de mec tout le temps que tu as fait hurler maman, pendant deux heures, t’es vachement endurant dit donc !
- LOUISE ! tu es ma belle fille !
- Une belle fille à qui ont fait respirer son foutre ? d’ailleurs il sent très bon ! moi j’ai mis celui que tu as barbouillé de ton foutre, ça me colle a la chatte c’est super excitant !
- Tu es folle ? tu sais que tu peux tomber enceinte ? ces petites bêtes vivent très longtemps, il suffit qu’il y ait un spermatozoïde qui trouve le bon chemin pour te féconder
- je vais prendre la pilule, maman croit que j’ai un copain ! je crois bien qu’en me doigtant je me suis dépucelée, regarde …

Je freine pour ne pas emboutir la voiture de devant, sa jeune chatte est à moitié ouverte, les poils collés par son jus de vierge, elle masse la vulve en se pourléchant les lèvres

- Tu te gare ou je te m’ouvre la moule encore plus ?
- Aujourd’hui tu ne va as en cours, tu viens avec moi en tournée
- C’est vrai ? CHOUUUEEEEETTE !!!! allons vite à ton dépôt !

Après avoir pris connaissance des clients à visiter, j’ai aidée louise à grimper dans la cabine en la poussant aux fesses, c’est la première fois que je lui touche le cul ! Ma queue est déjà tendue comme un avant bras
Aujourd’hui je prends des raccourcis pour gagner du temps et aussi pour mater l’entrejambe insolemment offert, Louise est assise a genoux sur le siège juste a mon coté, sa menotte dépatte ma braguette

- Elle est coincée, je n’arrive pas a la sortir...
- Je bande trop, je vais m’arrêter bientôt
- Tu va vérifier si je suis toujours pucelle ?
- Ont va commencer par là … voilà un parking idéal… je vais tirer les rideaux, ôte ton slip, assied toi sur le volant …
- Comment ?
- Face à moi, les cuisses ouvertes sur mes épaules, tu es juste à bonne hauteur pour que je puisse fouiller là-dedans !
- Tu peux le faire avec la langue ?
- Je ne vais pas me priver d’un tel festin ! tes relents de jeune pouliche arrivent jusqu’à mes narines
- Je ne me suis pas lavée ce matin, je savais que ça te ferais plaisir
- Ne bouge plus, j’écarte ta vulve avec mes pouces … c’est tout rouge, tu as dût drôlement t’astiquer ! … pas de trace d’hymen …je vais enfoncer un doigt … ça rentre tout seul, tu n’es plus vierge ma belle !
- Dommage je voulais t’en faire cadeau...
- Ma queue va faire son passage, tu va la sentir passer quand même crois moi !

Je n’en puis plus, j’ai envie de lécher cette craquette alors je plonge mon visage entre ses cuisses, elle se raidie en sentant ma langue pénétrer ses entrailles, puis elle avance son bassin complètement désarticulée, je lape, aspire, doigte, ma queue bat au rythme de mon cœur, c'est-à-dire très fort, sa cyprine coule le long de la colonne de direction

Si je ne la baise pas immédiatement je vais décharger sur le tapis, je l’attrape sous les fesses et la bascule sur le capot moteur, tandis qu’elle adopte la bonne position, je baisse mon pantalon

- Elle est belle ! c’est la première fois que je la vois de prés, je peux la toucher ?
- Après, tu la suceras encore goutante de nos sécrétions
- D’accord, met là moi vite
- Apprend toi, guide là toi-même dans ta fente …je n’aurais plus qu’à pousser quand tu me le diras
- Je ne fais pas le tour …c’est raide, ça va me déchirer non ?
- Tais-toi ! ton con est assez élastique pour recevoir une bouteille de coca
- Ah bon ?? je crois que tu es en face ….. aaaaahhhaaahhhhhhhaaaaaaahhhhhhhhhhhhooooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii !!!!!!
- Putain que c’est booooooooooooooooooonnnnnnnnnnnnnn !
- Tu as tout rentré ?
- Presque, je vais ressortir pour t’enfiler d’un coup, tient toi à mes épaules ….. Haannnnnnn ! haaaaaaaaannnnnnn ! haaaaaaaannnnnnnnnnnn !!!
- Hoooooouuuuuuuuuuuuu ! tes couilles tapent sur mon petit trou ! mon ventre va éclater ! c’est vachement cool ! va y plus fort !

Je la burine comme un malade, elle se trémousse comme une puce sous moi, soudain, le fait qu’elle ne prenne pas la pilule m’effleure …trop tard… je décharge en rafales tout au fond de son utérus, elle répond en crispant ses cuisses sur mes reins un long ci rauque et sa chatte expulse sa cyprine sur mes bourses
Nous sommes en nage, je regarde l’heure avec horreur ! Je suis vachement en retard, je me rajuste et démarre, Louise est encore cul nu

- Attend ! Je ne suis pas habillée !
- Reste cachée dans la couchette le temps que je passe prendre la commande chez le grossiste, je te baiserais encore petite salope
- Huuuummm ! alors je me fous carrément à poil
- Laisse le rideau bien tiré, nous arrivons

Une fois reculé à quai je descends contrôler le chargement, deux minutes plus tard le contremaitre portugais vient vers moi

- Dit moi Rémy, tu transporte des colis en contrebande ?
- QUOI ?
- La petite qui se balade nue dans ta cabine ? qui c’est ?
- Euuuuh… une autostoppeuse…
- Deux caisses de pinard pour toi si tu me laisse cinq minutes avec elle ! et puis ton patron ne serait pas content s’il apprenait ça !
- Si elle est d’accord je ne peux pas aller contre
- Ok, cinq minutes !

Je m’attends à le voir redescendre précipitamment, mais je n’en crois pas mes yeux lorsque je vois la cabine tanguer, cette petite dévergondée se fait trousser ! Comme il l’à dit ça ne dure que cinq minutes, il descend en sueur, cramoisi

- Dit donc, elle a du métier ta petite pute ! Je donne l’ordre de te charger deux caisses et tu peux partir ! À la prochaine Rémy !

Je monte dans la cabine, Louise est encore allongée les cuisses ouvertes, sa chatte dégouline de foutre …

- Quelle salopes-tu fait !
- Maintenant que je ne suis plus pucelle je ne vais pas me priver ! ont s’arrête où ??
- Si nous nous arrêtons je te sodomise
- Le gars a faillis le faire, il a ouvert ma rondelle avec ses doigts, je ne suis pas contre
- OK, ensuite je te laisse à la gare routière, tu ne peux pas rentrer avec moi à la maison, ta mère ne comprendrait pas
- On le fera quand après pour baiser ?
- Cherche tu trouveras !