Un drôle de deal
Récit érotique écrit par Lancer [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un drôle de deal
Le camion de l’armée s’arrête aux abords d’un point d’eau, épargné par les
bombardements et la pollution de la guerre. L’eau y est très claire. La bâche s’ouvre,
et deux prisonniers irakiens descendent de l’arrière, accompagnés de deux marines,
Andrew et Scot. Puis, le camion reprend la route.
-Amusez-vous bien, on vous récupère dans la soirée, dit le chauffeur.
Les prisonniers s’avancent près du point d’eau, se mettent entièrement nus et
plongent. La baignade dure une dizaine de minutes. Hossein sort le premier est
s’assied à cheval sur un tronc d’arbre. Aussitôt, Andrew s’approche de lui, et
commence à lui caresser la bite. Hossein ne le repousse pas, certainement habitué à ce
genre de situation.
-Suce-moi, ordonne le prisonnier irakien…je sais que tu aime les hot dog.
Andrew se penche, décalotte la bite, et la prend en bouche. Sous l’effet de la
fellation, celle-ci prend des proportions dantesques. Sans un mot, le marine ôte ses
vêtements.
-Allez, poursuit le prisonnier, fait le chauffer maintenant.
Andrew enjambe alors Hossein, et s’empale sur son énorme bite. A peine un petit râle
au passage, ce qui laisse supposer qu’ils ne sont pas à leur premier coup d’essaie.
-Hum, grogne le prisonnier…vas-y, danse au bout de ma queue…bouge ton cul…mieux que
ça…
Le soldat américain fait de son mieux. Accroché au cou de son prisonnier, il envoie de
violent coup de reins sur le pieu qui le fouille.
-Ha…qu’est-ce-que tu me fais salaud, gémit le soldat…
-Je t’encule, tout simplement, sourit Hossein…et l’après midi n’est pas fini…
Andrew accélère ses mouvements de hanches, et sent le sperme chaud gicler dans ses
entrailles. Hossein ne peut contenir un cri de bête quand il éjacule. Celui-ci
s’aperçoit, que sans un bruit, le marine s’est vidé les couilles sur son ventre.
-Enfoiré, reproche-t-il, tu ne pouvais pas te retenir.
-Je n’ai pas pu, s’excuse Andrew, c’était trop bon…
Hossein pousse Andrew qui roule au sol. Il ne lui laisse pas le temps de se relever et
le bloque sur la grève en le maintenant par les hanches. Le petit trou d’Andrew est à
porté de bite. Le prisonnier irakien fléchit sur ses jambes, et glisse sa bite entre
les reins du marine.
-Non, rouspète Andrew…ce n’était pas prévu comme ça…un coup on avait dit…un seul.
-Pourquoi, répond Hossein, ce n’est pas bon de se faire niquer en levrette…on dira que
c’est un acompte.
Hossein lance le bouchon encore plus loin. Il glisse une main sous le ventre du jeune
militaire, lui caresse les couilles, se permet de lui prendre la queue, et de lui
taper une branlette, ce qu’apprécie le jeune soldat. Andrew reçoit pour la deuxième
fois la colère da la bite du jeune irakien, en prenant une puissante décharge dans les
entrailles, tandis que lui se contente de larguer sa semence sur la grève
-Ah…Tu en profites enfoiré, soupire Andrew…pense que ça ne va pas durer…
Après un court instant de répits, les deux hommes vont se rincer. Là encore, Hossein
essaie de sodomiser le soldat, mais celui-ci refuse catégoriquement. Après s’être
rincé copieusement le cul, Andrew regagne le bord. Il a à peine fini de s’essuyer,
quand il entend des plaintes provenant de derrière un buisson. Il s’avance en silence,
et découvre Scot avec Mostafa, l’autre prisonnier.
Ce dernier est plus sadique que son collègue, n’hésitant pas à jouer avec les parties
sensibles du jeune soldat. Là, il est allongé sur le dos, une main derrière la nuque,
en train de se faire sucer le zob. L’autre main serre les couilles de Scot. Le
prisonnier irakien prend plaisir à l’entendre couiner de douleur.
-Allez…taille moi une bonne pipe maintenant…prend ta came…
Seules les couilles de Mostafa dépassent de la bouche de Scot, quand le prisonnier
éjacule copieusement au fond de sa gorge. Il est à deux doigts de s’étouffer devant
l’abondance de sperme, qu’il avale en partie. Andrew reste impuissant devant la
perversité humiliante de l’irakien. Il serre les poings en voyant son copain d’armée
marcher à quatre pattes, tenu par les couilles par Mostafa. Celui tombe à genoux,
astique sa bite en érection, et la place contre le petit trou du marine. D’un coup
sec, il le pénètre sauvagement. Scot ne peut retenir un cri de douleur. Le prisonnier
lime violemment le cul du jeune soldat, qui hurle de douleur.
-Qu’est-ce-que t’as à crier, sourit Mostafa, t’aimes pas, c’est pourtant pas la
première fois que je t’encule.
-Assez…assez, implore le marine…j’ai mal…
Mostafa n’a cure des plaintes de Scot, qui au contraire l’excite d’avantage. Dans un
ultime coup de reins, le prisonnier largue son foutre dans les entrailles du soldat.
-Ha…ha…prend ça petit pédé, souffle-t-il…c’est bon de se faire enculer, hein…
Scot gémit sous les coups de boutoir de l’énorme bite. Il sent la semence chaude
s’écouler en lui.
-Calme toi mon bébé, tu sais bien que j’en ai pas fini avec toi…viens, je vais te
niquer dans l’eau…
Les deux irakiens jouent avec les deux marines, les font rouler dans l’eau. Andrew et
Scot essaient de se révolter, mais les prisonniers savent par ou les prendre pour les
maitriser. Ils les forcent à se mettre à genoux devant eux, et là, les mains sur les
hanches, se font pomper le dard jusqu’à la dernière goutte de sperme.
-Oh putain…ils sucent mieux que des femmes…en plus ils avalent…
Andrew et Scot commence à apprécier, même s’ils se sentent humilier. Leur langue
s’enroule autour du gland de leur dominateur, le nettoie. Ils sont déçus d’entendre le
camion qui doit les récupérer. Ils auraient bien pris un autre coup de queue.
-Alors les filles, sourit le chauffeur, cet après-midi s’est bien passé. Vous vous
l’êtes bien fait mettre j’espère, vous en avez pris plein le cul je suis sur. Al les
salopes.
Le camion regagne le camp. Le soir, le commandant de la compagnie reçoit un document,
et une lettre.
« Voici les renseignements que vous nous avez demandés. Ce fut un réel plaisir d’avoir
travaillé avec vous. Nous vous remercions pour les deux salopes que vous nous avez si
gentiment offertes. Nous espérons qu’ils ont pris du plaisir à se faire sodomiser.
Encore merci. Signés: Hossein et Mostafa»
Quand à la lettre, c’est une requête formulé par les deux marines.
« Mon commandant, Andrew et moi-même vous demandons l’autorisation de partager la même
tente, afin de pouvoir satisfaire nôtre nouvelle envie sexuelle, la sodomie. D’avance,
merci. Signé : Scot »
Les nuits entre les deux marines sont chaudes. Ils évoquent souvent leurs relations
avec les prisonniers irakiens, leurs bites énormes qui leur limaient le cul,
regrettent de ne pas s’être plus donner.
Les deux indics irakiens sont remis en liberté, relâchés dans la nature en quête d’un
nouveau deal, si possible avec des militaires femmes.
bombardements et la pollution de la guerre. L’eau y est très claire. La bâche s’ouvre,
et deux prisonniers irakiens descendent de l’arrière, accompagnés de deux marines,
Andrew et Scot. Puis, le camion reprend la route.
-Amusez-vous bien, on vous récupère dans la soirée, dit le chauffeur.
Les prisonniers s’avancent près du point d’eau, se mettent entièrement nus et
plongent. La baignade dure une dizaine de minutes. Hossein sort le premier est
s’assied à cheval sur un tronc d’arbre. Aussitôt, Andrew s’approche de lui, et
commence à lui caresser la bite. Hossein ne le repousse pas, certainement habitué à ce
genre de situation.
-Suce-moi, ordonne le prisonnier irakien…je sais que tu aime les hot dog.
Andrew se penche, décalotte la bite, et la prend en bouche. Sous l’effet de la
fellation, celle-ci prend des proportions dantesques. Sans un mot, le marine ôte ses
vêtements.
-Allez, poursuit le prisonnier, fait le chauffer maintenant.
Andrew enjambe alors Hossein, et s’empale sur son énorme bite. A peine un petit râle
au passage, ce qui laisse supposer qu’ils ne sont pas à leur premier coup d’essaie.
-Hum, grogne le prisonnier…vas-y, danse au bout de ma queue…bouge ton cul…mieux que
ça…
Le soldat américain fait de son mieux. Accroché au cou de son prisonnier, il envoie de
violent coup de reins sur le pieu qui le fouille.
-Ha…qu’est-ce-que tu me fais salaud, gémit le soldat…
-Je t’encule, tout simplement, sourit Hossein…et l’après midi n’est pas fini…
Andrew accélère ses mouvements de hanches, et sent le sperme chaud gicler dans ses
entrailles. Hossein ne peut contenir un cri de bête quand il éjacule. Celui-ci
s’aperçoit, que sans un bruit, le marine s’est vidé les couilles sur son ventre.
-Enfoiré, reproche-t-il, tu ne pouvais pas te retenir.
-Je n’ai pas pu, s’excuse Andrew, c’était trop bon…
Hossein pousse Andrew qui roule au sol. Il ne lui laisse pas le temps de se relever et
le bloque sur la grève en le maintenant par les hanches. Le petit trou d’Andrew est à
porté de bite. Le prisonnier irakien fléchit sur ses jambes, et glisse sa bite entre
les reins du marine.
-Non, rouspète Andrew…ce n’était pas prévu comme ça…un coup on avait dit…un seul.
-Pourquoi, répond Hossein, ce n’est pas bon de se faire niquer en levrette…on dira que
c’est un acompte.
Hossein lance le bouchon encore plus loin. Il glisse une main sous le ventre du jeune
militaire, lui caresse les couilles, se permet de lui prendre la queue, et de lui
taper une branlette, ce qu’apprécie le jeune soldat. Andrew reçoit pour la deuxième
fois la colère da la bite du jeune irakien, en prenant une puissante décharge dans les
entrailles, tandis que lui se contente de larguer sa semence sur la grève
-Ah…Tu en profites enfoiré, soupire Andrew…pense que ça ne va pas durer…
Après un court instant de répits, les deux hommes vont se rincer. Là encore, Hossein
essaie de sodomiser le soldat, mais celui-ci refuse catégoriquement. Après s’être
rincé copieusement le cul, Andrew regagne le bord. Il a à peine fini de s’essuyer,
quand il entend des plaintes provenant de derrière un buisson. Il s’avance en silence,
et découvre Scot avec Mostafa, l’autre prisonnier.
Ce dernier est plus sadique que son collègue, n’hésitant pas à jouer avec les parties
sensibles du jeune soldat. Là, il est allongé sur le dos, une main derrière la nuque,
en train de se faire sucer le zob. L’autre main serre les couilles de Scot. Le
prisonnier irakien prend plaisir à l’entendre couiner de douleur.
-Allez…taille moi une bonne pipe maintenant…prend ta came…
Seules les couilles de Mostafa dépassent de la bouche de Scot, quand le prisonnier
éjacule copieusement au fond de sa gorge. Il est à deux doigts de s’étouffer devant
l’abondance de sperme, qu’il avale en partie. Andrew reste impuissant devant la
perversité humiliante de l’irakien. Il serre les poings en voyant son copain d’armée
marcher à quatre pattes, tenu par les couilles par Mostafa. Celui tombe à genoux,
astique sa bite en érection, et la place contre le petit trou du marine. D’un coup
sec, il le pénètre sauvagement. Scot ne peut retenir un cri de douleur. Le prisonnier
lime violemment le cul du jeune soldat, qui hurle de douleur.
-Qu’est-ce-que t’as à crier, sourit Mostafa, t’aimes pas, c’est pourtant pas la
première fois que je t’encule.
-Assez…assez, implore le marine…j’ai mal…
Mostafa n’a cure des plaintes de Scot, qui au contraire l’excite d’avantage. Dans un
ultime coup de reins, le prisonnier largue son foutre dans les entrailles du soldat.
-Ha…ha…prend ça petit pédé, souffle-t-il…c’est bon de se faire enculer, hein…
Scot gémit sous les coups de boutoir de l’énorme bite. Il sent la semence chaude
s’écouler en lui.
-Calme toi mon bébé, tu sais bien que j’en ai pas fini avec toi…viens, je vais te
niquer dans l’eau…
Les deux irakiens jouent avec les deux marines, les font rouler dans l’eau. Andrew et
Scot essaient de se révolter, mais les prisonniers savent par ou les prendre pour les
maitriser. Ils les forcent à se mettre à genoux devant eux, et là, les mains sur les
hanches, se font pomper le dard jusqu’à la dernière goutte de sperme.
-Oh putain…ils sucent mieux que des femmes…en plus ils avalent…
Andrew et Scot commence à apprécier, même s’ils se sentent humilier. Leur langue
s’enroule autour du gland de leur dominateur, le nettoie. Ils sont déçus d’entendre le
camion qui doit les récupérer. Ils auraient bien pris un autre coup de queue.
-Alors les filles, sourit le chauffeur, cet après-midi s’est bien passé. Vous vous
l’êtes bien fait mettre j’espère, vous en avez pris plein le cul je suis sur. Al les
salopes.
Le camion regagne le camp. Le soir, le commandant de la compagnie reçoit un document,
et une lettre.
« Voici les renseignements que vous nous avez demandés. Ce fut un réel plaisir d’avoir
travaillé avec vous. Nous vous remercions pour les deux salopes que vous nous avez si
gentiment offertes. Nous espérons qu’ils ont pris du plaisir à se faire sodomiser.
Encore merci. Signés: Hossein et Mostafa»
Quand à la lettre, c’est une requête formulé par les deux marines.
« Mon commandant, Andrew et moi-même vous demandons l’autorisation de partager la même
tente, afin de pouvoir satisfaire nôtre nouvelle envie sexuelle, la sodomie. D’avance,
merci. Signé : Scot »
Les nuits entre les deux marines sont chaudes. Ils évoquent souvent leurs relations
avec les prisonniers irakiens, leurs bites énormes qui leur limaient le cul,
regrettent de ne pas s’être plus donner.
Les deux indics irakiens sont remis en liberté, relâchés dans la nature en quête d’un
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
oui moi aussi ce sont mes préfère les arabes les back et les brésilien ou brésilienne trans lol
bof manque de détails
Miam, bien bandant l'histoire des prisonniers :D Arabes de surcroît, mes préférés :D