COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (18/20)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (18/20)
« Ce conard, car c’est lui qui l’est, prend le portefeuille des mains de la commissaire, l’ouvre et continue à vociférer. »
C’est au commissariat où je viens d’apporter le portefeuille que j’ai trouvé à un feu rouge dans le caniveau que cette altercation a lieu avec D. propriétaire dudit portefeuille.
Ni, son nom ni son prénom mérite que je m’arrête dessus, lorsqu’on est con, on est con !
• Regardez commissaire, mes cartes de crédit ont disparu et regardez, je sortais de ma banque je venais de retirer 1 000 € en liquide, ou sont-ils ?
Ce petit morveux a dû croiser un complice qui a récupéré ce qui les intéressait et ont jeté le reste dans le caniveau.
• Et connard, pour qui tu me prends espèce de facho, je vais te claquer le baigneur.
J’empoigne le col de la chemise de cet homme et je lui balance une grande baffe.
Je sais, papa m’a dit de rester calme, c’est la commissaire qui le fait.
• Arrêtez tous les deux, regardez, mes hommes viennent de me prévenir qu’ils en avaient arrêté deux et ils me les amènent.
Monsieur D. je vous somme de vous excuser d’avoir proféré des insinuations contraires à la vérité envers ce jeune homme et vous, jeune homme envers monsieur que vous venez de frapper.
Sinon, je vous fais mettre en cellule une paire d’heures, dans la même il va de soi, vous pourrez vous mettre sur la gueule à loisir.
Devant nous, passe deux jeunes menottés, certes, l'un d'eux à une vague ressemblance avec moi, mais tout de même bien loin.
La commissaire a l’air très sérieuse, mais D va pour reprendre la parole.
• Monsieur, dernière chance, disparaissez de ma vue, je suis d’accord sur certains points que ce jeune homme a énumérés, ma fonction m’empêche de vous les répéter.
Je vois le pauvre con récupérer son portefeuille et en partant croyant que ses propos nous échappent, dit !
« C’est encore une gauchiste. »
• Vous avez entendu madame la commissaire !
• Vous avez entendu quelque chose, moi pas !
Vous habitez à Cannes, c’est la première fois que je vous rencontre, êtes-vous en vacances ?
• Oui, chez Pierre et Nadia, je suis un copain de Gabriel, leur fils et un petit peu de Valentine, sa sœur.
• Pierre et Nadia, eux je les connais, lors de mes jours de repos, je joue au golf avec eux et de temps en temps avec Hugo et Lauriane, mais ils sont bien meilleurs que moi.
Joues-tu toi aussi ?
Je constate le tutoiement, quel emploi, mais je reste respectueux, un coup de sang une fois déjà aurait pu me coûter cher, même si je suis fière que l’autre con soit parti avec mes cinq doigts marqués sur sa joue.
• Oui, enfin je débute, mais Nadia m’a prévenu ce matin, ils sont à Limoges, car Pierre vient de perdre sa maman qui était dans un EHPAD, ils vont rentrer dans quatre ou cinq jours.
• Tu es donc seul chez eux, demain je suis de repos, si je te proposais de faire un parcours à la fraîche avec moi !
Ça te réconforterait d’avoir dû subir ce gros connard que tu as croisé tout à l’heure.
• Si vous êtes conciliante, je veux bien, je ferais ce que je peux, Lauriane m’a donné quelques conseils.
• Sept heures devant la villa de nos amis, je l’ai déjà vue et je sais où elle se trouve.
Libertin, madame la commissaire ferait-elle partie des invités à la soirée dont Georgette m’a parlé et c’est pour cela qu’elle sait ou mes amis habitent ?
• Je dois te quitter, j’ai du travail pour mettre ces deux pickpockets en cabane, ils ont des avocats qui exploitent la moindre faille dans la procédure pour faire libérer leurs clients.
Après on dit que la police et la justice sont laxistes.
Au fait, moi, c’est Michelle, j’ai vu le nom que tu as donné à l’accueil sur la fiche qu’ils m’ont fait passer, Christian !
Elle part, dans son costume trois-pièces bleus avec des petites rayures blanches, son petit cul dans un pantalon balançant de droite à gauche.
Un Borsalino à la Belmondo et elle ressemblerait à une incorruptible que je voyais à la télé dans ma très grande jeunesse.
Golf, vestiaire, vestiaire Lauriane et baise sur le banc, je m’y vois déjà.
Comme l’on dit, l’appétit vient en mangeant.
J’ai baisé tant de femmes différentes depuis ces premières vacances de rêve, que je suis prêt à gravir le Kilimandjaro pour avoir Michelle à mon tableau de chasse.
Devant les yeux, une immense pendule, onze heures quarante, j’ai failli me retrouver en cabane à cause de ce vieux con et je vais louper ma visite à Annie pour acheter le cadeau pour l’anniversaire de Gabriel.
J’ai du mal à démarrer la Vespa, ce qui me fait perdre quelques minutes, par chance la boutique où Nadia m’a relooké est très proche.
J’arrive, Annie est devant la porte avec une jeune fille inconnue.
Une très belle rousse qui l’embrasse, qui rejoint un motard qui l’attend, moteur de la moto en marche et alors qu’il est casqué a un autre casque autour de son bras.
C’est son petit ami, sinon pourquoi ce sont leurs bouches qui se rejoignent avant qu’elle prenne le casque et me cache sa magnifique chevelure.
Elle est en mini, lorsqu’elle s’assied sur la selle, comme j’arrive de face, j’ai le temps de voir qu’il est rose.
Le jeune homme démarre et en passant la jeune femme me fait un petit signe de la main.
Je rejoins Annie, qui est en train de refermer sa porte.
• Vous m’excusez, jeune homme, je ferme jusqu’à 14 heures, revenez à cette heure !
J’enlève mon casque et je passe ma main dans mes cheveux pour les remettre en place.
Ce geste que font souvent les gravures de mode comme je les appelle qui jouent dans des pubs pour les parfums, je suis aussi bien foutu qu’eux.
Mais moi, j’ai un cerveau que je veux mettre en avant dans une école d’ingénieurs.
• Christian, vous êtes Christian, qui êtes venu avec mon amie Nadia pour refaire votre garde robe, que me vaut votre visite.
• Je venais acheter une paire de baskets tendance pour l’anniversaire de Gabriel.
Lorsque je suis venue, j’en avais vu une paire sur une étagère qui lui irait très bien, nous avons la même pointure 42, ce sera rapide.
Je suis en retard, car j’ai failli me retrouver avec les menottes un gros connard m’ayant pris pour son pickpocket.
Par chance, Michelle la commissaire a arrêté les vrais délinquants et m’a libéré.
• Vous avez fait la connaissance d’Éliot Ness, c’est comme ça qu’ici les gens la surnomment depuis qu’elle est arrivée au commissariat et à cause de la manière dont elle s’habille.
Elle avait son Borsalino, elle se promène toujours avec.
Je dois avoir des dons de divination, Béluga, Borsalino, même si la commissaire est venue sans son chapeau, elle doit l’enlever dans son commissariat.
• Entrer, je vais vous servir, lorsque je verrais Nadia, si elle sait que je vous ai fait revenir au lieu de vous satisfaire, elle risque de me le reprocher.
Je sais que sa cuisinière veut toujours être prévenu lorsqu’ils loupent un repas.
Je rentre, elle referme la porte à clef avant de me d’aller vers le rayon.
• Vous avez de la chance, je raccompagnais ma fille auprès de son fiancé, vous les avez vus lorsque vous êtes arrivé, elle a tenu la boutique pendant que j’avais rendez-vous à l’hôpital pour ma mammographie.
• Vous avez des problèmes avec vos seins, pourtant à ce que je peux en voir, ils semblent magnifiques.
• Oui, mais il y a deux ans, j’ai failli en perdre un, j’avais une petite tumeur s’avérant maligne, mais qu’ils ont soigné avec des rayons.
Nous nous serions connus dans ces moments-là, vous m’auriez vu chauve, mais je portais un bandana.
Je l’ai surmonté, maintenant tout va bien, juste une visite tous les ans pour contrôle.
Vous êtes seul, Nadia va bien !
• J’ai le regret de vous dire, si vous l’ignoré, que la maman de Pierre est décédée et qu’ils sont tous les quatre partis à son chevet et, hélas, son incinération.
• Marthe est morte, je l’ai un peu connue lorsqu’elle venait chez son fils en vacances, c'était avant le remariage de Pierre.
Mais le scandale qui les a frappés l’a obligé de retourner chez elle sans revenir.
Poser des questions, c’est risqué qu’Annie se refermer comme une huitre.
Mais elle fait partie de ces femmes aimant raconter sans qu’il soit nécessaire de la pousser.
• Charles, leur employé a dû être affecté et Georgette sa femme soulagée après que Marthe est été surprise avec Charles dans le garage faisant l’amour.
Mais j’en dis trop, ça fait partie du passé et Georgette a pardonné à son mari et par l’éloignement de Marthe tout est rentré dans l’ordre.
• C’est la maman de Pierre qui a dû s’éloigner et Charles est resté ?
• Oui, Marthe dans ces années-là avait le feu au cul et c’est elle qui l’avait attiré dans ses filets.
C’est celle-ci !
• Oui ?
Annie prend la basket et regarde la pointure, 41, elle regarde ses boîtes, ce qui me fait plonger dans son décolleté, heureusement que le cancer les a épargnés, ma main est attirée.
• Ariane a dû la vendre pendant mon absence, venez, j’en ai dans la réserve, je vais en profiter, si vous aimez, pour vous offrir un café.
Je venais d’en faire lorsque Christophe est arrivé et que j’ai raccompagné ma fille.
Je suis ce petit bout de femme, la réserve, je m’interroge...
C’est au commissariat où je viens d’apporter le portefeuille que j’ai trouvé à un feu rouge dans le caniveau que cette altercation a lieu avec D. propriétaire dudit portefeuille.
Ni, son nom ni son prénom mérite que je m’arrête dessus, lorsqu’on est con, on est con !
• Regardez commissaire, mes cartes de crédit ont disparu et regardez, je sortais de ma banque je venais de retirer 1 000 € en liquide, ou sont-ils ?
Ce petit morveux a dû croiser un complice qui a récupéré ce qui les intéressait et ont jeté le reste dans le caniveau.
• Et connard, pour qui tu me prends espèce de facho, je vais te claquer le baigneur.
J’empoigne le col de la chemise de cet homme et je lui balance une grande baffe.
Je sais, papa m’a dit de rester calme, c’est la commissaire qui le fait.
• Arrêtez tous les deux, regardez, mes hommes viennent de me prévenir qu’ils en avaient arrêté deux et ils me les amènent.
Monsieur D. je vous somme de vous excuser d’avoir proféré des insinuations contraires à la vérité envers ce jeune homme et vous, jeune homme envers monsieur que vous venez de frapper.
Sinon, je vous fais mettre en cellule une paire d’heures, dans la même il va de soi, vous pourrez vous mettre sur la gueule à loisir.
Devant nous, passe deux jeunes menottés, certes, l'un d'eux à une vague ressemblance avec moi, mais tout de même bien loin.
La commissaire a l’air très sérieuse, mais D va pour reprendre la parole.
• Monsieur, dernière chance, disparaissez de ma vue, je suis d’accord sur certains points que ce jeune homme a énumérés, ma fonction m’empêche de vous les répéter.
Je vois le pauvre con récupérer son portefeuille et en partant croyant que ses propos nous échappent, dit !
« C’est encore une gauchiste. »
• Vous avez entendu madame la commissaire !
• Vous avez entendu quelque chose, moi pas !
Vous habitez à Cannes, c’est la première fois que je vous rencontre, êtes-vous en vacances ?
• Oui, chez Pierre et Nadia, je suis un copain de Gabriel, leur fils et un petit peu de Valentine, sa sœur.
• Pierre et Nadia, eux je les connais, lors de mes jours de repos, je joue au golf avec eux et de temps en temps avec Hugo et Lauriane, mais ils sont bien meilleurs que moi.
Joues-tu toi aussi ?
Je constate le tutoiement, quel emploi, mais je reste respectueux, un coup de sang une fois déjà aurait pu me coûter cher, même si je suis fière que l’autre con soit parti avec mes cinq doigts marqués sur sa joue.
• Oui, enfin je débute, mais Nadia m’a prévenu ce matin, ils sont à Limoges, car Pierre vient de perdre sa maman qui était dans un EHPAD, ils vont rentrer dans quatre ou cinq jours.
• Tu es donc seul chez eux, demain je suis de repos, si je te proposais de faire un parcours à la fraîche avec moi !
Ça te réconforterait d’avoir dû subir ce gros connard que tu as croisé tout à l’heure.
• Si vous êtes conciliante, je veux bien, je ferais ce que je peux, Lauriane m’a donné quelques conseils.
• Sept heures devant la villa de nos amis, je l’ai déjà vue et je sais où elle se trouve.
Libertin, madame la commissaire ferait-elle partie des invités à la soirée dont Georgette m’a parlé et c’est pour cela qu’elle sait ou mes amis habitent ?
• Je dois te quitter, j’ai du travail pour mettre ces deux pickpockets en cabane, ils ont des avocats qui exploitent la moindre faille dans la procédure pour faire libérer leurs clients.
Après on dit que la police et la justice sont laxistes.
Au fait, moi, c’est Michelle, j’ai vu le nom que tu as donné à l’accueil sur la fiche qu’ils m’ont fait passer, Christian !
Elle part, dans son costume trois-pièces bleus avec des petites rayures blanches, son petit cul dans un pantalon balançant de droite à gauche.
Un Borsalino à la Belmondo et elle ressemblerait à une incorruptible que je voyais à la télé dans ma très grande jeunesse.
Golf, vestiaire, vestiaire Lauriane et baise sur le banc, je m’y vois déjà.
Comme l’on dit, l’appétit vient en mangeant.
J’ai baisé tant de femmes différentes depuis ces premières vacances de rêve, que je suis prêt à gravir le Kilimandjaro pour avoir Michelle à mon tableau de chasse.
Devant les yeux, une immense pendule, onze heures quarante, j’ai failli me retrouver en cabane à cause de ce vieux con et je vais louper ma visite à Annie pour acheter le cadeau pour l’anniversaire de Gabriel.
J’ai du mal à démarrer la Vespa, ce qui me fait perdre quelques minutes, par chance la boutique où Nadia m’a relooké est très proche.
J’arrive, Annie est devant la porte avec une jeune fille inconnue.
Une très belle rousse qui l’embrasse, qui rejoint un motard qui l’attend, moteur de la moto en marche et alors qu’il est casqué a un autre casque autour de son bras.
C’est son petit ami, sinon pourquoi ce sont leurs bouches qui se rejoignent avant qu’elle prenne le casque et me cache sa magnifique chevelure.
Elle est en mini, lorsqu’elle s’assied sur la selle, comme j’arrive de face, j’ai le temps de voir qu’il est rose.
Le jeune homme démarre et en passant la jeune femme me fait un petit signe de la main.
Je rejoins Annie, qui est en train de refermer sa porte.
• Vous m’excusez, jeune homme, je ferme jusqu’à 14 heures, revenez à cette heure !
J’enlève mon casque et je passe ma main dans mes cheveux pour les remettre en place.
Ce geste que font souvent les gravures de mode comme je les appelle qui jouent dans des pubs pour les parfums, je suis aussi bien foutu qu’eux.
Mais moi, j’ai un cerveau que je veux mettre en avant dans une école d’ingénieurs.
• Christian, vous êtes Christian, qui êtes venu avec mon amie Nadia pour refaire votre garde robe, que me vaut votre visite.
• Je venais acheter une paire de baskets tendance pour l’anniversaire de Gabriel.
Lorsque je suis venue, j’en avais vu une paire sur une étagère qui lui irait très bien, nous avons la même pointure 42, ce sera rapide.
Je suis en retard, car j’ai failli me retrouver avec les menottes un gros connard m’ayant pris pour son pickpocket.
Par chance, Michelle la commissaire a arrêté les vrais délinquants et m’a libéré.
• Vous avez fait la connaissance d’Éliot Ness, c’est comme ça qu’ici les gens la surnomment depuis qu’elle est arrivée au commissariat et à cause de la manière dont elle s’habille.
Elle avait son Borsalino, elle se promène toujours avec.
Je dois avoir des dons de divination, Béluga, Borsalino, même si la commissaire est venue sans son chapeau, elle doit l’enlever dans son commissariat.
• Entrer, je vais vous servir, lorsque je verrais Nadia, si elle sait que je vous ai fait revenir au lieu de vous satisfaire, elle risque de me le reprocher.
Je sais que sa cuisinière veut toujours être prévenu lorsqu’ils loupent un repas.
Je rentre, elle referme la porte à clef avant de me d’aller vers le rayon.
• Vous avez de la chance, je raccompagnais ma fille auprès de son fiancé, vous les avez vus lorsque vous êtes arrivé, elle a tenu la boutique pendant que j’avais rendez-vous à l’hôpital pour ma mammographie.
• Vous avez des problèmes avec vos seins, pourtant à ce que je peux en voir, ils semblent magnifiques.
• Oui, mais il y a deux ans, j’ai failli en perdre un, j’avais une petite tumeur s’avérant maligne, mais qu’ils ont soigné avec des rayons.
Nous nous serions connus dans ces moments-là, vous m’auriez vu chauve, mais je portais un bandana.
Je l’ai surmonté, maintenant tout va bien, juste une visite tous les ans pour contrôle.
Vous êtes seul, Nadia va bien !
• J’ai le regret de vous dire, si vous l’ignoré, que la maman de Pierre est décédée et qu’ils sont tous les quatre partis à son chevet et, hélas, son incinération.
• Marthe est morte, je l’ai un peu connue lorsqu’elle venait chez son fils en vacances, c'était avant le remariage de Pierre.
Mais le scandale qui les a frappés l’a obligé de retourner chez elle sans revenir.
Poser des questions, c’est risqué qu’Annie se refermer comme une huitre.
Mais elle fait partie de ces femmes aimant raconter sans qu’il soit nécessaire de la pousser.
• Charles, leur employé a dû être affecté et Georgette sa femme soulagée après que Marthe est été surprise avec Charles dans le garage faisant l’amour.
Mais j’en dis trop, ça fait partie du passé et Georgette a pardonné à son mari et par l’éloignement de Marthe tout est rentré dans l’ordre.
• C’est la maman de Pierre qui a dû s’éloigner et Charles est resté ?
• Oui, Marthe dans ces années-là avait le feu au cul et c’est elle qui l’avait attiré dans ses filets.
C’est celle-ci !
• Oui ?
Annie prend la basket et regarde la pointure, 41, elle regarde ses boîtes, ce qui me fait plonger dans son décolleté, heureusement que le cancer les a épargnés, ma main est attirée.
• Ariane a dû la vendre pendant mon absence, venez, j’en ai dans la réserve, je vais en profiter, si vous aimez, pour vous offrir un café.
Je venais d’en faire lorsque Christophe est arrivé et que j’ai raccompagné ma fille.
Je suis ce petit bout de femme, la réserve, je m’interroge...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'essaye chaque fois de satisfaire mes lecteurs dont tu es le plus grand fan...
Merci encore Chris pour cette délicieuse lecture...
Cyrille
Cyrille