Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (5/20)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (5/20) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (5/20)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Il me faut moins d’une heure pour me préparer l’anxiété me déchirant le ventre.
Lorsque je reviens, Olga m’enferme dans la chambre, j’ai le droit d’appeler si la nature me fait sentir le besoin de m’isoler, sinon je dois rester sage.
Comment l’être, j’ai envie de hurler bien que Maître Hugo m’a fait vivre plus de choses en deux jours où tout ce que j’ai vécu depuis le début de mon mariage où ma vie était aussi plate que le plat de ma main ?

Au matin, je n’ai pas fermé l’œil de la nuit, j’ai ressassé comment Pierre avait pu organiser ma déchéance avec Hugo et sa salope d’Olga.
Comment a-t-il pu me vendre à cet homme que je ne peux arriver à haïr, car comme je viens de le dire les plaisirs qu’il m’a fait connaître en peu de temps à bouleverser ma vie !
Le matin, Olga, me guide vers la salle de bains, des vêtements sont posés sur une chaise, je me douche, elle me maquille et je m’habille.
Lorsque je me regarde dans la glace, je ne me reconnais pas, ce serait un cliché de dire que ses vêtements me donnent la silhouette d’une fille de joie.
Lorsque nous sortons, Hugo est au volant d’un véhicule 9 places, Olga me fait poser ma valise dans le coffre et monter à l’arrière.
Hugo ne m’a même pas jeté un regard.
L’atmosphère est glacée, la voiture se dirige vers le centre-ville, nous arrivons devant la gare près de 4 jeunes femmes avec leur valise elle aussi et dans des tenues aussi aguichantes que celle que je porte.

• Tu peux descendre, va rejoindre tes copines !

Pourquoi, Olga évoque mes copines, au premier regard je ne connais personne, je m’approche d’elle et au moment où je vais me présenter, une jeune femme couleur des îles me fait comprendre du regard de me taire ?
En plus de la grande femme noire avec des seins qui ne demandent qu’à exploser, une jeune fille qui doit juste avoir dix-huit ans à la tenue la plus provocante de toute, petit short ras les fesses et chemisier transparent laissant apparaître les aréoles assez foncées de ses seins.
À son côté, une petite brune qui même habillée comme nous, passe relativement inaperçue, enfin la quatrième relativement du même âge que moi à elle aussi des cheveux blonds.
Chacune porte un collier de différentes couleurs.
Si ce collier marque l’appartenance de chacune à maître Hugo, je prends la mesure que je devrais le partager avec toutes.
• Elle est encore en retard cette salope, elle va encore se pleine qu’elle ramasse.
• Je viens de voir un train arriver, j’espère qu’elle est dedans.
• Je n’en ai rien à faire, je lui ai déjà dit de prendre le train précédent, j’ai une sainte horreur d’attendre.

Une femme sort de la gare, sur le coup je ne la reconnais pas, lorsqu’elle s’approche qu’elle surprise de découvrir mon amie Noémi, elle aussi a un collier de couleur bleu clair et une tenue provocante.
Lorsqu’elle me voit, elle a un moment de stupeur, elle doit connaître les règles, car elle va mettre sa valise dans le coffre et rejoint l'habitat en se rapprochant de moi.
Un aboiement de notre chauffeur et nous embarquons.
Noémi semble avoir une autorité sur les autres, certainement depuis le temps qu’elle a passé avec nos tortionnaires, nous prenons deux places le plus au fond possible, assez loin du chauffeur, je m’aperçois que la grande noire au collier rouge n’apprécie pas l’attention que Noémi me portait.

• On sera à Gand dans deux heures, nous serons à l’heure pour l’ouverture.

Noémi semble avoir une autorité sur les autres, le temps qu’elle a passé avec nos tortionnaires doivent en être la cause, nous prenons deux places le plus au fond possible, assez loin du chauffeur, je m’aperçois que la grande noire au collier rouge n’apprécie pas l’attention que Noémi me portait.
Discrètement elle me prend la main, ce qui me procure un grand plaisir, je ne suis plus seule. Nous mangeons un sandwich et buvons un café sans un mot, l’atmosphère est glaciale loin des moments d’emportement que j’ai eu avec Hugo au bord de ma piscine.
Notre chauffeur paye et nous repartons.
À 13 heures, nous nous garons devant un bâtiment où il est marqué sur la porte « club privé », dès que je rentre une grande roue avec quatre bracelets, est placé au centre de la pièce !

• Noémi, tu prends Léa avec toi, fais-lui connaître le club !
Les autres, vous regagnez les chambres deux par deux comme d’habitude.

Je dois être la seule nouvelle, car toutes partent vers l’escalier, la grande noire, prends-la petite jeune par la main et monte.
Nous les suivons et au dernier étage, Noémi me fait entrer dans une pièce sans fenêtre avec un grand lit, une petite table, deux chaises et une petite salle de bains avec baignoire.

• Nous avons peu de temps Léa, comment t’es-tu retrouvé là ?

Rapidement je lui raconte mon aventure et l’amour que je porte à Hugo, je lui explique le dilemme que j’ai eu lorsque j’ai hésité à couper le collier et à revenir à ma situation précédente.

• Détrompe-toi, si tu l’avais fait, tu te serais trouvé dans la même situation qu’Annabelle la grande fille noire, elle l’a coupé après avoir regardé les CD, ils ont enlevé son enfant qui avait un an et tant qu’elle n’a pas accepté d’en remettre un, elle ne l’a pas vu.
Pour la punir, ils ont même attendu qu’elle est travaillée trois mois pour lui rendre.
• Même s’il m’a vendu à maître Hugo, Pierre m’aurait protégé.
• Maître Hugo, maquereau Hugo, souteneur Hugo, tu veux dire, je parie qu’il t’a tellement subjugué que tu mouilles à attendre qu’il te refasse l’amour.
Il est tellement doué pour nous prendre dans ses filets que nous l’aimons toujours même s’il nous rejette, seule sa pute d’Olga a le droit à ses faveurs, une fois qu’il nous a ferré, sexuellement nous n’existons plus.
• Où sont tes deux enfants ?
• Chez mes beaux-parents à Sète !
• Pourquoi, sont-ils là-bas ?
• Ma fille de huit ans a un problème de santé et doit vivre au soleil.
• Je suis sûr que c’est le docteur Dominique Dupont qui a un cabinet à Paris qui a identifié le problème et qui vous a suggéré cette solution, ce n’est pas un médecin mais un membre de leur réseau.
Ta fille n’a certainement rien, il voulait simplement te l’enlever pour t’asservir au moment propice, pour eux, le temps est venu.
• Pourquoi Pierre aurait-il fait cela ?
• Ton Pierre est le chef du réseau de proxénètes entre Valenciennes et le nord de l’Europe.
• Comment sais-tu tout cela ?
• Même s’ils font attention un mot lâché de si de là nous ont permis de recroiser certains faits, cette chambre est sûre, on peut parler, je t’expliquerais cela ce soir. Il faut descendre travailler.
• Quel travail ?
• Tu n’as pas compris, ici le bordel ouvre à 14 heures jusqu’à 1 heure du matin, tu vas être obligé de monter dans les chambres avec les clients qui payeront pour t’avoir et pour que tu les satisfasses.
• Pierre a fait de moi une pute.
• Oui, comme moi depuis qu’ils m’ont piégé, il y a bientôt deux ans.
Dans 10 minutes, il faut que nous soyons dans la salle, déshabillons-toi pour passer la tenue de l’établissement.

Elle sort d’une armoire deux tenue une pour elle, une pour moi.

• Ils ont tout prévu, ils t’ont déjà fait apporter ta tenue à tes mesures.

Je me change, pas de slip, short ras les fesses, gilet fermé par un bouton et chaussure avec talons de plusieurs centimètres.
Je suis tellement subjugué par ce qui m’arrive, je la suis mécaniquement.
Nous nous arrêtons au premier, la chambre où nous entrons n'est constituée que d’un lit et une chaise.

• Tu vois ce bouton à la tête du lit, il sert pour appeler si tu as un problème avec un client.
Ici, tu as la lampe qui s’allumera lorsque la patronne qui tient les temps des passes jugera qu’il faut que vous redescendiez en fonction de ce que le gars a payé.
Derrière ce paravent, tu as un lavabo, il faudra impérativement laver le sexe du gars avec le produit dans ce flacon qui le désinfectera.

Nous quittons la chambre, dans la salle, Hugo et Olga sont là avec une dame assez âgée.

• Madame Claude, je vous présente Léa, notre nouvelle conquête.
Je l’ai assoupli comme vous les aimées, elle ne devrait pas nous décevoir.
• C’est l’ex-femme de Pierre.
• Oui, Pierre en avait assez de l’entretenir depuis des années, à part les deux gosses qu’il lui a faits, dont son fils, elle n’a même pas eu la reconnaissance du ventre, elle refusait tout plaisir à son homme avant que je la façonne, pas vrai ma belle !

En disant ces mots, il me claque les fesses, malgré la confirmation de la face cachée de Pierre, cette main même si elle me faut mal, me bouscule le bas-ventre.

• Avez-vous vu Pierre depuis longtemps ?
• Il était là avec sa nouvelle copine, la semaine dernière, vu comme elle est faîte et avec son cerveau d’oie blanche, tel que je le connais, elle ne va pas tarder à tapiner ici.
Léa, tu as de la chance de lui avoir donné deux enfants, ça t’a protégé un temps.



Le salopard la semaine dernière, il m’a dit partir trois jours à Paris pour son boulot, je lui ai même préparé sa valise allant même jusqu’à sa voiture pour lui souhaiter bonne route.
Le détachement qu’ils ont à parler de toute cette période devant moi montre le dédain qu’il me porte et où je suis tombée, ils sont sûrs de leurs systèmes et de leurs impunités.

• Noémi met toi en tenue, à cause de ton retard, je t’envoie sur la roue ce soir.
Léa, j’espère que l’on t’a informée qu’une pute n’embrasse jamais, ta bouche a été créée pour sucer les bites des clients qui payent.
Tu vois Léa, la roue qui est là, en plus des putes que Madame Claude présente aux clients est l’emblème du club, à l’ouverture, les clients choisissent celles qu’ils souhaitent voir attaché jusqu’à la fermeture.
Ils choisissent sauf comme aujourd’hui si j’ai puni une fille…

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