COLLECTION COCU. Cocu 2 fois. (2/2) - histoire érotique

• Regarde ma chatte te plaît-elle ?

C’est après ce MMS que je me suis aperçu que j’étais cocu une première fois par ma femme que je chérissais avec mon meilleur ami.
J’ai eu le plaisir de me venger mais j’en suis resté traumatisé.

J’ai mis du temps à m’en remettre jusqu’au moment où à Londres j’ai rencontré Sarah.
Nous nous sommes croisées dans le restaurant de l’hôtel où j’étais venu passer trois jours pour me faire confectionner mes costumes que je porte dans mon travail de trader dans une société parisienne.
Elle a passé une commande à la serveuse en français ce qui m’a permis d’engager la conversation avant de s’éclipser sous prétexte d’aller voir une amie sans que j’aie eu le temps de lui demander son 06.
Eurostar j’ai eu la chance de repartir vers Paris avec elle et nous nous sommes revus et somme devenus amant jusqu’au moment où nous avons vécu ensemble.
Un premier, aujourd’hui un deuxième voyage supposant lui faire faire son métier de traductrice de conférence principalement en Arabe l’éloigne de moi, son passeport et le manque de visa me montrent qu’il lui est impossible d’aller dans les pays où elle me dit partir.

Je suis intrigué et je décide de la suivre, elle prend sa valise remplie d’objet sexuelle et dès qu’elle est en bas je la vois monter dans un taxi, je regarde à droite et à gauche, aucun moyen de la suivre.
J’attends 5 minutes et enfin un taxi s’arrête.

• À l’aéroport ?
• Lequel ?

Quel couillon à Paris il y en a deux.

• Je m’en remets à vous un vol pour Moscou.
• Si je me souviens le dernier Russe que j’ai conduit partait d’Orly, on y va.
• Bien sûr, je verrais bien.

Le parcours me paraît interminable et quand il me dépose je me demande ou je dois aller.
Bien sûr au terminal départ.
Moscou, comme de bien entendu aucun avion ne sont en partance pour cette ville.

• Attention, attention, le vol 230 pour Rome aura 30 minutes de retard.

Rome je m’en fiche quand je vois Sarah passer à quelques mètres de moi accompagné d’Anais que j’ai vu une fois.
Deux jolies femmes qui vont vers le bar en maugréant sans me voir.
Elle s’installe dans un des cafés et par chance une cloison ajourée me permet d’entendre sans être vu.

• Merde, on va louper notre rendez-vous.

Le retard annoncé est pour Rome de quel rendez-vous parlent-elles ?

• Je crois que nous devons appeler et dire que pour ce soir il est impossible d’assumer notre prestation et moi que vais-je dire à Christian si je rentre maintenant, je lui ai parlé que je partais pour Moscou et que je rentrerais dans deux jours.
• Il faut que tu prennes une chambre ici, appelle le 06…… pour demander de t mettre hors course pendant ces deux jours.
• À Rome j’avais deux rendez-vous l’un avec toi avec deux clients et demain avec un couple.
• Alors prend l’avion et assume ton deuxième rendez-vous moi je rentre chez moi une soirée de repos sera bénéfique, j’ai travaillé tous les soirs à Paris ces cinq derniers jours.
• Comme moi, je suis partie officiellement en Arabie Saoudite mais j’étais au Novotel où j’ai passé tout mon temps avec un client de ceux qui payent très bien car dans leur pays ils sont bridés.
• Je vois, il avait un turban sur la tête.
• Tout juste, je me suis éclaté et j’ai ramassé un max.
• Pourquoi t’es-tu mise en ménage et as-tu accepté sa bague, tu sais que dans notre travail c’est impossible d’avoir une liaison, s’il l’apprend cela pourrait tourner au vinaigre.
• Je veux arrêter mais je reçois des contrats juteux et tu sais comme j’aime l’argent et que je déteste dépendre d’un homme.

Une nouvelle fois malgré que j’ai fait attention je suis cocu mais pire cocu par une pute de surcrois.
Un point positif par rapport à Angélique et Benoit mon pognon est hors cause de sa tromperie mieux elle répugne à vivre à mes crochets mais cela reste tout de même une salope qui se prostitue et qui me ment.

• Les passagers pour Rome sont attendus à l’embarquement.

Sarah se lève et j’entends les baisers que les filles s’échangent.

• Bon voyage ma belle et gaffe avec ton mec, il pourrait devenir méchant s’il savait ce que tu fais.
• Je vais y réfléchir passe une bonne soirée.
• J’aurais peut-être la chance de trouver un beau gosse avant de quitter l’aéroport.

J’ai croisé Anais un jour où j’arrivais de mon travail où Sarah arrivait d’un de ses voyages lucratifs et que la jeune femme est descendue du taxi pour que ma compagne descende côté trottoir avant de remonter et repartir, je la connais mais pas elle, Sarah hors de vue, Anais se lève et par vers la sortie.
Elle est à quelques mètres de moi quand un jeune homme qui s’excuse la bouscule et qui part précipitamment.
À quelques mètres de moi il croise une jeune fille et je vois qu’elle saisit ce qu’il semble être un portefeuille.
Sachant le grand nombre de pickpockets qui sévissent dans les lieux publics je suis la jeune fille et je la coince à l’entrée des toilettes où il semble que son complice l’attende.

• Police, montez-moi ce que vous avez pris à cette jeune femme.

Elle me donne le portefeuille toujours dans sa main et réussit à m’échapper.
Bon vent, je me vois mal appeler la police qui aurait dû être là pour faire son travail.
Je sors de l’aéroport et je reprends un taxi.
Dans un premier temps je donne mon adresse.
J’ouvre le portefeuille et je trouve une carte d’identité sous le nom de Véronique… et avec comme adresse avenue de la République à Montrouge.

• Je change de direction laissez-moi au début de la rue de la République à Montrouge.

Il me dépose et je paye.
Immeuble ressent avec quatre étages, quatre noms sur l’Interphone et l’un d’eux est celui sur la carte d’identité.

• Qui me demande ?
• Véronique n’avez-vous rien perdu ?

Je sens une gêne à l’autre bout de la ligne.

• Allez regarder dans votre sac que vous aviez en bandoulière à l’aéroport d’Orly.
• Attendez.
• Mon portefeuille.
• C’est celui-là, vous avez les moyens vous le faire voler avec 4 000 € à l’intérieur.
• Je devais passer à la banque avant de partir pour l’Italie mais je suis arrivée en retard et elle était fermée.
Mais monter au dernier étage, je vous fais confiance j’ouvre rarement à un inconnu mais comme vous auriez pu garder mon argent je pense pouvoir avoir confiance.

Le clic d’ouverture me permet de monter et en sortant de l’ascenseur la seule porte est entrouverte.

• Entrez, je sortais de mon bain, je passe un peignoir, je dois reconnaître que je vous ai répondu nue.

J’entre et j’attends deux secondes quand elle arrive dans un peignoir rose s’essuyant les cheveux avec une serviette.

• Vous êtes le premier homme qui entre dans cet appartement depuis deux ans que je l’ai acheté.
Ou avez-vous trouvez mon portefeuille ?
• À Orly, vous y étiez vous veniez de quitter une joie femme qui est partie vers l’Italie il me semble car vous avec bouger à l’annonce du départ retardé.
• Oui, Sarah allait rejoindre des amis.
• Avez-vous été bousculé ?
• Oui par un jeune homme.
• C’est là qu’il vous l’a pris et qu’il l’a donné à une jeune fille et que je l’ai récupéré.
Comment avez-vous payé votre taxi car j’avais votre argent.
• Mon dernier client m’a donné 100 € de pourboire et je les avais dans ma poche.
• Votre dernier client ?

Je tente de la déstabiliser, mais elle a du répondant.

• Je suis une interprète pour des particuliers et mon dernier client m’a donné les 4 000 € pour la journée de travail que j’ai fait pour lui et il était content et m’a donné ce pourboire quand nous sommes quittés.
Je vous dois 400 € sur les 4 000, 10 % c’est ce que l’on donne quand quelqu’un retrouve votre argent ?
• Me prends-tu pour une pute ?
• Pourquoi me tutoyez-vous et me parlé tout le temps de pute ?
• Car tu en es une.
• Comment le savez-vous ?
• Car je vis avec une salope que tu connais bien car tu travailles avec elle et tu viens de la conduire pour qu’elle se fasse sauter en Italie.
• J’avoue ignoré ce que vous dites, je vous ouvre et vous m’agressez, que vous ai-je fait.
• Vous rien mais ta copine oui, je suis celui qui a demandé Sarha en mariage, je suis celui que vous cocufiez depuis des semaines sales putes.

Véronique se met à pleurer, j’ai une difficulté à garder mon sang-froid devant une femme qui pleure.
Je la prends dans mes bras pour la câliner.
Nous devenons amant et depuis ce jour je vis avec deux prostitués qui s’absentent chacune leur tour pour aller voir leurs clients,Je sais où elles vont et ce quels fonds et nous vivons heureux en couple à trois, sans la peur d’être cocu ni une fois ni deux et sûrement pas une troisième foi…