COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (24/25)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (24/25)
Le retour de Nadia, me permet de retrouver ses formes parfaites, jusqu’à son sexe venant s’emboiter dans sa chatte qui restera pour moi un moment privilégié de ces vacances de rêve ?
Est-ce la première fois que cette libertine se permet de branler son beau-fils comme elle le fait lorsque je vois le sperme de Gabriel remonter à la surface de leur piscine.
Ce qui me plait dans ce moment, c’est de voir l’évolution de Gabriel, même s’il semble avoir éjaculé précocement.
L’idée insensée de diriger nos jeux surtout que je sais Valentine dans les parages me traverse l’esprit.
Si je veux avoir encore des rapports avec Nadia, il faut que je saisisse toutes les occasions.
Le décès et la crémation de Marthe sa belle-mère ayant légèrement modifié l’atmosphère de ces vacances.
• Nadia assied toi près de moi ta chatte hors de l’eau.
C’est bien comme ça.
Gabriel vient bouffer la chatte de ta belle-mère, je sens qu’elle en meure d’envie.
• Tu as raison Christian, depuis que nous avons quitté la villa pour rejoindre cette salope de Marthe ayant failli faire exploser la famille, j’ai bouffé la chatte d'Odile, mais sans de mon côté prendre mon plaisir.
Gabriel m’a suivi lorsque nous avons réussi à rejoindre Lauriane chez elle.
Ici dans la villa de son père qui sera un jour à sa sœur et à lui, mais je l’espère le plus tard possible Pierre étant un homme charmant.
Il se penche et je vois sa langue pénétrer le vagin de Nadia.
Que ce soit un autre qui lui fasse ce cunnilingus, me fait mal, mais je continue à bander, sa chatte est si belle et à notre portée si nous savons nous en occuper.
Je vois l’emprise que je prends auprès d’eux lorsque Nadia tourne sa tête et me donner ses lèvres.
Gabriel s’occupe de ses lèvres vaginales, moi des lèvres de sa bouche.
Ma main lui prend le sein droit, je sens que mon copain, relève la sienne et attrape le gauche.
Sur ma langue, je sens la jouissance monter en elle, je vois que nous avons atteint le paroxysme de son plaisir lorsqu’elle se met à appuyer sur la tête de Gabriel afin que sa langue arrive au plus loin dans son intimité.
Nos bouches se séparent, l’appel comme un appel de détresse me va pleinement au plus profond de moi.
• Baise-moi Christian, j’aime le père de Gabriel, mais j’aime le sexe d’autres hommes en son absence.
• Nadia, c’est moi qui suis maître de nos jeux et de ton corps, c’est Gabriel qui va te baiser, il va allègrement remplacer son père en son absence.
Diriger nos jeux au prix d’un renoncement je sais maintenant ce qu’Hugo ressent lorsque sa femme se fait sauter par d’autres.
Je la fais se retourner et c’est moi qui prends la verge de mon copain pour la fourrer dans la chatte accueillante de celle qui prend de plus en plus de place dans ma vie.
Je me redresse et je la fourre par la bouche, je veux qu’elle soit notre chienne et je réussis assez bien lorsque ses râles de plaisir nous parviennent malgré que ces trous soient parfaitement hermétiquement clos par nos deux bites tendues au maxi de ce que nous pouvons.
Gabriel décharge dans le vagin de sa belle-mère en même temps que je me déverse au front de la gorge de celle que nous venons de soumettre à notre volonté.
C’est de concert, tous les trois, que nous finissons de calmer les ardeurs qui viennent de nous traverser en faisant quelques longueurs de brasse avant de voir notre naïade sortir de l’eau magnifique dans sa nudité.
C’est à ce moment que je vois Victor, hors de la cuisine qui nous regarde habillés d’un short de Charles, je l’ai déjà vu avec et il lui est trop grand.
• Sexe.
J’ai bien entendu, celui qui est muet depuis à ce que m’a dit Valentine ils l’ont récupérée viennent de prononcer un mot, mais quel mot.
Nul doute qu’il nous a vu lors de nos ébats sexuels puis aquatiques.
Ce mot « sexe », ça j’en suis sûr, il l’a bien prononcé.
Quel âge avais-je lorsque mon cerveau s’est ouvert à la sexualité, onze, douze ans, lorsqu’un soir je suis allé aux toilettes et que dans le salon j’ai entendu du bruit anormal dans notre maison.
Voir sa mère se faire prendre, même par son ère, le cul se frottant sur sa figure avant qu’il remonte de ces abysses sans fond et de la planter, alors qu’elle est à quatre pattes sur la moquette.
Ça marque un homme, je devrais dire, un ado et à partir de ce jour, je les ai pistés.
Dans les deux années suivantes, j’ai appris par des copains, que le premier samedi du mois, il y avait un film porno sur Canal+.
Comme je l’ai déjà dit, nous avions un budget resserré, mais papa faisait quelques heures supplémentaires pour s’abonner à Canal.
Si vous l’écoutiez en parler lorsque nous recevions des copains à eux, c’était exclusivement pour les matchs de foot du PSG à l’extérieur.
Mais bien sûr dans cet abonnement il y avait le sexe, avec le porno du premier samedi soir du mois et ils s’en payaient une tranche, baisant comme dans ces films.
Quel âge est dit que j’avais, une douzaine d’années.
Quel âge Georgette ou Valentine m’a dit, une douzaine comme moi.
Ou Pierre a-t-il retrouvé le fils de Marthe et de Charles, dans un foyer pour personnes atteintes de sa trisomie, a-t-il déjà été confronté au sexe dans ce milieu, c’est impossible de lui poser la question.
• Victor, vient me voir, veux-tu te baigner ?
Je trouve l’approche par la piscine propice à voir ce dont Victor est capable.
Hélas, j’ai laissé mon maillot jaune de mon arrivée dans la corbeille de la boutique d’Annie.
Ça semble lunaire, alors que nous sommes seuls sur cette terrasse, Nadia et Gabriel m’ayant quitté pour aller récupérer du voyage et de nos ébats.
Victor se dénude, me montrant, malgré son jeune âge, l’avance sur sa puberté.
Je l’aide à descendre dans l’eau, il tombe et risque la noyade.
J’arrive à le récupérer avant qu’il boive trop d’eaux javélisées.
• Toi copain !
« Sexe », « toi copain », Victor semble enclin à parler avec moi dès que je suis avec lui.
J’ai déjà, Valentine en main pour des cours de math, les ayant repris dès que tous se sont réveillés après leur long voyage depuis le centre de la France.
J’ai commencé à apprendre à Victor à nager, c’est vrai qu’il parle peu, mais il est attentif mes conseils.
Je décide de me rendre en ville, Georgette étant venue le récupérer pour acheter des livres d’enfants et essayer de lui apprendre des mots, moi qui suis « copain ».
J’évite le commissariat, la boutique d’Annie, tout de même je vois le yacht d’Élodie de retour au vieux port, mais je trouve la librairie que j’ai vu l’autre jour.
Je pose la Vespa et je vais pour entrer, un Bibendum femme me précède, je la laisse passer.
Je manque de respect à cette jeune femme, mais j’ai rarement vu une femme avec de telles rondeurs, elle se retourne.
• Christian, c’est toi, je vois que je te suis inconnue à ton air !
• Mademoiselle, je dois reconnaitre que c’est la première fois que je vous vois.
• Françoise, le mannequin pour les cours de sécurité routière.
Merde, Françoise, celle dont je parlais un peu plus tôt dans mes écrits, Françoise ayant doublé de volume depuis que des déménageurs me l’avaient enlevé.
• Je sais, j’ai changé, deux grossesses depuis mes seize ans où Alain m’a épousé.
Deux grossesses et des prises de kilos mes glandes s’étant déréglé.
Tu es à Cannes, je viens de te voir garer ton Scooter !
• Oui, en famille chez des amis, je les accompagne pour donner des cours à leur fille en retard pour les math et son bac l’an prochain.
• Si moi, j’ai plus que changé, tu es resté le même en plus beau, tu t’épanouis, que viens-tu chercher dans cette librairie ?
• Merci du compliment, tu sembles connaitre cette librairie, voilà pourquoi je suis là.
Le monde est petit, mais beaucoup de surprises, retrouver Françoise à l’autre bout de la France, avec un physique bien différent de celui qu’elle avait lorsque ses parents sont venus à Aix-en Provence pour le travail de son papa.
Le principal, c’est qu’elle est trouvée le bonheur avec son mari, comment l’a-t-elle appelé, à oui Alain.
Corps déformé par les grossesses et visage même un peu bouffi avec le même regard m’ayant séduit au collège.
Je lui explique pourquoi je visite cette librairie et la récupération de Victor, demi-frère du père de mon ami Gabriel.
• Tu as de la chance, je travaille dans le secteur de ces personnes différentes ; mais tellement attachante.
Je vais te faire choisir de petits ouvrages, mais dis à tes amis de me contacter, je pourrais certainement les aider.
Madame, auriez-vous un stylo et du papier que je donne mon adresse à mon ami ?
Françoise, me donne des livres et son adresse avec son 06, avant que je la quitte et que je paye ces petits livres avec des mots simples.
• Ce fait-on la bise ?
Je la prends dans mes bras, je vois son regard se dérober légèrement, aurait-elle toujours le béguin pour moi ?
J’aime à le penser, bien que ses bourrelets soient moins attractifs que la jeune adolescente que j’ai connue.
Je m’en veux, mais j’oublie vite, elle m’a dit avoir trouvé le bonheur avec Alain son mari.
Depuis Lauriane et Hugo, Pierre et Nadia, Éliot Ness, j’ai appris lors de ce voyage qu’il faut de tout pour faire un monde.
Je repasse vers le port, je vois Éloise sur le pont arrière de son yacht, ils doivent encore dormir à la villa, je m’arrête et je vais rejoindre mon amie...
Est-ce la première fois que cette libertine se permet de branler son beau-fils comme elle le fait lorsque je vois le sperme de Gabriel remonter à la surface de leur piscine.
Ce qui me plait dans ce moment, c’est de voir l’évolution de Gabriel, même s’il semble avoir éjaculé précocement.
L’idée insensée de diriger nos jeux surtout que je sais Valentine dans les parages me traverse l’esprit.
Si je veux avoir encore des rapports avec Nadia, il faut que je saisisse toutes les occasions.
Le décès et la crémation de Marthe sa belle-mère ayant légèrement modifié l’atmosphère de ces vacances.
• Nadia assied toi près de moi ta chatte hors de l’eau.
C’est bien comme ça.
Gabriel vient bouffer la chatte de ta belle-mère, je sens qu’elle en meure d’envie.
• Tu as raison Christian, depuis que nous avons quitté la villa pour rejoindre cette salope de Marthe ayant failli faire exploser la famille, j’ai bouffé la chatte d'Odile, mais sans de mon côté prendre mon plaisir.
Gabriel m’a suivi lorsque nous avons réussi à rejoindre Lauriane chez elle.
Ici dans la villa de son père qui sera un jour à sa sœur et à lui, mais je l’espère le plus tard possible Pierre étant un homme charmant.
Il se penche et je vois sa langue pénétrer le vagin de Nadia.
Que ce soit un autre qui lui fasse ce cunnilingus, me fait mal, mais je continue à bander, sa chatte est si belle et à notre portée si nous savons nous en occuper.
Je vois l’emprise que je prends auprès d’eux lorsque Nadia tourne sa tête et me donner ses lèvres.
Gabriel s’occupe de ses lèvres vaginales, moi des lèvres de sa bouche.
Ma main lui prend le sein droit, je sens que mon copain, relève la sienne et attrape le gauche.
Sur ma langue, je sens la jouissance monter en elle, je vois que nous avons atteint le paroxysme de son plaisir lorsqu’elle se met à appuyer sur la tête de Gabriel afin que sa langue arrive au plus loin dans son intimité.
Nos bouches se séparent, l’appel comme un appel de détresse me va pleinement au plus profond de moi.
• Baise-moi Christian, j’aime le père de Gabriel, mais j’aime le sexe d’autres hommes en son absence.
• Nadia, c’est moi qui suis maître de nos jeux et de ton corps, c’est Gabriel qui va te baiser, il va allègrement remplacer son père en son absence.
Diriger nos jeux au prix d’un renoncement je sais maintenant ce qu’Hugo ressent lorsque sa femme se fait sauter par d’autres.
Je la fais se retourner et c’est moi qui prends la verge de mon copain pour la fourrer dans la chatte accueillante de celle qui prend de plus en plus de place dans ma vie.
Je me redresse et je la fourre par la bouche, je veux qu’elle soit notre chienne et je réussis assez bien lorsque ses râles de plaisir nous parviennent malgré que ces trous soient parfaitement hermétiquement clos par nos deux bites tendues au maxi de ce que nous pouvons.
Gabriel décharge dans le vagin de sa belle-mère en même temps que je me déverse au front de la gorge de celle que nous venons de soumettre à notre volonté.
C’est de concert, tous les trois, que nous finissons de calmer les ardeurs qui viennent de nous traverser en faisant quelques longueurs de brasse avant de voir notre naïade sortir de l’eau magnifique dans sa nudité.
C’est à ce moment que je vois Victor, hors de la cuisine qui nous regarde habillés d’un short de Charles, je l’ai déjà vu avec et il lui est trop grand.
• Sexe.
J’ai bien entendu, celui qui est muet depuis à ce que m’a dit Valentine ils l’ont récupérée viennent de prononcer un mot, mais quel mot.
Nul doute qu’il nous a vu lors de nos ébats sexuels puis aquatiques.
Ce mot « sexe », ça j’en suis sûr, il l’a bien prononcé.
Quel âge avais-je lorsque mon cerveau s’est ouvert à la sexualité, onze, douze ans, lorsqu’un soir je suis allé aux toilettes et que dans le salon j’ai entendu du bruit anormal dans notre maison.
Voir sa mère se faire prendre, même par son ère, le cul se frottant sur sa figure avant qu’il remonte de ces abysses sans fond et de la planter, alors qu’elle est à quatre pattes sur la moquette.
Ça marque un homme, je devrais dire, un ado et à partir de ce jour, je les ai pistés.
Dans les deux années suivantes, j’ai appris par des copains, que le premier samedi du mois, il y avait un film porno sur Canal+.
Comme je l’ai déjà dit, nous avions un budget resserré, mais papa faisait quelques heures supplémentaires pour s’abonner à Canal.
Si vous l’écoutiez en parler lorsque nous recevions des copains à eux, c’était exclusivement pour les matchs de foot du PSG à l’extérieur.
Mais bien sûr dans cet abonnement il y avait le sexe, avec le porno du premier samedi soir du mois et ils s’en payaient une tranche, baisant comme dans ces films.
Quel âge est dit que j’avais, une douzaine d’années.
Quel âge Georgette ou Valentine m’a dit, une douzaine comme moi.
Ou Pierre a-t-il retrouvé le fils de Marthe et de Charles, dans un foyer pour personnes atteintes de sa trisomie, a-t-il déjà été confronté au sexe dans ce milieu, c’est impossible de lui poser la question.
• Victor, vient me voir, veux-tu te baigner ?
Je trouve l’approche par la piscine propice à voir ce dont Victor est capable.
Hélas, j’ai laissé mon maillot jaune de mon arrivée dans la corbeille de la boutique d’Annie.
Ça semble lunaire, alors que nous sommes seuls sur cette terrasse, Nadia et Gabriel m’ayant quitté pour aller récupérer du voyage et de nos ébats.
Victor se dénude, me montrant, malgré son jeune âge, l’avance sur sa puberté.
Je l’aide à descendre dans l’eau, il tombe et risque la noyade.
J’arrive à le récupérer avant qu’il boive trop d’eaux javélisées.
• Toi copain !
« Sexe », « toi copain », Victor semble enclin à parler avec moi dès que je suis avec lui.
J’ai déjà, Valentine en main pour des cours de math, les ayant repris dès que tous se sont réveillés après leur long voyage depuis le centre de la France.
J’ai commencé à apprendre à Victor à nager, c’est vrai qu’il parle peu, mais il est attentif mes conseils.
Je décide de me rendre en ville, Georgette étant venue le récupérer pour acheter des livres d’enfants et essayer de lui apprendre des mots, moi qui suis « copain ».
J’évite le commissariat, la boutique d’Annie, tout de même je vois le yacht d’Élodie de retour au vieux port, mais je trouve la librairie que j’ai vu l’autre jour.
Je pose la Vespa et je vais pour entrer, un Bibendum femme me précède, je la laisse passer.
Je manque de respect à cette jeune femme, mais j’ai rarement vu une femme avec de telles rondeurs, elle se retourne.
• Christian, c’est toi, je vois que je te suis inconnue à ton air !
• Mademoiselle, je dois reconnaitre que c’est la première fois que je vous vois.
• Françoise, le mannequin pour les cours de sécurité routière.
Merde, Françoise, celle dont je parlais un peu plus tôt dans mes écrits, Françoise ayant doublé de volume depuis que des déménageurs me l’avaient enlevé.
• Je sais, j’ai changé, deux grossesses depuis mes seize ans où Alain m’a épousé.
Deux grossesses et des prises de kilos mes glandes s’étant déréglé.
Tu es à Cannes, je viens de te voir garer ton Scooter !
• Oui, en famille chez des amis, je les accompagne pour donner des cours à leur fille en retard pour les math et son bac l’an prochain.
• Si moi, j’ai plus que changé, tu es resté le même en plus beau, tu t’épanouis, que viens-tu chercher dans cette librairie ?
• Merci du compliment, tu sembles connaitre cette librairie, voilà pourquoi je suis là.
Le monde est petit, mais beaucoup de surprises, retrouver Françoise à l’autre bout de la France, avec un physique bien différent de celui qu’elle avait lorsque ses parents sont venus à Aix-en Provence pour le travail de son papa.
Le principal, c’est qu’elle est trouvée le bonheur avec son mari, comment l’a-t-elle appelé, à oui Alain.
Corps déformé par les grossesses et visage même un peu bouffi avec le même regard m’ayant séduit au collège.
Je lui explique pourquoi je visite cette librairie et la récupération de Victor, demi-frère du père de mon ami Gabriel.
• Tu as de la chance, je travaille dans le secteur de ces personnes différentes ; mais tellement attachante.
Je vais te faire choisir de petits ouvrages, mais dis à tes amis de me contacter, je pourrais certainement les aider.
Madame, auriez-vous un stylo et du papier que je donne mon adresse à mon ami ?
Françoise, me donne des livres et son adresse avec son 06, avant que je la quitte et que je paye ces petits livres avec des mots simples.
• Ce fait-on la bise ?
Je la prends dans mes bras, je vois son regard se dérober légèrement, aurait-elle toujours le béguin pour moi ?
J’aime à le penser, bien que ses bourrelets soient moins attractifs que la jeune adolescente que j’ai connue.
Je m’en veux, mais j’oublie vite, elle m’a dit avoir trouvé le bonheur avec Alain son mari.
Depuis Lauriane et Hugo, Pierre et Nadia, Éliot Ness, j’ai appris lors de ce voyage qu’il faut de tout pour faire un monde.
Je repasse vers le port, je vois Éloise sur le pont arrière de son yacht, ils doivent encore dormir à la villa, je m’arrête et je vais rejoindre mon amie...
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Comme j'adore suivre tes écrits mon cher Chris...
Les vacances de Christian me plaisent beaucoup...
Cyrille
Les vacances de Christian me plaisent beaucoup...
Cyrille