COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (16/20)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (16/20)
J’ai nettement l’impression que le motif que Georgette m’a donné lorsqu’elle a vu que j’étais descendu à la piscine, était fallacieux, mais jusqu’à ou a-t-elle prévu d’aller ?
C’est ce que je pense dans cette nuit presque noir lorsque Georgette la femme de service de Pierre et Nadia, hésite de me prendre ma queue en main.
• Non, monsieur Christian, ça serait mal, je trahirais mon serment de fidélité à Charles le jour de nos noces !
• Trahir, Charles, tout de suite les grands mots, je suis jeune, mais je connais la valeur de la vie, elle est courte et il faut savoir en profiter.
Si je te disais tout ce que tu loupes en ayant les principes qui sont les tiens.
Je sens, plus que j’arrive à la voir, la main de Georgette s’approcher, mais se retirer précipitamment.
Aux grands mots, les grands remèdes, je lui prends la main et la pose sur ma verge, je dois être anormal, car la situation me fait bander.
Il est vrai que j’ai baisé une vieille Anglaise dans sa chambre d’hôtel, j’ai réussi à bander, j’étais dans une situation bien moins favorable que ce soir.
Prem, il fait presque nuit et Georgette malgré sa cinquantaine, voire un peu plus, a de jolis seins.
Je sais, il fait nuit et je dis que ses seins sont beaux.
Il y a plusieurs façons de voir, la vue ou le toucher.
Le toucher, je m’en sers, le droit puis le gauche ou le droit avant le gauche, je suis troublé.
Je le suis plus lorsque Georgette d’un coup m’empoigne la verge, me secoue à la limite de me faire mal.
• Du calme Georgette, secoue-moi moins fort, tu vas me l’arracher.
On pourrait croire, que c’est la première fois que tu masturbes la bite d’un homme.
C’est d’une petite voix à la limite de pleurer qu’elle me répond.
• Oui, vous avez raison, c’est la première, Charles a horreur que je le tripote.
• C’est incroyable, on pourrait croire que c’est moi le vieux et toi la pucelle.
Assez parlée, elle s’est penchée vers mes attributs.
« Le p'tit chose et les deux orphelines » comme le chante Pierre Perret dans le zizi.
De ma main libre, je lui appuie sur la tête, j’ai le temps de sentir que c’est elle qui vient à son contact avec sa bouche.
• C’est bien ma belle, mais laisse-moi te guider si c’est la première fois que tu masturbes et que tu suces la bite d’un garçon.
Je suis trop gros pour ta bouche, contente-toi de la sucer en la masturbant doucement.
Oui, comme ça, c’est parfait, tu vois qu’il était facile de sauter le pas.
• Si vous saviez le nombre de bites que j’ai regardées sournoisement lorsque je passais entre ces messieurs et mesdames avec mon plateau de coupes de champagne ou de petits fours lors de leur soirée annuelle.
Mais je parle trop, vous ignorez peut-être que mes patrons sont des libertins, le plus dur pour eux ou pour nous, c’est de cacher à leurs enfants qu’ils aiment baiser entre amis.
• Continue à me masturber, tu as pris le bon rythme.
Soit sans crainte, Gabriel le sait, nous en avons parlé qu’en à Valentine, c’est elle qui a émis des doutes à son frère.
Je pense qu’à leur âge, ils sont du genre rapidement à comprendre.
• Valentine est une petite fille espiègle, je le vois bien avec vous, elle a une façon de vous regarder.
Georgette me vouvoie, je la tutoie, mais je sens qu’il est inutile d’essayer de la faire changer d’avis surtout au point où nous sommes arrivés de notre relation, ça me prendrait trop de temps.
Elle a abandonné ma queue le temps de parler de Gabriel et de Valentine, elle retourne à son labeur.
Je descends ma main vers son entrejambe, elle prend goût à ce qu’elle fait, car elle est trempée.
Je sens sa mouille qui dégouline le long de sa jambe, il est temps de lui porter l’estocade, mais avant je veux encore profiter de cette chatte, presque aussi vierge que celle de Valentine malgré son âge.
La vieille Anglaise, Lauriane et maintenant Georgette, suis-je programmé pour me faire des vieilles.
Heureusement, qu’il y a eu Nadia et Éloise, sinon je pourrais croire que je suis voué à draguer dans les maisons de retraite.
• Georgette, laisse-moi m’occuper un peu de toi, j’aime sucer les chattes des femmes, je sens que la tienne en a aussi envie ?
• Non, j’ai honte de ce que je fais surtout à Charles, je vais être dans l’impossibilité de me regarder dans ma glace.
• Georgette, nous sommes au 21ème siècle, il faut vivre avec ton temps, tu me l’as dit, tu sers des libertins, profites-en toi aussi en l’absence de Charles !
Je pousse un peu celle que je convoite à s’allonger, il était temps, j’étais à deux doigts de lui remplir la bouche.
Je me place dans sa fourche, obligé de lui écarter les jambes.
Ma langue s’approche de sa fente, mais je me retrouve avec des poils dans la bouche.
Toujours pragmatique j’écarte ses grandes lèvres et ma langue peut accéder à son fruit que Charles semble avoir voulu s’accaparer pour lui seul.
Je trouve son capuchon protégeant son clito, habillement ma langue le fait sortir de sa cachette, ce qui fait roucouler l’apprentie libertine.
Elle commence à se tortiller dans tous les sens et à crier au monde le plaisir que je lui donne.
J’ai bien compris que la dame était du genre capable de m’échapper si je lui demande de prendre des positions heurtant sa morale.
En le suçant, l’aspirant, le relâchant et en recommençant.
Georgette a un premier orgasme que je récupère en partie dans ma bouche lorsque sa chatte dégouline de bonheur.
Je délaisse sa petite excroissance, bien plus petite que celle d’Éloise, pour venir jusqu’à elle et pour la première fois l’embrasser.
Un instant je pense à me couvrir, mais j’abandonne très vite, si je vais jusqu’à la table réfrigérée pour ouvrir le tiroir ou je connais la présence de capotes, là encore, la donzelle va m’échapper.
• Monsieur Christian, je sais que de mon côté, vous pouvez me faire l’amour sans risque, vous êtes le premier me donnant assez d’envie de tromper Charles.
Mais que dire de mon mari, comme ce soir, il s’absente et je sais que dans notre jeunesse, il m’a trompé.
Je me suis éloignée pendant presque six mois, mais lorsqu’il est revenu pleurer vers moi, mon amour pour lui a resurgi et je lui ai pardonné.
Que fait-il en ce moment, peut-être comme nous, alors il est préférable pour votre santé de mettre une capote ?
Il y en a toujours dans le tiroir de la table réfrigéré que se servent nos patrons lors de la réception de leurs amis.
Je le sais, c’est moi qui suis chargé de les acheter et de les mettre dans plusieurs endroits de la maison.
Cette maison, pendant ces merveilleuses vacances de rêve, me procure bien des surprises.
Ces capotes dont je me suis servi avec Nadia, c’était Georgette qui les avait placés là.
Je me lève et dans la clarté blafarde, je récupère de quoi me couvrir.
J’ai vu des films x sur mon portable, ce qui m’a aidé à découvrir la vie, en quelques secondes, comme les acteurs de ces films, je déroule la capote et je retourne auprès de la dame.
• Monsieur Christian, quitte à tromper Charles, sa devise en tant que supporter de Marseille est « droit au but, » puis-je me permettre de vous demander de réaliser, un autre de mes fantasmes !
J’avais celui de sucer votre bite lorsque je la voyais, mais avec Charles...
Excusez de vous parler toujours de lui, comme je vous l’ai dit, c’est ma seule référence, avec Charles, je l’ai toujours sur moi et je fantasme d’être dessus.
Maman m’a bien élevé, ce que les femmes veulent, il faut leur offrir et malgré qu’elle me parle de l’OM, la femme faisant tout le travail, j’aime assez.
Je m’allonge, je sens Georgette venir sur moi et sa main prendre ma verge pour la faire pénétrer dans son tabernacle.
J’emploie le mot « tabernacle » à dessin, comme c’est depuis son mariage que seul Charles la baise.
Je vois derrière le curé à l’église l’endroit où lors du mariage de ma cousine Annabel, il a sorti les hosties avant de les offrir aux mariés et à l’assemblée présente.
C’est à cette occasion, croyant mes parents athées, maman a communié sous le regard courroucé de papa.
Dans mon esprit, j’ai pensé que nous avions de la chance que dans cette église, les bouteilles d’huile étaient rares et que cela nous évitait de nettoyer le tabernacle.
• Oh ! monsieur Christian, vous réalisez tous mes fantasmes, je vous serais toujours reconnaissante.
Dois-je écrire toutes les onomatopées, les « ah ! » les « oh ! » « encore » « oui » « plus vite » alors que c’est elle qui rythme notre cadence, jusqu’à un point d’orgue où tout son corps s’embrasse.
Georgette à un orgasme dévastateur.
J’en profite pour la faire changer de position.
Je suis sûr que son fantasme le plus profond, elle doit le ressentir lors de cette soirée libertine que semble affectionner Nadia et Pierre.
En promenant son plateau, elle doit voir des couples faisant l’amour en levrette.
Je crois que j’ai dit que la levrette était ma position favorite et que lorsque je la reprends lui entrant ma grosse verge bien au fond de sa chatte dégoulinante, ses bruits de plaisir m’apportent la paix et la sérénité.
Même si j’ai un instant l’impression que Georgette avait tout prémédité profitant de l’absence de mes amis et de son mari, dans un dernier méga coup de bite, elle hurle de plaisir alors que je remplis ma capote.
Je la retire, la posant près de moi.
• Georgette, moi aussi j’ai des fantasmes, nettoie-moi la queue avec ta langue.
Une femme un homme peut dire qu’il l’a à sa botte, lorsqu’elle s’exécute à la moindre de ses demandes.
Georgette me nettoie ma queue.
• Dis-moi, j’ai faim, maintenant que ma queue est propre, si nous allions manger un morceau à la cuisine ?
Une omelette aux truffes, ça te dirait, j’en avais acheté pour en faire demain soir !
Que ces premières vacances sont de rêve, une omelette aux truffes, au prix que ça coûte, pourquoi pas du Beluga venu de Russie, c’est vrai que c’est l’embargo...
C’est ce que je pense dans cette nuit presque noir lorsque Georgette la femme de service de Pierre et Nadia, hésite de me prendre ma queue en main.
• Non, monsieur Christian, ça serait mal, je trahirais mon serment de fidélité à Charles le jour de nos noces !
• Trahir, Charles, tout de suite les grands mots, je suis jeune, mais je connais la valeur de la vie, elle est courte et il faut savoir en profiter.
Si je te disais tout ce que tu loupes en ayant les principes qui sont les tiens.
Je sens, plus que j’arrive à la voir, la main de Georgette s’approcher, mais se retirer précipitamment.
Aux grands mots, les grands remèdes, je lui prends la main et la pose sur ma verge, je dois être anormal, car la situation me fait bander.
Il est vrai que j’ai baisé une vieille Anglaise dans sa chambre d’hôtel, j’ai réussi à bander, j’étais dans une situation bien moins favorable que ce soir.
Prem, il fait presque nuit et Georgette malgré sa cinquantaine, voire un peu plus, a de jolis seins.
Je sais, il fait nuit et je dis que ses seins sont beaux.
Il y a plusieurs façons de voir, la vue ou le toucher.
Le toucher, je m’en sers, le droit puis le gauche ou le droit avant le gauche, je suis troublé.
Je le suis plus lorsque Georgette d’un coup m’empoigne la verge, me secoue à la limite de me faire mal.
• Du calme Georgette, secoue-moi moins fort, tu vas me l’arracher.
On pourrait croire, que c’est la première fois que tu masturbes la bite d’un homme.
C’est d’une petite voix à la limite de pleurer qu’elle me répond.
• Oui, vous avez raison, c’est la première, Charles a horreur que je le tripote.
• C’est incroyable, on pourrait croire que c’est moi le vieux et toi la pucelle.
Assez parlée, elle s’est penchée vers mes attributs.
« Le p'tit chose et les deux orphelines » comme le chante Pierre Perret dans le zizi.
De ma main libre, je lui appuie sur la tête, j’ai le temps de sentir que c’est elle qui vient à son contact avec sa bouche.
• C’est bien ma belle, mais laisse-moi te guider si c’est la première fois que tu masturbes et que tu suces la bite d’un garçon.
Je suis trop gros pour ta bouche, contente-toi de la sucer en la masturbant doucement.
Oui, comme ça, c’est parfait, tu vois qu’il était facile de sauter le pas.
• Si vous saviez le nombre de bites que j’ai regardées sournoisement lorsque je passais entre ces messieurs et mesdames avec mon plateau de coupes de champagne ou de petits fours lors de leur soirée annuelle.
Mais je parle trop, vous ignorez peut-être que mes patrons sont des libertins, le plus dur pour eux ou pour nous, c’est de cacher à leurs enfants qu’ils aiment baiser entre amis.
• Continue à me masturber, tu as pris le bon rythme.
Soit sans crainte, Gabriel le sait, nous en avons parlé qu’en à Valentine, c’est elle qui a émis des doutes à son frère.
Je pense qu’à leur âge, ils sont du genre rapidement à comprendre.
• Valentine est une petite fille espiègle, je le vois bien avec vous, elle a une façon de vous regarder.
Georgette me vouvoie, je la tutoie, mais je sens qu’il est inutile d’essayer de la faire changer d’avis surtout au point où nous sommes arrivés de notre relation, ça me prendrait trop de temps.
Elle a abandonné ma queue le temps de parler de Gabriel et de Valentine, elle retourne à son labeur.
Je descends ma main vers son entrejambe, elle prend goût à ce qu’elle fait, car elle est trempée.
Je sens sa mouille qui dégouline le long de sa jambe, il est temps de lui porter l’estocade, mais avant je veux encore profiter de cette chatte, presque aussi vierge que celle de Valentine malgré son âge.
La vieille Anglaise, Lauriane et maintenant Georgette, suis-je programmé pour me faire des vieilles.
Heureusement, qu’il y a eu Nadia et Éloise, sinon je pourrais croire que je suis voué à draguer dans les maisons de retraite.
• Georgette, laisse-moi m’occuper un peu de toi, j’aime sucer les chattes des femmes, je sens que la tienne en a aussi envie ?
• Non, j’ai honte de ce que je fais surtout à Charles, je vais être dans l’impossibilité de me regarder dans ma glace.
• Georgette, nous sommes au 21ème siècle, il faut vivre avec ton temps, tu me l’as dit, tu sers des libertins, profites-en toi aussi en l’absence de Charles !
Je pousse un peu celle que je convoite à s’allonger, il était temps, j’étais à deux doigts de lui remplir la bouche.
Je me place dans sa fourche, obligé de lui écarter les jambes.
Ma langue s’approche de sa fente, mais je me retrouve avec des poils dans la bouche.
Toujours pragmatique j’écarte ses grandes lèvres et ma langue peut accéder à son fruit que Charles semble avoir voulu s’accaparer pour lui seul.
Je trouve son capuchon protégeant son clito, habillement ma langue le fait sortir de sa cachette, ce qui fait roucouler l’apprentie libertine.
Elle commence à se tortiller dans tous les sens et à crier au monde le plaisir que je lui donne.
J’ai bien compris que la dame était du genre capable de m’échapper si je lui demande de prendre des positions heurtant sa morale.
En le suçant, l’aspirant, le relâchant et en recommençant.
Georgette a un premier orgasme que je récupère en partie dans ma bouche lorsque sa chatte dégouline de bonheur.
Je délaisse sa petite excroissance, bien plus petite que celle d’Éloise, pour venir jusqu’à elle et pour la première fois l’embrasser.
Un instant je pense à me couvrir, mais j’abandonne très vite, si je vais jusqu’à la table réfrigérée pour ouvrir le tiroir ou je connais la présence de capotes, là encore, la donzelle va m’échapper.
• Monsieur Christian, je sais que de mon côté, vous pouvez me faire l’amour sans risque, vous êtes le premier me donnant assez d’envie de tromper Charles.
Mais que dire de mon mari, comme ce soir, il s’absente et je sais que dans notre jeunesse, il m’a trompé.
Je me suis éloignée pendant presque six mois, mais lorsqu’il est revenu pleurer vers moi, mon amour pour lui a resurgi et je lui ai pardonné.
Que fait-il en ce moment, peut-être comme nous, alors il est préférable pour votre santé de mettre une capote ?
Il y en a toujours dans le tiroir de la table réfrigéré que se servent nos patrons lors de la réception de leurs amis.
Je le sais, c’est moi qui suis chargé de les acheter et de les mettre dans plusieurs endroits de la maison.
Cette maison, pendant ces merveilleuses vacances de rêve, me procure bien des surprises.
Ces capotes dont je me suis servi avec Nadia, c’était Georgette qui les avait placés là.
Je me lève et dans la clarté blafarde, je récupère de quoi me couvrir.
J’ai vu des films x sur mon portable, ce qui m’a aidé à découvrir la vie, en quelques secondes, comme les acteurs de ces films, je déroule la capote et je retourne auprès de la dame.
• Monsieur Christian, quitte à tromper Charles, sa devise en tant que supporter de Marseille est « droit au but, » puis-je me permettre de vous demander de réaliser, un autre de mes fantasmes !
J’avais celui de sucer votre bite lorsque je la voyais, mais avec Charles...
Excusez de vous parler toujours de lui, comme je vous l’ai dit, c’est ma seule référence, avec Charles, je l’ai toujours sur moi et je fantasme d’être dessus.
Maman m’a bien élevé, ce que les femmes veulent, il faut leur offrir et malgré qu’elle me parle de l’OM, la femme faisant tout le travail, j’aime assez.
Je m’allonge, je sens Georgette venir sur moi et sa main prendre ma verge pour la faire pénétrer dans son tabernacle.
J’emploie le mot « tabernacle » à dessin, comme c’est depuis son mariage que seul Charles la baise.
Je vois derrière le curé à l’église l’endroit où lors du mariage de ma cousine Annabel, il a sorti les hosties avant de les offrir aux mariés et à l’assemblée présente.
C’est à cette occasion, croyant mes parents athées, maman a communié sous le regard courroucé de papa.
Dans mon esprit, j’ai pensé que nous avions de la chance que dans cette église, les bouteilles d’huile étaient rares et que cela nous évitait de nettoyer le tabernacle.
• Oh ! monsieur Christian, vous réalisez tous mes fantasmes, je vous serais toujours reconnaissante.
Dois-je écrire toutes les onomatopées, les « ah ! » les « oh ! » « encore » « oui » « plus vite » alors que c’est elle qui rythme notre cadence, jusqu’à un point d’orgue où tout son corps s’embrasse.
Georgette à un orgasme dévastateur.
J’en profite pour la faire changer de position.
Je suis sûr que son fantasme le plus profond, elle doit le ressentir lors de cette soirée libertine que semble affectionner Nadia et Pierre.
En promenant son plateau, elle doit voir des couples faisant l’amour en levrette.
Je crois que j’ai dit que la levrette était ma position favorite et que lorsque je la reprends lui entrant ma grosse verge bien au fond de sa chatte dégoulinante, ses bruits de plaisir m’apportent la paix et la sérénité.
Même si j’ai un instant l’impression que Georgette avait tout prémédité profitant de l’absence de mes amis et de son mari, dans un dernier méga coup de bite, elle hurle de plaisir alors que je remplis ma capote.
Je la retire, la posant près de moi.
• Georgette, moi aussi j’ai des fantasmes, nettoie-moi la queue avec ta langue.
Une femme un homme peut dire qu’il l’a à sa botte, lorsqu’elle s’exécute à la moindre de ses demandes.
Georgette me nettoie ma queue.
• Dis-moi, j’ai faim, maintenant que ma queue est propre, si nous allions manger un morceau à la cuisine ?
Une omelette aux truffes, ça te dirait, j’en avais acheté pour en faire demain soir !
Que ces premières vacances sont de rêve, une omelette aux truffes, au prix que ça coûte, pourquoi pas du Beluga venu de Russie, c’est vrai que c’est l’embargo...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Chris pour cette suite très excitante...
Cyrille
Cyrille