COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (19/20)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (19/20)
Je suis ce petit bout de femme, la réserve, je m’interroge.
Je rends 20 centimètres à Annie alors que Nadia ou Valentine seulement 5 à 8 mesurant moi-même 1 mètre 83, je l’ai dit tout en muscles, même mes abdos présentant des tablettes de chocolat.
Quelle interrogation, Annie m’a apprise, que Charles avait trompé Georgette avec Marthe la maman de Pierre qui, hélas, vient de décéder cette nuit.
Si je suis venue, c’est pour acheter des baskets pour l’anniversaire de Gabriel, mais au fond de moi, vérifier que ce j’ai vu du signe dans une glace au moment de notre départ lors de ma première visite avec Nadia.
Lorsque nous avons parlé de la commissaire, j’aurais pu lui dire que j’avais rendez-vous avec elle demain matin pour aller faire un parcours de golf.
Combien de temps ce rendez-vous tiendra-t-il dans la bouche d’Annie au risque que Michelle l’apprenne et en prenne ombrage, trouvant un motif pour annuler notre partie !
Et qui y a-t-il de mal sauf à un esprit malsain d’aller faire du sport même de bonne heure vue les chaleurs de ces derniers jours.
Nous pénétrons dans la réserve, il y a principalement des cartons un peu partout.
• Excuse le bordel, pendant mon absence Ariane a reçu la livraison de cartons venant de notre centrale d’achats.
J’avais prévu de les ouvrir et de mettre tout en rayons pendant ma pose déjeuner.
Basket 42, voyons, oui, elles sont là-haut, ou Ariane a-t-elle mis mon escabeau, chaque fois qu’elle vient m’aider, j’ai des problèmes pour retrouver mes affaires.
Annie, avant de me demander de l’aider, saute sur un carton.
Elle arrive à la bonne hauteur, mais lorsqu’elle prend la boîte de chaussures, le carton s’affaisse et elle fait un soleil.
Je la rattrape avant qu’elle touche le sol prenant par la même occasion la boîte sur la tête.
Son petit maillot remonte me montrant son nombril, un piercing le traverse.
Elle est adepte de ces petits bijoux qui fleurissent de plus en plus sur les corps des femmes.
Avant qu’Ariane ait mis son casque et monté sur la moto me montrant sa petite culotte, j’ai pu voir qu’elle en avait sur ses oreilles et un anneau dans son nez.
Punk, iroquoise et maintenant adepte des bijoux intimes, jusqu’à ou, les deux femmes vont-elles dans la maltraitance de leur corps !
Chevaleresque, je la repose au sol, je fais celui qui naturellement est au service de cette femme alors que j’ai la confirmation que le signe que j’ai vu m’était bien destiné.
Elle aurait pu reprendre son équilibre avec mon aide sans pour autant lever légèrement sa tête et m’offrir un baiser profond comme l’est son sexe.
Sa profondeur, je la constate après que je la reprends dans mes bras et que je la pose sur le carton dont elle vient de tomber.
Je la déshabille tout en autant chemisette et pantalon, j’ai le plaisir de constater que ses tétons sont entiers sans le moindre piercing.
Vu ce qu’elle a subi, cette partie de son corps a dû suffisamment morfler avec les rayons.
Par contre, son string enlevé, sa chatte, lorsque j’avance ma bouche lui écartant les jambes pour y fourrer ma tête, son clito est percé et un prince de Gall le traverse.
Un bijou surprenant pour une femme trente-cinq, quarante ans, mais un bijou avec lequel j’apprends à jouer, le suçant, le tirant avec mes lèvres.
Je pourrais avoir peur de l’insensibilité de ce clito percé, mais c’est tout le contraire, sa sensibilité semble accrue avec sa présence.
Fort de mes diverses expériences, en partant j’ai pris dans le tiroir de ma table de chevet deux capotes.
C’est lorsque j’en ai ouvert un que j’ai vu quelques-uns de ces petits étuis.
Georgette a parlé de soirée annuelle, ma chambre doit faire partie de ce baisodrome que semble devenir la villa lorsque Pierre et Nadia vont à des partouzes comme ils l’ont fait pendant que j’emmenai les jeunes à la discothèque avec Charles.
Deux tables de nuit, deux tiroirs et une dizaine de capotes, de quoi voire venir surtout si lorsqu’elle fait ma chambre.
Depuis mon arrivée je me lève, je descends prendre mon petit déjeuner retrouvant mon lit fait le soir.
À la maison, depuis tout petit, la bonne, c’est moi et je fais mon lit, je change mes draps que je porte dans la buanderie avant d’en mettre des propres.
Alors que je place ma capote, me reculant un peu, je vois une pastille ronde sortie de l’anus d’Annie.
J’y porte les doigts, ça résiste.
• Christian, je suis une salope, du moins j’aime le sexe !
Roland, mon fiancé me place ce plug, avant que je vienne à la boutique tous les matins.
Il me dit que c’est pour que je pense à lui pendant son service, si je connais la commissaire, c’est qu’il est policier dans notre commune.
• Tu joues avec ses menottes !
• Comment le sais-tu, je suis bête, policier, menottes, tu me parles des fantasmes des femmes, lorsqu’elle rencontre l’un d’eux ?
Je vais être franche, oui on joue au gendarme et au voleur et il me les passe lorsqu’il m’attrape.
Lorsque j’ai dit que j’ai bien fait de cacher mon rencard avec la commissaire, ce soir sous la torture aurait-elle dit à son copain que nous jouerons au golf demain.
Le trou du cul obstrué, la dame semblant chaude, ma capote bien déroulée, je pénètre dans sa chatte ruisselant d’envie.
J’ai senti la verge de Gabriel lorsque l’on baisait Lauriane devant les yeux de Hugo sur leur terrasse.
Là c’est un morceau de métal, que je sens au passage, qui fait la double pénétration de ma belle salope.
Une fois bien au fond de sa chatte, mon sexe est en contact avec le prince Albert, métal dans son fondement, morceau de métal se frottant à ma verge m’apportant une drôle de sensation.
Je lime ce con avec grand plaisir, me vengeant un petit peu de la maréchaussée ayant un instant voulu m’embastillé dans leur geôle pourrie.
Je connais, ils en parlent fréquemment à la télé lors de manifestations de policiers se plaignant de leur condition de travail et surtout de leurs locaux insalubres.
Que devrais-je dire des miennes obligées de sauter ces cougars, sauf Nadia, encore un peu loin de ces femmes de plus de quarante ans ?
Le carton est un peu affaissé et la tête d’Annie a tendance à être dans le vide, je sors ma verge après lui avoir déclenché un orgasme.
J’enlève la capote et c’est en lui faisant une gorge profonde, malgré mon gros calibre que je la lui mets dans sa bouche entrant jusqu’à mes couilles.
Je décharge, mes jets allant directement dans l’estomac de celle qui vient de cocufier la police nationale ce qui me fait grandement plaisir après ce que j’ai failli subir.
Je l’aide à se relever, le carton a pris la forme de son corps.
J’ai dit qu’il y en avait un certain nombre, sur le côté d’une étagère il y en a un qui a la même forme que celui qu’Annie vient de quitter, complètement défoncée.
Sa fille Ariane, a-t-elle donné un pourboire au livreur avec sa chatte cocufiant par là même Christophe son copain et fiancé à moto.
Je me garde bien d’en parler à Annie, surtout que derrière ce carton je vois l’escabeau replié pendu au mur avec un dessin et une affichette marquée « emplacement de l’escabeau, évitez d’encombrer. »
Ça me confirme qu’Annie avait tout prémédité et que le mouvement de la main vue dans un miroir m’était destiné.
• Je vais t’aider à ranger, ce qui se trouve dans ces cartons, j’ai du temps, merci pour le moment que tu viens de me faire passer.
• Tu vas être en retard auprès de Georgette, je sais que Nadia la prévient lorsqu’elle loupe un repas.
• Tu as raison, je lui envoie un SMS.
Je fais semblant de lui envoyer, inutile de risquer d’entrer dans un flot d’explication du cocufiage de Charles, surtout après les révélations de la tromperie de ce dernier ayant certainement déclenché la sienne.
Portable ranger dans ma poche arrière, Annie me donne un cutter pour ouvrir les cartons.
Il y en a quatre dont les deux qui ont servi de repose cul pour des parties de baise bien que pour celui d’Ariane, c’est une pure supposition, il a pu être écrasé lors du transport.
Sur l’un d’eux la fiche de livraison, je peux, voir écris en case « état des objets transportés » quelqu’un à marquer « bonne état. »
J’aurais reçu la marchandise, j’aurais marqué « bon état », Valentine aussi ayant eu son bac de Français.
Soit, c’est Annie qui a réceptionné et elle m’a fait le coup de l’escabeau pour grimper sur un carton avant de se faire grimper.
Soit, c’est Ariane et il va falloir qu’à elle je lui donne des cours de français.
• Ces boîtes de baskets, je les range sur cette étagère dans la réserve !
• Non, c’est un nouveau modèle que j’attendais depuis longtemps, il fait fureur auprès de la jeune clientèle, j’étais en rupture, j’ai déjà loupé trois ventes.
11 boîtes du 36 au 46, quatre par quatre, je les emmène dans le magasin.
Il va de soi que je me suis rhabillé, se promener à poil dans la villa, passe encore, les murs sont très protecteurs.
Mais derrière la vitre des gens regardent la devanture et la vue de ma verge, même si elle est au repos, pourraient être considérées comme attentats à la pudeur.
Je pose les quatre premières boîtes, je vais en rechercher quatre autres.
36 à 39, 40 à 43, devant mes yeux, la boîte du 42 nouveau modèle, dans la colonne de l’ancien modèle une boîte de moins.
Je pense que c’est le 42, il est là, c’est le 41 qui manque, Annie m’a bien pigeonné pour m’emmener dans la réserve, ajouté au coup de l’escabeau.
Lorsque je la serre dans mes bras, après avoir fini et qu’il est l’heure qu’elle ouvre, je pense à la perfidie de ces femmes, bien plus maline que nous pour nous amener à les sauter.
Dans ses mains la boîte de 42 qu’elle m’a fait tomber sur la tête.
• Christian, voici la boîte que nous étions venus chercher, tu as rangé le nouveau modèle sur cette étagère, je vais devoir solder le reste de l’ancien modèle.
Je pense que tous les jeunes tu dois avoir peu de moyens et c’est très bien d’avoir pensé à ton copain pour son anniversaire.
Je vais te faire un paquet-cadeau et je te l’offre, tu l’as bien mérité de m’avoir aidé à tous remettre en ordre.
Quand sur ma Vespa, je repasse devant le commissariat, un flic en sort, il a ses menottes et son flingue à la ceinture.
Est-ce celui qui met un objet anal dans le cul d’Annie, pour qu’elle pense à lui dans la journée.
Si c’est lui, il a foiré son coup, Annie avait envie de penser à mon zgeg lorsqu’elle est montée sur ce carton et que je l’ai reçu dans mes bras.
Entre mes jambes posées sur le plancher de la Vespa, j’ai une boîte avec un gros nœud.
Le fruit de mon labeur et potentiellement celui de ma queue qui une nouvelle fois, m’a aidé à satisfaire, j’allais dire une salope.
Même si une femme c’est une salope alors que moi je suis un bourreau des cœurs.
Code d’entrée, tout est calme, je veux récupérer, je pousse la Vespa pour rentrer sans démarrer mon moteur, et de rejoindre ma chambre sans rencontrer quiconque surtout Georgette.
J’y arrive, je me déshabille, j’ai envie d’un bon bain.
Je me prélasse depuis cinq minutes, on frappe à ma porte, quelques secondes et elle entre.
• Monsieur Christian, vous êtes de retour.
• Je sais Georgette, j’aurais dû vous prévenir de mon absence au repas de ce midi, si vous saviez ce qui m’est arrivé...
• Non, monsieur Christian, c’est normal, vous êtes jeune, j’avais quelque chose à vous montrer.
Georgette soulève sa jupe...
Je rends 20 centimètres à Annie alors que Nadia ou Valentine seulement 5 à 8 mesurant moi-même 1 mètre 83, je l’ai dit tout en muscles, même mes abdos présentant des tablettes de chocolat.
Quelle interrogation, Annie m’a apprise, que Charles avait trompé Georgette avec Marthe la maman de Pierre qui, hélas, vient de décéder cette nuit.
Si je suis venue, c’est pour acheter des baskets pour l’anniversaire de Gabriel, mais au fond de moi, vérifier que ce j’ai vu du signe dans une glace au moment de notre départ lors de ma première visite avec Nadia.
Lorsque nous avons parlé de la commissaire, j’aurais pu lui dire que j’avais rendez-vous avec elle demain matin pour aller faire un parcours de golf.
Combien de temps ce rendez-vous tiendra-t-il dans la bouche d’Annie au risque que Michelle l’apprenne et en prenne ombrage, trouvant un motif pour annuler notre partie !
Et qui y a-t-il de mal sauf à un esprit malsain d’aller faire du sport même de bonne heure vue les chaleurs de ces derniers jours.
Nous pénétrons dans la réserve, il y a principalement des cartons un peu partout.
• Excuse le bordel, pendant mon absence Ariane a reçu la livraison de cartons venant de notre centrale d’achats.
J’avais prévu de les ouvrir et de mettre tout en rayons pendant ma pose déjeuner.
Basket 42, voyons, oui, elles sont là-haut, ou Ariane a-t-elle mis mon escabeau, chaque fois qu’elle vient m’aider, j’ai des problèmes pour retrouver mes affaires.
Annie, avant de me demander de l’aider, saute sur un carton.
Elle arrive à la bonne hauteur, mais lorsqu’elle prend la boîte de chaussures, le carton s’affaisse et elle fait un soleil.
Je la rattrape avant qu’elle touche le sol prenant par la même occasion la boîte sur la tête.
Son petit maillot remonte me montrant son nombril, un piercing le traverse.
Elle est adepte de ces petits bijoux qui fleurissent de plus en plus sur les corps des femmes.
Avant qu’Ariane ait mis son casque et monté sur la moto me montrant sa petite culotte, j’ai pu voir qu’elle en avait sur ses oreilles et un anneau dans son nez.
Punk, iroquoise et maintenant adepte des bijoux intimes, jusqu’à ou, les deux femmes vont-elles dans la maltraitance de leur corps !
Chevaleresque, je la repose au sol, je fais celui qui naturellement est au service de cette femme alors que j’ai la confirmation que le signe que j’ai vu m’était bien destiné.
Elle aurait pu reprendre son équilibre avec mon aide sans pour autant lever légèrement sa tête et m’offrir un baiser profond comme l’est son sexe.
Sa profondeur, je la constate après que je la reprends dans mes bras et que je la pose sur le carton dont elle vient de tomber.
Je la déshabille tout en autant chemisette et pantalon, j’ai le plaisir de constater que ses tétons sont entiers sans le moindre piercing.
Vu ce qu’elle a subi, cette partie de son corps a dû suffisamment morfler avec les rayons.
Par contre, son string enlevé, sa chatte, lorsque j’avance ma bouche lui écartant les jambes pour y fourrer ma tête, son clito est percé et un prince de Gall le traverse.
Un bijou surprenant pour une femme trente-cinq, quarante ans, mais un bijou avec lequel j’apprends à jouer, le suçant, le tirant avec mes lèvres.
Je pourrais avoir peur de l’insensibilité de ce clito percé, mais c’est tout le contraire, sa sensibilité semble accrue avec sa présence.
Fort de mes diverses expériences, en partant j’ai pris dans le tiroir de ma table de chevet deux capotes.
C’est lorsque j’en ai ouvert un que j’ai vu quelques-uns de ces petits étuis.
Georgette a parlé de soirée annuelle, ma chambre doit faire partie de ce baisodrome que semble devenir la villa lorsque Pierre et Nadia vont à des partouzes comme ils l’ont fait pendant que j’emmenai les jeunes à la discothèque avec Charles.
Deux tables de nuit, deux tiroirs et une dizaine de capotes, de quoi voire venir surtout si lorsqu’elle fait ma chambre.
Depuis mon arrivée je me lève, je descends prendre mon petit déjeuner retrouvant mon lit fait le soir.
À la maison, depuis tout petit, la bonne, c’est moi et je fais mon lit, je change mes draps que je porte dans la buanderie avant d’en mettre des propres.
Alors que je place ma capote, me reculant un peu, je vois une pastille ronde sortie de l’anus d’Annie.
J’y porte les doigts, ça résiste.
• Christian, je suis une salope, du moins j’aime le sexe !
Roland, mon fiancé me place ce plug, avant que je vienne à la boutique tous les matins.
Il me dit que c’est pour que je pense à lui pendant son service, si je connais la commissaire, c’est qu’il est policier dans notre commune.
• Tu joues avec ses menottes !
• Comment le sais-tu, je suis bête, policier, menottes, tu me parles des fantasmes des femmes, lorsqu’elle rencontre l’un d’eux ?
Je vais être franche, oui on joue au gendarme et au voleur et il me les passe lorsqu’il m’attrape.
Lorsque j’ai dit que j’ai bien fait de cacher mon rencard avec la commissaire, ce soir sous la torture aurait-elle dit à son copain que nous jouerons au golf demain.
Le trou du cul obstrué, la dame semblant chaude, ma capote bien déroulée, je pénètre dans sa chatte ruisselant d’envie.
J’ai senti la verge de Gabriel lorsque l’on baisait Lauriane devant les yeux de Hugo sur leur terrasse.
Là c’est un morceau de métal, que je sens au passage, qui fait la double pénétration de ma belle salope.
Une fois bien au fond de sa chatte, mon sexe est en contact avec le prince Albert, métal dans son fondement, morceau de métal se frottant à ma verge m’apportant une drôle de sensation.
Je lime ce con avec grand plaisir, me vengeant un petit peu de la maréchaussée ayant un instant voulu m’embastillé dans leur geôle pourrie.
Je connais, ils en parlent fréquemment à la télé lors de manifestations de policiers se plaignant de leur condition de travail et surtout de leurs locaux insalubres.
Que devrais-je dire des miennes obligées de sauter ces cougars, sauf Nadia, encore un peu loin de ces femmes de plus de quarante ans ?
Le carton est un peu affaissé et la tête d’Annie a tendance à être dans le vide, je sors ma verge après lui avoir déclenché un orgasme.
J’enlève la capote et c’est en lui faisant une gorge profonde, malgré mon gros calibre que je la lui mets dans sa bouche entrant jusqu’à mes couilles.
Je décharge, mes jets allant directement dans l’estomac de celle qui vient de cocufier la police nationale ce qui me fait grandement plaisir après ce que j’ai failli subir.
Je l’aide à se relever, le carton a pris la forme de son corps.
J’ai dit qu’il y en avait un certain nombre, sur le côté d’une étagère il y en a un qui a la même forme que celui qu’Annie vient de quitter, complètement défoncée.
Sa fille Ariane, a-t-elle donné un pourboire au livreur avec sa chatte cocufiant par là même Christophe son copain et fiancé à moto.
Je me garde bien d’en parler à Annie, surtout que derrière ce carton je vois l’escabeau replié pendu au mur avec un dessin et une affichette marquée « emplacement de l’escabeau, évitez d’encombrer. »
Ça me confirme qu’Annie avait tout prémédité et que le mouvement de la main vue dans un miroir m’était destiné.
• Je vais t’aider à ranger, ce qui se trouve dans ces cartons, j’ai du temps, merci pour le moment que tu viens de me faire passer.
• Tu vas être en retard auprès de Georgette, je sais que Nadia la prévient lorsqu’elle loupe un repas.
• Tu as raison, je lui envoie un SMS.
Je fais semblant de lui envoyer, inutile de risquer d’entrer dans un flot d’explication du cocufiage de Charles, surtout après les révélations de la tromperie de ce dernier ayant certainement déclenché la sienne.
Portable ranger dans ma poche arrière, Annie me donne un cutter pour ouvrir les cartons.
Il y en a quatre dont les deux qui ont servi de repose cul pour des parties de baise bien que pour celui d’Ariane, c’est une pure supposition, il a pu être écrasé lors du transport.
Sur l’un d’eux la fiche de livraison, je peux, voir écris en case « état des objets transportés » quelqu’un à marquer « bonne état. »
J’aurais reçu la marchandise, j’aurais marqué « bon état », Valentine aussi ayant eu son bac de Français.
Soit, c’est Annie qui a réceptionné et elle m’a fait le coup de l’escabeau pour grimper sur un carton avant de se faire grimper.
Soit, c’est Ariane et il va falloir qu’à elle je lui donne des cours de français.
• Ces boîtes de baskets, je les range sur cette étagère dans la réserve !
• Non, c’est un nouveau modèle que j’attendais depuis longtemps, il fait fureur auprès de la jeune clientèle, j’étais en rupture, j’ai déjà loupé trois ventes.
11 boîtes du 36 au 46, quatre par quatre, je les emmène dans le magasin.
Il va de soi que je me suis rhabillé, se promener à poil dans la villa, passe encore, les murs sont très protecteurs.
Mais derrière la vitre des gens regardent la devanture et la vue de ma verge, même si elle est au repos, pourraient être considérées comme attentats à la pudeur.
Je pose les quatre premières boîtes, je vais en rechercher quatre autres.
36 à 39, 40 à 43, devant mes yeux, la boîte du 42 nouveau modèle, dans la colonne de l’ancien modèle une boîte de moins.
Je pense que c’est le 42, il est là, c’est le 41 qui manque, Annie m’a bien pigeonné pour m’emmener dans la réserve, ajouté au coup de l’escabeau.
Lorsque je la serre dans mes bras, après avoir fini et qu’il est l’heure qu’elle ouvre, je pense à la perfidie de ces femmes, bien plus maline que nous pour nous amener à les sauter.
Dans ses mains la boîte de 42 qu’elle m’a fait tomber sur la tête.
• Christian, voici la boîte que nous étions venus chercher, tu as rangé le nouveau modèle sur cette étagère, je vais devoir solder le reste de l’ancien modèle.
Je pense que tous les jeunes tu dois avoir peu de moyens et c’est très bien d’avoir pensé à ton copain pour son anniversaire.
Je vais te faire un paquet-cadeau et je te l’offre, tu l’as bien mérité de m’avoir aidé à tous remettre en ordre.
Quand sur ma Vespa, je repasse devant le commissariat, un flic en sort, il a ses menottes et son flingue à la ceinture.
Est-ce celui qui met un objet anal dans le cul d’Annie, pour qu’elle pense à lui dans la journée.
Si c’est lui, il a foiré son coup, Annie avait envie de penser à mon zgeg lorsqu’elle est montée sur ce carton et que je l’ai reçu dans mes bras.
Entre mes jambes posées sur le plancher de la Vespa, j’ai une boîte avec un gros nœud.
Le fruit de mon labeur et potentiellement celui de ma queue qui une nouvelle fois, m’a aidé à satisfaire, j’allais dire une salope.
Même si une femme c’est une salope alors que moi je suis un bourreau des cœurs.
Code d’entrée, tout est calme, je veux récupérer, je pousse la Vespa pour rentrer sans démarrer mon moteur, et de rejoindre ma chambre sans rencontrer quiconque surtout Georgette.
J’y arrive, je me déshabille, j’ai envie d’un bon bain.
Je me prélasse depuis cinq minutes, on frappe à ma porte, quelques secondes et elle entre.
• Monsieur Christian, vous êtes de retour.
• Je sais Georgette, j’aurais dû vous prévenir de mon absence au repas de ce midi, si vous saviez ce qui m’est arrivé...
• Non, monsieur Christian, c’est normal, vous êtes jeune, j’avais quelque chose à vous montrer.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ah, j' ai faillit oublier, il m est arrivé pratiquement la même chose dans la réserve d une boutique d une amie...qui avait déjà servi à cela pour d autres. Et la petite différence, c'est que ce fût une belle sodomie. Je suis aussi reparti avec un vêtement de la réserve en cadeau souvenir 🤣
Très belle série d histoires. Un feuilleton dont on est toujours avide de découvrir la suite.
Avec juste une petite attention supplémentaire à la grammaire , ce serait parfait !
En manque déjà de lire le feuilleton suivant.
Avec juste une petite attention supplémentaire à la grammaire , ce serait parfait !
En manque déjà de lire le feuilleton suivant.
Quelle imagination extraordinaire mon cher Chris....
Cyrille
Cyrille