COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (2/16)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (2/16) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (2/16)
Dans le chaos qui semble régner à Paris, le peuple semblant s’en prendre à la royauté, dans un premier temps et à la bourgeoisie dans un second temps, même dans notre château sur la route de la Vendée, des bribes de ce qui se passe nous arrive.

Mes parents m’ont appelé Blanche, je suis la fille du Comte et de la Comtesse de Forchambeau, je viens d’avoir vingt ans, je suis persuadé que tous ces bruits sont infondés et que rapidement nous allons retrouver notre vie pleine de quiétude et d’oisiveté.

Je suis promise à Justin fils du Duc de Bellegarde propriétaire du domaine voisin, connaissant mon père, avide d’agrandir notre domaine, je pense que cette union va servir ses plans.
Je vous ai dit être une oie blanche, comme mon nom, mais je vais apprendre très vite quand ayant appris que père et mère faisaient chambre à part, après qu’il l’eut trompé dans ce que l'on dit être le bordel de la ville voisine, je découvre que mère est l’amante du Duc.
C’est en faisant reposer Tyran, après une course folle, que le bruit du couple venant s’isoler aux abords de notre forêt me parvient et que mon éducation sexuelle va faire un bond gigantesque en avant.
Le Duc vient de faire jouir mère et dans un deuxième temps sort sa verge bien dressée et la fourre dans la bouche de mère.

• Avale tout, même mon sperme, mes couilles sont pleines de t’avoir attendu et après, je te remplirais la chatte, soit en sûr.

Que vient faire « ma chatte Minette » dans cette affaire, pourquoi veut-il la remplir, veut-il faire comme les enfants d’une ferme, un jour où nous étions allés voir une femme malade avec mes parents, qui avait attrapé un chaton et qui essayait de lui remplir le ventre de lait avec une bouteille pleine déjà vidée à moitié ?
Il a reculé son sexe et j’ai nettement vu de long trait liquide venir dans la bouche de mère qui lorsqu’il a eu terminé à récupérer une giclée partant jusque dans son œil.

• Vous avez toujours aussi bon goût mon ami, vous devriez vous masturber tous les jours dans une boîte quand il nous est impossible de nous voir et je dégusterais votre sperme en m’en tapissant l’intérieur de mon vagin à notre rencontre suivante.

Cela va trop vite pour moi que de mot que mon professeur a oublié de m’apprendre la définition, au retour au château, je vais lui poser des questions bien que souvent, ses cours se terminent vite, car il s’endort sur ses livres.

Les deux amants s’asseyent sagement côte à côte et rapidement leurs propos m’interpellent.

• Vous croyez que Justin sera à la hauteur avec ma fille le soir de leur noce, l’avez-vous bien préparé pour qu’il soit un amant aussi bon que vous l’êtes pour moi mon ami ?
J’ai trop souffert des carences du Comte dans ce domaine avant de vous rencontrer, un soir où vous nous avez invités après que nos regards se furent croisés, vous dans la cour d’un de vos fermages moi en face dans l’un des nôtres.
• Comment avoir oublié la pipe que tu m’as faite dans votre salle à manger à deux pas de ton mari qui s’était endormi après avoir repris du dessert deux fois et Blanche qui était couchée ayant la migraine certainement après ses premières règles ?
• C’est la première fois que je buvais du sperme, votre sperme, divin nectar aussi doux que le miel que nos abeilles fabriquent, depuis j’en raffole.
• Du miel ou de mon sperme.
• Les deux, mon bel amant.
• Tu me parles de Justin et tu me dis que tu voudrais qu’il soit aussi bon amant que moi, veux-tu que j'invite Blanche en l’absence de mon fils quand il est en ville pour ses études et que je la dépucelle, tu seras sûr que cela sera bien fait, je te le promets.
• Si vous l’a touché, je vous coupe les couilles même si après je serais frustré et que je devrais retourner à ma simple masturbation comme je le faisais avant de vous connaître et que je me refuse à mon époux, car j’ai trop peur d’attraper la chtouille depuis que j’ai su qu’il me trompait au bordel.

Tout va trop vite pour moi, mon cerveau enregistre toutes ces informations sur ce que semble être la vraie vie, comparée à la belle histoire que l’on me raconte depuis ma plus tendre enfance.
Le Duc, mon amant, c’est drôle, je me verrais plus facilement faire ce que mère vient de faire avec lui que de le faire avec Justin ce jeune garçon tout boutonneux.

• Recommence à me pomper, je vais te sauter, je t’ai promis d’éclater ta chatte.

Chatte, j’évolue, dans la bouche de mère avant de lui enfoncer, car il semble que le mot « chatte » à une autre signification que celle parlant de Minette, quoique, minette un mot encore ambigu.
Il bande, mère s’allonge sur le banc, relève jupes et jupons par-dessus tête lui cachant le visage, avance cette dague vers le sexe de mère, pour la première fois, je vois la fente d’où je suis sorti, car dans l’éducation qu’il m’a été donné, il y avait un dessin d’un bébé dans le ventre de sa maman la tête en bas.
La seule chose que mon prof m’a expliquée succinctement comme à son habitude, c’est que les enfants sortent du ventre de leur maman sans me dire comment ils étaient arrivés là, je m’étais fait la réflexion qu’être bébé devait être difficile vivant la tête en bas, mais là encore aucune question à qui que ce soit.
C’est des propos sourds que j’entends sortant des jupes de mères.

• Plantez-la !

Planter une femme, il va falloir que je tienne une liste des rapports entre les hommes et les femmes, en entrant, je vais écrire.

- Planter : faire entrer sa verge bandée dans la chatte ou la minette de son amante.

La liste risque d’être longue, il faut un début à tous.

Le duc fait aller son sexe de plus en plus vite et mère hurle de plus en plus fort, heureusement qu’elle a ses jupons sur sa tête, père pourrait l’entendre ou croire qu’en plein jour, c’est le cerf qui brame qu’il entend.

• Ma salope, quel con, ton Duc d’aller au bordel, alors qu’il a une belle pouliche comme toi,

Après ces mots, dont salope que je devrais approfondir, un moment, j’ai peur qu’il ne lui fasse mal, mais quand elle lui prend les fesses pour le planter plus fort en elle, je comprends que quelque chose se passe que j’ai du mal à comprendre, mais que je suis toute prête à découvrir.

Le Duc fait des mouvements entrants et sortant du ventre maternel pendant un long moment et mère crie de plus en plus fort, quand lui aussi cri se redressant comme si la foudre l’avait frappé, il sort de sa chatte, avance jusqu’au visage de mère qu’il dégage se redressant, entrant la bouche ouverte, il éjacule.
Je vois très nettement des traits de spermes entrés dans sa gorge, même l’un d’eux la maculer du dessus de sa bouche jusque dans son œil, sans se démonter avec son doigt elle récupère tout et remet le tout en bouche ayant déjà dégluti la première rasade de sa boisson favorite.

La tension semble retomber, l’amant redresse son amante, il se réajuste, le Duc prend les mains de mère dans les siennes, elle garde son sexe dans sa main, ils se regardent les yeux débordant d’amour.
Un prochain jour, regarderais-je avec de tels yeux, Justin, j’en doute, je pense que je vais me contenter de respecter la tradition familiale qui veut qu’une fille soit au service de son mari, bien que mère me prouve qu’il peut-il y avoir de petits travers pleins de plaisir.

• Comtesse, quand allez-vous réaliser mon rêve secret ?
• Je vois bien de quoi vous voulez parler mon ami, mais que se passerait-il si nous étions découverts, ce serait l’infamie pour moi.
• Pourtant simplement à l’évocation de vous baiser dans votre lit entièrement nu à deux pas de votre époux, ma trique revient.

Ça recommence, je décroche sur un mot sur deux, la chose que je comprends, c’est qu’il est possible de faire nu ce qu’ils viennent de faire sur ce banc étant habillés.
Grande découverte, je prends un bain chaque semaine depuis ma plus tendre enfance dans le baquet dans la cuisine, ou nos serviteurs ont fait chauffer et placer de l’eau.
J’arrive avec comme seule présence ma servante Adèle, tous étant sortis et avec une grande chemise en tissu blanc me cachant entièrement.

• Je ne vous ai pas tout dit Albert, je vous ai dit que certains soirs, je me caressais depuis que je me refuse au Comte, j’ai une amie qui vient me rejoindre la nuit après qu’elle eut fini son service auprès de ma fille.
• Mais c’est très bien, tu te gouines avec votre servante, il est vrai qu’elle a un joli petit cul.
• Je te vois venir, après la mère qui adore que tu la baises, la fille que tu voudrais dépuceler et maintenant la servante dans des jeux à trois, tu es insatiable, pourquoi n’irais-tu pas enculer le Comte pendant que tu y es, je peux récupérer Minette la chatte de ma fille, tu trouverais bien le moyen d’en faire quelque chose.

Trop vite, tout va trop vite, j’aurais du mal à tout apprendre, bien que je sois aussi intelligente que mère, elle semble avoir assimilé tout ce que le mot vivre veut dire.

• Calme-toi, ma mie, tu aimes quand elle te suce ta minette.

C’est reparti vivement que je comprends ce que minette veut dire, sinon, je vais mourir idiote, même si je ne suis pas pressée.

• Je mets tous au point avec Adèle, c’est elle qui te fera monter, si vous êtes pris, que tu ailles baiser notre servante dans sa chambre passera plus naturellement que la maîtresse de maison, il faudra faire attention à ma fille.
• Tu ne m’as pas répondu, tu aimes quand elle te suce le clito ?
• J’adore, mais je dois t’avouer une autre chose, Adèle passe par les cuisines et récupère des carottes, des poireaux et des cucurbitacées assez longues, tu vois pourquoi ?
• Inutile de me faire un dessin, je vois très bien l’utilité que vous pourrez en tirer, si je viens, ma queue va vous satisfaire, inutile de monter la soupe dans la chambre…

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Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (2/16)
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