La prisionnière 2
Récit érotique écrit par Lancer [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2008 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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La prisionnière 2
<p>Il est dix huit heure trente, quand on sonne à la porte de Claire. Elle sort juste de la douche.
C'est en peignoir qu'elle va ouvrir.
-Vous, quelle surprise, dit Claire, vous êtes libre depuis quand?
-Depuis ce matin,répond Lise. Comme vous m'aviez dit....
- Entrez, poursuit Claire. Vous n'avez pas eu d'ennui suite à vôtre affaire?
-Non,çà c'est bien passé.
-Très bien, débarrassez vous. Une douche vous fera le plus grand bien. Il y a un autre
peignoir, mettez vous à l'aise.Je vais préparer un bon repas.
Lise revient vêtue d'un peignoir blanc, qui tranche avec sa peau noire. Elle est magnifique.
-Oh là, mais vous êtes superbe, remarque Claire. On dirai pas la même femme
-Merci, répond Lise, vous voulez un coup de main?
-Pas maintenant, ironise Claire.
Lise comprend que la soirée ne devrait pas être désagréable.
Après avoir pris un verre de vin en apéritif, , les deux femmes passent à table.
-Vous me raconterai vôtre vie en prison, après? demande Claire. Enfin, si çà vous gêne
pas.
-Mais pas du tout, répond Lise.
Le repas terminé, elles passent au salon pour prendre le café. Elles sont côte à côte
sur le canapé.
Lise commence sont récit.
-En fait, j'ai été incarcéré pour un méfait que je n'avais pas commis.C'est pour çà qu'il
m'ont gardée que six mois. Mais qu'est-ce-que j'en ai bavé.. Au début, tout les après midi,
il y avait un groupe de quatre filles, qui m'emmenaient à la douche. Elles me mettaient
toute nue, et jouaient avec moi. Au début, j'essayais de me défendre. Après, j'acceptais.
Elles me doigtaient pendant une heure, pinçant mon clitoris. Je jouissais deux, trois fois.
Si j'obéissais pas, je prenais une fessée.
-Mon dieu, çà se passé comme çà, demande Claire.C(est terrible.
-Après, on s'habitue. C'est vôtre corps qui réclame. J'allais souvent chez la doyenne.
-Elle ne sortait jamais de çà cellule. On lui emmenait toujours une fille. C'était une experte
du corps féminin. Il fallait pas la toucher. Mais elle aimait voir tortiller vôtre corps nue.
Assise sur elle, jambes écartées, elle jouait avec vôtre chatte, et vôtre bouton, jusqu'à
ce que, épuisée, vous la suppliiez d'arrêter.
Je me suis gouinée pendant cinq mois avec ma collègue de cellule aussi. C'était super
bon.
Devant l'érotisme du récit, Claire commence a se troublée.
-Un peu plus de café, propose-t-elle.
-Oui, merci.
Claire fait le service, et reprend sa place.
-Sincèrement, je vous plaint, poursuit Claire en prenant la main de Lise.
-Maintenant, répond Lise, je ne peux plus me passer d'une femme. Les hommes ne
m'intérresse plus.
Claire a penché sa tête sur le dossier du canapé. Elle a les yeux mi-clos, la bouche entre ouverte. Lise a compris.
Elle dénoue le peignoir, et commence à caresser le corps splendide de Claire.
-Ha....ha..., gémit Claire, prend moi.
Lise suce les seins, s'attardant sur les bouts devenus énormes.Elle descend doucement
sur le ventre, embrassant le nombril. Claire écarte ses jambes à cent quatre vingt degrés.
Sa chatte est totalement offerte. Le clitoris demande qu'à être décalotté.
-Tu vas voir comme je vais te faire du bien, sourit Lise.
-Ce que tu veux, répond Claire soumise.
Avec deux doigts, Lise décalotte le clitoris, et fait tourner un doigt dessus pour l'exciter.
Doucement, elle glisse deux doigts entre les lèvres, et les enfonce dans la chatte toute
mouillée. Lise est en train de la manger
-Hou...hou.., soupire Claire, que c'est bon.
Elle est entièrement prise.
La lange lèche, les lèvres sucent, aspirent, les dents mordent, les doigts branlent. Le
clitoris est en feu. Claire a un orgasme terrible, une vrai fontaine.
-Ouiiii, vas-y, oh putain, comme tu as fais. Je joui ha...ha...oui, ma chérie, doigte moi la
chatte, fort, oui, oui vite, embrasse moi.
-Tu as aimé, hein? Dit Lise toute fière. Tu sais que la nuit va être longue.
-J'assumerai, murmure Claire. Je veux aussi que tu m'apprenne. Je veux te faire jouir,
comme tu m'a faite jouir.
-Tu es prête à tout accepter, poursuit Lise, même la sodomie.
-Tout ce que tu veux, répond Claire.
La nuit va être faite de cris, de gémissements, de pleurs, de hurlements de plaisir
jusqu'au petit matin.
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C'est en peignoir qu'elle va ouvrir.
-Vous, quelle surprise, dit Claire, vous êtes libre depuis quand?
-Depuis ce matin,répond Lise. Comme vous m'aviez dit....
- Entrez, poursuit Claire. Vous n'avez pas eu d'ennui suite à vôtre affaire?
-Non,çà c'est bien passé.
-Très bien, débarrassez vous. Une douche vous fera le plus grand bien. Il y a un autre
peignoir, mettez vous à l'aise.Je vais préparer un bon repas.
Lise revient vêtue d'un peignoir blanc, qui tranche avec sa peau noire. Elle est magnifique.
-Oh là, mais vous êtes superbe, remarque Claire. On dirai pas la même femme
-Merci, répond Lise, vous voulez un coup de main?
-Pas maintenant, ironise Claire.
Lise comprend que la soirée ne devrait pas être désagréable.
Après avoir pris un verre de vin en apéritif, , les deux femmes passent à table.
-Vous me raconterai vôtre vie en prison, après? demande Claire. Enfin, si çà vous gêne
pas.
-Mais pas du tout, répond Lise.
Le repas terminé, elles passent au salon pour prendre le café. Elles sont côte à côte
sur le canapé.
Lise commence sont récit.
-En fait, j'ai été incarcéré pour un méfait que je n'avais pas commis.C'est pour çà qu'il
m'ont gardée que six mois. Mais qu'est-ce-que j'en ai bavé.. Au début, tout les après midi,
il y avait un groupe de quatre filles, qui m'emmenaient à la douche. Elles me mettaient
toute nue, et jouaient avec moi. Au début, j'essayais de me défendre. Après, j'acceptais.
Elles me doigtaient pendant une heure, pinçant mon clitoris. Je jouissais deux, trois fois.
Si j'obéissais pas, je prenais une fessée.
-Mon dieu, çà se passé comme çà, demande Claire.C(est terrible.
-Après, on s'habitue. C'est vôtre corps qui réclame. J'allais souvent chez la doyenne.
-Elle ne sortait jamais de çà cellule. On lui emmenait toujours une fille. C'était une experte
du corps féminin. Il fallait pas la toucher. Mais elle aimait voir tortiller vôtre corps nue.
Assise sur elle, jambes écartées, elle jouait avec vôtre chatte, et vôtre bouton, jusqu'à
ce que, épuisée, vous la suppliiez d'arrêter.
Je me suis gouinée pendant cinq mois avec ma collègue de cellule aussi. C'était super
bon.
Devant l'érotisme du récit, Claire commence a se troublée.
-Un peu plus de café, propose-t-elle.
-Oui, merci.
Claire fait le service, et reprend sa place.
-Sincèrement, je vous plaint, poursuit Claire en prenant la main de Lise.
-Maintenant, répond Lise, je ne peux plus me passer d'une femme. Les hommes ne
m'intérresse plus.
Claire a penché sa tête sur le dossier du canapé. Elle a les yeux mi-clos, la bouche entre ouverte. Lise a compris.
Elle dénoue le peignoir, et commence à caresser le corps splendide de Claire.
-Ha....ha..., gémit Claire, prend moi.
Lise suce les seins, s'attardant sur les bouts devenus énormes.Elle descend doucement
sur le ventre, embrassant le nombril. Claire écarte ses jambes à cent quatre vingt degrés.
Sa chatte est totalement offerte. Le clitoris demande qu'à être décalotté.
-Tu vas voir comme je vais te faire du bien, sourit Lise.
-Ce que tu veux, répond Claire soumise.
Avec deux doigts, Lise décalotte le clitoris, et fait tourner un doigt dessus pour l'exciter.
Doucement, elle glisse deux doigts entre les lèvres, et les enfonce dans la chatte toute
mouillée. Lise est en train de la manger
-Hou...hou.., soupire Claire, que c'est bon.
Elle est entièrement prise.
La lange lèche, les lèvres sucent, aspirent, les dents mordent, les doigts branlent. Le
clitoris est en feu. Claire a un orgasme terrible, une vrai fontaine.
-Ouiiii, vas-y, oh putain, comme tu as fais. Je joui ha...ha...oui, ma chérie, doigte moi la
chatte, fort, oui, oui vite, embrasse moi.
-Tu as aimé, hein? Dit Lise toute fière. Tu sais que la nuit va être longue.
-J'assumerai, murmure Claire. Je veux aussi que tu m'apprenne. Je veux te faire jouir,
comme tu m'a faite jouir.
-Tu es prête à tout accepter, poursuit Lise, même la sodomie.
-Tout ce que tu veux, répond Claire.
La nuit va être faite de cris, de gémissements, de pleurs, de hurlements de plaisir
jusqu'au petit matin.
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