LE COMPLOT. (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE COMPLOT. (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LE COMPLOT. (1/2)
Comment peut-on tomber si bas ?
Je marche dans mon quartier parisien celui des artistes dont je suis devenue membre après beaucoup de galère lorsque zigzagant devant moi une femme portant des baluchons s’écrase lamentablement sur le trottoir.
Un reste d’humanité me pousse à l’aider à se relever lorsqu’un jeune homme est plus prompt que moi.

• Merci monsieur dame, vous formez un joli couple.
• Vous vous trompez, ce jeune homme et moi sommes des inconnus.
• Excusé je suis pressé, je vous ai relevé, mademoiselle va vous aider.
• Merci bien, je suis épuisé, trois jours sans dormir de peur de me faire voler le peu d’affaires qui me restent.

Le jeune homme s’éloigne quand la femme me regarde.

• Vicky, tu me reconnais, je suis Amour, nous avons passé le bac à Châteaudun ensemble avant que tu montes à Paris faire des études aux beaux-arts.
• Mais oui, Amour, comment se fait-il que je te retrouve ici dans cet état.
• C’est une longue histoire, mais il faudrait trop de temps pour tout te raconter.
• J’habite à deux pas viens te reposer et prendre une douche, tu en as bien besoin.
• Je veux surtout éviter de te déranger, mais le nom de douche à lui seul me fait te dire, on y va, j’ai conscience de puer.

Sans prendre ses sacs dans l’état où ils sont, je franchis les cinquante mètres qui me séparent de mon porche d’immeuble. Je dois subir ses odeurs le temps que l’ascenseur nous conduise au huitième étage où j’ai un loft acheté, il y a peu suite à la vente d’une de mes toiles.

• Laisse tes sacs ici je t’emmène dans la salle de bain.

Arrivé près de la baignoire, je l’aide à me remontrer ses seins que j’ai tellement aimés chez mes parents lorsqu’elle venait l’après-midi et où elle avait pris tant de place que j’ai fuie à Paris pour éviter de tomber sur la pente fatale où elle m’entraînait.
Pente non pas lesbienne car cela, je l’avais déjà assimilée même si je suis plutôt bi, car je vis avec Carl beau mâle d’un mètre quatre-vingt pour soixante-dix kilogrammes qui lui aussi ami d’enfance que j’ai retrouvé un jour pendant un de mes séjours chez mes parents pour Noël et le jour de l’An.
Pente fatale de femme soumise car Amour arrivait à me faire tout ce qu’elle désirait.
Mes seins devaient supporter des pinces crocodiles qui me broyaient, les pointes à me faire de petits saignements et des douleurs à la limite du supportable mais que je finissais par aimer.
Ma chatte était aussi un terrain de jeu pour elle et il était fréquent que mes lèvres vaginales soient mordues au lieu d’être sucées avec douceur.

• Tu aimes que je te fasse souffrir petite salope.

Et je m’entendais répondre.

• Mors les biens, je vais jouir.

Le plus fort c’est qu’en le disant je le faisais et Amour tirait de mon corps des orgasmes jamais retrouvé même par la suite avec Carl.
Bref, je tombais dans le masochisme et la soumission, car elle me faisait faire ce qu’elle voulait.

Après ses seins, c’est sa jolie chatte que je retrouvais légèrement changée car impeccablement épilée.
Cette chatte qui tranchait avec son corps couvert de traces noirâtres aurait dû me mettre la puce à l’oreille.
Quelques minutes à se déshabiller la baignoire se remplissant et lorsqu’elle lève la jambe pour enjamber la baignoire, j’aperçois les chairs roses de son intimité dont elle m’obligeait à laper, sucer et pénétrer avec ma langue en contreparties des misères qu’elle pratiquait sur mon corps.

• Viens te baigner avec moi.

Ça recommençait, elle ordonne et j’exécute.
En deux secondes mes fringues volent dans la pièce et c’est à mon tour de lui faire voir la jolie couleur saumon claire de mes chairs.
Nous nous faisons face dans ce bain et la situation me plaît de plus en plus.
Non pas que je sois en manque bien que Carl m’ait quitté depuis quartes jours pour son boulot.
Il revient dans deux jours et mon vagin coule déjà du moment où il me pénétra.
Carl, c’est le premier de l’An, que je l’ai rencontré lorsque je disais bonne année à chacun, mes parents avec ses parents et lui qui semblait s’emmerder autant que moi.
C’est la bise qui nous a rapprochés ou lorsque ses lèvres ont touché ma joue et que la petite pointe d’électricité a scellée nos destins.
Deux heures plus tard nous étions dans ma chambre, j’avais les jambes écartées et son pieu, car monsieur est bien monté me prenait la chatte.
Prouvant par là même ce que je disais sur ma bisexualité.

• Savonne-moi et insiste entre mes jambes, je tiens à retrouver tes caresses de jadis qui me déchiraient la chatte et qui me transportaient sur des rives que, jamais je n’ai retrouvées avec d’autres partenaires.

Quel beau compliment, il me va droit au cœur et me fait tomber un peu plus dans le piège qu’ils m’ont tendu.
Je la savonne lorsqu’elle s’est relevée et je fais tout comme elle veut.
Sa chatte est propre et plus que propre lorsque je lui mets deux doigts dans sa fente pour bien en nettoyer le moindre recoin.
Le plaisir que je déclenche en elle lui fait plier les jambes avançant son bassin jusqu’à mes lèvres qui s’empressent de la lécher. Elle perd l’équilibre sous la deuxième décharge, s’affale sur moi dans une gerbe d’eau qui inonde la pièce.

• Je suis fatigué, il faut que je dorme pour récupérer, sortons et sèches mon corps, je vais dormir.

Je me plie à ses caprices et lorsque je la vois partir vers la chambre, elle me lance.

• Nettoie tout, je veux que cette pièce soit nickel lorsque je me réveillerai.

J’ai une femme de ménage qui doit arriver d’ici quelques minutes, mais je me plie à ces caprices retrouvant le bon temps de notre jeunesse. Pourquoi ai-je fui, car depuis qu’elle est revenue dans ma vie, même si elle est restée distante avec mon propre corps, celui-ci me donne une jouissance intérieure que je trouvais et que je trouve divine avec elle ?
Il faut que je le reconnaisse, je suis de nouveau entièrement inféodée à Amour.
Pire encore, en sortant avec mon balai et ma serpillière de la salle d’eau, je la regarde dormir et son visage si lisse me fait dire que si elle me le demande, je virerais Carl dès son retour.
Pendant deux heures, je reste près d’elle de peur qu’elle ne disparaisse de nouveau pendant tant d’années.
Lorsqu’elle se réveille, elle se lève sans un geste pour moi et va directement à la salle de bain et bien sûr comme par le passé elle trouve à me faire des récriminations et décide de me punir.

• Dommage, si j’avais su te retrouver, j’aurais acheté des pinces crocodile et ce coup si c’est sur tes grandes lèvres que je te les aurais placés au lieu de tes seins.
Je me souviens exactement ce que tu me demandais de te faire subir, ton esprit machiavélique me poussait à ses extrémités.
• Attends-je reviens !

Je monte à l’étage supérieur où se trouve l’atelier et un petit jardin donnant sur les plus beaux monuments de Paris.
J’ai une table dans cette verdure avec une nappe que ma femme de service change tous les jours et qui a des pinces comme les pinces crocodile de mon enfance avec des sujets permettant d’éviter que la nappe ne s’envole.
Chaque pièce métallique pèse son poids et très fière je les apporte à Amour.

• Tu m’étonneras toujours, tu vois que c’est toi qui es machiavélique.

Et c’est avec un mal à hurler qu’elle me place deux pinces de chaque côté des lèvres et qui les tendent vers le bas à les déformer.

• Mets une culotte et descend m’acheter le journal du jour.
• Pourquoi veux-tu que je mette une culotte, en bougeant les plaques s’entrechoquerait et tu entendras ce que j’accepte de subir pour toi.
• Et si l’une d’entre elles se détache et tombe au sol, tu passeras pour une salope même si cela est vrai, les témoins non pas à savoir que tu aimes être ma soumise.
Es-tu ma soumise ?
• Oui, ma chérie, maintenant que je t’ai retrouvé, il est impensable que je te perde une seconde fois.
Tu sais mon art va nous suffire à nous faire vivre tous les trois et je compte bien lui faire comprendre qu’un jour sur deux, il me partagera avec toi.
• Comment tu vis avec quelqu’un, tu veux me partager.
• Oui, tu le connais ces Carle notre ami d’enfance.
Je l’ai ramené après la nouvelle année où il est devenu mon amant.
Tu veux que je le quitte.
• Non, je veux que tu continues à vivre heureuse, je suis partante pour tenter ta solution.
• Soit sûre que j’y arriverais et qu’à aucun moment, tu seras mêlé à nos partis de jambes en l’air, car vous aurez chacun votre pièce.

Je descends chercher le journal les pinces malgré ma culotte entamant mes chaires pour rien au monde je ne les enlèverais étant sûr que la punition serait plus importante encore.
Lorsque je reviens Amour est allé dans mon armoire et comme nous avons la même taille, elle a trouvé tout ce qu’elle avait besoin.

• Bien tu mets ce journal à la poubelle, je voulais, vérifier que tu es toujours aussi vicieuse que chez tes parents et que nous allons bien nous amuser.
• Où veux-tu aller ?
• Nous allons faire quelques courses.

Nous descendons et dans ce quartier de Montmartre, nous passons sur la place ou à peindre des portraits de clients, j’ai eu la chance en attendant de peindre un sujet de mon imagination sur une toile de cinquante sur cinquante.
Un Américain m’a regardé travaillé et a voulu voir si j’avais d’autres tableaux du même genre.
Il est venu dans la chambre que j’avais sous les toits et a été emballé sur la noirceur de mon imagination, car toutes mes toiles montraient des corps de femme torturés, écorchés comme mon corps en ce moment.
Il m’a exposé dans sa galerie et en moins de trois semaines, tout était vendu même celle appelée « Amour » et qui insidieusement me représentait dans mon vice.
C’est principalement avec cette toile que j’ai pu déménager et retrouver mon « Amour. »
• Entre là.

C’est un tatoueur et spécialiste des piercings chez qui elle me fait entrer.
Le tatoueur habillé de cuir avec de grosses moustaches et des tatouages partout sur ses bras nue nous reçoit.

• Qu’est-ce qui est le plus douloureux, les piercings ou les tatouages ?
• Pour qui, pour vous.
• Non, pour ma copine.
• Il faut lui mettre des piercings sur les grandes lèvres de sa chatte, vous verrez, cela rend bien et surtout un « prince Albert » sur son clito, elle sera bandante.
• Non, la chatte, je lui ai déjà mis ce qu’il faut, Amour montre au monsieur ce que tu as choisi pour ta chatte en ce moment.

J’ai soulevé ma jupe, baisse ma culotte, ce qui a fait descendre les quatre pièces de métal manquant de m’arracher un cri de douleur, mais j’ai réussi à l’avaler.

• Puis-je vous donner un conseil ?
• Venant d’un pro sûrement.
• Ces pièces de métal sont très jolies et je peux lui enlever la partie crocodile et mettre des anneaux qui après l’avoir percé en quatre points seront fixés sans jamais pouvoir les enlever sauf à couper l’anneau et éviteront les infections que vous risquez avec les crocos.
Donnez-les-moi, je vais les préparer et demain matin, je lui fixe.
• D’accord, j’aime, son copain pourra toujours la baiser.
• Mieux que cela à chacune des poussées cela tintera. Ma femme est équipée d’un modèle similaire, mais je dois dire que les sujets sont moins grands que les siens.
• À demain, Vicky remet ta culotte, le monsieur en a assez vu.

Le matin, il m’a percé quatre fois dans les grandes lèvres et une fois le clito. L’anesthésie locale, qu’Amour voulait, lui interdit de me faire mais qu’en bon professionnel, il a refusé sinon elle allait voir ailleurs non pas été douloureuse sur le coup.
Le plus dur a été d’écarter les cuisses devant lui, j’ai choisi une gynéco, car j’ai du mal à m’exhiber, mais la présence de mon amour tortionnaire m’a fait accepter de le faire.

Il m’a mis cinq piercings médicaux pour que la cicatrisation se fasse sans infection et jusqu’à ce que Carl arrive Amour m’a fait vivre nue la chatte avec ses cinq petits bâtons avec les petites boules visées bien visible.
Carle a ouvert la porte en quelques secondes ma vie à basculer…

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